Elle avait bien changé en quelques semaines ma cousine, il semblait ne plus rien rester de l'adolescence irascible et capricieuse qui avait précédé la date où sa mère, encouragée par la mienne avait commencé à lui claquer les fesses.
Je doutais pour autant que la seule vertu des fessées successives ait pu à ce point modifier son mauvais caractère, j'étais certain que le feu couvait sous la cendre.
Jusqu'à présent, en dehors de la fessée
que la chipie m’avait infligée devant ma fiancée, j'étais miraculeusement passé
au travers des gouttes, ça me changeait de la terrible fin d'été que j'avais subi.
A l'appart, Lucie ne s'occupait plus de ma toilette et ne me régentait d'aucune
sorte, nos rapports restaient donc possibles.
Je sus par mes potes qu'elle s'était
probablement ramassée une nouvelle fessée par Madame Bruno, la convocation pour
avoir une petite conversation après les cours, on savait désormais tous ce que
cela signifiait, elle n'en fit pas état, mais je remarquais qu'elle s'asseyait avec
précaution tout au long de la soirée, je préférais ne pas remuer le couteau dans
la plaie.
Un qui prenait cher, c'était le jeune
Kevin, on avait assisté à une nouvelle de ses corrections, une double fessée
justifiée par une nouvelle tentative d'échapper à la première, on savait que
cela ne pardonnait pas. Il prit une première rouste à la règle qui le laissât
pantelant, il avait eu du mal à se traîner jusqu'à l'angle de mur réservé aux
stages au piquet et après le repas, Madame Leblanc le fit mettre complètement
nu, ce qui n'était pas dans ses habitudes et je constatais qu'il était effectivement
maigrelet et dépourvu de poils sur le torse et sur presque tout le reste du
corps, pour ma part, mes poils pubiens commençaient à repousser et je n'en étais
pas fâché, il eut droit à une seconde fessée au martinet qui le fit hurler à la
mort, tant son fessier ne s'était pas encore remis de la séance de coups de règles.
Il avait pourtant l'air plutôt gentil ce
garçon, sans doute que ce n'était qu'une apparence et qu'il se la jouait sournoise,
ce qui ne pouvait qu'irriter sa logeuse pour qui c'était la pire des attitudes.
Quand je rentrais au bercail en compagnie
de Justine, il était à nouveau au piquet, son cul trop maigre et rubicond très
marqué, prenant grave sur lui pour rester silencieux, selon les préceptes en
vigueur pour ces situations. Il me faisait de la peine, le pauvre garçon.
J'appris par les filles de la maison que
c'était sa mère qui avait exigé qu'il passe à l'épilation et c'était Madame
Sand qui s'en était chargée aux sus et au vu de toute la maisonnée, bonjour
l'ambiance. J'avais connu la chose avec Lucie et Corinne et cela ne m'avait pas
laissé un grand souvenir.
Justine vint me visiter le samedi après-midi
et je remarquais qu'elle semblait toujours s'entendre à merveille avec ma cousine,
ce qui n'augurait rien de bon.
On a obtenu la permission de la mère
Leblanc pour aller dîner au restaurant, il faudra néanmoins passer chez elle à notre
retour, impérativement avant 23 heures, faute de quoi, on sait à quoi s'attendre.
Je me demande si elle oserait inclure Justine dans le lot des culs à rougir.
Le repas se passe bien, mais je sens que
les deux minettes semblent de plus en plus complices, rient sous cape dès que je
m'absente, ce qui connaissant ma peste de cousine n'augure rien de bon.
Et je ne me suis pas trompé, après un passage
éclair et dans les temps chez notre "tutrice", qui avait bien senti notre
haleine aux fins de vérifier que nous n'avions pas fumé, j'avais gentiment prévenu
Lucie qui avait failli accepter la clope proposée par Justine, qui s'était bien
gardée de nous accompagner au "contrôle", dommage, j'aurais bien aimé
la voir se ramasser une bonne fessée déculottée sous mes yeux, dès notre retour
au bercail, j'ai bien vu qu'il y avait du complot dans l'air.
L'atmosphère était chargée d'électricité,
tandis que je fumais une cigarette en sirotant un fonds de whisky dissimulé au
fond d'un placard pour échapper aux éventuelles investigations de Madame Leblanc.
« Alors mon chéri, il parait que tu
me fais des infidélités ?
– Mais non, jamais de la vie, c'est Lucie
qui t'a raconté ces conneries ?
– Peut-être, mais elle est bien informée,
il semble. J'ai cru comprendre que tu t'étais rapproché d'une certaine Eve.
– Mais, ce n'est qu'une copine de classe,
rien de plus, tu te fais des idées. »
De fait, il est vrai que j'avais échangé
quelques baisers furtifs avec la charmante Eve, on se souvient peut-être
qu’elle faisait partie de mes "frères et sœurs de fessée". Nous
avions été fessés dans la même salle de classe par Aude, la surveillante et Madame
Bruno. On s'était juré de ne pas dévoiler la chose, avant qu'on ne découvre que
nous étions un certain nombre dans ce cas. Nous nous étions retrouvés à une occasion
chez Marc, un copain de classe et ça c'était plutôt mal terminé, puisqu’après avoir
ramassé une copieuse fessée par les parents de Marc, j'avais eu droit à un bis
par les soins de ma logeuse qui était venue me récupérer, tandis que le père
d'Eve lui en avait infligée une encore plus sévère si possible devant nous.
Je ne tenais pas à mettre ce fâcheux épisode
sur la table, Eve était une camarade de classe, point, barre et j'avais bien le
droit d'échanger avec elle, entre autres sur des questions de travail scolaire.
« Je ne savais pas que les bisous et
le pelotage faisaient partie du programme des deuxièmes années, j'ai hâte d'y être,
persifle Lucie.
– Mais je vous assure qu'il ne s'est
rien passé, c'est terrible d'être accusé comme ça.
– En attendant, Justine ne l'entend pas
de cette oreille et elle estime que tu as mérité une correction, même si tu n'as
pas vraiment consommé, tu dois être puni pour ton attitude équivoque.
– Et surtout pour te lever l'envie de recommencer,
reprend Justine qui se manifeste enfin. »
Ça y est, on y est, je sentais bien venir
le coup, je vais encore m'en ramasser une.
« Cette fois, comme c'est moi l'offensée,
c'est moi qui vais te fesser.
– Justine, tu ne peux pas faire ça, tu
es ma fiancée, ce n'est pas possible.
– Justement, je suis ta fiancée comme tu
dis et si tu veux que nos relations perdurent, il n'est pas question que tu me trompes,
même pas en pensée, allez viens ici, qu'on en termine, il est déjà tard et j'ai
sommeil. C'est à prendre ou à laisser mon chéri, en tout cas, je ne continuerai
pas à fréquenter un garçon en qui je n'ai plus confiance.
– Comme ça, tu te coucheras avec les fesses
bien chaudes, il parait que c'est excellent pour le sommeil, il me semble que
tu en déjà fait l'expérience non ? »
Je préfère ne pas relever les commentaires
d'une Lucie, évidemment ravie de la situation. Je suis d'autant plus accablé
que si j'accepte et je vois mal comment je pourrais me dérober, sauf à perdre
Justine, cela créera un précédent, je tente encore vainement de me défendre, je
n'ai rien fait, c'est juste une amie, etc.
« Alors tu te décides, plus tu attends,
plus la fessée sera sévère, je pourrais même demander à Lucie de t'en coller une
autre pour faire bonne mesure. »
J'avais les tripes nouées, certes, je
n'en étais pas à une fessée de plus ou de moins, mais je me disais que si j'acceptais
d'en recevoir une de Justine, nos relations prendraient une toute autre
tournure, sans devenir son petit toutou, il est clair que je devrais forcément en
rabattre, faute de quoi, elle n'hésiterait pas à me menacer d'une déculottée.
Mais, je n'avais pas le loisir de peser le pour et le contre, j'étais fatigué
et bêtement, je me suis décidé à céder, sans mesurer pleinement les conséquences
de ma soumission du moment.
Je viens me planter devant elle et elle
n’hésite pas à déboucler mon ceinturon et à descendre mon jean aux chevilles,
on dirait qu'elle a fait ça toute sa vie, ma cousine qui est à ma gauche,
contemple ma déchéance avec un sourire qui en dit long, mon slip suit, j'ai étrangement
un début d'érection qui en gêne la descente et il lui faut s'appliquer un peu.
« C'est vraiment plus agréable, cette
épilation, tu as vraiment eu une bonne idée Lucie, il va falloir poursuivre la
chose car ça commence à repousser. »
Elle m'a pris les testicules à pleines mains,
les tâte et les soupèse sans vergogne. Tout juste si elle ne demande pas à l'autre
de l'imiter, ce qui ne constituerait hélas pas une première. Elle a pris de la
graine en quelques jours ma fiancée, je ne la reconnais plus, je ne sais pas si
c'est le fait d'avoir assisté à mes deux fessées ou s'il s'agit de l'influence
de l'école, en tout cas le changement est flagrant.
« Allez, viens sur mes cuisses, tu commences
à connaître la position. »
Je me résigne à m'allonger sur ses genoux,
elle est en jeans heureusement, car le contact de ma peau avec la sienne n'aurait
pas manqué de me faire bander, ce qui n'aurait fait qu'aggraver mon sort.
Mais je vais vite m'apaiser, elle ne
sait pas trop s'y prendre et elle tape comme une sourde en prenant trop d'élan,
puis évidemment fatiguée, les claques suivantes sont presque des caresses.
N'est pas fesseur de haut vol, qui veut, genre Lucie, qui avait, il est vrai
assisté à de nombreuses démonstrations me concernant, non sans avoir elle-même expérimenté
la chose, rien ne remplaçant l'expérience vécue.
Et tandis que je suis en position
disciplinaire, les fesses et les cuisses nues, j'ai droit à la même leçon de
fessée qu'avait faite Lucie à Corinne il y a quelques semaines.
Cette dernière avait vite intégré la chose
au détriment de mon fessier qu'elle n'avait pas ménagé, à telle enseigne que je
ne faisais guère de différence avec Lucie, même si elle restait plus vicieuse,
frappant aux endroits stratégiques, au milieu des fesses par exemple, s'arrangeant
souvent pour frôler mes attributs.
« Tu t'y prends mal ma chérie, il faut
taper plus régulièrement, tes dernières claques ne sont que des caresses, il ne
se plaint même pas, alors qu'il devrait déjà te supplier de l'épargner. Il faut
que tu y ailles plus régulièrement et suffisamment fort pour qu'il réagisse à
chaque fois. »
Justine apprend vite.
« Voilà, c'est mieux, tu vois qu'il
a poussé un cri, tu as dû le sentir se crisper, plus la claque sera vigoureuse,
plus il sursautera. Il faut que ton bras arrive le plus vite possible afin que
ta main ait plus de puissance, mets-la un peu en creux pour qu'elle prenne bien
la forme de ses fesses. Tu y es presque, regarde il vient de sursauter. »
Justine a vite compris la leçon et je retrouve
des sensations hélas trop connues qui constituent le prélude à une sérieuse correction.
Ça y est, elle a pris son rythme de croisière et je ne peux résister longtemps à
la brûlure qui envahi mon cul. Tout en sachant que c'est inutile, je commence à
supplier ma fiancée de s'interrompre, tout en me gardant bien de ne prendre
nulle initiative allant dans ce sens, me contentant de gigoter sur ses genoux au
gré de la sévère fessée qu'elle m'administre.
Sous les encouragements de Lucie, elle
me conduit là où toute fessée bien appliquée mène le puni. Je commence à sangloter
tant de douleur que de honte, je me tortille de plus en plus, pas pour me
soustraire au châtiment, je sais d'expérience qu'il m'en cuirait encore bien
davantage, Il s'agit plutôt d'une réaction incontrôlée qui n'a jamais empêchée
une fessée de produire son effet.
« Tu n'as pas trop mal à la main.
– Si, ça me pique.
– Attends, je vais te donner ma brosse,
cela sera plus efficace.
– Tu crois qu'il n'en a pas eu assez,
ses fesses sont bouillantes et il pleurniche ?
– Compte tenu qu'il t'a trompé, il
mérite une correction exemplaire qui lui enlève définitivement l'envie de recommencer,
crois en mon expérience, ses fesses peuvent en supporter bien davantage et tu
ne dois pas te satisfaire de petites larmichettes, il nous faut de vraies larmes
de repentir, des marques qui perdurent un jour ou deux, qu'il ait du mal à s'asseoir.
Claque-lui les cuisses en attendant, c'est plus sensible, j'en ai pour deux
minutes. »
Et elle s'empresse d'obéir ma bourrelle,
elle me les met vite à vif, mais ce n'est rien à côté des coups de brosse,
c'est la première fois que j'ai affaire à cet instrument et j'espère que c'est la
dernière. J'ai l'impression que les deux filles fracassent mon fessier en alternance.
J’ai trop à prendre sur moi pour ne pas
trop remuer et tenter de réfréner cris et larmes pour tourner la tête et voir précisément
ce qu'il en est. Ce qui est certain c'est que Lucie dirige les opérations et
que placée comme elle doit l'être, c’est-à-dire à la droite de Justine, elle a
une parfaite vision de la situation et bien sûr de mes bourses et de ma verge
bien moins flambante que lors de mon déculottage.
Je ne sais quel est le relais le plus terrible,
en tout cas, ça fait un mal de chien, la surface percutée est moins étendue
qu'avec la baguette, le martinet ou la ceinture, j'ai vraiment l’impression que
ces deux salopes frappent toujours au même endroit, certes une fesse après l'autre,
il n'empêche, c'est pile au milieu de chaque globe et je prends cher. Je ne
tarde pas à passer des gémissements aux cris perçants et enfin à pleurer à chaudes
larmes. Le tout entrecoupé de vaines supplications et demandes de pardon.
J'entends entre deux hoquets Justine
estimer que la correction est suffisante, mais l'autre décide du contraire et
m'envoie encore une dizaine de coups de brosse qui me font hurler de douleur,
encore heureux que dans le quartier, on soit habitué à ce genre de manifestations,
même s'il est sans doute un peu tard.
« Arrête Lucie, tu vas le faire
ameuter tous les voisins.
– Je vais fermer les fenêtres, laisse-moi
ta place, tu es trop douce avec ce voyou, n'oublie pas qu'il t'a trompé sans vergogne,
il faut que cette fessée soit mémorable pour lui lever définitivement l'envie
de recommencer ? »
C'est véritablement une méchante fille
que Lucie, je la maudis et je me jure bien de prendre ma revanche, je lui mettrais
les fesses en charpie, en attendant ce sont les miennes qui sont en feu. Justine
m'a fait me relever et je me suis retrouvé agenouillé, je n'ai pas perdu mes
réflexes et plutôt que de passer mes mains sur mon fessier meurtri, je les ai posés
sur ma tête quelques secondes, juste le temps pour ma cousine de me remettre en
position disciplinaire.
Elle me prépare bien, me fait avancer le
bassin, relève mon tee-shirt jusqu'au milieu de mon dos pour bien dégager la
surface à corriger, la tâte doucement, sans oublier mes cuisses, m'oblige à les
écarter, au prétexte de vérifier que leur intérieur a été pour l’heure ménagé,
mais je me demande si ce n'est pas plutôt pour me faire bien exhiber mon service
trois pièces, qu'elle ne se gêne d'ailleurs pas frôler au passage, s'attardant
même quelques secondes sur mon périnée et mon anus.
Et ça repart de plus belle, c'est tout
de suite une autre musique qu'avec Justine, même si je souffrais déjà beaucoup
sous sa férule, la musique là, c'est moi qui la joue, la morue me fait hurler
de douleur, la brosse c'est terrible, à part les terrifiantes orties, je crois
qu'aucun instrument de correction ne m'a fait autant mal, la baguette
peut-être, ça te pince la peau et le pire est que Lucie s'acharne sur une
fesse, cinq à six coups très appuyés, avant de passer à l'autre et d'y revenir.
Il faut vraiment que je serre les dents pour ne pas me relever, je me mords
même deux doigts entre deux vagissements de souffrance pour maintenir à peu près
la position souhaitée par celle qui me tourmente.
Enfin, ça cesse alors que je pleure à chaudes
larmes, hoquette même, la morve coule de mon nez, je suis littéralement effondré.
Amis de la poésie et de la fessée à la brosse à reluire... Bonjour.
RépondreSupprimerBonjour Serge, qui a repris le flambeau ( comme dit JLG) pour faire flamber les postérieurs de ses personnages.
Attention, Lucie l'implacable n'a pas son pareil pour te vous faire reluire une paire de fesses! C'est qu'elle aime ça claquer les derrières, la garce... Comme dit Fabien qui dérouille tout au long du récit. Dans la grande distribution, elle serait tête de gondole au rayon fessées! C'est quelle envoie du lourd la demoiselle. Et pédagogue avec ça!
Belle leçon de claquage de fesses dont profite Justine à plein temps. Mais elle a beau faire des progrès la Justine, elle manque encore de pratique et ne fesse pas encore assez fort aux yeux de l'impitoyable
claqueuse.
La cousine ravageuse décide alors de lui faire une petite démonstration de son talent ou comment astiquer un fessier et particulièrement celui de Fabien, du sol au plafond, de la cave au grenier, jusqu'au fond de la raie. Au passage, petite touche d'humiliation supplémentaire, la petite vicieuse profite de sa position dominante, pour explorer la profondeur de son entre-fesses, en lui titillant furtivement la rondelle.
Et elle te vous reprend, de maîtresse main, le derrière du pauvre Fabien, déjà bien avancé de la fessée précédente. Virtuose de la la déculottée, elle te lui en flanque une deuxième à la brosse à reluire, pas piquée des hannetons. Et tout le monde sait que les hannetons ça pique fort! Quelle magistrale fessée mes amis ! Un vrai feu d'artifice avec que des fusées rouges!
Tout comme la chemise du puni, le récit est bien troussé, et susceptible de ravir les lecteurs les plus exigeants. ( Notre ami anonyme a dû se régaler sur ce coup là).
Superbes descriptions des fessées, sévères, claquantes et cuisantes comme on les aime, bien détaillées et très réalistes.
On s'y croirait, au point d'en avoir, presque, le derrière qui chauffe rien qu'en les lisant. C'est peu dire qu'elle fesse bien la Lucie !
Cordialement
Ramina
C'est trop d'honneur Ramina, vous me gâtez. Merci en tout cas, je me régale à lire vos commentaires, faute de mieux en l'état, quel esprit de synthèse, d'analyse, voire d'esprit tout court, rien ne vous échappe et c'est un bonheur pour l'auteur de s'apercevoir que son lecteur est aussi attentif.
RépondreSupprimerIl faudra que je dise à mon tour à François-Fabien et à Eléna que je me délecte de leurs magnifiques récits croisés si bien montés et si excitants, en attendant que vous repreniez les vôtres.
Bien sympathiquement .
Ange
Un ange passe... La plume chargée de cuisanteses histoires de fessées...
RépondreSupprimerRamina.