Encore un cran plus sévère

  « Allez, c’est l’heure de ta fessée ! Il est temps que tu comprennes que le harcèlement que tu te permets est loin d’un jeu. C’est une grosse bêtise ! Et je sais comment il faut punir les grands garçons qui se permettent de commettre les mêmes bêtises à répétition.

– Non Vanessa, s'il te plait, pas devant… devant Corinne.

– Ah non ?

– Tu ne peux pas me… me… me donner une fessée devant elle, j’aurai trop honte !

– Voilà qui est une excellente nouvelle. J’espérais bien réussir à te faire honte de ce que tu as fait ! Avec une sévère fessée en plus, je crois que tu y réfléchiras à deux fois, désormais, avant de t’en prendre à quelqu’un d’autre, ou plutôt à quelqu’une d’autre.

– Je ne le ferai plus, je te le promets !

– Je sais ce que valent tes promesses tant que tu n’as pas reçu la fessée ! Plus de discussion : Viens ici !

– Je trouve que tu es maintenant vraiment à ta place. Je crois d’ailleurs que c’est de là que vient une grande partie du problème : tu ne te retrouve pas assez souvent à plat ventre en travers des genoux des femmes envers qui tu as été désagréable ou envers qui tu as eu une attitude déplacée. Je vais me débrouiller pour que ça change.

– Non, Vanessa, je serai sage.

– Ça, je n’en doute pas. Après la fessée que tu vas recevoir, je pense que tu vas te tenir tranquille au moins quelques jours.

– Tu me donnes la palette, Corinne, s'il te plait ? Je crois que je vais en avoir usage pendant quelques minutes.

– Tiens !

– Tu vois, je t’avais dit qu’avec lui, c’était la seule solution, la seule chose qu’il comprenne !

– Oui, je vois ! Je dois avouer que quand tu m’en as parlé, je ne te croyais pas. Mais je dois me rendre à l’évidence.

– N’est-ce pas ?

– Mais il te laisse faire. Pourtant, ça ne doit pas être facile, pour lui, de recevoir une fessée déculottée devant moi.

– Je détiens quelques preuves de ses frasques et je lui ai promis que je n’hésiterais pas à les faire connaître à la direction générale s’il ne m’obéissait pas au doigt et à l’œil. N’est-ce pas mon grand ?

– Aïe ! Oui Vanessa, oui ! J’obéis !

– Oh tu obéis bien mal ! J’ai toujours des reproches à te faire sur ton comportement et à chaque fois, cela se conclut par une fessée. Tu comprends, Corinne ?

– Impressionnant !

– Je fais en sorte qu’il sorte d’une fessée avec le postérieur brûlant. Ça et le déculottage, ça lui fait un cuisant souvenir.

– Je n’en ai aucun doute !

– Et je réserve la palette à fessée ou un autre instrument pour les récidives. Avec ça, je peux lui donner de formidables fessées. Jusqu’à ce qu’il regrette la bêtise qu’il a commise. N’est-ce pas mon grand ?

– Aïe… non… pardon… pardon…

– Tu sais bien qu’avant d’être pardonné, il faut recevoir sa punition jusqu’au bout. Et nous n’y sommes pas encore !

– Aïe, j’ai compris… aïe, j’ai compris…

– Je n’en suis pas si certaine, du moins pas si certaine d’avoir réussi à graver cette leçon assez profondément dans ton cerveau pour que tu ne recommences pas.

– Aïe… si Vanessa, aïe…

– Oh, mais j’ai une idée !

Merci à...

... eh bien, à personne, je crois, à moins que ce ne soit au photographe qui a pris cette photo que les logiciels permettent de transformer en dessin. Pas mal, non ? Qu'en pensez-vous ? Faut-il continuer dans cette voie ?

Il faut lire le début de l'histoire !

 

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