La visite
Le déjeuner
suivi cet apéritif cinglant servit par Gisèle dans la grande salle à
manger de Madame Leroy. Nestor rejoignit lui, la cuisine
Madame Séverine très à l’aise dans cette ambiance qui lui plaisait, put expliquer à ses hôtes tous les avantages des cages de chasteté de l’oiseau en cage. Et elle ne s’en priva pas. Elle estimait que tous les hommes devraient être encagés et que le monde serait meilleur. Tout un programme !
Le déjeuner terminé et le café
pris, la petite troupe se rendit à la SFID pour la visite.
C’était au tour de Madame Leroy
de reprendre l’initiative et de faire visiter son entreprise à Madame Séverine.
Enfin à Marie. Car les deux femmes avaient rompus la glace et se donnait du
Carole et du Marie, leurs prénoms respectifs.
Après avoir fait une halte dans
le beau bureau de Carole, Marie eu droit à la visite du service commercial puis
du showroom ou elle s’extasia à nouveau de la collection de la SFID, décrochant
et caressant les instruments les uns après les autres tandis que Carole Leroy
lui donnait les détails techniques de ceux-ci. Arrivée au niveau de la salle de correction, hasard,
celle-ci était occupée par madame Simone en train de chauffer les fesses d’un
magasinier ayant du commettre quelques erreurs d’empaquetage. Ce n’était pas
franchement un hasard car madame Leroy en bonne stratège avait organisé sa
visite de manière à en mettre plein la vue à son invitée. Et le planning de
visite avait été fait pour qu’une correction disciplinaire s’applique au moment
du passage des visiteurs. Madame
Séverine resta un moment à contempler le spectacle de la courroie de cuir qui
claquait méthodiquement sur les grosses fesses du puni. Madame Simone y allait
de toute sa science de la fessée pour faire une démonstration parfaite de son
talent. Les plaintes qui émanaient du
receveur et la rougeur de son postérieur en témoignaient.
«Cela me fait réfléchir dit
Madame Séverine, vos méthodes me plaisent beaucoup. Je me demande si je ne vais
pas instituer les châtiments corporels dans le règlement intérieur de l’Oiseau
en cage.
Car même si mes employés mâles
sont tous encagés, cela ne suffit pas à les discipliner complètement sur le plan
professionnel. Une bonne correction de temps en temps leur ferait le plus grand
bien.
« Ma chère Marie comme vous
avez raison. Je serai vous je n’hésiterai pas une seconde lui rétorqua Carole
Leroy ravie de cette déclaration. Il n’y a rien de tel que les châtiments
corporels pour discipliner les gens.
Un peu vexé par cette réponse
Madame Séverine ne dit rien mais n’en pensa pas moins :
(Et la chasteté prétentieuse, tu
en fais quoi ? Tu vas voir si je t’enferme dans une ceinture)
En même temps Madame Leroy
pensait intérieurement :
(De toutes façons ma cocotte, si
je te rachète ta boite, c’est le règlement de la SFID qui va s’appliquer. Et
encagés ou pas, homme ou femme, ils vont défiler en salle de correction tes
employés, ne serait-ce que pour les mettre au pli !)
Mais ne laissant rien voir de
leurs pensées secrètes, ces dames continuèrent la visite comme si de rien
n’était à la découverte de la
fabrication.
Les ateliers se succédaient les
uns après les autres et Georges avait l’impression de revenir en arrière
lorsque deux années plus tôt il intégrait la SFID et avait découvert la
fabrication des différents instruments (voir les épisodes précédents et en
particulier les premiers).
Madame Séverine était subjuguée
par les différentes techniques et matériaux mis en œuvre pour fabriquer
martinets et cravaches.
Et madame Leroy n’en finissait
pas d’expliquer l’origine des matières et la meilleure manière de les
transformer en instruments susceptibles de changer le comportement des personnes sur lesquelles ils seront mis en
œuvre.
Arrivée à l’atelier finition et
emballage, Madame Leroy avait réservée une surprise à son invitée.
Elle lui remit un magnifique
coffre en acajou contenant un assortiment des meilleurs instruments de la SFID.
Paddle, tawse double et triple, plusieurs martinets avec un nombre et une
qualité de lanières différentes et bien sûr un assortiment de superbes
cravaches et canes anglaises en rotin lustré.
Tout cela était présenté dans un
habillage rouge comme un écrin ou chaque pièce trouvait sa place dans un
ordonnancement spécialement étudié.
« Mais c’est magnifique ma
chère Carole ce cadeau que vous me faîtes. Je vais pouvoir tester tous cela dès
mon retour avec Philippe ou peut-être même avant si Nestor m’en donne
l’occasion.
Justement elle sorti sa
télécommande et appuya sur un bouton. 3 minutes après Nestor, comme un bon
chien bien dressé se présentait devant sa maîtresse.
« Nestor, je vous prie
d’emmener ce magnifique coffre dans la voiture et sans l’abîmer je vous prie
car sinon…
A ce propos venez ici que je vous
corrige pour votre tenue négligée. Ne voyez-vous pas que votre cravate est de
travers et votre veste mal boutonnée. Quittez là et baissez votre pantalon pour
que je vous punisse. Elle se saisit d’une belle tawse écossaise à 2 doigts dans
son nouveau coffre et attendit que Nestor ai baissée son pantalon et son
caleçon et se soit mis docilement en position mains aux chevilles.
Elle appliqua alors énergiquement
une quinzaine de coup de l’instrument sur les fesses déjà marquées par la
cravache d’équitation le matin même. Nestor serrait les dents mais ne laissait
échapper aucune plainte. Les ouvrières de l’atelier regardaient d’un œil
intéressée et goguenard cet homme avec sa cage de chasteté se faire fesser par
sa patronne. Elles n’arrêtaient toutefois pas de travailler pour ne pas risquer
à leur tour une fessée de leur responsable hiérarchique.
De belles bandes rouges de la
largeur du cuir venaient se superposer pour bientôt se fondre en une belle
couleur carmin.
Madame Séverine ayant fait
justice quand elle jugea la couleur uniforme, libéra Nestor de sa position et une fois
celui-ci réajusté, il saisit le coffre cadeau ou la tawse avait retrouvé sa
place pour l’emmener dans la Mercedes de sa patronne, maîtresse et épouse.
Madame Leroy, Madame Séverine et
Georges quittèrent l’atelier pour rejoindre le bureau présidentiel et commencer
à rentrer dans le vif du sujet.
Et là Madame Leroy avait préparé
une nouvelle surprise, et de taille mais pour Georges cette fois.
Georges après son retour de Lyon
avait fait son compte rendu de la visite à madame Séverine. Madame Leroy lui
avait alors dit d’organiser rapidement la venue de celle-ci à la SFID. Et de
préparer un dossier complet sur le marché de la chasteté, les produits
existants, les intervenants, la concurrence et sur la société L’oiseau en cage
objet de ses convoitise. Georges s’était attelé à ce travail avec intérêt
d’autant qu’il avait déjà pas mal d’élément ayant été à l’origine de l’idée de
diversification vers ce marché. Il était allé chercher des informations
supplémentaires et des renseignements sur la société de Madame Séverine. Il
avait remis son rapport trois jours avant la visite de celle-ci. Madame Leroy
l’avait évidemment lu afin d’avoir le maximum d’éléments sur sa cible. Car
c’est bien connu une femme averti en vaut deux !
Quand tous eurent pris place dans
le grand bureau de Madame Leroy celle-ci prit la parole.
« Mon cher Georges vous avez
fait du bon travail avec ce rapport assez complet sur le marché de la chasteté.
Le contenu est remarquable et va nous faire gagner du temps. Mais il y a un hic
qui m’a profondément énervée et que nous allons régler sur le champ comme
préambule à notre réunion.
J’ai compté pas moins de 88
fautes d’orthographe tout au long des 48 pages que compte votre rapport. Et
encore j’ai dû en louper. Ce qui fait quand même presque 2 fautes par page.
J’ai déjà eu l’occasion de vous faire remarquer la grande liberté que vous
prenez avec l’écriture de notre belle langue Française. Mais là vraiment je ne
peux pas laisser passer cela surtout devant Madame Séverine qui va penser quoi
des cadres de la SFID et de son Directeur Marketing et développement incapable
d’aligner 2 pages sans que celles-ci soient bourrées de fautes.
Je vais donc passer au acte et
vous punir pour votre négligence orthographique répétée et ce pas plus tard
qu’immédiatement. Madame Séverine pourra ainsi constater que le règlement de
discipline intérieur à notre société est appliqué sans faiblesse.
Vous serez donc fouetté au
martinet en cuir tressée et vous recevrez 100 coups pour vaut 88 fautes car
j’aime bien arrondir et cela vaudra pour toutes celles que je n’ai pas vu.
Depuis le début de la prise de
parole de Madame Leroy je m’attendais à tout mais pas à cela.
Fouetté devant Madame Séverine
pour des fautes d’orthographe, quel honte. Je piquais un phare tandis que
madame Leroy me regardait en bougeant ses doigts pour me signifier de me
préparer.
Il n’était en effet pas
concevable de contester les décisions de la Présidente au risque de voir le
châtiment s’allonger en durée et dureté.
Madame Séverine ne disait rien
attentive à ce que venait de dire Madame Leroy et dans l’attente de ce qui
allait se passer.
Je me levais donc et commençai à
quitter mon pantalon pensant dans ma grande innocence pouvoir au moins garder
ma chemise.
Madame Leroy vit bien dans ma
manière de faire que j’hésitai à me déshabiller complètement.
« Georges mettez-vous nu,
entièrement nu. Enfin presque car vous garderez quand même votre cage Alcatraz
dont seul Céline détient la clef.
Rouge de honte je m’exécutais et
nu comme un vers, tentant de cacher avec mes mains mon sexe encagé, j’allais
m’allonger sur le ventre sur le banc à fessée.
Madame Leroy ouvrit un des grands
tiroirs coulissants à instruments derrière elle et se saisit de
l’impressionnant martinet à lanières en cuir tressées, lanières qui faisaient à
elles seules soixante centimètres de longueur. Avec le manche recouvert de cuir
lui aussi, ce redoutable instrument de
couleur noir faisait près d’un mètre. Elle le déplia, caressa les longues
lanières et s’approcha du banc.
« Chère Marie, avant de
fouetter ce délinquant en orthographe je vais le sangler solidement. Car
voyez-vous, ce fouet a tendance à déclencher des réactions soudaines et je ne
voudrai pas que Georges chute du banc et se fasse mal. Car ce serait alors un
accident du travail et ce serait fâcheux pour mon entreprise.
Marie acquiesça d’un hochement de
tête complice car entre cheffe d’entreprise on comprend ces choses-là !
Ce faisant elle me sangla au
niveau des épaules, des reins, le bas
des cuisses et les chevilles. Ne pouvant plus bouger, je m’accrochais avec les mains au pied du
banc attendant le déluge qui allait me faire hurler.
La danse des lanières commença et si je me retenais au début dès le
dixième coup il fallait que j’extériorise le côté cinglant de cet instrument
sur mes fesses.
Madame Séverine avait fait pivoté
son fauteuil et regardais avec gourmandise Madame Leroy abattre les lanières
encore et encore, tandis que mes fesses se striaient affreusement du cuir
tressé qui les heurtait.
Au cinquantième coup Madame Leroy
fit une pause et proposa à Madame Séverine de prendre le relais. Celle-ci ne se
le fit pas dire deux fois et sauta sur l’occasion. Elle saisit le fouet et se
rua sur mes fesses pour les châtier avec une énergie toute neuve. Là je ne
pouvais plus retenir mes cris car mes fesses commençaient à cuire sous les
cinglades répétées.
Arrivées au centième coup je n’en
pouvais plus et me jurais d’apprendre le Bescherelle par cœur afin de ne plus
risquer une telle correction à l’avenir.
Après que Madame Leroy m’eut
détaché je me levais et allais me mettre au coin les mains sur la tête, les
fesses en feu dans le coin du bureau pendant que les deux femmes prenaient tranquillement
le thé en devisant sur les bienfaits de la discipline.
« Vous voyez chère Marie,
pour qu’une punition puisse être efficace il faut que les fesses s’en
souviennent. Et regardez celle de Georges, elles sont à point. Colorées et
boursouflées comme il faut.
Quand Céline ce soir va voir
qu’il s’est pris une correction ici, il risque bien d’en prendre une deuxième à
la maison surtout pour un motif comme les fautes d’orthographe. Céline qui a
été éduquée chez sœurs de Sainte Marie est très à cheval la dessus. Et elle a
bien raison.
Maintenant tournez-vous de notre
côté Georges que nous puissions admirer votre cage Alcatraz.
« Il la porte d’ailleurs
très bien ajouta Madame Séverine mettant en avant son produit. Mais il faut
absolument que Céline opte pour le modèle
à impulsion électrique et plug d’urètre. C’est tellement pratique. Ils
obéissent aux doigts et à l’œil avec un tel dispositif. Nos clients commencent
toujours par la cage classique et évoluent très vite vers le haut de gamme
quand l’épouse se rend compte du changement d’attitude de son homme et des
avantages qu’elle en retire. Le prix n’a alors plus d’importance. Pour nous
c’est tout bénéfice comme pour les couples utilisateurs.
Cette visite que j’avais moi-même
organisée tournait maintenant à mon net désavantage et après avoir été fouetté
devant les deux femmes, j’allais bientôt me retrouver comme un toutou en laisse
dans les mains de Céline.
Chasteté et châtiments corporels allaient devenir les 2 mamelles de la SFID.
J'ai l'impression qu'il nous manque un épisode. C'est d'autant plus ennuyeux que cette "série" est un véritable régal et que j'apprends plein des choses..
RépondreSupprimerFélicitations .
Serge
effectivement il manque un épisode précédent immédiatement celui ci.
RépondreSupprimerJosip devrait rectifier cela rapidement.
Merci en tous cas de l'intérêt que vous portez à mon écriture.
Georges
Auteur de la SFID