Je me relève comme je peux, j'ai juste le temps de m'essuyer les yeux, avant de poser mes mains sur ma tête et d'exhiber en passant devant Justine d'abord "mon attirail" comme disait la tante Maud en se moquant, je suis tellement effondré par ce qui vient de m'arriver, que mon sexe est au repos complet, un spaghetti quasi, puis mes fesses cramoisies, avant d'aller me placer face au mur dans une position qui m'est hélas habituelle.
Une heure, elle n'y va pas de main morte
ma mother, encore heureux, qu'elle ne m'ait pas obligé à me mettre à genoux. Je
suis au fond du trou, je ne pense plus à rien, Justine fera bien ce qu'elle voudra,
de toutes façons, elle aurait été mise au courant un jour ou l'autre, tu penses
bien que ma chipie de cousine n'y aurait pas manqué. Je songe avec horreur, qu’elle
a toujours barre sur moi, avec la vidéo de mon abaissement total qu'elle a
toujours en sa possession, il faudrait que je les récupère, mais ce serait
inutile, elle a dû en faire des copies, au moins une en tout cas qu'elle aura
confié à Corinne.
Je n'ai plus qu'à filer doux, faute de
quoi, tous mes copains et mes copines profiteront du spectacle de mes fessées
par les deux filles, plus les mises au piquet.
A mon grand dam, Justine n'a pas l'air pressée
de s'en aller, elle continue à deviser tranquillement avec Maman, comme si
elles n'avaient pas face à elle un adolescent à moitié nu, le cul porté à
incandescence, planté au piquet, les mains sur la tête comme un gosse de six
ans !
Je n'entends pas tout, car elles parlent
bas, mais il me semble bien que Justine demande des précisions sur les nouvelles
pratiques éducatives de ma mère. Je suis sûr qu'elle ne va surtout rien lui cacher
et se faire un plaisir de narrer en long et en travers comment ma logeuse les a
mises en place.
Je n'ose imaginer les réactions de
Justine, à priori, elle ne semble pas tout à fait indignée, faute de quoi, elle
se serait barrée aussi sec, alors que là, cela ne semble pas la gêner outre mesure
d'avoir en face d'elle, son fiancé cantonné au piquet, pantalon et culotte
baissée avec les fesses cramoisies.
Encore heureux que j'ai pu réprimer mes
restes de sanglots, autant dus à la sévérité de la fessée qu'à l'humiliation
ressentie, j'aurais pu me ramasser un complément. J'entends Justine prendre
congé.
« Viens ici Fabien, le piquet n'est
pas terminé, mais il convient que tu viennes dire au revoir à ton amie. »
Il ne manquait plus que ça, je me retourne
et m'avance vers Justine, toujours les mains sur la tête, ma démarche entravée
par mon pantalon aux chevilles et ma culotte aux genoux, parfaitement ridicule,
je ne sais trop pourquoi, j'ai un début d'érection qui me gêne atrocement dans
ces horribles circonstances. C'est horriblement humiliant, ma garce de mère aurait
pu m'autoriser à me reculotter.
J'embrasse Justine en faisant en sorte
de ne pas frotter ma queue contre son jeans, je me dis qu'après cet épisode, c'est
peut-être la dernière fois que je le fais, possible qu'écoeurée par le spectacle
avilissant auquel je me suis prêté, bon gré, mal gré, elle décide de mettre fin
à notre relation.
Elle s'en va sans qu'on échange un mot et
je me retrouve face au mur pour assumer la fin de ma punition, tandis que mes fesses
refroidissent peu à peu. J'en veux terriblement à ma mère, je me dis qu'elle a
fait exprès de m'infliger cette humiliation en présence de ma copine, qu'elle est
quelque part jalouse de ce flirt très poussé qui me fait échapper quelque peu à
sa férule. D'un autre côté, il est certain qu'un jour ou l'autre, il serait venu
aux oreilles de Justine, qu'en dépit de mes presque dix-neuf ans, je me ramassais
encore des fessées cul nu, y compris par ma jeune cousine qui n'aurait pas
manquer d'en faire état.
Environ une demi-heure plus tard, ma mère
met fin à ma punition et aussi à mes funestes pensées, je lui en veux terriblement
pour la terrible humiliation qu'elle m'a infligée devant Justine, mais je suis
bien conscient qu'il va falloir que je prenne sur moi et faire comme si de rien
n'était et ne pas risquer de nouvelles sanctions.
« Viens ici Fabien ! »
Je viens me planter devant elle, les yeux
rouges et les mains sur la tête, très gêné par une semi-érection incontrôlable.
« Je sais que tu n'as pas apprécié
de te prendre une fessée déculottée devant ta copine, cela te pendait aux fesses
de toutes façons, même si depuis ton retour de chez Maud tu t'étais plutôt comporté
correctement. Comme quoi, la médecine qu'elle t'a imposée a produit son effet.
J'aurais pu attendre pour t'infliger la correction que tu méritais que Justine
soit partie et je sais que tu m'en veux certainement de t'avoir châtié devant
elle. Tu ne dis rien, mais tu n'en penses pas moins, note que je ne t'ai toutefois
pas décalotté ta verge, comme le pratiquait si j'ai bien compris ta cousine quand
elle voulait te punir sévèrement, ce sera pour une prochaine fois. Je suis
certaine que Justine ne te tiendra pas rigueur de t'être trouvée en si fâcheuse
posture en sa présence
– Tu parles, elle va me quitter et ce sera
ta faute. Et je me remets à sangloter.
– Arrête de pleurnicher comme un gosse,
sinon je t'en remets une sévère, tu as compris, tais-toi et écoute-moi bien.
– Oui Maman, pardon.
– Mon petit Fabien, je connais un peu mieux
les femmes que toi, certes elle s'est trouvée un peu surprise de te voir en
train de faire rôtir les fesses par ta Maman, mais elle a mieux compris la
chose quand je lui ai expliqué que c'était pour ton bien qu'on avait enclenché
ce processus à l'instigation de ta logeuse et que depuis sa mise en place, tu
avais fait de considérables progrès dans tous les domaines, même si évidemment,
il n'est pas question de te lâcher la bride, on a vu ce que cela donnait… Je te
trouvais un peu trop macho avec cette gentille petite et je ne te cache pas que
je guettais une occasion de te rabattre ton caquet devant elle, c'est donc fait
et je suis certaine que vous m'en remercierez tous les deux. En attendant, je
te rassure, elle n'a pas l'intention de la fesser à son tour, en revanche, il
n'est pas dit que dans un proche avenir tu ne sois pas amené à la mettre au
pli, si elle devient trop désagréable, je suis certaine qu'une solide fessée ne
lui fera pas de mal.
– Mais Maman, je n'oserai jamais, ça ne
se fait pas dans sa famille, ni dans la plupart des autres, nous sommes une
exception.
– Détrompe-toi mon fils, la correction des
ados est bien plus répandue que tu ne le crois, il me semble que tu as pu le constater
à de nombreuses reprises avec tes copains et copines. Et quand bien même,
chacun agit comme il l'entend et je me félicite encore une fois ainsi que ta
tante des résultats produits par la fessée déculottée qu'il s'agisse de toi ou
de Lucie et même de Marie, même si à son âge c'est plus courant. »
Le pire est que cette conversation, qui
ressemblait d'ailleurs davantage à un monologue, se déroulait entre une
personne tranquillement installée sur son canapé et une autre debout face à
elle, à demi nue, lui exhibant ses attributs virils parfaitement exempts de poils
en pleine face, toujours en position punitive avec les mains sur la tête, ce
qui ne nous mettait pas tout à fait à égalité pour échanger nos arguments.
« Bien Fabien, cette conversation
est terminée, comme ta punition d'ailleurs, ce qui est fait est fait et on verra
bien la réaction de Justine à ton égard. Si cela ne correspond pas à nos espérances,
tu en trouveras une autre. Mais ne te fais pas d'illusion, je ne renoncerai pas
à te fesser si tu le mérites quelles que soit les personnes présentes tu le
sais. Pour changer de sujet, je trouve que tu as très bien fait de t'épiler le
pubis, cela fait plus propre et c'est plus hygiénique, tu devrais rester ainsi.
– Merci Maman. »
Je me gardais bien d'ajouter que je
n'avais nullement été à l'origine du dépouillement de ma toison pubienne.
Les deux jours suivants, je n'ai pas osé
appeler Justine au téléphone, j'étais trop angoissé, je m'étais couvert de honte
et je redoutais terriblement sa réaction. Je me disais bien pourtant que c'était
la pire des attitudes, il fallait que je prenne les devants, je ne savais que
faire, tenter de minimiser mon humiliation en avançant que la fessée déculottée
était largement usitée dans les milieux que je fréquentais, qu'il s'agisse de
l'école, de Madame Leblanc et de son entourage, de nombre des parents de mes
copains et copines ainsi que de mes cousines ou au contraire jouer les victimes,
l'enfant battu, me faire plaindre.
Je fus ainsi tout à fait surpris quand
le troisième jour après ma fessée, Maman m'invitât à descendre au salon où Justine
m'attendait.
Elle m'embrassât comme si de rien
n'était et Maman eut la délicatesse de nous laisser seuls.
« Comme tu ne me donnais aucunes nouvelles,
j'ai pris la décision de me pointer.
– J'étais gêné après ce qui s'était passé.
– Il ne faut pas, tu t'es pris une bonne
fessée déculottée devant moi et alors, ce n'est pas si grave. Il n'y pas de raison
que je t'en veuille parce que tu as une mère très sévère et qui pratique encore
les châtiments corporels en dépit de tes dix-huit ans passés.
– Vraiment, tu es gentille.
– Tu en doutais ?
– Non, mais je me suis senti tellement
humilié, je pensais que tu ne voudrais plus me voir.
– Au contraire, après cette correction,
je me sens plus proche de toi, j'imagine que tu seras moins macho, plus vrai,
que c'en sera fini de tes attitudes orgueilleuses, à présent que ta mère t'a
remis à ta place. Pour tout te dire, cela m'a même donné des idées.
– De quel genre ?
– Eh bien, de t'appliquer éventuellement
le même traitement quand tu te montreras trop désagréable.
– Tu n'y penses pas ?
– Oh que si, mais rassure toi, ce n'est
pas pour tout de suite, je suis certaine que tu vas faire amende honorable,
durant un moment...
– Et après ?
– Après, si tu dérapes un peu trop, je
m'occuperai ce tes fesses.
– C'est donc ça, tu veux que je fasse
tout ce que tu veux.
– Tu n'y es pas, je ne veux pas changer
la nature de nos relations et je serais toujours très gentille avec toi devant
les autres, mais une nouvelle fois, si tu fais trop le con, tu en paieras le
prix dès que nous serons seuls, cela peut d'ailleurs pimenter notre vie
amoureuse. De toutes façons, c'est à prendre ou à laisser. Je vais te laisser
réfléchir jusqu'à demain. A bientôt mon chéri. »
Elle s'éclipsât juste après avoir salué
ma mère et j'en restais tout abasourdi. J'étais à la fois soulagé et dubitatif,
j'avais du mal à envisager le nouvel état de nos relations amoureuses. En y
réfléchissant cependant, je me disais qu'après tout, je ne m'en sortais pas
trop mal.
Justine avait finalement assez bien vécu
mon humiliation, la conversation qu'elle avait eu avec ma mère pendant que j'étais
au piquet, finissant de sangloter, les fesses rouges et le slip aux genoux
n'avait pas été neutre. Mais je me doutais bien que c'en était bien fini du statut
de mâle dominant que j'avais tenté d'imposer, j'allais désormais passer sous
les fourches caudines de ma fiancée, je pouvais cependant espérer que compte
tenu de l'affection qu'elle semblait encore me porter, je n'osais pas parler
d'amour, je pouvais raisonnablement espérer qu'elle ne serait pas aussi
méchante que Lucie.
Effectivement, on est allé au ciné le
lendemain et notre sortie s'est effectuée comme si de rien n'était, même si
toujours honteux de ma mésaventure, je restais très en dedans, ce qui pour finir
semblât parfaitement convenir à ma copine. On allait reprendre nos cours tous
les deux et on ne se retrouverait si tout allait bien qu'en fin de semaine.
Pour ma part, ma mère m'accompagnât chez
Madame Leblanc en compagnie de Lucie que tante Maud avait déposée à notre maison
en coup de vent, il fallait qu'elle s'occupe de la rentrée de Marie au collège.
Ma cousine faisait sa belle, elle
inaugurait une nouvelle coupe de cheveux, un carré me dit-elle qui lui allait
plutôt bien et avec sa mini jupe, elle était très bandante, même s'il m'en coûtait
d'en convenir.
En présence de Maman, elle avait
abandonné son attitude autoritaire des derniers jours où pour mon malheur, la
tante m'avait mis sous son emprise. Nonobstant, je me méfiais de l'eau qui dormait
et je n'oubliais pas qu'à tout moment, elle pouvait redevenir une horrible
mégère, forte de la vidéo qu'elle possédait où on me découvrait dans la plus
fâcheuse des postures.
Je me disais qu'elle ferait moins la maligne
quand elle serait prise en mains par notre logeuse.
Son accueil fut tout à fait chaleureux
et elle m'embrassât comme du bon pain avant de nous offrir un thé.
« Alors te voilà de retour, vilain
garçon, vous savez qu'il m'en a fait baver et que j'ai dû fortement m'employer
pour le mettre au pli. Je crois qu'il s'est ramassé une fessée aux orties à
peine quelques jours après son arrivée. J'imagine que tes fesses s'en souviennent
?
– Oui Madame Leblanc, je m'en rappelle
évidemment. »
J'étais rouge comme après les sévères fessées
qu'évoquaient Madame Leblanc, tandis que Lucie était partagée entre le sentiment
de se réjouir du rappel de mes misères passées et l'angoisse de ce qui était
susceptible de lui arriver si on la mettait au même régime.
L'ambiguïté ne dura guère.
« Ma petite chérie, dès demain, il
faudra t'habiller autrement, il n'est pas question que tu ailles à l'école avec
les cuisses à l'air ni maquillée comme une voiture volée, crois bien que j'y veillerai.
Il me semble que tu as bien besoin d'une reprise en mains, si tu ne mets pas
rapidement au diapason des pensionnaires de la maison, tu peux préparer tes
fesses à souffrir. Mais venez que je vous les présente justement. »
Ils étaient tous les quatre dans la
salle d'études et je retrouvais avec bonheur Béatrice qui poursuivait sa
licence de lettres, Sylvie toujours dans les maths et Julie en deuxième année de
médecine, Carole qui m'avait plusieurs fois fessé, venait de terminer ses études.
Je n'en étais pas fâché tant cela me rappelait des souvenirs douloureux à tous
points de vue, c'était en effet la première fille à peine plus âgée que moi à m'avoir
corrigé si j'excepte la secrétaire de la directrice du super marché. Et puis un
petit nouveau, un blondinet de dix huit ans, assez mignon et qui me semble intimidé,
à moins qu'il vienne justement de se ramasser une bonne fessée, histoire de le
mettre tout de suite dans l'ambiance de la baraque.
« Venez tous les trois, je vais
vous installer dans la maison d'en face, vous avez de la chance, le premier étage
vient de se libérer, il y a deux chambres et je pense que vous y serez bien, en
plus glisse-t-elle malicieusement, vous êtes tout près et je pourrai vous
surveiller, sans compter le fait que vous prendrez tous vos repas chez moi,
sauf le week end. »
Maman nous a quitté en nous recommandant
de ne pas nous disputer et d'être sérieux ; de toute façon, avec Madame Leblanc,
je suis bien tranquille, gare à vos fesses si vous bronchez.
L'appartement était sympa, modeste mais propre,
pas de télévision au grand dam de Lucie, qui commençait à se demander où elle
mettait les pieds. Ne voulant pas entamer trop tôt les hostilités et compte
tenu de sa mauvaise humeur, je lui laissais le choix de la chambre où elle
balança ses fringues en vrac, alors que de mon côté je m'applique un max à bien
tout ranger, envisageant une visite de la mère Leblanc qui doit à l'évidence
posséder une clef des lieux.
J'ai dû insister pour qu’on ne se pointe
pas en retard au repas de notre tutrice, c'était officialisé vis-à-vis de
l'école, Lucie sans surprise rechignait et m'a envoyé me faire voir, avant de se
résigner à m'accompagner. On a tout de même eu cinq minutes de retard et les
pensionnaires étaient à table avec leur logeuse.
« Vous n'êtes pas à l'heure, Fabien
sait que les repas se prennent à heure fixe, je passe pour cette fois, mais sachez
bien et toi en particulier ma petite Lucie, que si ça se renouvelle tu auras
droit à une punition, à ce sujet Fabien t'expliquera tout à l'heure le fonctionnement
du tableau de conduite, vous ne manquerez pas d'abaisser votre note de la
semaine d'un point chacun. »
Ça partait sur les chapeaux de roue,
Lucie ne disait mot et gentiment je lui glissais qu'elle ferait bien de cesser
de faire la tête.
« Mêle-toi de tes affaires, petit
con, fut sa seule réponse. »
Pour son malheur, Madame Sand qui assurait
le service l'entendit et s'empressa d'aller répéter ses paroles à Madame Leblanc.
« Jeune Lucie, je crois que tu n'as
pas encore bien compris le fonctionnement de cette maison et nous aurons une conversation
à ce sujet après le repas. A présent, si tu ne souhaites pas que cette conversation
soit trop longue, je te conseille d'avoir une attitude plus amène. »
Elle devient livide ma cousine, tu parles
qu'elle a compris de quoi il retourne et elle essaie de se recomposer une
attitude correcte. Bien que je me réjouisse intérieurement de ce qui va lui
arriver sous peu, à savoir une bonne fessée déculottée, je lui murmure qu'elle
a intérêt à ne pas se rebiffer. J'ai encore le douloureux souvenir de ma première
révolte qui m'avait valu quatre fessées successives dont une agrémentée d'une
frottée aux orties. Je ne sais pas pourquoi je me penche sur son sort, après tout
ce qu'elle m'a fait subir, l'esprit de famille peut être, à moins que je
souhaite voir nos relations prendre une meilleure tournure, sait-on jamais.
Et ça ne rate pas, sitôt la table
débarrassée, nul ne s'égaille, tous veulent assister au spectacle qui s'annonce.
Madame Leblanc installe tranquillement une chaise au milieu du salon, face au
canapé et aux deux fauteuils qui l'encadrent et mande Lucie qui sait ce qui l'attend
et baisse les yeux tandis qu'elle répond à l'appel de notre tutrice.
Elle a certes ramassé quelques fessées
de sa mère et une par mes soins si on s'en souvient, mais cela remonte à plusieurs
semaines, j'imagine que ça lui fait tout drôle de passer du statut de bourreau
à celui de victime.
Tu parles que je bichais, j'allais enfin
prendre une petite revanche sur tous les tourments qu'elle m'avait infligés. Je
m'installe du mieux que je peux sur une chaise pile en face de Madame Leblanc
qui ne s'embarrasse pas de préalables.
« Baisse ton jeans et viens te
coucher sur mes genoux pour y prendre ta fessée et encore tu as de la chance
que comme c'est ton premier jour, je ne fasse pas également manger du savon
pour avoir prononcer un mot qui n'est pas le bienvenu dans cette maison, tiens-le-toi
pour dit. »
Lucie s'est prudemment changée après les
remarques sur sa jupe trop courte, son jean est très serré et elle a un peu de
mal à le faire descendre jusqu'à ses chevilles, enfin c'est fait et Madame Leblanc
amène une culotte raisonnablement échancrée à ses genoux dévoilant à l'assemblée
son joli petit cul, la couchant dans la foulée sur ses cuisses.
Et c'est partie pour la fessée, je me
régale les mirettes, je tiens enfin ma revanche, même si je suis encore loin du
compte, avec tout ce que cette garce lui a fait subir, mais c'est un début prometteur.
La mère Leblanc n'a rien perdu de sa
vigueur et les fesses de Lucie passent assez rapidement au rouge vif, on doit
en être à une centaine de claques et elle finit par craquer et en arriver à ce
qu'on doit attendre de toute bonne fessée. Elle se tortille tel le ver, tentant
ainsi, vainement, de d'échapper à de nouvelles claquées, se met à pédaler dans
le vide, écartant les jambes en tout sens et dévoilant sa motte, que je
découvre comme annoncé complètement épilée.
Je m’étais déjà rendu compte qu'elle n'était
pas très velue de ce côté, mais là c'est bien autre chose, les spectateurs et moi
le premier, profitons d'une vision sympathique de sa fente et de son œillet quand
son corps se tord après que la main vengeresse de Madame Leblanc s’est abattue
pour la énième fois sur la même fesse. Je suis excité comme une puce et j'essaie
de masquer comme je peux, une terrible érection. Evidemment, elle s'est mise à
chouiner, piauler, ce n'est pas encore un air d'opéra, mais ça vient, je me
demande si sa bourelle va poursuivre la fessée manuelle ou si elle va se munir
d'un instrument punitif, ce qui me comblerait.
Elle a d'abord gémi avant de se mettre à
sangloter tout doucement à mesure que son fessier prenait la couleur de la
fraise écrasée, il faut dire qu'elle s'y entend sa logeuse, même si tante Maud
ne laissait pas sa part aux chiens, elle doit pratiquer l'art de la fessée depuis
des lustres, c'est une vraie pro et Lucie s'en rend bien compte, elle pleure à
présent à gros sanglots, hoquette, poussant des cris à chaque fois que la main
correctrice s'égare sur le haut de ses cuisses, là où la peau est la plus fine.
Comme dans toute bonne fessée menée à
bien, elle a passé un cap et ne remue presque plus, résignée, brisée en quelque
sorte, sachant que toute résistance restera vaine, ses réflexes d’auto-défense
ne jouent plus et elle a positionné ses jambes en cuisses de grenouille,
permettant à la petite compagnie d'avoir une vision meilleure encore de son entre
cuisses.
Enfin, cela cesse, sa tourmenteuse passe
sa main droite sur le fessier écarlate, comme si elle voulait vérifier que sa
tâche avait parfaitement été exécutée, sûr qu'elle a pris cher ma cousine, on l'entend
sangloter à gros bouillons, certainement autant de douleur que d'humiliation.
Se prendre une bonne fessée à peine arrivée devant cinq jeunes gens dont un
garçon qui doit ne pas en revenir et qui a peut-être éjaculé dans son slip, sans
parler de moi-même qui suis bien la dernière personne devant qui elle souhaite
être corrigée.
Madame Leblanc la relève et sans surprise
l'envoie se calmer au piquet, face au mur qui sépare le salon de la cuisine, elle
n'a nul besoin de lui dire de ne pas remonter son jean et elle est pathétique
la pauvre Lucie avec sa démarche en canard et ses mains sur la tête, j'ai
aperçu au passage son profil droit complètement ravagé par les larmes, son
rimmel a coulé sur sa joue, ce qui n'arrange rien. Elle comprendra vite que ce
genre de maquillage n'est pas spécialement recommandé par Madame Leblanc.
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire
Un commentaire, une réaction, une proposition ? C'est ici. Une fois validé, le commentaire sera visible par tous les lecteurs du blog.
Si vous le souhaitez et pour des raisons de confidentialité, nous pouvons échanger par courriel. Seuls Huguette et moi verrons le message. Il vous suffit de cliquer dans le champ "pour nous contacter" en haut à droite de cette page.