Le rachat
Suite à la réunion stratégique ou
j’avais présenté à madame Leroy le projet cage de chasteté comme moyen de
diversification pour la SFID, je m’attelais maintenant à trouver la bonne
entreprise fabricant ce type de produit à racheter.
Madame Leroy m’avait mis la pression et je devais agir vite sous peine de la décevoir. Et la déception de Madame Leroy se payait de manière cinglante et douloureuse sur les fesses nues. J’avais déjà eu à moultes reprises l’occasion d’en faire l’expérience.
Aussi j’essayais d’abord de
comprendre le marché. Je fus surpris par le nombre de site proposant ces
produits. En fait il s’agissait la plupart du temps de distributeur qui
proposait les mêmes produits.
Il existe plusieurs matières pour
faire des cages : le plastique ou ABS, le métal et depuis peu le silicone.
La reine des cages reste en métal car très esthétique et représentative d’une
cage. De plus l’acier chirurgicale utilisé garantie une facilité d’utilisation,
de lavage et donc d’hygiène pour un port de longue durée. La plupart des cages
vendues viennent de Chine mais le haut de gamme est fabriqué en France par de
petites entreprises de passionné. J’en repérais une recommandé par de nombreux
utilisateurs. Cette entreprise se situait dans la banlieue lyonnaise, était
assez ancienne et fabriquait au départ des instruments chirurgicaux
précisément.
Depuis une dizaine d’année
l’entreprise s’était spécialisée sur les cages de chasteté métalliques qu’elle
fabriquait elle-même. Elle complétait sa gamme par des cages en ABS et silicone
qu’elle achetait pour les revendre. Cette entreprise dirigé par une femme
Madame Séverine, semblait bien marcher. Fort de ma mission je me dis qu’il
fallait que j’approche cette entreprise et en particulier sa dirigeante afin de
savoir si elle pouvait être la cible que nous cherchions, à savoir un fabricant
de cage de chasteté à racheter. Pour bien mettre tous les atouts de mon côté je
commençais par commander les différentes références proposées par cette
société. Ceci afin de les essayer pour parler en toute connaissance de cause de
ses produits à sa Présidente que je me proposais de rencontrer le moment venu.
J’avais en effet été mis en cage
par Céline dès l’instant ou je lui avais expliqué mon idée de diversification
par la chasteté (surtout masculine il faut bien le dire). J’avais acheté sur
internet une cage en ABS pour voir de quoi il s’agissait avant d’en parler à
Madame Leroy. A peine reçu Céline me l’enfilait, la verrouillait et empochait
la clef. J’étais pris à mon propre piège et complètement dépendant de Céline
pour ma chasteté. Déjà soumis à un régime stricte de discipline conjugale,
j’étais maintenant enfermé dans une cage dont Céline détenait la clef.
Depuis et cela faisait maintenant
3 semaines, j’étais encagé en permanence. Je prenais ma douche avec la cage ce
qui ne posait pas de problème particulier au niveau hygiène bien au contraire.
Céline m’avait libéré il y a deux semaines un samedi matin pour un quart
d’heure de toilette intime. C’était la première fois que je touchai mon pénis tous juste sorti de sa cage je ne
pus m’empêcher de stopper une éjaculation aussi soudaine qu’inattendue,
probablement due à l’enfermement dont je n’avais pas l’habitude. Céline qui
surveillait l’opération la cage à la main derrière moi vit mon sperme jaillir.
Elle rentra dans une furie noire, m’attrapa par l’oreille et me tirant nu et mouillé,
me monta en salle de correction illico presto. Elle attrapa le grand martinet
et me fouetta tous le corps avec toute l’énergie que sa colère amplifiait.
« Ha c’est bien cela les
hommes, tous pareil ! Incapable de vous contrôler. On vous laisse 2
minutes libre et vous en profitez pour vous branler. Je vais te faite passer
l’envie de te palucher sans ma permission. Tu vas voir ce que tu vas voir. C’est
fini ce temps-là, maintenant tu dois avoir ma permission. Tu vas voir ce qu’il
en coute de s’en passer. Et les lanières frappaient, et les lanières cinglaient
aussi bien le dos que les cuisses, que les fesses. Certaines s’égaraient sur ma
verge et je hurlais en larmoyant :
« Arrête Céline, arrête s’il
te plaît, je ne l’ai pas fait exprès, c’est parti tout seul ! »
Au bout de 10 minutes de cette
flagellation intense, mon corps nu était couvert de zébrures.
Céline me lâcha enfin épuisé par
l’effort qu’elle venait de produite en me fouettant comme une damné.
Elle me remit la cage en place,
la verrouilla, remis la clef autour de son cou et me prévins : « tu
n’es pas prêt d’en sortir après ce coup-là »
Et effectivement je n’en suis pas
sorti depuis. Après elle s’est procuré à la SFID un mini martinet de pénis avec
lanière en latex. Elle m’a promis de me fouetter la verge jusqu’au sang avec si
elle me voyait me toucher le sexe. J’évitais donc soigneusement le contact avec
mon sexe afin de ne pas risquer une punition certainement très douloureuse.
Ces nouvelles cages que j’avais
commandées auprès de « l’oiseau en cage », nom de l’entreprise
que j’avais repéré me permettrait d’en sortir le temps de changer de prison
pour les essayer toutes.
Et effectivement je pus toutes
les essayer sous la supervision et le contrôle de Céline.
Maintenant que Céline m’avait
enfermée, je devais m’occuper d’elle le soir exclusivement. La caresser,
l’embrasser, la lécher, lui faire des cunnilingus jusqu’à la faire jouir, elle
au-dessus de moi.
Pour moi c’était extrêmement
douloureux au début car je ne pouvais empêcher le sang d’affluer dans ma verge
comprimé dans sa cage. Et puis comme toute chose on s’habitue et je prenais
maintenant un certain plaisir à sentir Céline couler sur ma bouche et gémir de
plaisir au-dessus de moi. Un soir ou elle n’arrivait pas à jouir sur ma bouche
et énervé par cette situation elle m’accusa d’y mettre de la mauvaise volonté.
Aussitôt dit elle m’entraina en salle de punition et m’appliqua cinquante sévères
coups de canne pour me punir de ne pas l’avoir fait jouir. J’en ai gardé les
marques une semaine. Je peux vous dire que maintenant je m’applique plutôt deux
fois qu’une et que c’est une délivrance quand je l’entends crier son plaisir.
Pour me récompenser l’autre jour, elle m’a exceptionnellement délivré et m’a
branlé jusqu’à l’éjaculation qui est venu assez vite. Mais j’éjaculais presque
douloureusement tellement je n’avais plus l’habitude. C’est la seule fois avec
l’épisode de la douche ou j’ai joui en 4 semaines d’emprisonnement.
J’étais passé maintenant sur une
cage métallique dénommé alcatraz du nom de la célèbre prison américaine. Cette
cage était lourde et ses barreaux donnaient vraiment l’impression d’un
emprisonnement du pénis.
Il était temps que je passe
maintenant à l’approche de « l’oiseau en cage » et de sa présidente.
Renseignement pris c’était une femme de 55 ans, marié, sans enfant qui avait
pris la suite de son père maintenant décédé dans cette entreprise familiale.
Madame Séverine avait changé l’activité de l’entreprise passant des outils de
chirurgie au cage de chasteté. Pourquoi, elle me l’expliquerait surement
elle-même.
Je pris mon téléphone pour la
contacter afin d’essayer d’obtenir un rendez-vous.
Je dû faire un peu de forcing
auprès du secrétariat pour avoir accès à elle directement.
Lorsque je pu enfin lui parler je
me présentais comme missionné par la Présidente de la SFID pour venir la
rencontrer. Au nom de SFID, le ton hautain et méfiant du début de notre
conversation se transforma en propos amicaux : « la SFID, mais cher
Monsieur je connais vos instruments depuis longtemps. Je m’en sers presque
quotidiennement dans ma maison. Ce sont d’excellents produits qui produisent
d’excellents résultats sur ceux sur lesquels ils sont appliqués. Je parle de
mon mari bien sûr et de mes domestiques. Mais cher Monsieur je serai ravi de
vous recevoir, quand voulez venir ? »
Le rendez-vous fut aussitôt pris
pour la semaine suivante. Je décidais d’y aller en voiture pour plus de
facilité et je réservais une chambre d’hôtel à Lyon. Céline bien que toujours
jalouse et méfiante me laissa partir seul cette fois sans problème. Quand je
lui dis au revoir elle agita la petite clef pendu à son coup et me dis
malicieusement : «ne fait pas de folie »
Je ne risquais pas d’en faire,
enfermé dans ma prison Alcatraz qu’elle avait verrouillé à double tour.
Arrivé à Lyon je décidais de
m’installer dans ma chambre d’hôtel proche de la place Bellecour. Cela faisait
longtemps que je ne mettais pas retrouver seul et libre à l’hôtel. Enfin libre
pas tout à fait car c’était aussi la première fois que je me retrouvais seul
avec le sexe emprisonné sans pouvoir en disposer à ma guise. Et mes pensées me
portaient inévitablement vers Céline qui détenait la clef de ma cage et aussi
d’une partie de mon cerveau.
Le lendemain matin je repris la
voiture pour aller à Saint Priest dans une banlieue proche pour mon rendez-vous
à « l’oiseau en cage ».
J’arrivais devant un bâtiment
récent typique de zones industrielles, en bardage métallique mais plutôt
moderne et bien fait. Ce n’était pas immense mais certainement dimensionné aux
besoins de l’entreprise ; Comme à la SFID le logo de l’entreprise trônait
au-dessus de l’entrée. Une cage à oiseau bleue avec un rossignol battant des
ailes comme pour s’échapper de la cage. Et la devise en dessous en bleue
également :
« Le meilleur de la
chasteté »
L’entrée était entièrement vitrée,
le hall très chic et design certainement à l’image de la présidente.
Derrière un bureau allongé se
tenait une charmante jeune femme très bien habillé qui me demanda si j’avais
rendez-vous. Pendant qu’elle appelait sa Présidente je découvris deux belles
vitrines bien éclairés dans lesquelles figuraient toutes les pièces fabriqués
par « l’oiseau en cage » présentés comme des bijoux. Derrière un
mannequin d’homme au forme très épurés et nu était équipés de la même cage que
je portais ce jour-là. Je rougis légèrement en regardant l’hôtesse devant moi.
Que pensais cette jeune femme de
la chasteté masculine. En était-elle une adepte. Son copain ou mari était-il
lui aussi équipé. Je me dis que certainement car pour travailler dans ce genre
de produit il fallait être en accord avec la philosophie de l’entreprise. Comme
à la SFID d’ailleurs ou les châtiments corporels faisaient partie du quotidien
de ses employés. Une porte s’ouvrit au fond du hall et une belle femme mature
en tailleur chanel se présenta à moi. Je la saluai respectueusement et elle me
fit entrer dans son bureau, une vaste pièce clair et meublée avec goût.
« Cher Monsieur, je suis
enchanté de faire votre connaissance. Mais avant de rentrer dans le vif du
sujet qui vous amène ici, je vous félicite. Car visiblement vous êtes équipé et
je l’espère avec un de nos modèles. Devant ma surprise et le rouge de mon
visage qui trahissait ma gêne elle me rétorqua :
« Mais ne soyez pas gêné
Monsieur. Ici nous avons l’habitude, c’est notre métier. J’ai tout de suite
repéré la bosse derrière votre braguette. C’est la première chose que je
regarde chez un homme et je me trompe rarement. Seul un très gros sexe peut
prêter à confusion mais ils sont plutôt rares.
Alors dîtes moi c’est quel
modèle ? »
Je lui avouais qu’elle ne s’était
pas trompé et que portais une Alcatraz.
« Excellent choix. Notre
entretien commence bien. J’aime les gens qui partagent nos valeurs et
apprécient nos produits. Tous mon personnel masculin est d’ailleurs équipés de
nos modèles et j’encourage les quelques femmes travaillant chez moi à équiper
leurs maris. Et la plupart d’entre elle, dès qu’elles ont compris les avantages
qu’elle pouvait en tirer s’y mette.
Je suis moi-même un aficionado de
vos produits de discipline et une très ancienne cliente. Comme la chasteté la
discipline conjugale devrait être les deux piliers du couple.
J’approuvais de la tête en me
disant que dans mon couple c’était bien le cas.
Que puis-je faire pour
vous ?
Je lui expliquais en détail notre
entreprise, son histoire, son positionnement sur le marché et l’idée d’une
diversification dans des produits parallèle tel que ceux de l’oiseau en cage.
J’avais préparé mon discours et je ne souhaitais pas pour un premier contact ni
la brusquer ni la vexer. Aussi je concluais en lui disant que dans le cadre de
cette diversification, son entreprise avait retenu toute notre attention car
elle correspondait à nos valeurs de qualité, de positionnement haut de gamme et
que nous serions très heureux de lier un partenariat avec elle.
Elle prit alors la parole pour
m’expliquer son histoire. Elle avait repris la suite dans l’entreprise
familiale à la suite du décès prématuré de son père alors qu’elle avait trente
ans. Une histoire somme toute assez similaire à celle de la SFID ou Madame
Leroy avait dû, elle, prendre les rênes suite au décès de son mari comme je le
lui avais expliqué dans l’historique de la SFID que je lui avais présenté.
Psychologue de formation Madame
Séverine avait donc repris une entreprise de matériel chirurgical en acier. Les
bistouris, pinces et écarteurs étaient alors les produits que fabriquait la
SFMC (Société Française de Matériel Chirurgical). La concurrence devenait rude
dans ce domaine avec des importations Chinoises toujours plus nombreuses. A
cette époque Madame Séverine pratiquait déjà la chasteté masculine avec son
mari qu’elle avait encagé peu de de temps après leur mariage.
N’étant pas satisfaite des
produits qu’elle trouvait sur le marché et ayant sous la main de quoi fabriquer
ce qu’elle voulait, l’histoire de l’oiseau en cage pouvait démarrer. C’est elle
qui avait trouvé le nouveau nom de l’entreprise, l’oiseau en cage étant nettement
plus parlant que SFMC.
Quelques années après le
démarrage de cette nouvelle activité qui était partit en flèche, elle avait
décidé d’arrêter la fabrication des instruments de chirurgie devenu un marché
plus assez rentable.
Aujourd’hui l’oiseau en cage était
une société plus petite que la SFID mais positionné haut de gamme, qui
exportait dans le monde entier avec une excellente rentabilité.
Visiblement elle appréciait ma
démarche. Le fait que je me présente devant elle équipé d’un de ses produits
avait facilité les choses. Sa propre connaissance et utilisation des produits
de la SFID était un élément de plus qui ne pourrait que plaire à Madame Leroy.
Elle finit par me dire :
« Monsieur, votre démarche
tombe à point et est un signe du destin. Je réfléchis bien entendu à l’avenir
de mon entreprise. Je n’ai pas d’enfant ni de famille susceptible de prendre la
suite aussi m’adosser à une société comme la vôtre serait une chance que je
suis prête à saisir. Organisez moi une rencontre avec votre Présidente que je serai
très heureuse de découvrir. »
La chance me souriait. Céline
avait eu raison de me mettre en cage. Madame Leroy serait satisfaite de ma
mission lorsque je lui rapporterai.
L’oiseau en cage serait l’avenir
de la SFID, et le mien !
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