Une voix féminine lui
répondit, il se présenta, la porte s'ouvrit. Dans le hall d'accueil qui
ressemblait à une salle d'attente avec quelques chaises et derrière un comptoir
une jeune femme blonde et souriante l'accueillit.
- bonjour, Gérard je vous
attendais,
- c'est bien, vous êtes à
l'heure, nous sommes très à cheval sur le respect des horaires de rdv.
Gérard était un peu
surpris d'être appelé directement par son prénom mais il se garda bien d'en
faire la remarque.
- bien, je vois que vous
êtes là pour un stage de remise à niveau de 5 jours, suivez-moi.
Elle se leva et ouvrit
une porte, c'était une pièce avec des porte manteau et une chaise.
- déshabillez-vous, je
reviens avec votre tenue de stage.
Elle s'éclipsa sans
fermer la porte, bien qu'habitué à obéir sans discuter avec la ferme éducation
qu'il recevait chez lui, il resta sur place sans réagir. Sophie la jeune
assistante de Madame Rose revenait avec des vêtements sous le bras.
- mais je rêve !
Qu'est-ce que vous faites là les bras ballants, je vous ai dit de vous déshabillez.
Elle fit pivoter Gérard
et elle lui administra une dizaine de claques sur les fesses encore couvertes
par les vêtements. Surpris par cette petite fessée impromptue le monsieur de 45
ans, habitué à de bien plus sévère correction ne protesta pas mais il piqua un
fard car la personne qui le traitait comme un gamin désobéissant n'avait guère
plus que 25 ans.
- il va falloir apprendre
à obéir, monsieur sinon vos fesses vont en payer le prix ! Allez enlever moi ce
pantalon, oui et la culotte aussi !
Gérard suivait les
consignes à la lettre et il se trouvait maintenant fesses à l'air devant cette
jeune femme qui sans manière le courba sous son bras et se mit en devoir de lui
administrer sa première vraie fessée à l'institut, mais ce ne serait pas la dernière.
Revenons un peu en
arrière, Sylvie l'épouse de Gérard pratiquait la discipline domestique depuis
un moment mais par une amie elle avait appris l'existence de cet institut un
peu particulier. Madame Rose avait créé cet institut qui proposait des services
que l'on ne trouvait que rarement à savoir l'épilation intime, le traitement de
la cellulite par une méthode révolutionnaire et la fessothérapie. Cet institut
n'était accessible que par cooptation, il fallait être introduit par un membre
en effet pour bénéficier des prestations il fallait payer une cotisation et
signer la charte qui précisait les différentes conditions d'application des
traitements.
Sylvie avait pu adhérer
par l'intermédiaire de sa voisine Isabelle et en étudiant la plaquette elle
avait trouvé son bonheur, Madame Rose proposait un stage de remise à niveau
pour adultes désobéissant ou paresseux consistant en une fessothérapie punitive
pendant 5 jours. Elle avait immédiatement pris rdv et Gérard s'était vu offrir
ce stage en cadeau d'anniversaire.
Sophie avait relâché
Gérard et elle lui présentait sa tenue, un bermuda, une culotte blanche, des
socquettes blanches et un polo, une parfaite tenue de collégien anglais. Elle
le surveilla pendant qu'il s'habillait, puis elle le laissa. Il s'aperçut qu'il
y avait une porte entrouverte, il y jeta un œil, le spectacle était édifiant.
Une solide femme d'une cinquantaine d'années assise sur une chaise tenait
allongée sur ses genoux une dame, qui malgré son âge était dans une position
peu enviable, la jupe retroussée et la culotte descendue sous les fesses.
- bien chère Madame vous
voilà en bonne position pour la fessée de maman Rose.
Madame Rose, puisque
c'était elle qui tenait Monique Dumon sur ses genoux leva la main et commença à
administrer à sa patiente une magistrale fessée, la main claquait
alternativement la fesse droite puis la gauche, c'était une redoutable fesseuse
et au bout de quelques instants la punie se mit à pleurer et à implorer la
clémence.
- et oui, je sais ça
brûle la fessée, c'est même fait pour ça, oh, c'est ça remuez bien les jambes,
serrez les fesses, vous aurez votre fessée, vous l'avez mérité.
Tout en commentant la
punition, elle continuait à administrer de solides claques sur ce fessier si
bien présenté, il avait pris rapidement une belle couleur carmin, il ne s'était
pas écoulé plus de trois minutes quand elle cessa la correction, une paire de
fesses brûlantes qui se contractait sous ses yeux pour atténuer la cuisson,
elle souriait satisfaite, c'était toujours un plaisir pour elle d'administrer
une fessée à une dame de la bonne société et de les voir pleurer et supplier
après une bonne déculottée. Elle fit relever Monique et lui saisissant
l'oreille elle la conduisit au coin de la pièce.
- bien, les mains sur la
tête et le nez au mur, on ne bouge pas, on va retrousser cette jupe, ce serait
dommage de se priver du joli spectacle de vos fesses rouges, mes félicitations Madame,
vous avez un magnifique postérieur.
Madame Rose adorait
ajouter à l'humiliation d'exposer ses fesses nues un petit commentaire qui
pimentait la punition.
Monique Dumon nez au mur
et les mains sur la tête ressentait une intense cuisson envahir la partie la
plus charnue de son individu, elle regrettait amèrement ce moment d'égarement
où sous l'emprise de l'alcool elle avait dragué d'une façon éhontée le mari de
sa meilleure amie, celle-ci s'en était rendue compte et le lendemain devant les
regrets sincères de Monique avait accepté de passer l'éponge à condition que
celle-ci accepte de se rendre chez Madame Rose pour dix séances de
fessothérapie punitive. Elle avait ajouté en riant.
- et puis en plus ma
chérie c'est bon pour la cellulite, ne t'inquiète pas, Madame Rose est une
spécialiste ça sera douloureux pour tes fesses et pour ton amour propre mais
une bonne déculottée n'a jamais tué personne.
Et c'est comme ça que
pour la troisième fois de la semaine, elle se retrouvait culotte baissée et
jupe retroussée contrainte d'exposer ses fesses écarlates, elle
l'ophtalmologiste réputée, mère de deux grandes filles réduite à une condition
de gamine qu'on déculotte et que l'on fesse à volonté.
Pendant que Monique se
livrait à ces réflexions, Madame Rose s'était dirigé vers la porte, Gérard
s'était reculé vivement. Quand elle ouvrit celle-ci il constata que sa future fesseuse
n'était pas très grande mais ses formes rondes, ses cheveux tirés en chignon et
son regard bleu d'azur dégageait une autorité naturelle. Elle lui fit signe
d'avancer.
- alors c'est vous,
Gérard, votre épouse n'a pas l'air très satisfaite de vous à ce qu'on m'a dit,
je pense qu'après ce petit stage chez nous elle sera contente du résultat.
Gérard n'en menait pas
large, s’il était habitué à recevoir la fessée par sa femme, il n'avait jamais
été fessé par une autre personne, sauf tout à l'heure par Sophie pensa t'il
rapidement, mais il se doutait bien après avoir assisté à la correction de la
dame qui l'avait précédé que la petite fessée de la jeune femme n'était qu'un
apéritif. En entendant Madame Rose parler, Monique sut que quelqu'un d'autre
était dans la pièce et avait tout le loisir d'admirer le spectacle qu'elle
offrait bien malgré elle, ses fesses rondes écarlates soulignées par la
blancheur de la culotte descendue juste en dessous. C'était un plaisir que
s'offrait Madame Rose, fesser deux personnes dans la même pièce mais sans qu'il
puisse se reconnaître puisqu'il ne voyait que les fesses de leur malheureux
compagnon ou compagne. Gérard se rendit compte qu’en plus de recevoir la fessée
d'une main étrangère il allait exposer ses cris et ses supplications à une dame
inconnue.
Madame Rose n'avait cure
de ses interrogations, elle s'était assise sur une chaise avait fait approcher
ce monsieur redevenu un collégien soumis à la rude discipline d'une professeure
en colère. Le bermuda avait glissé sur les chevilles et Gérard se retrouvait
maintenant dans la position classique pour une bonne fessée, allongé en travers
des cuisses de sa fesseuse, les mains sur le sol, les pieds pendant de l'autre
côté et au milieu de cette courbe, son fessier bien exposé encore protégé par
la culotte blanche qui tendue par la position avait tendance à rentrer dans la
raie fessière. La protection ne dura pas longtemps, Madame Rose était une
experte en déculottage, le dernier rempart de sa pudeur était maintenant
descendu à mi-cuisse. Et soudain la fessée commença une succession de
formidables claques qui embrasèrent son postérieur, il s'était promis de
résister, mais la cuisson était trop intense, il se mit à crier et à supplier
puis à pleurer comme Monique quelques instants auparavant. Les fessées de Madame
Rose étaient toujours très rapides mais très intenses au bout de quelques
minutes les fesses étaient écarlates et brûlantes. Gérard se rendait compte que
les fessées de Sylvie bien que très douloureuse étaient bien moins sévères que
celle-ci, quand enfin l'avalanche des claques cessa une intense cuisson lui
embrasait le bas des reins, il avait l'impression d'être assis sur un poêle
brûlant. Madame Rose savourait ces moments où un adulte perdait de sa superbe
en exposant un derrière bien rouge, retombé en enfance, redevenu un sale gosse
déculotté sur les genoux de sa maman, sanglotant et implorant la clémence elle
les laissait en général quelques instants dans cette position humiliante.
Elle le fit se relever et
le conduisit devant une grande glace qui permettait au puni s’il le désirait de
se voir dans une position peu enviable en train de recevoir leur correction.
- tenez, mettez vos mains
sur la tête et tournez-vous pour bien voir vos jolies fesses bien rouges, on va
faire une photo que votre épouse puisse constater que j'ai bien travaillé.
La photo était éloquente,
on voyait la paire de fesses bien rouge soulignée par la culotte à mi-cuisse et
dans la glace on distinguait bien le visage du puni. Madame Rose pratiquait
toujours ainsi, elle avait une très belle collection de fessiers écarlates de
nombreuses personnes de cette ville, la simple suggestion que ces photos
pourraient illustrer une page Facebook incitait ses clients à la discrétion et
à l'obéissance.
Gérard rejoignit
rapidement le coin qui lui était assigné, encouragé par une vigoureuse claque
sur son derrière brûlant.
Madame Rose appela
Monique Dumon, celle-ci se dirigea à petit pas vers sa fesseuse en gardant ses
mains sur la tête.
- tournez-vous que je voie
vos fesses, c'est parfait elles sont prêtes pour la suite, vous allez demander
à Sophie de vous donner le martinet numéro deux.
Monique marqua un instant
d'hésitation, la main de Madame Rose lui claqua vivement la fesse droite puis
la gauche pour lui rappeler à l'obéissance immédiate. Elle se dirigea vers la
porte qui donnait sur le hall d'accueil et ce qu'elle craignait se réalisa,
Sophie n'était pas seule, elle discutait avec deux dames. En la voyant arriver
elle s'interrompit et interrogea Monique du regard, celle-ci les joues rouges
comme ses fesses bredouilla quelques mots.
- mais enfin, Monique,
articulez, je ne comprends rien.
En fait elle avait
parfaitement compris la demande de la pauvre Monique mais elle voulait enfoncer
le clou et la forcer à bien la reformuler.
- euh, Madame Rose
voudrait que vous me donniez, euh, euh, le martinet.
- ah, c'est donc ça, un
martinet pour vos petites fesses, et lequel, elle a bien du vous le dire.
- euh, euh, oui le numéro
deux.
- et bien, ça va bien
claquer sur votre joli derrière, je peux vous l'assurer.
Puis s'adressant à ces
deux clientes.
- comme je vous le disais
tout à l'heure nous avons plusieurs modèles de martinet, ils portent chacun un
numéro qui correspond à la longueur des lanières, le numéro deux c'est celui-là,
les lanières mesurent environ 30 cm ce qui permet plusieurs positions pour la
fessée ou classique allongée sur les genoux où bien sur un chevalet ou un
fauteuil et cette longueur permet une fessée sévère.
Tout en disant cela elle
caressait les lanières, Monique était effrayée par cet instrument et la
description de sa future punition. Sophie lui tendit le martinet, elle le prit
et pour éviter d'exposer ses fesses dénudées elle commença à reculer vers la
porte, Sophie eut vite fait de la rappeler à l'ordre,
- cessez ces simagrées Madame,
et tournez-vous ! Vous n'allez tout de même pas rentrer en marche arrière dans
le bureau de Madame Rose !
De plus en plus rouge,
Monique s'exécuta et les trois femmes purent admirer ses fesses écarlates
encadrées par la culotte blanche descendue sous les fesses et la jupe épinglée
dans le dos. La plus jeune des deux dames émis un petit cri de surprise.
- et bien ça c'est une
belle fessée, quel résultat, tu vois ma chérie ce qui arrive au vilaines
filles.
Son amie piqua un fard
mais ne répondis pas. Monique tenant son instrument de punition à la main
rentra dans le bureau, elle aperçut le monsieur qui avait reçu sa fessée
pendant qu'elle était au coin, la couleur de ses fesses ne laissait aucun doute
sur la sévérité de la correction, la cuisson devait être encore intense au vu
des contactions du fessier cherchant à atténuer la douleur. Elle tendit le
martinet à Madame Rose. Celle-ci s'en saisi et avec le manche elle lui montra
un fauteuil.
- mettez-vous à genoux là
et vous me tendez bien vos fesses, voilà c'est bien, penchez-vous encore un
peu, quelle belle paire de fesses, ne les serrez pas trop sinon le martinet
vous cuira encore plus, c'est ça voilà allez on écarte un peu les jambes.
Madame Rose en fesseuse
experte plaçait sa punie comme il fallait pour que la fessée au martinet
produise son effet au maximum.
Monique Dumon était rouge
de honte de devoir exposer ainsi son intimité, ses fesses nues, bien tendues et
présentées aux lanières qui allaient dans un instant mordre ses chairs si
tendres. Elle n'eut pas longtemps à attendre, elle poussa un cri quand ses
fesses furent cinglées par les 10 lanières de cuir, Madame Rose habituée à
entendre ses punies pleurer et implorer la fin de la punition ne se laissa pas
émouvoir et elle continua jusqu'au bout la punition prévue. Après une
cinquantaine de cinglades, elle fit une pause pour passer sa main sur la croupe
écarlate.
- cessez ces
pleurnicheries madame, vous avez mérité la fessée et vous l'aurez jusqu'à ce
que je juge la punition suffisante, ces fesses sont tout juste chaudes, encore
un peu de martinet et vous irez les faire refroidir dans le hall, tout le monde
pourra les voir.
La fessée repris et
Monique reçu comme prévu une cinquantaine de cinglées supplémentaires. La
fessée terminée, Madame Rose la laissa quelques instants sangloter et serrer
ses fesses, puis elle appela Sophie.
- vous m'emmener cette
vilaine fille et vous la mettez au coin, que tout le monde puisse voir ses
fesses rouges, une heure au coin et je compte sur vous pour que ses fesses
restent à la bonne couleur. Sophie souri, ça lui donnait la permission de
fesser cette bourgeoise à sa guise et elle ne s'en priverait pas, elle saisit
Monique par l'oreille pour la faire se relever et elle la conduisit au coin en
face de son bureau, les deux clientes étaient toujours là et elles regardaient
avec attention ce spectacle, une dame d'une quarantaine d'années, culotte à mi-cuisse,
jupe retroussée, tenue par l'oreille par une très jeune femme qui la traitait
comme une gamine et accompagnait sa marche de quelques claques sur les fesses
déjà très rouges.
- je pense que vous vous
rappelez comment vous devez vous tenir, c'est comme hier, le nez bien collé au
mur et les mains sur la tête et vous ne bougez pas.
Sophie avait
ostensiblement parlé de la veille afin que les spectateurs sachent que cette
dame n'en était pas à sa première punition.
Pendant ce temps Madame
Rose s'était dirigé vers Gérard qui exposait toujours ses fesses écarlates dans
le coin de la pièce, elle le saisi par l'oreille pour l'amener vers son bureau
où elle prit une belle règle plate en bois longue de 50 cm, puis elle posa son
pied sur la chaise et soulevant Gérard qui n'était très grand elle le fit
basculer sur sa cuisse horizontale, ses pieds ne touchait plus le sol, il se
cramponna au dossier de la chaise, mais Madame Rose le tenait solidement, elle
était d'une force peu commune et son habitude d'administrer des fessées la
rendait très à l'aise pour maintenir ses patients avec les fesses bien
présentées. Elle leva la règle et commença la correction, Gérard se mit à crier
et à supplier, la brûlure de l'instrument était nouvelle, il n'avait jamais
reçu de fessée aussi cuisante, de plus la position adoptée par sa fesseuse
tendait parfaitement les fesses rendant les coups de règles encore plus
douloureux et bien tenu par la taille il ne pouvait que battre les jambes au
rythme de la fessée. Il jeta un œil dans la glace et ce qu'il vit le projeta 25
ans en arrière quand pendant un cours particulier d'anglais sa professeur avait
utilisé la même méthode pour lui inculquer les règles de la bonne conduite, il
avait 14 ans et elle n'avait pas hésité à le déculotter après une énième
désobéissance.
Aujourd'hui il en avait
40 mais madame Rose n'en avait cure et tandis qu'elle s'appliquait à lui rougir
uniformément la croupe, elle le grondait comme un gamin.
- ah, je vais vous
apprendre à obéir mon petit ami, oh ce n'est pas la peine de supplier, cette
fessée vous l'avez mérité et je peux vous dire qu'elle n'est pas finie, après
un séjour sur les genoux de Madame Rose on devient doux comme un agneau, c'est
ça gigotez autant que vous voulez, si vous voyez le spectacle que vous offrez
vous auriez honte, une bonne déculottée à 40 ans comme un sale gosse !
La règle n'avait pas
cessé ses allers et retours pendant cette tirade. Elle décida que la punition
devait être suffisante, toute la surface des fesses du bas des reins à la
racine des cuisses était rouge. Elle le reposa par terre et le saisissant immédiatement
par l'oreille, elle le reconduisit au coin.
Bonjour, Sylvie. Et bonjour à tous.
RépondreSupprimerUne cure de fessothérapie comme cadeau d'anniversaire, une punition pour drague éhontée du mari de la meilleure amie... Cet institut est une véritable bénédiction pour mettre au pas ceux qui en ont besoin et qui auront ensuite à coeur de modifier leur comportement. D'autant qu'aux cuisantes fessées viennent se surajouter des humiliations dues aux différences d'âge et à la présence de témoins. Sans compter que l'existence de photos des fessiers rougis concernés ne peut que rendre leurs propriétaires on ne peut plus conciliants.
Je sens que le lecteur va suivre avec délectation ce qui se passe dans cet institut.
Amicalement.
François
Bonjour Sylvie, bonjour François, et vous tous...
RépondreSupprimerExcellent prologue. En effet, nous attendons avec impatience la suite des évènements.
J'imagine bien la mini-BD élaborée à partir du récit.
Très réaliste. Madame Rose est une redoutable maitresse-femme, peu sensible aux gesticulations de ses "protégé/e/s". A suivre.
Bon WE. Peter.
Bonjour, Sylvie. Bonjour tout le monde,
RépondreSupprimerUne histoire qui commence très bien, institution, Mme Rose,fessothérapie tout y est pour avoir un récit très intéressant. Je pense que les lecteurs et lectrices vont suivre avec ravissement les aventures de Mme Rose et son institut très spécial ! !
Amis de la poésie et des remises à niveau par le fondement des choses ... Bonjour.
RépondreSupprimerEt bien voila un nouvel institut qui risque de faire des étincelles.
Madame Rose, ne manque pas du piquant de la fleur. La belle et forte femme, semble davantage portée sur le rouge aux fesses que sur le Rose associé à son nom.
On sent d'ailleurs, tout de suite, que le personnel féminin est particulièrement compétent et fait preuve d'une grande facilité de contact avec les postérieurs des stagiaires. Le dit "stage" commence d'ailleurs fessiers battant. On se déplace en propulsion arrière à grandes claques aux fesses.
Madame Rose se charge du déculottage des nouveaux arrivants. Elle a vite fait de prendre les choses en main... et te vous claque une première fessée de bienvenue qui donne à Gérard un avant goût de ce qui attend ses fesses pendant le cinq jours d'atelier fessées! Juste un petit aperçu de sa performante force de frappe.
Parce qu'elle a de l'expérience Madame Rose... En matière de pratique de la fessée, elle a vécu beaucoup plus que vivent les roses... l'espace de la fessée d'un matin...
Gare aux oreilles aussi, qu'elle tire sans pitié pour amener le puni sur les lieus de l'administration de sa fessée. Une chose est sûre, on ne se fera pas tirer les nôtres pour lire la suite!
Amicalement
Ramina
bonjour elle est ou cette madame rose qui donne la féssée car je suis intérésser même par deux femmes ou un couple mais les hommes regarde uniquement je suis en brtagne merci.
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