« Ah, vous voilà toutes les trois ! Où étiez-vous ? Vous pouvez dire qu’on vous a cherché ! Disparues depuis le début de l’après-midi, sans qu’aucune d’entre vous ne pense à avertir sa mère ! Nous étions toutes les trois inquiètes. Je peux savoir ce que vous avez fait pendant tout ce temps ?
– On est allé se promener. On en
avait envie !
– Et où êtes-vous allées vous promener ?
Je peux savoir ?
– Ben, je ne sais pas exactement…
par là. Où on avait envie d’aller.
– Et tu penses que ça va me
suffire comme réponse ?
– Bof.
– Recommence une seule fois à hausser des épaules et tu vas voir de quel bois je me chauffe. Vous allez me dire où vous êtes allées ! Tout de suite !
– Y’en a marre ! On est
toutes les trois majeures. On fait ce qu’on veut ! On n’a pas à te dire où
on était ! On est plus des petites filles !
– Ah oui ? Toi, ma fille, je
ne sais pas qui t’a monté la tête sur ce sujet, mais je ne crois pas que cela
corresponde à la réalité, et je vais te le montrer immédiatement !
– Viens-ici !
– Non, Maman, attends !
– Attendre ? Et que veux-tu
que j’attende ? Ma fille de dix-neuf ans se montre insolente et il
faudrait que j’attende pour lui apprendre ce que c’est que le respect qu’elle
doit à sa mère ? Non, non et non ! Au contraire, il est urgent de
régler ça au plus vite !
– Je te demande pardon,
Maman ! Pardon !
– Pardon ? Tu ne crois pas
qu’il soit un peu tard pour demander pardon ? De quel droit te permets-tu
de me répondre de la sorte ? Et de vagabonder sans que je sache où tu
es ? Tant que je serai ta mère, non seulement je veux savoir où tu es,
mais en plus quand tu vas dans un lieu inhabituel, tu m’en demandes la
permission au préalable !
– Non, Maman, non ! Pas devant elles !
– Parce que tu crois qu’elles
vont avoir un traitement différent du tien ? Je crois que la nature des
échanges que j’ai eu avec leurs mères ne laisse aucun doute. Ces demoiselles
peuvent préparer leur fesses. Elles seront d’une tout autre couleur ce soir.
– Maman, s'il te plait, pas
ici !
– Tu me laisses faire ou je vais
chercher le martinet ! C’est ce que tu veux ?
– Oh non, Maman !
– Je ne sais pas ce que tu t’es
imaginé, mais je n’envisage rien d’autre que de te punir de la même façon
qu’habituellement. Tant pis pour la présence de tes copines. Ce sera la fessée
déculottée ! Il n’y a que ça que tu comprennes !
– Pas ça, Maman, non !
–Tes copines n’étaient pas au
courant ? Tu ne leur avais pas dit que ta Maman devait régulièrement te
baisser la culotte et te fesser pour que tu sois sage et obéissante, bien que
tu sois majeure ? Eh bien voilà, maintenant elles sont au courant !
– Oh, mais ne crains rien. Quand je vous ai vu arriver j’ai téléphoné aux Mamans de ces deux demoiselles. Elles m’ont demandé de régler moi-même la situation tout de suite. Si tes deux copines voient maintenant tes fesses devenir toutes rouges, la réciproque c’est pour dans quelques minutes.
– Aïe, Maman, aïe !
– C’est vrai que jusqu’à
aujourd’hui, je ne t’avais corrigée que lorsque nous étions seules. Il n’y a
guère que ta grande sœur qui a eu l’occasion d’assister à plusieurs des fessées
que je t’ai données. Comme il t’arrive d’assister aussi aux siennes, j’ai
toujours considéré que c’était en privé, ou presque. Cela te rappelle que de ne
plus habiter ici n’empêche pas la justice maternelle de passer.
– Bien qu’elle ait vingt-six ans et qu’elle vive dans son propre appartement, cela ne veut pas dire qu’elle n’a plus besoin de la surveillance attentive de sa Maman et des fessées qui vont avec. Cela te rappelle que je n’ai pas l’intention d’arrêter de te corriger quand tu seras indépendante, comme ta sœur. Et que tu sois majeure n’est bien indifférent. Au contraire !
– Maman, aïe… je ne le ferai
plus, aïe… je te le, aïe… te le promets, aïe !
– Je sais ce que valent tes
promesses. Quand je ne les renforce pas par une bonne fessée, tu les oublies aussitôt
énoncées ! Quand tu as eu les fesses bien rougies, tu tiens tes
engagements un peu plus longtemps, même si, avec le temps, tu refais les mêmes
bêtises. Mais ne t’inquiète pas, je serai plus tenace que toi.
– Aïe, Maman, aïe… j’ai compris,
aïe… Je vais être sage, aïe ! Ça fait trop mal, aïe !
– Chloé, je ne veux pas voir cette main à protéger tes fesses !
– Maman, aïe... ça fait mal, aïe !
– Oh, mais si je veux que tu cesses tes insolences et tes désobéissances, il faut bien que la fessée soit sévère. J’espère bien que ma main transforme tes fesses en une fournaise. Et je crois que je peux faire encore un peu mieux que ça. Je te promets que tu vas hésiter à recommencer ce que tu viens de faire ! La prochaine fois, je veux que tu te souviennes de ce que tu risques, si tu t’avises de refaire la même bêtise.
– Pardon Maman, aïe… aie… Je ne
le ferai plus, aie… !
– Si seulement il suffisait d’une
fessée pour que ce soit vrai. Oh, je ne dis pas que ça n’aide pas ! Bien
sûr que si ! Pendant quelques semaines tu te tiens à carreau et tu évites
de t’aventurer de nouveau sur le terrain qui t’a valu une correction, mais peu
à peu, le souvenir de la cuisson de tes fesses doit s’estomper et tu
recommences ou bien tu commets une bêtise presque semblable à la première. Je t'ai dit d'enlever ta main !
– Aïe… aïe… aie… pardon, aïe !
– Bien, nous avançons. Encore un petit
effort et je devrais avoir fait du bon travail, suffisamment pour que tu te
souviennes, pendant quelques jours, ce qui arrive aux grandes filles qui se
croient trop grandes pour demander l’autorisation avant d’aller se promener et
qui, de plus, répondent insolemment à leur Maman. Quand dis-tu ? As-tu
encore envie de recommencer de si tôt ?
– Non, aïe… Maman, non…
aïe !
– Je t’ai connue avec une
conversation plus fouillée ! Tu répètes toujours les mêmes choses !
« Non, Maman », « aie ! », « Pardon, Maman ».
Serait-ce donc que la fessée atteint son but ?
– Ah ! Maman ! Aïe !
– Tu ne réponds pas ? Je
crois que vais donc continuer un peu. Tu as raison, il y a encore un endroit de
tes fesses qui est un peu trop pâle.
Bon, je crois que pour cette fois, nous sommes au bout de cette fessée. Je crois que tu as eu ton compte…jusqu’à la prochaine fois. Puisque tes copines ont assisté à ta fessée déculottée, je pense que la façon dont je te punis va être connue de bien du monde. Je crois que je vais cesser de prendre des précautions pour que ces punitions restent au sein du cercle familial. Je crois que tu abuses de la situation, en pensant que je ne te punirais pas quand nous ne sommes pas à la maison.
– Je serai sage, Maman, je te le
promets !
– J’en suis à peu près sûre. D’ailleurs,
la prochaine fois que j’ai à te faire une remarque, quel que soit le lieu dans
lequel nous nos trouverons, je te baisserai la culotte et je te fesserai.
– Oh non, Maman, mais…
– Il n’y a pas de « mais »
qui tienne. Et puis, il est temps de m’occuper de tes copines !
C'est absolument génial. Belle histoire, étonnante mais passionnante, on s'y croirait. je ne sais aps s'il y a un fond de vérité dans cette histoire mais elle correspond à mon imagination. j'écris des romans sur ce thème dont "confinement rime avec redressement" vient de sortir, à peu près dans toutes els librairies en ligne , mais là, cela semble tellement réel Bravo
RépondreSupprimerAïe aïe aïe, quand maman se fâche !
RépondreSupprimerTrès beau récit merci
Bonsoir JLG,
RépondreSupprimerExcellent récit. Maman va recadrer ces trois petites pimbêches. Bien fait pour elles ! On ne répond pas mal à sa mère. Elles n'ont que ce qu'elles méritent ! M'enfin ! (comme dirait ce grand fainéant patenté de Gaston).
Le rendu semble plus net que celui de la nouvelle précédente. Non ?
Amicalement. Peter Pan.
bonjours super l'histoire je ne sais pas si c'est vrais mais en i croyez je vois mon histoire ou les fessée était autorisé je revois ma mère me fessée cul nue devant mais copains et copines il faudrait une histoire comme ça avec dessin ou un homme et fessée devant les fille et une dame et fessée devant les garçons parce que dans les année 70 en était fessée devant tout le monde garçon et fille merci.
RépondreSupprimerC'est vrai que dans les années 70 et même 80,les garçons étaient fessés devant les filles, et les filles devant les garçons. Pour les filles, leur pudeur était mise à rude épreuve,.Elles avaient la jupe relevée et la culotte baissée, et quand c'était terminé, elles allaient pour certaines, dans un coin de la pièce dos au mur, mains sur la tête, et la culotte était complètement baissée jusqu'aux chevilles, ce qui fait que la fente était visible de tout le monde.
SupprimerMilky
Bonjour,
SupprimerJe ne sais pas si "Milky" désigne une fille ou un garçon. Mais il me semble, qu'au-delà de 6 ou 7 ans, la pudeur des filles, certes, mais celle des garçons également était mise à rude épreuve lorsqu'ils recevaient la fessée déculottée qu'il y ait ou pas d'autres enfants, quel que soit leur sexe. Le centrage sur les filles est-il un effet de genre ?
Il faut aussi préciser que lorsqu'il s'agit d'un adulte, le simple fait de lui baisser la culotte lui fait perdre toutes ses prérogatives d'adultes, y compris le droit à la pudeur, qu'il y ait ou pas d'autres personnes présentes et qu'elles soient du même sexe ou de sexe différent.
c est trs bien, cette petite insolente a bien mérité cette fessée déculottée
RépondreSupprimerBonne fèssè au fesse de la fille
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