En cette rentrée scolaire, nous accueillons à Ste CROIX des adultes, venus se perfectionner au métier de l’informatique. Les formations d’adultes sont financées par l’IFCIA ( Institut Formation Continue Informatique Adulte ) et comme l’IFCIA ne peut assurer tous les cours, Ste CROIX intègre des candidats adultes pour les mener jusqu’à un niveau diplômant ( BAC, BTS ou Mastères ).
En cette
rentrée de Septembre, les premiers adultes arrivent dans notre établissement,
presque tous d’origine étrangère. La proviseure Fabienne D. nous présente les
huit personnes qui seront en Mastère première année, comme nous :
- · Quatre femmes :
Margaret K. trente ans, Rose P. quarante-deux ans, Luang N. trente-quatre and et
Maria B. trente-deux ans,
- · Quatre hommes : Mebrahtu
A. quarante-neuf ans, Quon X. trente-trois ans, Makary D. quarante et un ans et
Crtomir P. quarante-trois,
Fabienne
D. nous demande de les aider à s’intégrer dans nos groupes. Ça nous fait tout
bizarre d’avoir des adultes qui pourraient être nos parents. Nous tentons de
faire bonne figure pour qu’ils n’aient pas à se plaindre de notre comportement
vis-à-vis d’eux, car nous savons ce que nous encourons en cas de désobéissance.
La
réputation de l’établissement quant à sa discipline intrigue les élèves adultes.
Ils nous demandent si les rumeurs qui circulent sont véridiques ou pure
invention. Léa, qui n’a pas sa langue dans sa poche, leur répond que la
directrice saura les faire rentrer dans le rang si le besoin s’en faisait
sentir... Rose P. réplique que compte tenu de leur âge, les adultes seront
surement épargnés, car les corrections corporelles sont faites pour les enfants
et les adolescents, pas pour les adultes de leur âge. Je leur dis que nulle
part dans le règlement intérieur il n’est écrit de pareilles choses et de plus,
une professeure et la secrétaire de la proviseure se sont fait fesser sévèrement
en public, il n’y a pas si longtemps que ça. Mebrahtu A. rétorque qu’il ne
croit pas à toutes ces inventions et que la proviseure n’osera pas s’en prendre
aux adultes, même s’ils ont signé la charte de l’établissement par contre, ils
seront ravis d’assister à des punitions et voir comment les élèves punis
gigotent en recevant leur correction. Nous trouvons ces adultes un brin
prétentieux. A la première incartade, on verra bien comment ils se
comporteront.
Au bout
de quelques semaines de cours, les adultes commencent à prendre les autres
élèves de haut, car ils se pensent au-dessus de la moyenne, ce qui ne nous
plait pas trop. Certains adultes ont des places assez élevées dans leur
entreprise et leur ego les fait d’être plus compétent qu’ils ne sont en
réalité.
Makary D.,
de nationalité polonaise, est le premier adulte à être convoqué chez la
proviseure, pour des gestes déplacés sur une élève qui s’est plaint d’avoir eu
une main aux fesses de sa part. La plaignante, Flavie, est mise en
confrontation avec Makary D. qui ne peut qu’avouer son geste discourtois, car
il a été vu par d’autres élèves et le conseil de discipline doit statuer sur
son cas. La proviseure, Fabienne D. est ferme, car il est hors de question que
les adultes fraichement incorporés dans l’établissement sèment la pagaille. Ils
sont considérés comme des élèves et n’ont aucun passe-droit particulier. Croire
le contraire en raison de leur âge ou de leur position sociale serait une grave
erreur.
Lors du
verdict, les membres du conseil votent tous coupable et la sanction tombe, ce
sera cinquante coup de palette à fessée, uniquement devant les élèves de sa
classe. Fabienne D. prend en compte le fait que l’attitude de Flavie étaient
des plus ambiguës, car plusieurs boutons de sa chemise étaient dégrafés et dans
la mesure où elle ne porte pas de soutien-gorge, ça pouvaient exciter les
garçons.
Fabienne
D. reproche la tenue non républicaine de Flavie et la condamne à recevoir vingt
coups de martinet sur les seins nus dans son bureau, en présence de la déléguée
de section Mastère Léa, de la secrétaire Marie P., du professeur principal
François F., de l’infirmière Laetitia F. et des deux religieuses, Mère
supérieure Jolanta O. et Sœur Weronika S.
Flavie
proteste vertement, car c’est elle la victime et elle se fait punir comme une
coupable. Sa tenue n’est pas osée et le fait qu’elle ne porte pas de
soutien-gorge ne fait pas outrage à la pudeur, car elle porte une veste sur sa
chemise et sa poitrine n’a jamais été visible. Dans le règlement intérieur, il
n’est fait mention nulle part de l’obligation du port de soutien-gorge. Fabienne
D. lui accorde ce point, mais Makary D. s’en est plaint et elle peut s’estimer
heureuse, car son agresseur va être corrigé pour ce qu’il lui a fait.
L’atmosphère
est pesant jusqu’au Vendredi midi, car Makary D. redoute sa première fessée
devant les élèves de sa classe tandis que Flavie appréhende, pour sa part sa
flagellation et le fait qu’elle ne sera pas seule au moment où elle va être
punie.
Makary D.
et Flavie sont dans la même section et ils ne se parlent plus, préférant ne pas
envenimer la situation. Seuls des regards noirs sont échangés de part et
d’autre.
Le Jeudi
suivant, vers dix-sept heures, au moment de la fin des cours, Léa va chercher
Flavie et lui dit qu’elle doit la suivre jusqu’au bureau de la proviseure, car
elle va se faire fouetter. D’abord réticente, Flavie fini par suivre Léa qui la
menace de dénoncer son refus de se soumettre. Léa lui annonce gaiment qu’elle
sera l’une des deux flagellatrices, la seconde qui officiera sera Mère
supérieure Jolanta O.
Durant
tout le trajet qui mène vers le bureau de Fabienne D., Léa ne cesse de tourmenter
Flavie sur la façon dont elle va la faire souffrir et lui dit qu’elle verra si
elle est courageuse ou pas puis après ça, elle devra se tenir tranquille au
lieu de jouer les allumeuses.
Pas
rassurée, Flavie entre dans le bureau, la tête basse et confuse de se retrouver
là à la place d’une accusée alors qu’elle est victime.
Après
avoir lu la synthèse du rapport du conseil de discipline, Fabienne D. lui
ordonne de retirer sa veste et sa chemise, ce qui Flavie fait en prenant tout
son temps, tentant de repousser tant qu’elle peut le moment de sa correction.
Torse nu devant tout le monde, Flavie se cache les seins par pudeur. Fabienne
D. lui dit que c’est inutile, car chacun va pouvoir admirer ses formes
généreuses dans quelques instants.
L’infirmière
Laetitia F. l’examine brièvement, soupesant et palpant minutieusement ses
seins. Cet examen en public humilie Flavie et chacun peut voir ses tétons se
dresser, faisant sourire l’assemblée, particulièrement François F., ravi de se
trouver là. Pendant l’examen, tout en jouant avec le long martinet de
correction, Léa dit à la cantonade qu’elle va lui faire passer l’envie de
recommencer. L’infirmière Laetitia F. ayant fini son examen signe
l’autorisation de correction. Flavie, apeurée, la supplie de revenir sur cette
autorisation, car elle va horriblement souffrir et ses seins vont lui faire mal
durant plusieurs jours. Fabienne D. lui dit que c’est le but, qu’elle se
rappelle bien pourquoi elle est ici.
Léa
attache les poignets de Flavie et lui lève les bras pour attacher la corde à
une poutre. Bras levés, Flavie ne pourra pas se protéger. Ses seins seront bien
offerts aux lanières. En l’attachant, Léa lui dit qu’elle va « chanter ».
Flavie ne réplique pas pour ne pas la provoquer, car elle va assez souffrir
comme ça.
Une
caméra est installée face à Flavie pour enregistrer la punition, en cas de
réclamation du rectorat, de la gendarmerie et de la famille de Flavie qui en
aura une copie, comme stipulé dans le règlement.
Les
premières cinglées s’abattent sur la poitrine de Flavie, la faisant crier. Ses
seins tressautent à chaque fouettée, ce qui rend la scène particulièrement
excitante. Chaque cinglée laisse de belles marques rouges sur le haut du corps
de Flavie. Sa poitrine est brulante et c’est comme si on avait posé des fers
chauffés au rouge sur sa chair. Les larmes coulent et Flavie ne tardent pas à
hurler à pleins poumons en disant qu’elle n’en peut plus et que c’est
insupportable ! Léa n’hésite pas à prendre de l’élan pour armer ses
cinglées afin d’augmenter la puissance. D’ailleurs les claquements secs et les
hurlements en attestent. Les fouettées reçues sur les aréoles et les tétons
sont à la limite du supportable pour Flavie qui s’agite, se secoue et saute
comme une possédée.
La fin de
la correction est accueillie avec soulagement de la part de Flavie, tremblante,
dont les larmes ruissellent sur ses joues. Lorsqu’elle est détachée, Flavie se
masse les seins bouillants. L’infirmière l’examine quelques instants et dit
qu’à part les traces rouges et la douleur, elle est en parfaite santé. Laetitia
F. ajoute même que cette flagellation a été bénéfique pour sa poitrine, car
elle a fait circulé le sang et ça la tonifiera.
Avec
délicatesse, Flavie enfile sa chemise et sa veste, elle grimaçant de douleur, car
le contact du tissu sur sa chair échauffée renforce la cuisson. Ayant transpiré
durant sa punition, des auréoles de sueur ornent sa chemise.
Fabienne
D. et Laetitia F. signent le PV de fin de punition et Flavie est libérée.
Prévenus par SMS, les parents de Flavie sont venus la chercher. Ils
s’entretiennent avec la proviseure sur les raisons de cette punition.
Comprenant, ils ramènent leur fille à la maison.
Flavie passe
la soirée torse nu et a du mal à s’endormir, tant la douleur est persistante.
Sa mère lui a fait des sacs de glace qu’elle place sur les seins de sa fille
pour l’apaiser. Cette technique pour la soulager ne dure que le temps ou les
sacs de glace sont sur la chair, car dès qu’ils sont retirés, la douleur
revient à la charge.
Le
lendemain, Flavie, les yeux rouges de fatigue, arrive à l’établissement avec la
tête des mauvais jours, car elle sait que sa mésaventure a été filmée et que
Léa ne se sera pas privée de diffuser un tas d’informations autour d’elle.
Lorsque Flavie arrive, Léa est en train de montrer le film pris lors de la
correction à ses copines et copains. En l’apercevant, Léa dit :
« Tiens ! voilà la chanteuse
l’opéra ! Madame gros seins a la chemise fermée jusqu’en haut, aujourd’hui ».
La
réflexion fait rire la majorité des gens présents. En effet, lorsque la douleur
était trop intense, Flavie hurlait de façon stridente en s’agitant, ce qui se
voit bien sur le film. Les garçons sont ravis de regarder le film.
Olga nous
dit que dans la mesure où Makary D. est dans sa section, elle pourra nous
raconter comment ça s’est passé et se sera surement autant excitant que de voir
Flavie se contorsionner sous les cinglées. Je suis déjà impatiente d’entendre
Olga nous raconter ça avec tous les détails croustillants.
Léa dit à
certaines d’entre nous que nous ferions bien de faire attention à notre tenue,
car comme nous ne portons pas de soutien-gorge, ce qui est arrivé à Flavie
pourrait bien nous « pendre au nez ». Iourievna lui répond qu’on fait
ce que l’on veut avec nos sous-vêtements, ça ne regarde que nous. Le principal,
c’est que ça ne se voit pas.
Laetitia
F. convoque Flavie à l’infirmerie pour l’examiner. Au moment où elle entre dans
la salle de soin, elle voit que Makary D. est présent, nu, pour son examen
médical, car vers midi, il sera fessé devant ses camarades de classe, dont
Flavie fait partie.
Lorsque Makary
D. voit Flavie entrer, il se cache le sexe par réflexe et l’infirmière lui dit
que Flavie verra son membre bien assez tôt, alors c’est inutile de faire le
pudique. Rouge de honte, Makary D. n’obtempère pas pour autant, protégeant son
intimité le plus longtemps possible.
Laetitia
F. demande à Flavie de retirer sa veste et sa chemise pour l’examen, mais
Flavie dit qu’elle ne veut pas montrer sa poitrine à cet individu ! Devant
ce refus, Laetitia F. se fâche et lui dit qu’elle va faire un rapport à la
proviseure et on verra si elle va jouer les saintes nitouches très
longtemps !
Mettant
sa pudeur de côté, elle ôte veste et chemise. Makary D. ne se gêne pas pour
reluquer ses gros seins encore très marqués de Flavie. Laetitia F. s’arrange
pour tourner Flavie face à Makary D. pour qu’il puisse profiter du spectacle. Laetitia
F. lui dit que dans la mesure où elle va voir l’intimité de Makary D., il est
normal qu’il y ait réciprocité. L’humiliation doit être dans les deux sens.
Lors de
l’examen mammaire, l’infirmière palpe bien partout, ce qui fait gémir, voir
crier Flavie. A la fin de l’examen, Flavie dit à l’infirmière qu’elle applique
bien ses consignes, c’est-à-dire l’application de sacs de glace sur les seins
pour résorber les boursouflures.
Rhabillée,
Flavie est prête à partir lorsque Laetitia F. lui dit de rester car elle va
assister à la préparation de Makary D. Etant donné qu’elle a été sa victime,
elle peut se rincer l’œil avec ce qui va suivre, ce qui fait réagir Makary D.,
pas du tout d’accord avec ça. Il dénonce une surenchère de sa punition. Flavie,
malgré la douleur, sourit de cet état de fait.
Laetitia
F. fait allonger Makary D. sur le ventre et lui examine les fesses et
l’entrejambes. A l’aide de bande épilatoire, elle retire tous les poils des
zones qui seront cinglées. Makary D. crie de douleur en sentant ses poils
s’arracher.
En
second, Makary D. est contraint de se retourner pour l’examen et l’épilation
complète du devant. L’infirmière examine attentivement le pénis du puni, examen
purement inutile, car seules ses fesses seront claquées. Devant deux femmes, Makary
D. ne peut réprimer une érection, qui fait rire les deux spectatrices. Laetitia
F. dit à Makary D. que lorsqu’il sera fessé, son érection n’en sera que
renforcée et que de temps en temps, certains garçons, en viennent même à
éjaculer. On verra quelles seront ses réactions. Makary D. promet qu’il restera digne et qu’il
ne se donnera pas en spectacle, comme les élèves plus jeunes que lui. Flavie
lui dit qu’à le voir crier lorsqu’on l’épile, on peut s’attendre à des jérémiades
de sa part lorsque la palette à fessée fera son œuvre.
L’infirmière
permet à Flavie d’épiler elle-même celui qui l’a offensé. Enchantée, Flavie se
munie des bandes de cire, lui applique et en tirant d’un grand coup sec, lui
arrache les poils du ventre, du pubis, des testicules et du haut des cuisses.
Les réactions de Makary D. sont vives et il ne se retient pas pour hurler en
lui disant qu’elle le fait exprès de le faire souffrir ! Il n’obtient
qu’un :
« Quel douillet celui-là ! Nous les
filles, on n’en fait pas tout un plat lorsqu’on s’épile ! ».
Lorsque
plus aucun poil n’orne le bas du corps de Makary D., Flavie sort de
l’infirmerie, le visage radieux, heureuse d’avoir pris une partie de sa
revanche sur Makary D.
De retour
en amphi, elle raconte à ses copine la séance qu’elle vient de vivre avec
l’infirmière. Dix minutes plus tard, c’est Makary D. qui entre dans l’amphi en
donnant le bulletin de l’infirmière pour justifier de son retard.
Durant un bref instant, le regard de Makary D. et celui de Flavie se croise, Makary D. devient rouge de honte et ce n’est rien à côté de ce qu’il va vivre vers midi..
Une série écrite par Elena
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Amis de la poésie et de la fessée républicaine, bonjour!
RépondreSupprimerBonjour Elena.
Et voilà, la rebellitude est de retour ! Nous voici de nouveau sur le chemin de Ste Croix ou le Ste croix chemin. C'est comme on veut, sauf que dans les deux cas, les corrections d'enfer sont pavées de bonnes intentions rédemptrices.
Nos valeureux stagiaires en Formation Informatique découvrent les plaisirs de la fessée systématique.
Après l'IFCIA, la OCDS, Opération Correction Double Sévice. Une main aux fesses à cause d'un chemisier mal fermé sur une poitrine, en liberté inconditionnelle, sans soutien gorge républicain, pas de jaloux! C'est la raclée pour les deux responsables. Le débat est ouvert, comme le chemisier de Flavie qui a tout de même le droit de se balader sans sous tif! Sans blague !
Après le scandale des nombrils indécents ( ?) Notre amie Elena nous en remet une couche... de tenue républicaine. Elle colle à l'actualité comme le martinet aux tétons de Flavie, qui a de quoi regretter d'être allé protester à cause d'une poignée de main insistante au derrière. Vraiment pas de quoi se plaindre alors que, c'est bien connu, les cinglées de lanières sont bénéfiques pour la poitrine.
Ah la, la, on ne sait plus comment se déshabiller maintenant! La tenue républicaine c'était pourtant les "Sans Culotte" sous la révolution ? Oui mais maintenant c'est pas pareil, c'est la re-bell-i-tude qu'on vous dit! On n'a pas une vie facile ma pov'Dame!
Cordialement
Ramina
Bonjour cher Ramina.
RépondreSupprimerVos commentaires toujours pleins d'humour me manquaient. Vous avez remarquez que mes textes collent toujours de près ou de loin à l'actualité ou à des idées de textes déjà parus. Je pioche mes idées dans ce que je vis, je vois, je lis.
C'est clair, nos personnages n'ont pas une vie facile...
Amitiés.
Elena.
Bonjour Elena. Et bonjour à tous.
RépondreSupprimerIls sont bien sûrs d'eux, ces adultes! Mais pas de raison qu'ils bénéficient d'un traitement de faveur. Bien au contraire! Plus on avance en âge et plus on devrait avoir une conduite exemplaire. Et plus, par conséquent, les punitions vont être mortifiantes pour ceux qui les reçoivent. Dans la perspective, bien entendu, qu'ils en prennent de la graine et qu'ils modifient leur comportement.
Salutaires corrections!
Amicalement.
François