Marie P.
est une gentille femme, un peu effacée, mais très rigoureuse et engagée dans
son travail, ce qui fait d’elle une assistante de confiance et de ce fait, les
professeurs se reposent beaucoup sur elle pour leurs tâches administratives,
peut-être un peu trop, car Marie P. est souvent obligée de faire quelques
heures supplémentaires pour arriver à boucler, en temps et en heures, les dossiers
qui lui sont confiés. Elle met un point d’honneur de ne laisser tomber
personne, car dans l’établissement de renom, l’élitisme est le leitmotiv de
tout le corps enseignant et agents administratifs.
Le courrier
à l’établissement afflue pour des demandes de renseignements et dépôt de
dossiers en tous genres. Cela va de la demande d’inscription d’élèves aux
lettres du rectorat. Le recteur, Bernard B., via sa secrétaire, Stéphanie D.,
demande souvent des renseignements à Fabienne D. pour faire avancer des sujets,
car il sait que l’exemplarité de Ste CROIX est reconnue dans bon nombre
d’académies et les bonnes idées et pratiques de Fabienne D. sont recherchées
dans d’autres établissements en souffrance de discipline ou de résultats, si
bien que des élèves d’autres académies rêvent d’intégrer Ste CROIX pour la
renommée de l’enseignement. Sortir de Ste CROIX avec un diplôme en poche est un
gage d’embauche immédiate dans les entreprises. Il n’est pas rare que des chefs
d’entreprises viennent à Ste CROIX pour recruter des étudiants avant même la
fin de leurs études.
Comme
d’habitude, Marie P. gère le courrier de la proviseure quand elle est dérangée
par un coup de fil de Stéphanie D. qui se plaint de ne pas avoir reçu un
formulaire de Ste CROIX sur les programmes à venir. La fin du trimestre
approche et c’est l’heure des synthèses pédagogiques par département.
Marie P.
assure à Stéphanie D. que le formulaire a été envoyé avec les autres dossiers
et que si elle a reçu les autres dossiers alors forcément elle devrait trouver
le formulaire. Stéphanie D. hausse le ton et dit qu’elle n’est pas folle et
elle qu’elle n’a pas ce formulaire. Marie P. a beau lui dire qu’elle est sûre
de l’avoir mis avec les autres dossiers et qu’il faut qu’elle cherche mieux.
Stéphanie D. raccroche après lui avoir dit qu’elle allait en référer au
recteur. Marie P. croit rêver en entendant ses menaces et elle appelle de suite
Fabienne D. pour lui relater l’incident et lui assure que le formulaire était
présent dans la pile de dossiers qui sont envoyés régulièrement au rectorat.
Fabienne
D. trouve l’incident assez grave, car ça va porter le discrédit sur
l’établissement et de plus il faudra refaire ce formulaire, il y en a pour 3
jours de travail, car il faut, de nouveau, collecter toutes les données pour
les synthétiser et remplir le document.
Fabienne
D. tente de contacter le recteur, mais celui-ci est absent et sans ce dossier,
l’appréciation de l’établissement sera moins bonne que les trimestres
précédents. Fabienne D. est en rage contre Marie P. qui se met à pleurer.
Fabienne D. et Marie P. tentent de chercher dans le bureau de la secrétaire,
mais elles ne le trouvent nulle part. Après cette recherche infructueuse, elles
doivent se rendre à l’évidence, le formulaire est perdu et il va falloir le
recommencer.
Le
lendemain matin, le recteur en personne appelle Fabienne D. pour lui réclamer
le formulaire, car lui aussi doit des comptes à ses supérieurs. Un retard dans
les transmissions va faire tâche dans son dossier. Fabienne D., désolée, lui
assure que tout va être mis en œuvre pour lui faire parvenir ce formulaire dans
les plus brefs délais.
Aussitôt
raccroché, Fabienne D. fait venir Marie P. dans son bureau et lui dit qu’elle
va, pour cette faute, recevoir une fessée dont elle se souviendra longtemps, le
bas du corps entièrement nu et en public devant tous les élèves et les
professeurs, car il en va de la réputation de Ste CROIX. Marie P. s’écroule de
nouveau en pleurs en soutenant mordicus qu’elle n’est pas responsable de la
perte de ce dossier. Fabienne D. lui dit qu’elle va la faire fesser ce midi
même, après quoi, elle fera le tour des professeurs pour collecter les
informations, en exhibant ses marques, car elle n’aura l’autorisation de se
rhabiller que le soir, pour rentrer chez elle et qu’elle peut s’estimer
heureuse, car elle aurait pu être fessée, entièrement nue, comme c’est la
coutume pour les élèves et les étudiants. Fabienne D. lui assure que ça va lui
cuire et qu’après ça elle sera plus sérieuse dans la transmission des dossiers.
La proviseure
lui ordonne de retirer sa jupe et sa culotte. Marie P. rougit intensément de
devoir exhiber son intimité devant sa supérieure hiérarchique, mais elle n’a
pas le choix et elle retire timidement ses vêtements. Fabienne D. lui dit
qu’elle aille se faire épiler le pubis, car sa touffe de poils est ridicule et
il faut qu’elle soit propre et nette pour sa fessée. En pleurs, Marie P. tente
de reprendre sa jupe pour aller à l’infirmerie, mais Fabienne D. lui dit
qu’elle y aille dans cette tenue, au moins, ça lui fera un entraînement pour ce
midi lorsqu’elle sera présentée aux élèves et au corps enseignant. Mortifiée,
Marie P. parcourt les couloirs jusqu’à l’infirmerie où l’attend Laetitia F.,
l’infirmière de l’établissement. Certains élèves la croisent dans les couloirs
et, telle une trainée de poudre, la nouvelle que la secrétaire se promène les
fesses à l’air, circule dans les classes.
L’infirmière
qui a reçu un appel de Fabienne D. accueille Marie P. et tente de la consoler,
car elle sait que c’est une bonne secrétaire et tente de comprendre ce qu’il
s’est passé. Laetitia F. allonge Marie P. sur la table d’examen et tout en
discutant, elle lui épile soigneusement la vulve et le pubis. Rapidement, le
feu du rasage provoque une irritation et des rougeurs, qui fait se tortiller
Marie P. dans tous les sens, et c’est pire lorsque Laetitia F. lui épile la
zone de l’anus.
En se
relevant, Marie P. a l’impression d’avoir le feu entre les cuisses et ce n’est
pas le rinçage de la zone glabre et rouge avec un peu d’eau froide qui la
calme. Laetitia F. profite de sa visite pour lui faire un examen de routine
pour s’assurer qu’elle est apte à encaisser la correction que lui réserve la
proviseure. Marie P. implore Laetitia F. de dire à Fabienne D. qu’elle n’est
pas apte à être fessée, mais l’infirmière ne veut pas mentir, car si ça se
savait, elle risquerait sa place. Elle lui dit qu’elle est désolée, mais elle
fera son rapport en toute impartialité. La prise de pouls, de tension et la
palpation ne révèlent rien d’anormal. L’infirmière ne peut que prononcer un
avis d’aptitude à la correction. Le dernier espoir de Marie P. vient de
s’envoler. Plus rien ne pourra empêcher qu’elle soit fessée en public.
Un appel
de la proviseure coupe court au bavardage des deux femmes et Marie P. est
obligée de rentrer au secrétariat, en marchant les cuisses écartées, tant le
feu irradie son entrecuisse et le bas de son ventre. A son arrivée au bureau,
Fabienne P. lui dit que c’est beaucoup mieux comme ça, elle fera sensation lors
de sa correction, avec son pubis et ses grandes lèvres toutes rouges. Humiliée,
Marie P. s’installe à son bureau et commence à refaire le dossier perdu.
Périodiquement, Marie P. est obligée d’aller dans telle ou telle salle pour
demander des renseignements et collecter tous les chiffres des professeurs. Les
professeurs masculins ne sont pas très discrets et déshabillent Marie P. du
regard, en la faisant attendre pour profiter le plus possible de la vue, bien
que Marie tente de se cacher. Aussitôt qu’elle a les renseignements désirés,
elle disparait pour regagner son bureau, la tête basse et le pas rapide,
faisant attention à ne croiser personne.
Certains
professeurs viennent au secrétariat pour compléter les renseignements
précédemment donnés, soudain pris d’un excès de zèle pour, disent-ils, que
leurs données soient les plus exactes possibles, mais en réalité, pour reluquer
un peu plus les fesses et le pubis glabre de Marie P., qui est une fort belle
femme.
Voyant
que les professeurs font des va-et-vient au secrétariat, Fabienne D. leur dit
qu’ils vont pouvoir davantage se rincer l’œil lorsque Marie P. se fera fesser
publiquement avant l’heure du repas.
Les
différents professeurs relaient l’information dans leurs cours disant que la
secrétaire du lycée va être fessée publiquement pour une grosse faute. Lorsque
notre professeur principal, François F., nous annonce la nouvelle, Pauline, la
fille de Marie P., crie de surprise et se met à pleurer en disant que sa mère
ne peut pas être fessée, que ça va être trop déshonorant et humiliant pour
elle. Tous les regards se posent sur Pauline, car la punition de sa mère va
rejaillir sur elle également. Elle va être considérée comme la fille de la
secrétaire qui s’est fait fesser publiquement et tout le monde va se moquer
d’elle et de sa mère. Certains étudiants ont déjà le sourire aux lèvres en
entendant l’annonce.
A la
pause, Pauline tente d’aller voir sa mère et demander des explications, mais
Pauline n’est pas acceptée au secrétariat. Marie P. est déjà très occupée à
reconstituer le dossier et ne souhaite pas pour le moment affronter le jugement
de sa fille et lui avouer qu’elle a probablement égaré un dossier important
bien qu’elle soit persuadée du contraire, mais elle a tellement à faire, qu’une
erreur peut arriver et finalement, elle n’est plus sûre de rien !
Lorsqu’elle
passe dans les couloirs, Pauline est déjà harcelée par des garçons qui se
réjouissent d’avance du sort réservée à sa mère. Certains souhaitent qu’on la
fouette entièrement nue, car ils souhaitent voir ses « mamelles » balloter, ses
« tétines » dressées, sa fente et l’entendre hurler et supplier. Pauline n’a
pas le courage de leur répondre, s’enfermant dans le mutisme et dans sa fierté,
trop honteuse.
Un peu
avant midi, les élèves, étudiants et professeurs sont invités à rejoindre le
grand hall, devant la cantine, car se sera là qu’aura lieu la fessée de Marie
P. Beaucoup d’élèves courent dans les couloirs espérant avoir l’une des
meilleures places.
Fabienne
D. dit à Marie P. de se préparer, car il est l’heure de recevoir sa correction.
Marie P. tombe à genoux devant la proviseure pour lui demander pardon et lui
promet tout ce qu’elle voudra. Fabienne D. lui dit qu’il est trop tard pour ça,
elle a fauté et elle doit en assumer les conséquences. Fabienne D. fait relever
Marie P. mais celle-ci refuse de se faire fesser en public. Fabienne D.
s’énerve et lui dit que si elle n’y va pas de gré, elle appellera des
professeurs masculins et elle sera trainée de force jusqu’au hall où elle sera
mise nue et de toute façon, elle recevra sa correction. Cette menace fait
tomber la résistance de Marie P. qui se relève et se dirige vers la sortie,
résignée et le visage en sanglots.
En
sortant du secrétariat, elles croisent Mère supérieure Jolanta O. et Sœur
Weronika S. qui viennent à leur rencontre. Fabienne D. demande aux deux
religieuses de se munir de cannes souples et de les accompagner, car ce seront
elles qui corrigeront Marie P.
Les
quatre femmes déambulent dans les couloirs pour arriver dans le hall où Marie
P. n’ose pas entrer, car des dizaines d’yeux se tournent vers elle.
Instinctivement, elle se cache le pubis, humiliée d’être à la vue de tout le
monde. Les joues empourprées, elle sanglote de plus belle, comme une petite
fille.
Un
garçon, près de Pauline, lui dit que sa mère n’est pas très courageuse car
qu’elle pourrait, au moins, assumer ses conneries et il est ravi que pour une
fois, ce soit quelqu’un d’autre qu’un élève qui se retrouve les fesses à l’air,
mais que c’est bien dommage qu’elle ne soit pas « à poil ». Et il ajoute à ce
qu’il voit, elle n’a plus de poils... Il va se régaler lorsqu’on va lui écarter
les cuisses ! En entendant ces injures, Pauline laisse couler ses larmes et de
colère, tente de gifler le garçon, rattrapée de justesse par une autre fille qui
l’empêche de faire une grosse bêtise, car la violence la conduirait auprès de
sa mère, elle aussi, les fesses à l’air.
Dans le
hall, Mère supérieure Jolanta O. et Sœur Weronika S. poussent Marie P. et
l’obligent à traverser la foule des élèves qui ne se privent pas pour se
moquer, renforçant l’humiliation subie. Certains n’hésitent pas à lui toucher
les fesses, ce qui fait grogner Marie P. Les deux religieuses l’attachent
solidement, le buste penché à angle droit et les bras écartés, puis lui
écartent largement les cuisses et lui attachent les chevilles à la base des
poteaux. De là où je suis, j’ai une vue directe sur sa fente bien rouge et
entrouverte et les replis de son anus.
Fabienne
D. annonce le châtiment destiné à la secrétaire de l’établissement pour une
faute professionnelle : cinquante coups de canne sur les fesses et sur les
cuisses, après quoi, elle restera le bas du corps nu pour le restant de la
journée. Mère supérieure Jolanta O. et Sœur Weronika S. exhibent leur canne et
les font siffler dans l’air. En entendant les sifflements des cannes, Marie P.
hurle de peur et se débat violemment en demandant pardon. Malgré ses suppliques
déchirantes, personne ne lui vient en aide, trop heureux de voir une personne
du corps enseignant en si mauvaise posture.
Fabienne
D. donne l’autorisation aux religieuses de la fesser et leur demande de lui
faire regretter sa faute lourde. De part et d’autre, à tour de rôle, Mère
supérieure Jolanta O. et Sœur Weronika S. lui cinglent le bas du corps. Marie
P. hurle à gorge déployée à chaque cinglée en se débattant comme une diablesse,
contractant frénétiquement ses fesses pour tenter de résister à l’intense
douleur qui irradie son fessier et ses cuisses. Des marques bien rouges lui
zèbrent déjà une grande partie de ses chairs. Elle tire sur ses liens pour se
dégager, mais sans succès. Nous voyons son anus et sa fente se contracter puis
se dilater au rythme des coups. Lorsque la douleur est à son paroxysme, nous la
voyons se dresser sur la pointe de ses pieds, les cuisses encore plus ouvertes.
Nous savons qu’à ce moment-là, sa pudeur est le moindre de ses soucis et tant
pis si elle se ridiculise. D’ailleurs même les commentaires les plus salaces
lui sont indifférents. De la cyprine dégouline de son vagin ouvert, faisant rire
les garçons du premier rang.
Les deux
religieuses ne ménagent pas la secrétaire qui est toute rouge à force de
hurler. De la sueur perle sur son corps due à ses efforts et ses contorsions.
Le bas de son corps n’est que douleur incandescente.
Le
divertissement ravi les spectateurs. Plusieurs garçons se caressent
énergiquement le pénis. Des auréoles comment à orner les entrejambes de
certains qui ont voulu assister à l’intégralité de la punition, mais qui ont vu
leur plaisir exploser plus tôt que souhaité. Les filles ne sont pas en reste.
Certaines seront obligées de passer le reste de l’après-midi avec la culotte
maculée de cyprine, ce qui est mon cas, car à force de me titiller le clitoris,
mon plaisir est arrivé et sans pouvoir me retenir, ma cyprine a coulé beaucoup
plus que je n’aurais imaginé et j’ai toutes les peines du monde de ne pas crier
de jouissance lorsque celle-ci me submerge. Certains étudiants sont discrets
pour se masturber, d’autres absolument pas.
Lorsque
Marie P. a reçu les cinquante coups de canne, la proviseure vient et nous dit
qu’elle espère que tout le monde a bien retenu ce qu’il se passe lorsque des
fautes sont commises. Nous voyons son postérieur et ses cuisses où il ne reste
plus beaucoup de zones blanches. Marie P. est détachée et nous l’entendons
toujours gémir et sangloter. Mère supérieure Jolanta O. et Sœur Weronika S.
l’aident à se relever. Laetitia F. examine rapidement la secrétaire et lui dit
qu’elles vont aller à l’infirmerie pour quelques soins. Toute tremblante, le chemisier
lui collant à la peau et les cheveux collés au visage d’avoir transpiré, Marie
P. avance en titubant et les cuisses écartées, ce qui fait rire tout le monde.
Pauline, sa fille se précipite pour aider sa mère. Mère supérieure Jolanta O.
dit à Marie P. qu’à présent, elle est pardonnée de ses fautes.
Lorsqu’elles
sont à l’infirmerie, Laetitia F. déshabille entièrement Marie P., car garder
son chemisier et son soutien-gorge trempés de sueur ne serait pas hygiénique et
elle risquerait de prendre froid. C’est nue qu’elle est allongée sur la table
d’examen et que l’infirmière lui étale généreusement une crème sensée être
apaisante. Pauline, Mère supérieure Jolanta O. et Sœur Weronika S. sont priées
de sortir afin que Marie P. puisse être au calme et se reposer.
Après les
soins, Laetitia F. passe un linge mouillé sur tout le corps de sa patiente pour
la rincer de sa sueur et après cette toilette sommaire, la sèche délicatement,
puis la fait boire pour la réhydrater.
Du côté
des étudiants et étudiantes, c’est la course vers les toilettes, soit pour se
soulager soit pour se nettoyer, car très peu de personnes peuvent rester
stoïque en ayant assisté à ce genre de scènes. Je vois que mes amies, en
autres, Olga, Iourievna et Léa sont dans la file d’attente et à leur façon de
se tenir, je me doute que leur culotte n’est pas plus propre que la mienne.
Lorsqu’enfin je suis dans la cabine, je la retire et je me rends compte que je
ne pourrais pas la remettre pour l’après-midi. Je suis contrainte de la glisser
au fond de mon sac et de rester les fesses nues sous ma jupe, en espérant qu’un
coup de vent ne vienne pas la relever et tout exhiber ! Je me console par le
fait que je ne serai surement pas la seule fille qui sera sans culotte pour
l’après-midi, ce qui m’est confirmé par mes amies lorsqu’elles sont passées aux
toilettes, par contre celles qui sont en pantalon auront un avantage sur celles
qui portent une jupe.
Trois
quart d’heure plus tard, Marie P., ayant un peu repris ses esprits, sort de
l’infirmerie, entièrement nue, pour rejoindre son bureau. Ses vêtements n’étant
pas secs, elle ne reçoit pas l’autorisation de se couvrir, même le haut du
corps. Marie P. rejoint le secrétariat, les fesses meurtries, brulantes et
humiliée d’avoir été fessée comme une étudiante. Dans les couloirs, en croisant
plusieurs élèves, elle sent que ses tétons se dressent et que son visage
s’empourpre par la honte d’être nue devant des personnes hilares de la voir
comme ça.
Lorsqu’elle
est revenue à son bureau, les larmes aux yeux, elle termine sa journée de
travail, debout et en silence, à compléter le dossier, après quoi, elle est
convoquée chez la proviseure qui lui rend son tailleur. La proviseure lui fait
la morale et lui dit qu’elle espère qu’elle aura retenu la leçon et qu’elle
n’hésitera pas à recommencer si le besoin s’en faisait sentir. S’il y avait une
prochaine fois, ce sera nue et en plus des coups de cannes, elle recevra des
coups de fouet sur le dos, sur le ventre et sur les seins, car elle sera mise
au même régime que les étudiantes et ce n’est pas son statut de secrétaire qui
la sauvera, qu’elle se le tienne pour dit.
Après
avoir récupéré sa fille Pauline, les deux femmes regagnent leur domicile en
voiture. Marie P. tente de fermer sa veste le plus possible pour ne pas trop
exhiber sa nudité en dessous. En s’asseyant sur le siège conducteur, malgré
mille précautions, elle pousse des cris de douleur, car la cuisson reprend de
plus belle, ses fesses au contact d’une partie solide. Durant tout le voyage,
elle gémit en se dandinant de droite et de gauche sur son siège pour soulager
la douleur de ses fesses et de ses cuisses.
En
arrivant à leur domicile, Pauline aide sa Maman à descendre de voiture et Marie
P. à toutes les peines du monde à se retenir de hurler de douleur. Lorsqu’elles
sont chez elles, Marie P. se déshabille puis s’allonge sur son lit et Pauline
vient lui poser des linges humides et frais sur les fesses et les cuisses.
Après un peu de repos, avec courage, Marie P. se lève pour préparer, avec
Pauline, le repas pour la famille.
Le
lendemain, après une nuit parsemée de cauchemars, Marie P. doit aller
travailler pour terminer ce fichu dossier, car le rectorat l’attend de toute
urgence. Elle n’a même pas le droit de rester chez elle pour récupérer. Vêtue
d’un pantalon assez large, sans culotte en dessous, Marie P. arrive à Ste CROIX
et tente de ne croiser personne pour tenter de se faire oublier. Seuls les
professeurs qui viennent au secrétariat ont la possibilité de croiser Marie P.,
qui n’en mène pas large et n’ose plus affronter leur regard.
Entre
temps, au secrétariat du recteur, Stéphanie D. retrouve le dossier perdu.
Celui-ci était simplement rangé à la mauvaise place. Stéphanie D. passe un coup
de téléphone à Fabienne D. en disant, toute contente, que le dossier venait d’être
retrouvé et que tout était en ordre. La proviseure croit s’étrangler en
entendant ça, car elle se sent affreusement coupable d’avoir durement châtié sa
secrétaire en public. De peur de sa réaction, Fabienne D. ne dit pas à Marie P.
que le dossier est bien parvenu au rectorat et qu’elle est mise hors de cause.
Elle la laisse terminer son travail, en disant à Stéphanie D. de ne surtout
rien dire. Fabienne D. passe un sacré savon à la secrétaire du rectorat en
disant qu’elle aurait pu faire attention avant d’incriminer Marie P.
Super
gênée tout de même, Fabienne D. tente de se montrer moins sévère avec sa
secrétaire. Elle lui explique que maintenant qu’elle a payé sa dette, elle ne
lui en veut plus du tout, que tout est oublié et pour la remercier de son bon
travail, elle lui accorde gracieusement deux jours de repos complets pour
qu’elle puisse se remettre de sa pénible épreuve. C’est sa façon de tenter de
s’amender vis-à-vis de sa secrétaire, qui était réellement innocente. Cette
manœuvre d’apaisement est faite pour ne pas perdre la face et de devoir avouer
qu’elle a eu tort, car Marie P. pourrait porter plainte pour sanction abusive
si elle venait à apprendre la vérité sur le dossier...
Une série écrite par Elena
Elle nous revient pour quelques épisodes, un, c'est sûr, deux, très probable, plus ? ça semble le cas ! L'aventure continue !
Dans l'entourage d'Iourevna d'autres fessées ont déjà été administrées, lisez-les ici : chapitre 1, le début de la série et l'épisode précédent, le chapitre 25
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Bonjour, Elena. Et bonjour à tous.
RépondreSupprimerÊtre fessée, à 40 ans, devant toute l'école Sainte-Croix réunie, quelle humiliation! D'autant plus difficile à supporter que cette correction est administrée à tort à cette secrétaire qui n'avait pas commis la moindre faute. La véritable coupable sera-t-elle à son tour punie? Rien n'est moins sûr. Mais ce serait quand même la moindre des choses.
En tout cas, c'est un épisode qui va mettre Théo en joie, lui qui n'aime rien tant que de voir châtier des femmes mûres.
Amicalement.
François
François,
SupprimerJe commence à connaître Héléna et son côté amoral. Je ne serai donc pas du tout étonné si la véritable coupable passe à travers les gouttes. Héléna est tout à fait capable de laisser ce forfait impuni.
au plaisir de vous lire,
JLG.
Bonjour à Tous les deux,
SupprimerPour le moment, je n'en sais rien. p'tet ben qu'oui, p'tet ben qu'non ! Ma première idée était qu'il ne lui arrivera rien, car elle a juré à notre proviseure de garder le secret et cette dernière aurait tout à perdre en révélant le dessous de l'histoire. Si l'une tombe, l'autre aussi.
Se trouvant à NICE ( ville du rectorat dont Ste CROIX dépend ), il y fort peu de chance que quelqu'un de votre ville la rencontre pour lui poser des questions... Surtout, pour quelles raisons le faire, alors que tout le monde, pense que le dossier a été perdu par la faute de la secrétaire. Et Marie P. aura à coeur de se faire oublier un moment, donc pas de vagues de se côté-là.
Mais sait-on jamais, dans un prochain épisode. A réfléchir.
Amitiés.
Elena
Bonjour François,
SupprimerEn effet, se faire fesser à 40 ans, comme une gamine, n'est pas très reluisant. Croisant du monde dans l'établissement, tout le monde aura à l'esprit la scène où elle n'était vraiment pas à son avantage.
Théo et les autres d'ailleurs. Mais pas que, car certaines filles ont été passablement émoustillées de regarder leur secrétaire gigoter et hurler sous les claquements sonores des cannes, puis déambuler nue dans les couloirs de l'établissement. Je n'ai pas été en reste, pour le coup... Je suis comme toutes les autres filles de mon école, j'aime regarder les autres se faire corriger.
Amitiés.
Elena
Bonjour Elena. Et bonjour à tous.
SupprimerQue bien des filles aient été émoustillées par le spectacle qui leur était offert, quoi de plus naturel?
Et le contraste entre la vision qu'ils avaient jusque là de cette secrétaire à l'air sérieux, aux tenues raisonnables, à l'aspect très lisse, très probablement un peu rigide et sa nudité brusquement exposée et sa perte de contrôle sous les claquées a sans doute été pour beaucoup dans le plaisir que spectateurs et spectatrices en ont retiré.
Amicalement.
François
Bonjour François,
SupprimerOui, très certainement. Mais la cerise sur le gâteau est que c'est une personne de l'encadrement qui est fessée devant les élèves. En principe, c'est plutôt les étudiants qui sont fouetter, pas le corps enseignant.
Amitiés.
Elena
Je pense a sa fille ...j espère qu'elle s'en remettra
RépondreSupprimerBonjour Caroline,
SupprimerMerci de votre commentaire. C'est la première fois que j'en lis un de notre part. Moi qui pensais être la seule fille du Blog... Heureuse que nous soyons au moins deux.
Pour répondre à votre question, Pauline se fera chahuter quelque peu par ses camarades ( masculins ), mais aura du soutien moral de la part de ses amies, surtout celles qui ont connues les fessées en public et qui savent ce que ça fait qu'être jetée en pâture et de sentir sur elle les regards malsains des spectateurs qui reverront encore et encore la scène si humiliante pour la punie. Pauline est une fille forte et ne s'en laissera pas compter. Elle saura protéger sa maman des réflexions et moqueries. Une réaction typiquement féminine, nous savons nous blinder lorsqu'il le faut lorsqu'il s'agit de protéger notre famille !
Amitiés.
Elena.
Je suis tout a faire d'accord avec vous. Elle saura prendre soin de sa mère. Mais je pense que leurs rapports vont changer. Surtout si la mère disciplinait sa fille. Elles sont sur un pied d'égalité maintenant. Biz
RépondreSupprimerBonjour Caroline,
RépondreSupprimerAbsolument. Si Pauline faute de nouveau, sa maman sera peut-être moins tentée de la corriger sachant la douleur et la honte que ça provoque. Mais quoi de moins sûr, si Pauline dépasse vraiment les bornes !
Bises
Elena
Ce qui arrivera sans doute un jour...
RépondreSupprimer