La rencontre
J’étais remonté de Lyon satisfait
et heureux. Madame Leroy allait être contente de ce que j’allais lui raconté.
J’avais défini une stratégie de diversification, j’avais identifié une
entreprise cible et cette entreprise était prête à se marier avec nous.
Madame Séverine était charmante, son entreprise une pépite et en plus elle était fan des produits de la SFID. Bingo sur toute la ligne.
En arrivant à la maison Céline me
fit passer par la case salle de bain pour inspecter ma cage. Elle me libéra
quelques minutes le temps que je fasse une toilette plus poussée de mon sexe et
de ma cage et que je mette un peu de lait corporel pour le bien être de ma
verge.
Mais après que j’eu remis en
place ma prison, elle referma le cadenas d’un claquement sec en me disant que
maintenant j’allais devoir m’occuper d’elle. Et qu’en fonction des résultats
j’aurai peut-être droit à une jouissance le week end prochain. Docile je
m’exécutais et m’agenouillai pour positionner ma tête sous la petite
chatte de Céline.
Celle-ci était fraichement épilée
et c’était ma foi un vrai plaisir de sentir son petit bouton se gonfler sous
les assauts de ma langue. Je sentais ma verge gonflé comprimé dans sa cage mais
le nez enfouie dans Céline et la langue occupée je l’oubliais, fort concentré
sur le plaisir de Céline. Céline avait due pas mal fantasmé pendant mon absence
car elle ne tarda pas à haleter puis à crier tandis que sa cyprine coulait sur
ses lèvres et sur ma langue.
J’avais fait un grand pas pour
obtenir moi-même le droit de jouir dans 2 jours. C’est cela la chasteté
masculine, il faut mériter et pour l’homme c’est quand Madame veut et comme
Madame veut. Je ne décidais plus rien car Céline avait pris le pouvoir et
détenait la clef.
Le lendemain matin j’allais voir
Madame Leroy pour lui faire mon compte rendu de l’entretien avec Madame
Séverine à L’oiseau en cage. Une fois mon récit terminé celle-ci me félicita et
me dit son impatience à rencontrer Madame Séverine.
Je lui proposais dans un premier
temps de l’inviter à la SFID pour faire plus ample connaissance et voir les
modalités d’un futur rapprochement. Nous fixâmes une date et je fus chargé d’inviter
madame Séverine à venir nous visiter.
Madame Leroy les recevrait à dormir dans sa propre maison et réservation fut prise
à la table étoilé de la région à quelques kilomètres de l’usine. Madame Leroy
voulais recevoir ses hôtes le mieux possible pour réunir toutes les conditions
favorables à ce futur rachat.
Le jour convenu Madame Séverine arriva en fin
de matinée dans une berline Mercedes rutilant conduite par son mari qui lui
servait de chauffeur. Celui-ci était employé par l’oiseau en cage au service
exclusif de son épouse comme nous l’avait expliqué madame Séverine.
Elle se rendit directement chez
Madame Leroy ou elle fut accueillie dans
le parc par Gisèle la bonne. Madame Leroy sorti sur le perron pour saluer son
hôte de marque. Elle descendit les marches, ce qui était chez elle un signe de
bienvenue manifeste, tandis que le chauffeur ouvrait respectueusement la porte
de la voiture à madame Séverine assise à l’arrière.
Celle-ci s’adressa alors à Madame
Leroy en lui prenant les deux mains :
« Chère madame Leroy je suis
ravi de faire votre connaissance. Vous avez une propriété magnifique. Nestor
va sortir mes bagages pour les
transporter dans ma chambre. Nestor c’est mon mari et mon chauffeur. En réalité
il s’appelle Philippe mais je préfère l’appeler Nestor comme le domestique dans
Tintin. Amusant non. Il adore gouter à vos instruments vous savez. Et Dieu si
il en a eu l’occasion souvent. D’ailleurs il a mérité une bonne correction pour
n’avoir pas respecté les limitations de vitesse. Si vous le permettez je le
corrigerai plus tard. Je n’ai pas emmené avec moi mes instruments habituels, me
disant que je pourrai les renouveler en venant chez vous. »
On ne pouvait rêver meilleure
entrée en matière. Madame Leroy lui répondit aussitôt :
« Chère Madame Séverine,
vous ne pouvez pas savoir le plaisir que vous me faîtes en venant nous visiter.
C’est pour moi un grand honneur de recevoir la Présidente de l’oiseau en cage,
le meilleur de la chasteté. Et je vois que nous avons les mêmes valeurs de
discipline vis-à-vis de nos gens ce qui ne peut que me contenter.
Ces présentations faîtes, les
deux femmes montèrent le perron côte à côte en continuant d’échanger poliment
sur la région, la météo et d’autres choses de moindre importance.
Nestor ouvrit le coffre pour prendre les deux
valises de Madame Séverine et monta le perron à la suite des deux femmes tandis
que Gisèle rejoignait prestement sa cuisine ayant le déjeuner à servir
bientôt.
Madame Leroy emmena Madame
Séverine directement au premier pour lui ouvrir la chambre d’amis. Celle-ci
avait été préparée par Gisèle, briqué et frotté dans les moindres recoins afin
d’éviter d’éventuels reproches de sa patronne ce qui lui aurait valu une
sanction immédiate. Madame Leroy inspectait de son œil aigu la chambre tout en
bavardant avec Madame Séverine. Elle cherchait visiblement quelque chose des
yeux qu’elle ne trouvait pas. Contrarié elle appuya sur le bouton de la
sonnette de la chambre qui permettait de sonner les domestiques. Dans la
cuisine Gisèle vit s’allumer la lampe correspondant à la chambre d’amis et sut
que sa patronne la sonnait. Immédiatement elle abandonna ses casseroles pour se
précipiter dans l’escalier et aller voir ce que Madame Leroy lui voulait.
« Gisèle ce matin je suis
allé spécialement au village acheter un beau bouquet que je vous avais demandé
de mettre en vase pour le placer dans cette chambre. Ou est ’il ? demanda
t’elle d’une voix sèche.
Gisèle lui répondit d’une voix
blanche. « Dans la cuisine madame, je l’ai oublié.
« Allez le chercher
immédiatement et remontez avec le martinet. Je vais vous apprendre à ne pas
oublier les choses.
Pendant ce temps Nestor posait
les valises et attendait les ordres.
«Vous pouvez disposer Nestor dit
alors Madame Séverine. Celui-ci ne se le fit pas dire deux fois et tourna les
talons.
« Il m’accompagne dans tous
mes déplacements expliqua madame Séverine. Il dort dans la voiture et mange
avec les domestiques. Il porte en permanence une cage avec plug d’urètre. C’est
très pratique, cela évite qu’il mette de l’urine partout au toilette,
Amusant non ?
Madame Leroy rit poliment à cette
remarque et répondit :
Il faudra que vous m’expliquiez
toutes ces choses sur la chasteté chère Madame, car je n’y connais rien. Mon
pauvre mari est mort il y a déjà quelques années et cette façon de faire était
peu répandu. Mais je crois qu’aujourd’hui de plus en plus de couple s’équipe. Enfin
ce sont surtout les hommes qui sont équipés par leurs femmes. Car nous n’avons
pas besoin de cela nous les femmes pour savoir ce qui est bon ou pas bon pour
nous. Par contre les hommes sont souvent guidés par leur engin qui leur sert de
cerveau. Les mettre encage ne peut qu’être une bonne chose pour eux. En plus de
la discipline domestique bien évidemment. A ce sujet donnez-moi ce martinet
Gisèle et allez-vous mettre à genoux sur le fauteuil.
Gisèle entre temps était remontée
avec les fleurs et le martinet aux longues lanières fauves que saisit Madame
Leroy. Gisèle installée sur le fauteuil elle lui remonta sa robe sur le dos et
descendis son panty sur ses chevilles.
« Allez vilaine fille , je
vais vous corriger pour votre étourderie.
Levant son martinet elle abattit
les lanières sur les fesses serrées de peur de Gisèle qui commençait à geindre.
Au bout d’une trentaine de coup
qui avait fait passer les fesses de Gisèle du blanc au rouge vif avec de belles
traces de lanières sur le côté des cuisses, Gisèle criait et suppliait.
« Taisez-vous
étourdie ! je suis obligé de vous corriger plusieurs fois par semaine pour
votre mauvais travail. Bientôt je passerai à des instruments plus sévères si je
ne constate pas d’amélioration.
Se tournant alors vers Madame
Séverine elle lui tendit le fouet en lui disant :
« Allez-y, prenez ma suite
car elle me fatigue cette gourgandine. Et frappez fort car elle a la peau dure.
Ne se laissant pas dire deux
fois, madame Séverine saisit le fouet avec gourmandise et montra son savoir-faire
sur les fesses de Gisèle qui passèrent du rouge vif au cramoisie après une
nouvelle série de 30 coups.
Madame Séverine remit le martinet
à Madame Leroy qui lui dit :
« Félicitations chère
Madame, je n’aurai pas fait mieux. On voit que vous avez une grande habitude du
maniement de nos instruments.
Rosissant de plaisir sous le
compliment, Madame Séverine lui répondit :
« Oui je les utilise depuis
notre mariage avec Philippe, enfin Nestor. Je suis pour une discipline
conjugale stricte ou le moindre écart doit être sévèrement puni. Philippe est
corrigé plusieurs fois par semaine car sa conduite laisse à désirer.
A propos de conduite il faut que
le punisse pour ses excès de vitesse.
« Je vais vous montrer mon
fauteuil à fesser conçu spécialement pour moi par un fabricant de fauteuil de
dentiste. Il est motorisé et sa forme et ses positions sont spécialement
adaptées à la fessée, Dit fièrement madame Leroy.
Les deux femmes descendirent
l’escalier pour rejoindre le salon de correction ou se trouvait le fauteuil à
fessée ainsi qu’un mur entier des instruments de fessée de la SFID. Madame
Séverine n’en revenait pas.
Sur ces entrefaites Georges et
Céline qui avaient été invités au déjeuner par Madame Leroy étaient arrivés.
Après avoir salué Madame Séverine, Georges lui présenta Céline un peu intimidé
par cette belle femme.
« Je vous félicite Céline
lui dit ‘elle aussitôt. Je sais que vous avez fait le choix de la chasteté
masculine pour Georges, ce qui est une excellente chose pour lui et surtout
pour vous. Je ne peux qu’encourager, vous vous en doutez, les couples qui
choisissent ce mode de vie pour leur bonne santé physique et mental à tous les
deux.
Après ces paroles qui firent
rosir de plaisir Céline et moi plutôt rougir de honte, tout le monde se retrouva dans le salon de
fessée ou Madame Leroy fit servir le champagne.
Madame Séverine ne quittait pas
le fauteuil à fesser des yeux subjuguée par cet objet qui la fascinait.
« Pourrais-je corriger
Nestor sur ce fauteuil demanda Madame Séverine ?
« Mais bien sûr chère
Madame, il est fait pour cela. Beaucoup de puni y sont passé dit ’elle en me
regardant dans les yeux. Voulez-vous que je demande à Gisèle d’aller chercher
Nestor.
« Ce n’est pas nécessaire
Chère madame, j’ai ma propre sonnette. Nestor est équipé d’une cage à impulsion
électrique. Il suffit que j’appuie sur le bouton de cette télécommande et il va
arriver. S’il ne vient pas assez vite je renvoie une impulsion plus forte et croyez-moi
il passe la vitesse supérieure.
Madame Séverine n’était pas fâchée
d’en boucher un coin quant à ses cages de chasteté face au fauteuil à fesser de
Madame Leroy.
Une minute après, Nestor frappait
à la porte du salon.
Madame Séverine lui demanda de se
déshabiller et de s’allonger sur le
fauteuil en position ventrale. Ce qu’il fit soumit de longue date qu’il était.
Nous pûmes tous admirer la cage
en acier brillant qu’il portait avec le bouchon d’urètre au bout. Céline
semblait très intéressée par ce modèle.
Une fois Nestor en place et bien
sanglée, Madame Leroy montra à Madame Séverine comment régler le fauteuil,
l’amener à la bonne hauteur, l’incliner de façon optimale afin que les fesses
du puni soient bien présentées à l’instrument. Elle alluma le projecteur situé au-dessus
pour éclairer les fesses de Nestor. Celles-ci présentaient encore les marques
atténuées d’une précédente fessée.
Madame Séverine se déplaça alors
devant le mur d’instruments pour en faire le tour. Au bout de quelques minutes
elle se saisit d’une longue et fine cravache noire de dressage qu’elle caressa
avant de la faire siffler dans l’air plusieurs fois.
Elle revint se positionner
derrière le fauteuil et déclara :
« Vous avez une superbe
collection d’instrument, c’est remarquable, je le savais mais les voir c’est
impressionnant. Vous allez maintenant assister à la correction de Nestor pour
avoir dépassé la limitation de vitesse. Pour les fautes de conduite en voiture
j’utile toujours la cravache car cet instrument est relié à l’équitation. Et
quand on parle de puissance des voitures, ne parle-t-on pas de chevaux ?
Nestor a dépassé de plus de 30 Km/h la vitesse sur l’autoroute comme j’ai pu le
constater. Il aura donc 30 coups de cravache.
Ce faisant elle commença à
cingler les fesses de son chauffeur de mari et elle n’y allait pas de main
morte. La cravache était plutôt fine mais de ce fait très cinglante et Nestor
même bien sanglée devait ressentir la douleur coupante de l’instrument car il
gigotait.
Les trente coups appliqués on pouvait
presque compter les fines rayures alignées sur les fesses qui commençaient déjà
à bleuir.
Nous étions tous impressionnés
par cette maîtrise parfaite de l’instrument. Alors que Nestor récupérait
toujours attaché, Madame Séverine complimentait Madame Leroy sur son fauteuil.
Elle en voulait un identique.
« Pas de problème chère
Madame, j’en ai déjà vendu à certain très bon client et je me ferai un plaisir
de vous le faire réaliser.
Puis Céline lui demanda des
explications sur la cage avec plug d’urètre et électrostimulation. Elle
trouvait cela formidable, moi pas mais je n’allais pas y couper. Céline allait
m’équiper avec le must des cages de chasteté.
Mais pourquoi avais-je eu cette
idée de diversification ?
Amis de la poésie et des fessées comme dans un fauteuil... Bonjour.
RépondreSupprimerGeorges bonjour, aussi!
Oula la... la tension monte à la SFID, à l'inverse de la bistrouquette à Nestor, coincée derrière les barreaux! Entre le fauteuil à fesser orientable pour une bonne présentation des fesses aux instruments, et la cage à oiseaux à tête chercheuse et impulsion électrique, ces messieurs ont intérêt à se tenir à carreau! L'Enfermement psychiatrique, non, l'emprisonnement de la trique... oui ! Euh, bon, un peu raide comme formule... Je vous le concède...
C'est qu'elles s'amusent comme des petites folles, les Madame Leroy et Madame Séverine! Echanges d'arguments frappants, sur les fesses de Gisèle et du mari de madame qui a trop appuyé sur le champignon. Son champignon à lui c'est le bouchon à Urètre... Dur dur, ou plutôt mou mou... Au prêteur sur cage, les bijoux de famille!
"Ouvrez , ouvrez la cage aux oiseaux" chantait Pierre Perret.
De toute évidence, ce n'est pas au programme des privés de réjouissances.
Episode bien délirant, ou nos maîtresses femmes préférées, sévères comme on les aime, rivalisent d'imagination pour affirmer leur pouvoir sur la gens masculine à grands coups d'électrostimulation sur l'asperge... Merci la fée électricité, on n'arrête pas le progrès !
Cordialement
Ramina