« C’est
ton dernier jour de punition. Dès demain, après que tu auras quitté la maison,
tu retrouveras toute ta liberté. »
Le
premier sentiment de Marguerite, fut une grande satisfaction.
« Tu
n’auras plus à venir ici pour y passer le week-end et je suppose que je
n’aurais plus d’autorité sur toi. »
Ne
plus venir ici ? Se passer de la supervision stricte, mais attentive de
Teva ? Cela assombrit les pensées de Marguerite.
« J’ai
été contente que tu passes ces quatre week-ends avec nous. Je comprendrai
facilement que tu ne veuilles plus venir. Cela n’a pas dû être facile de
recevoir toutes ces fessées. Note bien : je pense qu’elles étaient
méritées et que tu en avais besoin. Je ne suis pas certaine que tu sois capable
de t’occuper de toi correctement. »
Marguerite
qui avait entrevu, avec Teva et Hélène, ce que voulait dire être exigeante avec
soi-même, partageait le sentiment de Teva. Pire, elle n’était pas certaine
d’avoir envie d’essayer sans quelqu’un pour la remettre dans le droit chemin
quand il le faudrait. Ces quatre semaines avaient profondément changé sa vie.
Bien
sûr, il y avait les fessées au travail. La fin de la punition chez Teva
n’impliquait pas la fin des corrections qu’elle recevait de la part de sa
cheffe. Celle-ci avait trouvé une façon de faire régner l’ordre et d’obliger
chacun des employés à augmenter son niveau de conscience professionnelle, elle
n’était pas prête à y renoncer, d’autant plus que l’administration de fessées à
ceux qui ne donnaient pas satisfaction, s’était généralisée à toute
l’entreprise. Bien que ce ne soit pas réjouissant de risquer d’être déculottée
et fessée devant tous ses collègues, Marguerite en reconnaissait la pertinence.
Elle constatait, par elle-même, sa plus grande attention à son travail.
Teva
la serra contre son sein et sa main passa dans le dos de sa grande fille. C’est
ce geste qui déclencha les larmes de Marguerite.
« Et
bien, qu’est-ce que c’est que cela ? D’habitude, les pleurs, c’est réservé
aux fessées ! Qu’est-ce que c’est que ce gros chagrin ? »
Marguerite
essaya de s’expliquer, mais ses sanglots l’empêchaient de sortir deux mots de
suite que Teva comprenait.
« Chut,
chut ! Tu finis de pleurer d’abord. On verra cela après. »
Teva
sentait qu’il y avait quelque chose d’important. Pour l’aborder, Marguerite
avait besoin de se sentir en toute sécurité. Teva posa la tête de la jeune
femme sur son épaule, elle la serra plus étroitement contre elle et sa main
passa sous la chemise de nuit de la jeune fille et elle lui caressa les fesses.
Marguerite mit une ou deux minutes à retrouver un calme suffisant pour
s’expliquer.
« Alors,
dis-moi ! »
Marguerite
soupira. Le contact étroit avec Teva l’avait rassuré. Sa mère adoptive le
redressa sur ses genoux. Elle prit le menton de Marguerite dans sa main.
« Est-ce
que je pourrai revenir ici ?
–
Bien sûr, ma chérie. Tu pourras revenir. Par exemple pour voir Maeva.
–
Oui, je sais. Mais ce n’est pas ce que je voulais dire. Est-ce que je pourrai
venir encore habiter ici, de temps en temps ?
–
Habiter ici ? Et bien oui, naturellement. Tu veux continuer à venir le
week-end ? »
Marguerite
hocha la tête. C’est bien ce qu’elle voulait.
« Tu
sais que tu seras toujours la bienvenue ici, que ce soit pour rendre une courte
visite ou pour y rester quelques jours. Tu fais partie de mes filles,
maintenant. »
Marguerite
entoura le cou de Teva de ses bras. Elle était soulagée.
« Tu
te doutes, par contre, que si tu habites ici, rien ne changera. Il y aura
toujours la fessée quand tu le mériteras. »
La
fessée, la belle affaire. Evidemment qu’il y aurait des fessées. Elle ne l’avait
jamais envisagé autrement. Elle finit la soirée dans les bras de Teva,
s’apaisant petit à petit.
En
la quittant le lundi matin, Teva lui rappela.
« Tu
reviens quand tu veux. Nous serons très heureux de d’accueillir de
nouveau. »
Marguerite
sonna à la porte le vendredi suivant. Teva la prit dans ses bras. Moins d’une
heure plus tard, courbée sous le bras de Teva, elle prenait une fessée. Maeva
attendait son tour. Marguerite ne protesta pas. Si Teva avait décidé de la
punir, c’est surement qu’il y avait une bonne raison et elle n’eut pas besoin
de réfléchir bien longtemps pour savoir quelle en était la cause.
Elle
retourna travailler avec Hélène qui était toujours aussi difficile sur le
travail produit. Une bonne fessée et un long moment au coin le lui rappelèrent.
Elle repartit le lundi matin, mais ce n’était pas d’un pas léger.
Quand
elle revint le mardi soir, c’était une lettre à la main. Elle la tendit à Teva,
les yeux baissés.
« J’ai
été punie. Je ne savais pas à qui demander pour la fessée à la maison.
–
Peut-être à Hélène, suggéra Teva ? »
Marguerite
réfléchit un court instant.
« Oui,
je vais demander à Hélène. »
Elle
sonna à la porte voisine. Quand Hélène constata qui était à sa porte, un large
sourire éclaira son visage. Quand Marguerite lui eut remis le courrier de sa
cheffe, c’est d’une voix sombre qu’elle lui dit.
« Entre !
Nous allons régler cela ! »
Ce
soir-là, Marguerite dormit chez Hélène dans ce qu’elle commençait à considérer
comme sa chambre ou plutôt l’une de ses chambres.
Teva
se dirigeait vers l’immeuble dans lequel Marguerite louait une chambre. Elle ne
l’avait pas vue depuis le mercredi matin quand, après l’avoir préparée, Hélène
l’avait envoyée au travail. Elle n’avait pas pu s’en occuper le mercredi, mais
elle avait libéré la fin d’après-midi du jeudi pour s’occuper d’un problème
qu’elle avait bien trop longtemps repoussé.
Il
était clair qu’il y avait une difficulté avec le lieu où résidait Marguerite. Elle
ne s’y trouvait pas bien. Teva voulait comprendre ce qui s’y passait et voir si
elle pouvait y remédier. C’est pour cela qu’elle se tenait devant la porte de
l’immeuble où habitait Marguerite.
Elle
n’avait pas prévu qu’il fallait un code pour entrer. Comment faire ?
Attendre qu’une personne lui ouvre la porte en entrant ou en sortant ?
Elle n’eut que peu de temps d’indécision. La porte s’ouvrit et une dame d’un
certain âge sortit. Elle avait l’air indignée.
« Ces
jeunes, plus aucun respect pour les personnes âgées ! Quelle
outrecuidance, quelle impolitesse ! »
Elle
ne prêta pas attention à Teva qui se faufila par la porte qu’elle venait
d’ouvrir.
« C’est
ça la vieille, tu peux continuer à radoter, mais ça ne te donne toujours pas le
droit de me dire ce que je dois faire ! »
C’était
un propos provenant du fond du hall d’entrée, d’une personne que Teva ne voyait
pas.
« Mais,
ce n’est pas possible ! Je reconnais cette voix ! »
Teva
fit quelques pas dans le hall. Une jeune femme y attendait l’ascenseur.
« Marguerite !
–
Oh, c’est toi, Teva ! »
La
surprise se sentait dans le ton de Marguerite et l’indignation dans celui de
Teva.
« Peux-tu
me redire ce que tu viens de proclamer à qui veut l’entendre ?
–
Euh… je ne… je ne sais plus…
–
Tu ne sais plus ? Serait-ce un nouveau mensonge ?
–
Non, non, mais je ne savais pas que tu étais là.
–
Ce qui veut dire que tu te permets ces insolences quand je ne suis pas
là ? »
Teva
avait pris le bras de Marguerite et elle l’avait placée dans une position
familière qui ne pouvait signifier qu’une chose : une prochaine fessée.
« Non,
Teva, s'il te plait, pas ici ! Quelqu’un pourrait venir !
–
Et alors, demanda Teva en relevant la jupe ?
–
Ils vont me voir !
–
C’est assez probable, répondit Teva en baissant la culotte !
–
Mais… mais…
–
Mais quoi ? Tu te permets d’être irrespectueuse en public et tu voudrais
ne pas en subir les conséquences en public ? Je trouve, au contraire que
c’est assez logique. Dommage que la dame à qui tu as manqué de respect ne soit
plus là ! »
La
protestation de Marguerite fut étouffée par les premières claques que Teva lui
distribua généreusement sur chaque fesse. Marguerite était bien décidée à
rester la plus discrète possible afin de ne pas ameuter le voisinage. Elle ne
tint qu’une petite trentaine de secondes avant de reprendre les bonnes vieilles
habitudes. Ses fesses dansaient sous les claques de Teva. Elle commença à trépigner
d’un pied sur l’autre, puis ses gémissements devinrent des cris étouffés et
bien vite de sonores plaintes à l’échauffement grandissant de ses fesses.
Il
n’était plus possible, pour quelque personne que ce soit qui mettrait une
oreille dans la cage d’escalier, d’ignorer qu’une fessée y était en cours. A
l’inverse des préoccupations habituelles de Marguerite pendant qu’elle recevait
la fessée, ses pensées étaient entièrement tournées vers ce qui se passait
autour d’elle. Elle tentait d’identifier, au travers le bruit que faisaient les
claques qui résonnaient sur ses fesses et ses propres cris, si une personne
risquait d’arriver dans le hall où elle prenait une fessée.
Son
angoisse monta d’un cran quand elle entendit l’ascenseur qui arrivait au
rez-de-chaussée.
« Aïe…
Teva… aie… l’ascenseur… aïe… arrive… aïe…
–
J’ai bien entendu que l’ascenseur arrive. Crois-tu que cela est suffisant pour
que j’arrête de te fesser ? S’il y a quelqu’un dedans, il pourra constater
que les demoiselles insolentes qui sont sous ma responsabilité, reçoivent leur
dû.
–
Aïe… s’il te plait… aïe… Teva… aïe… pas ici… aïe…
–
Désolé de te décevoir, ma grande, mais je trouve l’endroit particulièrement
adapté. »
L’ascenseur
s’arrêta. Marguerite ferma les yeux, ce qui ne l’aurait empêché, en aucun cas,
d’être vue par la personne qui était dans l’ascenseur. Marguerite se tendit,
attendant un cri de surprise. La porte resta fermée. Il n’y avait personne.
Dire que Marguerite en fut soulagée serait une exagération. La fessée que
continuait à lui administrer Teva ne lui laissait pas le loisir d’être
rassérénée. Ses fesses étaient en feu quand Teva cessa de la corriger.
« Je
devrais te mettre au coin ici !
–
Oh non, Teva, s'il te plait !
–
Tu as de la chance que j’aie besoin de toi dans ta chambre. Je vais attendre
d’y être arrivée pour te mettre au coin, malgré l’envie que j’ai de te laisser
ici. »
Teva
ouvrit la porte de l’ascenseur.
« Monte ! »
Marguerite
s’y précipita tout en remontant sa culotte.
« Il
n’en est pas question ! Laisse cette culotte où elle est. Ce sera sa place
tant que ta punition ne sera pas fine. »
Quatre
ou cinq claques sur les fesses vinrent souligner le sérieux du propos de Teva. Marguerite
la laissa remettre la culotte à sa place, à la hauteur de ses genoux et elle se
dépêcha de retrousser sa jupe. C’était ce qu’attendait Teva.
« Teva,
pleurnicha Marguerite, s’il y a quelqu’un là-haut ? Il va voir mes
fesses !
–
C’est probable. Et alors ?
–
Mais… mais… elles sont nues !
–
Je sais, c’est moi qui t’ai baissé la culotte. Et alors ?
–
Mais… je… je… je suis trop grande… trop grande pour montrer mes fesses… comme
ça !
–
C’est là où tu te trompes. Tu es loin d’être trop grande. Là n’est pas la
question. Si tu n’es pas trop grande pour être publiquement effrontée avec les
personnes plus âgées que toi, c’est que tu n’es pas non plus trop grande pour
recevoir la fessée publiquement. Et pour te donner la fessée, en ayant soin
qu’elle te soit profitable, il faut baisser la culotte. C’est donc normal que
tes fesses soient exposées devant tout le monde.
–
Oh, non !
–
De plus, je tiens à ce que les personnes que nous rencontrerons, sachent que tu
as été punie de ton insolence. Je suppose que la scène que j’ai entraperçue
s’est reproduite à maintes reprises. Ce n’est certainement pas la première fois
que tu te permets ces effronteries, n’est-ce pas ? »
Marguerite
resta silencieuse. Elle n’osait pas répondre à cette question. Fallait-il dire
la vérité ou mentir ? Dans les deux cas, la réaction de Teva était
incertaine.
« Faut-il
que je sonne à la porte de tes voisins pour leur demander comment ils jugent
ton comportement ?
–
Oh non, Teva, pas ça ! »
L’ascenseur
était arrivé au cinquième étage. Il n’allait pas plus haut alors que Marguerite
habitait à l’étage au-dessus, celui où se trouvaient les anciennes chambres de
bonne de cet immeuble bourgeois. Pour y accéder il fallait prendre l’escalier.
Teva dut prendre Marguerite par le bras pour la sortir de l’ascenseur. La
conversation se poursuivit sur le palier.
–
Alors ?
–
Je ne suis pas toujours très… mais c’est leur faute, ils ne sont pas agréables
avec moi et ils…
–
Ah oui, je vois. C’est la faute des autres !
–
Oui, c’est cela ! Euh… non…
–
Je n’apprécie pas du tout que la jeune femme de qui j’exige une politesse
exemplaire quand elle est chez moi, se permette de tout oublier des règles de
bon comportement dès que j’ai le dos tourné. Dès ce soir, tu vas aller
présenter tes excuses à la dame que tu as insultée et tu lui expliqueras
comment tu as été punie.
–
Non, je ne pourrais pas… j’aurais trop honte. Non, non !
–
Depuis quand oses-tu me dire non et refuser de faire ce que je t’ordonne ? »
Marguerite
sut qu’elle avait été trop loin, mais c’était trop tard. Pas moyen de revenir
en arrière. En une seconde, Teva la replaça sous son bras, puis écarta la jupe.
La fessée commença aussitôt.
Teva
n’avait aucun instrument punitif sous la main, mais elle en aurait volontiers
utilisé un. Elle aurait pu différer la correction en attendant d’en trouver un,
mais elle jugea plus urgent de punir Marguerite au plus près de la
désobéissance dont elle venait de se rendre coupable, là où elle risquait à
chaque instant d’être vue par un voisin.
Deux
sérieuses fessées en moins de dix minutes. L’accumulation des meurtrissures sur
les fesses se fit sentir aussitôt. Il n’était plus question de discrétion, plus
possible de retenir les cris et les larmes. Les fesses chauffèrent en un rien
de temps et Teva ne faiblissait pas.
La
porte de l’appartement le plus proche s’ouvrit. C’était une petite dame, la
soixantaine, qui montra son nez à la porte.
« Qu’est-ce
que c’est que ce vacarme ? »
Les
fesses de Marguerite étaient tournées vers elle. Il n’était donc pas difficile
de comprendre la situation mais plus compliqué de reconnaître la personne dont
les fesses nues étaient exposées, mais dont le visage était caché dans les plis
de la robe de Teva. Ce fut quand Marguerite tourna la tête pour identifier qui
était le témoin de sa correction, que la dame la reconnut.
« Oh,
mais c’est la jeune femme du sixième ! »
Teva
s’arrêta. Le bruit de la fessée et celui de Marguerite ne permettait pas de
tenir une conversation.
« Je
vous prie de m’excuser, Madame, mais il y avait urgence à ce que cette jeune
femme apprenne que les désobéissances ont des conséquences immédiates. La
fessée s’imposait et il fallait la lui donner au plus vite.
–
Mais je vous en prie. Compte tenu de la façon dont elle se comporte avec les
habitants de l’immeuble, je suis certaine que cela lui fera du bien.
–
Voulez-vous dire que vous avez des choses à reprocher à cette péronnelle ? »
Une
forte claque sur les fesses à laquelle Marguerite répondit par un cri sonore.
La voisine hocha la tête. Elle reconnaissait à leur juste valeur les méthodes
disciplinaires de cette dame qu’elle ne connaissait pas.
« Elle
fait partie de ces jeunes gens impolis, insolents, qui n’hésitent pas à
répondre effrontément quand on leur fait une remarque parfaitement justifiée.
J’ai souvent pensé qu’une bonne fessée la remettrait à sa place. Je n’ai jamais
osé. Je vois que vous avez franchi le pas.
–
Comme vous dites. J’ai pris la responsabilité de l’éducation de Marguerite,
cela passe par la fessée quand elle en a besoin.
–
Si j’en juge pas son comportement ici, vous devez avoir du travail.
–
Il y a de quoi faire, Heureusement je ne suis pas toute seule à m’y être mise.
D’ailleurs à ce sujet, il ne faut pas que vous hésitiez à déculotter et à
fesser Marguerite quand vous estimez qu’elle doit être punie. Passez le mot aux
autres voisins. Je vous donne l’autorisation de sévir aussi souvent que ce sera
nécessaire.
–
Vous croyez qu’elle sera d’accord ?
–
Peu m’importe ! Il n’est pas question de lui demander son avis avant de
lui donner une fessée. C’est à vous d’en décider. Je suis, en quelque sorte, sa
mère adoptive. Il me revient donc de déléguer à d’autres personnes le droit de
la corriger. Elle n’a pas son mot à dire dans ce domaine.
–
Ça me semble raisonnable.
–
J’ai déjà procédé de cette façon à son travail et je dois avouer que je suis
agréablement surprise des progrès qu’elle y a faits. Ici ce sera pareil, j’en
prends le pari. Une bonne fessée quand elle est méritée, il n’y a rien de
tel !
–
Je suis d’accord avec vous. Je la fesserai à la première occasion.
–
Voulez-vous achever cette fessée, demanda Teva en désignant du doigt les fesses
nues de Marguerite ?
–
Vous pensez que je peux ?
–
C’est l’occasion de s’y mettre. C’est toujours la première fessée qui est
difficile, autant pour celui qui la donne que pour celui qui la reçoit.
Ensuite, cela devient rapidement une habitude. Comme je la punis pour son
insolence envers les voisins, il semble approprié que ce soit vous qui la
fessiez.
–
Vous avez raison ! Allons-y !
–
Non Teva, s'il te plait !
–
Marguerite ! Ça suffit ! »
Une
magistrale claque sur les fesses mit fin aux protestations. Sur l’ordre de
Teva, Marguerite vint se mettre à disposition de la voisine. Elle prit place
sous son bras en gémissant, mais elle n’opposa aucune résistance.
« Cela
fait longtemps que je n’ai pas donné une fessée, remarqua la voisine !
–
Ne vous inquiétez pas, cela revient très vite ! »
Effectivement,
cela revint très vite. Marguerite le découvrit à son grand désespoir. Ses
fesses avaient été bien préparées par Teva, mais rapidement la voisine y
rajouta sa touche. Et les fesses de Marguerite rougirent de plus belle.
Voyons, voyons, Maeva, Teva... ça me dit quelque chose
Eh bien oui ! Nous les avons déjà croisées. Rappelez-vous c'était dans le chapitre 93 d'Axel au supermarché que nous avons fait la connaissance de la jeune fille et, dans le chapitre 98, de sa sœur si sévère.Il faut suivre si l'on veut comprendre, donc avoir lu ce qui a précédé
Voici le début du récit : le chapitre 1
L'épisode précédent : le chapitre 33
Mais, ce n'est pas fini
Y a-t-il une suite ? Bientôt, bien sûr, le chapitre 35.
Un commentaire, deux commentaires, trois... n'en jetez plus !
Si, si, au contraire, ne vous restreignez pas. Abondance de commentaire ne nuit point.
Magnifique série ! Le cas de Marguerite est exemplaire de gens de tous âges, sûrement nombreux à vous lire, qui aimeraient vivre ce type de prise en main.
RépondreSupprimerSi seulement c'était possible !
Les corrections en public dont délectables.
Bravo et continuez !
Merci, cher lecteur et commentateur anonyme,
SupprimerHélas, si les fessées sont possibles dans un cadre privé, il est difficile qu'elles soient administrées devant témoins et encore plus en public.
Cela restera un fantasme.
Au plaisir de vous lire,
JLG.
Bonjour JLG. Et bonjour à tous.
RépondreSupprimerVoilà une éducation qui s'est avérée particulièrement efficace puisque, d'elle-même, cette jeune femme vient en redemander.
Reste qu'être punie devant et/ou par tous les voisins de l'immeuble doit être particulièrement mortifiant. Et donc profitable.
Amicalement.
François