L’annonce de la fessée de Makary D. fait l’effet d’une offense parmi les adultes. Ils s’aperçoivent qu’ils n’ont pas de statut particulier et que les punitions corporelles sont bien réelles. L’un des leurs va l’apprendre à ses dépens.
Mebrahtu A., le plus âgé des adultes va trouver Fabienne D. pour tenter de la faire changer d’avis. Pour Mebrahtu A., il n’est pas concevable qu’un adulte soit fessé comme un jeune.
Mebrahtu A. dit à la proviseure que la faute n’était pas si grave que ça, ce n’était qu’une main aux fesses pour une fille qui l’avait bien cherché ! Fabienne D. s’élève contre ce jugement hautement machiste et lui rétorque qu’il y a atteinte aux mœurs et ceci ne doit pas se produire ni dans l’établissement, ni dans un autre endroit, même si la tenue de Flavie laissait à désirer et d’ailleurs, elle a déjà été punie pour ça.
Mebrahtu A.
aurait souhaité la voir être punie devant les autres élèves, là, sa punition a
été trop douce, à son avis. Fabienne D. lui répond qu’elle est la victime et
qu’il valait mieux ne pas en rajouter.
Après trente
minutes passées dans le bureau de la proviseure, Mebrahtu A. se rend compte
qu’il ne la fera pas changer d’avis, car la punition est maintenue et Fabienne
D. lui a dit que s’il continuait à tenter de lui forcer la main, Makary D.
recevrait dix claques supplémentaires. Voyant qu’il n’aura pas gain de cause, Mebrahtu
A. est obligé d’abandonner sa tentative d’aide. Il en fait part aux autres
adultes, qui sont indignés, toutefois Margaret K., Rose P., Luang N. et Maria
B. sont déçues de ne pas être dans la même section que Makary D. Elles ne
pourront pas assister à sa correction, elles auraient bien aimé y être. Elles
ont des relations dans la section et demanderont à des copines comment ça s’est
passé.
De mon
côté, je croise Andreea A., la jeune femme que j’ai dénoncé lors d’un
cambriolage et surtout que j’ai fait tomber alors qu’elle tentait de fuir lors
de sa correction à la gendarmerie. Pour ça, Andreea A. m’en veut terriblement et
me le fait sentir. Elle est femme de ménage à Ste CROIX, poste occupé en
attendant que son mari sorte de prison.
Lorsqu’Andreea
A. et moi nous croisons dans les couloirs ou dans la cour de Ste CROIX, en plus
des regards noirs, elle m’insulte de temps en temps, ce qui me fait réagir, car
je ne veux pas me laisser faire ni qu’elle ait le dernier mot. Elle a fauté,
l’a payée et je ne vois aucune raison pour laquelle elle devrait se venger sur
moi.
Un matin,
alors que nous changeons de salle de cours, Andreea A., en train de laver le
sol d’un couloir, me met le balai en travers des pieds, ce qui me fait m’étaler
de tout mon long, faisant rire autant les élèves présents que mes copines.
Vexée que l’on se paie ma tête, je l’insulte en disant qu’elle l’a fait exprès,
ce qu’elle réfute, en argumentant que c’est de ma faute et que je suis passée
au mauvais moment, mais je n’en crois pas un mot, je sais qu’elle fera tout
pour me pourrir la vie. Et dire qu’il reste entre deux ans à passer dans cet
établissement, ça n’augure rien de bon pour la suite !
Je vais
quand même me plaindre auprès de la proviseure qui me dit qu’elle va prendre
les choses en main. Avec les dépositions de mes copines qui corroborent mes
dires, il sera facile d’avoir des preuves contre les agressions d’Andreea A.
En
sortant du bureau de la proviseure, je suis toute contente de moi, car avec ma
plainte, Andreea A. va surement ne plus chercher à me nuire. Le soir même, lorsque
je leur raconte ma mésaventure, mes parents me confortent dans l’idée que j’ai
eu raison de porter plainte et cette fille ne me cherchera plus querelles.
Ce
vendredi, vers midi, peu avant la pause déjeuner, nous entendons des cris, puis
des hurlements venant d’une salle, où manifestement un homme se fait corriger.
Aussitôt, nous pensons à Makary D. qui doit se faire fesser.
Nous
voyons des élèves, surtout des filles se précipiter vers l’endroit où les cris
sont émis et nous regardons par les fenêtre et effectivement, c’est bien Makary
D. qui se fait corriger. Celui-ci est le bas du corps nu, les mains levées et attachées
au mur et nous voyons alternativement Léa et Sœur Weronika S. le fesser à la
palette. De part et d’autre du puni, les deux fesseuses ne ménagent pas le puni
qui se contorsionne dans tous les sens. Comme il est de profil par rapport à
nous, nous voyons que Makary D. a une vigoureuse érection, le gland mis à nu.
Ses fesses sont déjà très rouges et les cinquante coups de palette sont loin
d’avoir été tous donnés. Nous devinons qu’il ne pourra plus s’assoir durant
plusieurs jours, ce qui devrait lui faire entendre raison, en ce qui concerne
les gestes déplacés vis-à-vis de ses camarades féminines. En tant que femme,
j’approuve totalement le verdict et la punition donnés par la proviseure.
Les coups
de palette sont assez sonores, immédiatement suivis par un cri ou un hurlement
déchirant. Bien évidemment, les filles qui regardent le spectacle sont surexcitées,
plusieurs se masturbent vigoureusement. Les culottes des élèves vont, encore
une fois, être mouillées... En regardant ce spectacle, mon entrecuisse n’est
pas plus sec que celui des autres filles.
L’infirmière
Laetitia F. vient de temps en temps examiner l’épiderme du puni qui commence à
virer au rouge vif. Peu compatissante, Laetitia F. dit aux deux punisseuses
qu’elles peuvent intensifier leurs coups, car sa chair peut encaisser plus. Léa
est ravie qu’on lui donne la permission et en prenant son élan, elle accentue
ses coups, ce qui fait ruer le puni qui ne s’arrête plus de hurler. Certains
hurlements sont même stridents, car sa limite de résistance est atteinte.
Au
cinquantième coup, les fesseuses cessent de le tourmenter et détachent Makary
D., qui s’affaisse à genoux et pleure comme un gamin en reniflant et en
gémissant. Ses fesses sont toutes vraiment très rouges et nous pensons qu’il a
compris la leçon.
La
proviseure ordonne à Makary D. de demander pardon à Flavie pour son geste
odieux. D’une voix chevrotante, tout rouge de honte, le puni dit :
« Je...je vous de...de...demande par...pardon,
Made...moiselle Flavie, je ne re...recommencerai plus, je vous le pro...promets »
L’infirmière
l’aide à se relever et l’emmène à l’infirmerie pour quelques soins. En sueur, Makary
D. marche cuisses écartées et en crabe, car la marche lui est devenue pénible.
C’est comme s’il s’était assis sur un poêle bouillant.
Léa, Laetitia
F. et Makary D., la tête basse, entrent à l’infirmerie. Flavie sort de la salle
de cours, ravie et lorsqu’elle court vers les toilettes, nous n’avons aucun
doute sur le fait qu’elle va terminer ce qu’elle a commencé à faire durant la
punition. D’ailleurs, elle n’est pas la seule à vouloir se soulager.
Lorsqu’enfin je peux entrer dans les toilettes, déjà à la limite de la
jouissance, je me soulage en laissant échapper des gémissements qui s’ajoutent
à ceux des files présentes dans les autres cabines. Soulagée, je me réajuste et
je sors des toilettes lorsqu’une fille plus jeune que moi s’engouffre dans la
cabine et n’a même pas le temps de fermer la porte, qu’aussitôt, elle jouit.
En
passant dans la cour, nous entendons des cris du côté de l’infirmerie et nous nous
doutons que les soins sont douloureux au vu de l’état des fesses du puni. Mais
nous ne le plaignons pas. C’est bien fait pour lui. Au moins, après ça, il
respectera les jeunes femmes.
Léa aide
l’infirmière pour étaler la crème sur les globes fessiers de Makary D., à
quatre pattes sur la table de soins. Chaque application de crème fait crier le
puni. Makary D. qui n’en peut plus, implore que les deux femmes soient plus
douces dans leurs soins.
Durant
ses soins, Léa n’hésite pas à déborder de la zone marquée et s’aventure à lui
masser le pénis. Surexcité par ces massages hors sujet, Makary D. éjacule de
plaisir, ce qui fait s’exclamer Laetitia F. qui lui dit que non seulement, il
va devoir nettoyer, mais qu’en plus, il restera le bas du corps à l’air pour le
restant de la journée. En principe, elle aurait dû lui faire porter un cache
sexe pour ne laisser que ses fesses à l’air, mais avec ce qu’il vient de faire,
il devra exhiber ses attributs masculins à tout le monde, avec interdiction de
se couvrir le gland. Makary D. tente de se disculper et de rejeter la faute sur
les massages de Léa qui répond qu’elle n’y est pour rien et que peut être que
ses mains ont débordé légèrement de la zone à enduire, mais sans plus. L’infirmière
dit :
« Puisque vous continuez à vous en prendre à
des femmes, à les accuser à tort, je vais vous faire passer cette envie »
Makary D.
dit :
« Mais non, je vous promets, elle m’a massé le
sexe ! C’est la vérité ! Croyez-moi ! »
Laetitia
F. va chercher une mixture à base de piment et de camphre, lui écarte les
fesses, lui ouvre l’anus et lui étale la crème. Makary D. grimace lorsqu’il
sent la pâte pénétrer et enduire son anus, puis lorsque l’effet se fait sentir,
Makary D. fait des bonds en hurlant, car la chaleur ressemble à une forte cuisson.
Laetitia F. et Léa sont hilares de le voir se tortiller et de sautiller comme
il le fait, ce qui le rend parfaitement ridicule. Son érection repart de plus
belle.
A bout
d’une vingtaine de minutes de sauts de cabri, épuisé, Makary D. se calme un
peu. Après une douche rafraichissante, Léa emmène fièrement Makary D., vêtu
uniquement d’une chemise et d’une veste, à travers la cour et les couloirs pour
rejoindre ses camarades en cours. Humilié, Makary D. se promet de se venger de
ce que ces deux femmes lui ont fait subir. Avant de rentrer en classe, Léa lui
tapote la croupe en disant :
« Avancez, vilain garçon ! »
Le bas du
corps encore en feu et nu, Makary D. réintègre sa salle de cours sous les rires
et réflexions des filles présentes. Tout rouge de honte, Makary D. est installé
au premier rang, debout face au professeur, car la position assise lui est insupportable.
Les spectateurs ont une vue directe sur ses fesses cramoisies. Flavie est aux
anges de voir son agresseur dans cet état et rouge de honte. Flavie tient sa
vengeance même si, elle aussi, en a payé les frais, d’ailleurs sa poitrine encore
zébrée de marques, lui fait toujours mal.
Le
professeur envoie Makary D., de temps en temps, au tableau pour faire un
exercice, ce qui le fait se retourner et être face aux élèves, qui se délectent
de le voir dans cette tenue indécente, le sexe toujours bien dressé. Le passage
au tableau est, pour Makary D. une torture, car il est ridiculisé devant tout
le monde, il perd ses moyens et ne répond à aucune question. Le professeur lui
dit :
« Vous, qui êtes d’habitude assez loquace,
je vous trouve muet, aujourd’hui... Auriez-vous perdu votre langue, Monsieur D.
? Et tentez de vous maitriser, car être en érection devant toute la classe est
choquant et grotesque. Vous n’êtes qu’un grossier personnage... Retournez à
votre place ! Vous avez bien mérité ce qui vous est arrivé ! »
Durant
les inter cours, Makary D. tente de se faire oublier, mais les filles de
l’établissement s’arrangent pour venir le reluquer et se moquer, augmentant son
humiliation.
En fin de
journée, la proviseure appelle Makary D. à son bureau et lui rend son pantalon
que Makary D. enfile avec mille précautions, car la cuisson due au frottement
du tissu sur ses fesses hyper sensibles est très intense. Après un ultime
sermon de la part de la proviseure et des excuses de la part de Makary D.,
celui-ci quitte l’établissement.
Les
prochaines semaines et mois promettent d’être compliqués pour Makary D., car
après s’être fait ridiculiser en public, sa fierté en a pris un sacré coup et
il va perdre de son arrogance.
Deux
élèves, Rose P. et Luang N., faisant parties des adultes récemment incorporés,
viennent trouver la proviseure, car il semblerait que bon nombre élèves
s’amusent à noter leurs camarades sur tout un tas de critères ( le physique, la garde-robe, les notes
obtenues, le niveau social, le nombre de punitions reçues, etc. ) et un
classement est réalisé, ce que les deux femmes trouvent parfaitement illégal,
révoltant et immoral. Pour elles, ça n’a rien à faire au sein d’une école typée
religieuse dont la réputation élitiste n’est plus à démontrer. Rose P. et Luang
N. s’en sont aperçu car elles ont trouvé un document le prouvant.
En effet,
Fabienne D. remercie Rose P. et Luang N. d’avoir porté à sa connaissance ces
pratiques condamnables. La proviseure promet une enquête approfondie de ces
pratiques et lorsque les coupables seront trouvés, ils seront jugés en conseil
de discipline et punis comme il se doit.
Fabienne
D. donne des recommandations à chaque professeur pour l’aider à démasquer les
coupables. L’enquête semble être compliquée, car il faudra prendre les
coupables en flagrant délit, afin d’éviter toute risque d’erreur.
La
situation entre Andreea A. et moi se dégrade rapidement, malgré ma plainte
déposée auprès de notre proviseure, car outre les insultes de chaque côté et
les provocations d’Andreea A. à mon égard, se rajoute des bousculades à
répétition.
Un matin,
alors que je rentre dans l’établissement avec mes amies Iourievna et Olga,
Andreea A., qui se trouve à l’entrée, m’invective car d’après elle, j’aurais
marché exprès dans les feuilles d’arbres qu’elle venait de ramasser et que je
les aurais éparpillées partout. Aussitôt, je démens formellement cette accusation
en lui disant qu’elle raconte n’importe quoi pour me dénigrer. Sans plus, je
pars et je rejoins ma salle de classe avec mes deux amies en maugréant contre
cette idiote.
A ma
sortie de cours, Léa me dit que je suis convoquée chez la proviseure, car
Andreea A. s’est plaint et Fabienne D. veut faire cesser ça une fois pour
toute.
En
colère, j’accompagne Léa chez la proviseure où je vois Andreea A. déjà présente
qui parle avec Marie P., notre secrétaire. La toisant d’un regard noir, nous ne
tardons pas à avoir des mots durs l’une envers l’autre et Andreea A. vient à me
bousculer. Ne voulant pas me laisser faire, je lui décoche une magistrale gifle
qui lui fait tourner la tête. Folle de rage, Andreea A. se jette sur moi et
nous nous empoignons comme des chiffonnières. Des coups de pieds succèdent au
coups de poings et nous expédient toutes les deux au sol, malgré le fait que
Léa et Marie P. tentent désespérément de faire arrêter ce pugilat et de nous
séparer. Les cris attirent des élèves, des professeurs et finalement c’est la
proviseure en personne qui vient pour stopper la bagarre.
A moitié
déshabillées par la bagarre, nous nous relevons en nous insultant et en disant
que c’est la faute de l’autre si ça a dégénéré comme ça. Fabienne D. dit qu’il
n’est pas admissible que des gens en viennent aux mains dans son établissement.
Si ça se sait à l’extérieur, la réputation de l’établissement en pâtira, et
elle ne laissera pas faire.
Andreea
A., Léa et moi pénétrons dans le bureau de Fabienne D. pour explications. Nous rajustons
nos vêtements pour être présentable. De façon très ironique, Fabienne D. nous
fait remarquer à toutes les deux que nous ne portons pas de soutien-gorge et
que ça devient un effet de mode envahissant... Elle ne peut pas nous forcer à
en porter, mais elle trouve ça fort inconvenant !
Dans le
bureau, Fabienne D. nous sermonne en disant que notre attitude belliqueuse est inexécutable
et qu’elle va nous convoquer en conseil de discipline, toutes les deux, pour la
bagarre. Une fois encore Andreea A. et moi rejetons la faute sur l’autre et la
proviseure est obligée de hausser le ton pour nous faire taire.
Andreea
A. et mes parents recevront une notification pour un passage en conseil de
discipline et il ne faudra attendre aucune clémence de la part du corps
enseignant. Fabienne D. me rappelle que c’est déjà pour mon manque de
discipline que mon dossier n’a pas été retenu à l’Université de TOULON et voilà
que je recommence à faire parler de moi en mal. Elle pensait que ce revers
m’aurait servi de leçon. Mais elle va remédier à ce fait et me fera rentrer
dans le rang, bon gré mal gré...
Une série écrite par Elena
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Bonjour, Elena. Et bonjour à tous.
RépondreSupprimerL'intérêt, entre autres, d'un long récit à épisodes comme le vôtre, c'est que, d'une part, il s'installe un climat général dans lequel on revient chaque fois baigner avec plaisir et, d'autre part, qu'il y a constamment des renvois et des rappels. Chaque personnage "traîne" avec lui les punitions qui lui ont été infligées, celles auxquelles il a assisté et surtout les contentieux qu'il ou elle peut avoir avec tel ou tel autre membre de la communauté scolaire. Comme ici Andreea avec Elena. Leur différend ne peut que prendre, au fil du temps, de plus en plus d'envergure. Avec toutes les conséquences que cela peut avoir. Sans doute en ira-t-il de même entre Makary D. et Flavie qui ne se ménageront pas et ne se laisseront rien passer.
Amicalement.
François
Bonjour François,
SupprimerExcellente analyse de mes écritures, comme d'hab. J'insère dans mes textes des bouts d'histoires qui sont des rappels des épisodes précédents et des introductions, un peu comme vous, cher partenaire.
Les conflits entre Lena et Andreea risquent de dégénérer si elles s'entêtent à être défiantes l'une envers l'autre. Il ne pourra rien en sortir de bon, de plus qu'Elena a déjà fait parlé d'elle lors d'une altercation avec Adilson, il y a quelques mois.
Amitiés.
Elena.
Amis de la poésie et de la fessée à la palette... Bonjour!
RépondreSupprimerImpitoyable Elena, dure dure sur les punitions. Il y en a un qui en sait quelque chose. L'ami Makary... ra bien, qui rira le dernier! ET ben lui ne rigole pas du tout. Après une sévère fessée à deux mains par Léa et Soeur Wéronika( les voix du seigneur sont impitoyables)le malheureux se fait tartiner le trou de balle avec une décoction maison qui ressemble à s'y méprendre au Dolpic. A Ste croix, tu portes la tienne tous les jours...
La vie ne fait pas de cadeau... Elena non plus, avec qui Andréa règle ses comptes par manche à balai interposé...ça déménage!
Force est de constater que le "...climat général"... évoqué par François-Fabien, s'installe dans une nette tendance au réchauffement... Notamment sur les postérieurs des membres de cette croquignolesque communauté en délire. Excitées par le spectacle des fessées, des demoiselles en plein réchauffement climatique sous la ceinture, finissent de s'astiquer "pudiquement" la pomme d'arrosoir dans les toilettes pour Dames.
Dans ce croisement original d'écriture entre Elena et François-Fabien amusant de constater la différence de style. Elena tout en narration descriptive, François à l'opposé en dialogues presque continus.
Etonning, not ? ( oui, je parle couramment anglais!)
Cordialement
Ramina
Bonjour Ramina,
SupprimerToujours des commentaires qui sentent bon les encouragements à se dépasser et le tout, en couleurs.
En effet, A Ste CROIX, une préparation maison de notre infirmière fait le même effet que le DOLPIC, car le camphre et le piment réunis fait une préparation assez particulière...
Vous savez, comme toujours, subtilement décortiquer et synthétiser les textes de façon drôle et envelopper le tout dans un beau papier cadeau...
A special thanks to you about these some english words. I'm very proud of you, dear Ramina. Carry on, you're on a success highway.
Merci pour ces beaux retours.
Amitiés.
Elena.
Bonsoir Elena,
SupprimerMerci pour votre remerciement...
Mais my plug !... Euh sory, je voulais dire: Mais my god!! No comprendo el English! Porque je ne l'ai jamais appris!! Eh oui c'est rare, je sais. Latin, Allemenand, Espagnol si vous voulez, mais pitié pas l'Anglais! Mis à part "hard ou good spanking " (rire)
Tant que j'y suis, j'ai envoyé aussi un commentaire sur "le journal d'Olga" de François Fabien" votre complice en écriture, mais il n'est toujours pas paru !
Y am very desespéred!
Amicalement.
Ramina
Sacré Ramina, toujours le même dans la dérision et le rire dans la paraphrase et de l'humour décalé.
SupprimerJe suis Franco-russo-anglophone. J'ai voulu faire un pied de nez à la langue de Shakespeare.
Cher Ramina, merci pour tous ces commentaires qui me font rire, même si ma journée n'a pas été joyeuse. Merci pour tout ça.
Amitiés.
Elena.
Bonjour Elena, François-Fabien et Ramina,
RépondreSupprimerJe suis la saga en spectateur muet. Rires.
Je m'aperçois que mes saynètes sont des pas de menuet en comparaison des récits concoctés par Elena. Rien que de les lire, on en est é-pou-van-té !!! Mais récits talentueux.
Question saynètes en VO, j'y réfléchirais mais travail d'écriture des dialogues assez compliqués en somme.
Amicalement. Peter.
Hi Peter,
SupprimerThanks for these comments. I'm very lucky to have some readers like you. Thanks very much for congratulations. These go straight in my heart.
Mes textes sont assez sévères, mais je mets un point d'honneur à ce que le physique de mes personnages ne soit jamais égratigné. Juste des traces rougeâtres et douloureux durant quelques jours et on passe à autre chose, pas de quoi faire appel aux services des droits de l'homme ou de la femme, d'ailleurs.
Les punitions de ces chers rebelles sont proportionnelles aux fautes commises. C'est aussi un des items que je mets en valeur en expliquant le contexte et les circonstances de la correction. Celles-ci n'arrivent jamais comme un cheveu sur la soupe ni sur la langue...
Dans mes textes, je tente de me mettre à la place de mes personnages pour imaginer comment je réagirai en pareilles circonstances, d'où peut-être votre sensation d'épouvante ?
Un grand merci à Josip de continuer de me publier sur le Blog.
Amitiés.
Elena.
Bonjour Elena,
RépondreSupprimerVous adoptez la démarche commune à tous les auteurs qui s'imaginent à la place de leurs personnages respectifs pour garder une certaine cohérence de leurs actions et situations. C'est logique. Chaque auteur est d'abord un metteur en scène. Comme au cinéma : "Silence sur le plateau ! Moteurs ! Action !". Merci pour votre talent.
Amicalement. Peter.
Bonjour et mille mercis, Peter de comprendre mon mode de fonctionnement et d'apprécier.
SupprimerAmitiés,
Elena.