« Et toi, petite, Gaétane, petite demoiselle, Comme d’habitude, tu t’es laissé entraîner par les copines à faire les bêtises que les autres avaient inventées. Toujours aussi tête de linotte ! Tu as encore une fois oublié de réfléchir avant de suivre bêtement les copines dans leur désobéissance. Tu sais pourtant que Chloé ne loupe pas une bêtise quand il y en a une à faire. Et toi, comme d’habitude, tu fais comme elle !
– Oui Madame.
– Eh bien je vais t’aider à faire
preuve d’un peu plus de jugeotte !
– Ta Maman m’a dit que tu lui avais assuré que tu allais chez Chloé, cet après-midi, pour faire des devoirs ensemble. C’est bien ça ?
– Oui Madame.
– Et c’est ce que tu as
fait ?
– Non, Madame.
– Tu as donc menti à ta Maman,
n’est-ce pas ?
– Oui Madame !
– Et sais-tu ce qui arrive aux grandes filles qui racontent des mensonges pour couvrir leur désobéissances ?
– …
– Tu ne sais pas ? Je vais
te monter ! Comme Chloé, elles reçoivent une bonne fessée ! La même
fessée ! Après tout, vous avez désobéi, toutes les trois de la même
façon : un mensonge et une sortie sans autorisation ! Il est normal
que vous soyez punies de la même manière.
– Ah ! Non, Madame,
non !
– C’est pourtant ce dont tu as
besoin ! Viens ici !
– Non, Madame, non ! Qu’est-ce que vous faites ?
– Comme pour Chloé ! Je te
baisse la culotte ! C’est ce dont tu as grand besoin, comme ta
copine : une bonne fessée déculottée !
– Non, Madame, non, pardon !
Je ne le ferai plus ! Pardon !
– Dans cette maison, on est pardonnée,
mais seulement après expié sa faute. Et pour cela, il faut d’abord une bonne
fessée !
– Non, Madame, s'il vous
plait ! Je vais obéir… je vais obéir !
– Et il est important que tu te rappelles très longtemps que, même quand on a dix-neuf ans, une désobéissance te conduira tout droit à la fessée. Pour que tu t’en souviennes, je compte sur le souvenir de la cuisson de tes fesses, mais également sur la honte que j’espère que tu ressens, d’avoir été déculottée pour être punie en présence des copines. En général, ça fait réfléchir !
– Non, Madame, je vous en prie,
je vais être sage !
– Mais j’y compte bien ! Tu vas comment savoir, Comme Chloé, qu’à la prochaine incartade, tu te retrouveras de nouveau à plat ventre, la jupe retroussée et la culotte en bas des cuisses, à travers non seulement des genoux de ta Maman, mais également des miens, cela va t’aider à devenir une grande fille bien sage et bien obéissante !
– Pardon, Madame, aïe ! Je ne le ferai plus, aïe !
– Oui, oui, je sais. Cette fessée
va remettre tes idées en place, mais pour cela, il faut que tes fesses soient
un peu plus rouges qu’elles ne le sont actuellement. Si je m’arrête-là, j’ai
bien peur que tes promesses ne durent pas plus longtemps que la belle
coloration que je vais provoquer sur ton derrière !
– Je le promets, aïe !
Madame, aie ! Je ne le ferai plus, aie !
– Ou, eh bien moi, je vais
attendre un peu avant de croire que tes promesses soient sincères. En
attendant, je crois que poursuivre la fessée est tout indiqué !
– Aïe ! ça fait mal ! Aïe !
– Mais bien sûr, ma petite
colombe, c’est une fessée ! Il est prévu que tu la sentes passer ! Et
que tes fesses aient beaucoup de mal à absorber les claques que je vais te
donner. C’est à ce prix-là quelles seront efficaces !
– Aïe ! Non !
Aïe !
– Comment ça non ? Je
trouve, moi, au contraire, que c’est une excellente idée. Je suis sûre que t
vas bientôt en convenir ! Il faut juste que je persévère jusqu’à ce que
tes fesses soient brûlantes. Ça ne saurait tarder !
– Aïe, pardon ! Aïe, madame, pardon !
– Chloé ne m’avait jamais dit que
ta Maman te donnait aussi la fessée déculottée quand tu n’étais pas sage. Comme
Chloé qui ne m’avait jamais parlé de cela. Mais peut-être ne le savait-elle
pas ? Je suis bien contente d’avoir pu échanger avec elle. Elle utilise
les mêmes méthodes que moi quand tu es désobéissante.
– Aïe, Madame, aïe ! Je
serai sage, aïe !
– Si j’ai bien compris ce que ta
Maman m’a dit, une seule fessée n’y suffira pas. C’est le même problème qu’avec
Chloé, tu te crois sans doute assez grande pour n’en faire qu’à ta tête. Je
pense qu’une bonne fessée va te ramener à un peu plus d’humilité.
– Aie, Madame, oui Madame !
– Puisque, comme Chloé, tu te
comportes comme une gamine capricieuse qui a décidé de n’en faire qu’à sa tête,
je ne vois pas pourquoi tu ne serais pas punie de la même façon qu’elle. Compte
sur moi pour que tes fesses, à la fin de cette fessée, soient aussi écarlates que
celles de ma fille. Je n’arrêterai pas avant ! Je crois que non seulement
tu l’as méritée, mais de plus, tu en as grand beoin.
– Oui Madame, oui !
– Je suis ravie que tu sois d’accord !
– Non, Madame, non !
– Cette fessée n’est pas assez
sévère pour que tu te permettes encore de contester mes décisions ? Eh bien,
je crois que je peux encore faire un effort pour que tes fesses te cuisent un
peu plus.
– Aïe, pardon, aïe !
– Sans doute crois-tu que je vais
te demander ton avis ? Je suis désolée de devoir te décevoir, Mais ta Maman
et moi nous sommes mis d’accord pour que elle et moi ayons toute autorité pour
déculotter et fesser quand nous le jugerons nécessaire, non seulement notre
propre fille, mais également celle de l’autre. Attends-toi, quand tu viendras
voir Chloé et que vous ferez des bêtises, à ce que je vous administre à chacune
une bonne fessée déculotte.
Bonjour Josip,
RépondreSupprimerSuite de la fessée..." Attention ! Une vilaine fille peut en cacher une autre !". Eh oui, Super-Maman surgit, cape au vent ! Prête à fondre sur les vilaines filles désobéissantes.
Oui, le procédés pictural convient bien à la situation.
Amicalement. Peter.