- En réceptionnant les nouvelles détenues pour une prise en charge morale,
- En officiant à la chapelle pour les détenues voulant prier et se confesser,
- En encadrant les détenues pour des sessions de catéchisme,
- En recevant les détenues voulant parler,
- En donnant des cours de mathématique aux détenues qui le souhaite en collaboration avec le service scolaire du centre,
- En aidant le médecin du centre, Dr. Pierre B.,
- En assistant aux séances de conseil de discipline menées par la directrice, Isabelle M. et en appliquant les flagellations avec une gardienne de l’équipe de discipline du centre (soit avec Helga A. soit avec Athina D).
Deux
nouvelles détenues arrivent au centre de détention, âgées toutes deux d’une
trentaine d’années, une chinoise Zhu W.L., condamnée à cinq de prison pour vol
avec violence et une tunisienne Lahna H., condamnée à deux ans de prison pour
faux et usage de faux.
Après
leur procès sur LYON, elles arrivent au centre pénitentiaire de NICE en fourgon
cellulaire. Les deux femmes sont très arrogantes et insultent tout le monde, ne
comprenant pas pourquoi elles sont emprisonnées et disent à qui veut les
entendre qu’elles vont en faire voir à tout le monde et ainsi, on sera obligé
de les relâcher.
A
destination, les gendarmes ont beaucoup de mal à faire descendre les deux
femmes qui résistent malgré le fait qu’elles soient menottées. Habitués à ce
genre de comportement, les gendarmes les trainent jusqu’à leur cellule, ou
elles devront se calmer en attendant de faire leur admission.
Pour des
cas comme ces deux prisonnières, des gardiennes sont entraînées au maintien de
l’ordre. Entre autres, les gardiennes Helga A. et Athina D. sont deux grandes femmes
athlétiques, l’une d’origine scandinave et l’autre jouant au rugby et elles
n’entendent pas se laisser impressionner par les détenues. En cas de gros
problèmes, l’ERIS (Equipe Régionale Intervention Sécurité) intervient et
rétablit l’ordre. Par contre, dans les centres pénitentiaires pour femmes, peu
d’interventions sont nécessaires, car les équipes locales sont à même de
traiter les débuts d’émeutes.
Helga A.
et Athina D. vont chercher Zhu W.L. et Lahna H. pour qu’elles fassent leur tournée
d’admission réglementaire (administrative, examen médical et prise de contact
avec leur cellule au secteur E).
Zhu W.L.
et Lahna H. sont présentées à l’administration et la responsable du service
rempli les documents informatiques des deux détenues. Elle leur assigne leur
cellule et leur numéro de détenue : 4158066 pour Zhu W.L. et 4158067 pour Lahna
H. Ce numéro les suivra durant toute leur incarcération. Zhu W.L. répond à la
responsable qu’elle peut aller se faire voir avec son numéro car elle n’est pas
assimilée à du bétail, ce à quoi la responsable répond qu’elle a juste le droit
de se taire, pour éviter d’aggraver son cas.
Après
l’enregistrement, le second point de passage est l’infirmerie où le Dr. Pierre
B. va les examiner. En entrant dans le cabinet, les gardiennes leur demandent
de se mettre nue, car c’est dans cette tenue qu’elles se présenteront au
médecin. Là, c’est Lahna H. qui refuse de se dévêtir, car elle est une femme et
il est hors de question qu’elle se déshabille devant un homme. Avec le vacarme,
Dr. Pierre B. sort de son bureau pour se rendre compte du problème. Devant le
refus de Lahna H., il demande aux gardiennes de la dévêtir de force et de la
menotter, mains dans le dos. Elle sera la première à passer.
Helga A.
et Athina D. empoignent Lahna H. et lui retire un à un ses vêtements. Lahna H.
hurle en se débattant comme une tigresse et en donner coups de poings et coups
de pieds aux surveillantes, ce qui en résulte que ses vêtements sont à moitié
déchirés lorsqu’enfin Lahna H. se trouve nue. C’est menottée et maintenue
qu’elle est présentée au médecin. Lahna H. insulte le docteur qui a du mal à
l’ausculter et finalement, elle est attachée sur la table d’examen pour la fin
de la séance. Furieux de la résistance de Lahna H., Dr. Pierre B. la palpe
partout et beaucoup plus vigoureusement que ce que nécessite l’examen, pour
bien lui faire comprendre qui est le responsable dans cette pièce. Se sentant
tripotée, Lahna H. se débat en criant. Pour la calmer, Dr. Pierre B. lui
pratique un long touché du clitoris, du vagin, en prenant soin de bien la faire
mouiller et pour finir un touché rectal. En état de domination par les spasmes
de la jouissance, Lahna H., les tétons dressés, la bouche ouverte et la tête en
arrière se calme peu à peu.
Lorsqu’il
sent que sa patiente se résigne, Dr. Pierre B. termine par l’épilation de son
pubis pour des règles d’hygiène strictes. Tous les deux mois, toutes les
détenues passent par son bureau pour se faire épiler intégralement. Le médecin
lui étale généreusement une bonne couche de pâte sur le pubis et sur la vulve
et tire d’un grand coup sec, arrachant les poils, mettant sa chair à nue, ce
qui fait crier Lahna H., peu habituée à la douleur de la cire. Mais le plus
douloureux est lorsque le médecin lui épile l’anus, car à ce moment-là, en plus
des cris, ses larmes coulent. Elle l’insulte copieusement pour cette douleur intense.
A la fin
de la séance, Lahna H. est détachée et elle est conduite vers la douche,
pendant que le médecin ausculte Zhu W.L. Cette dernière se laisse examiner,
mais proteste particulièrement lors du touché clitoridien, vaginal et rectal,
qui l’humilient, mais fait moins de manière que sa codétenue lors de
l’épilation.
Lorsque
les deux femmes sont examinées et propres, le médecin signifie aux gardiennes
qu’elles peuvent regagner leur cellule. On leur donne des sous-vêtements et une
blouse de prisonnière.
Menottées,
elles sont dirigées vers leur nouvelle habitat, une pièce de neuf mètres carré
avec 2 lits superposés, une table, des chaises, une armoire, deux étagères, un
lavabo et toilette sans séparation. Helga A. leur signifie qu’elles vont devoir
se dépêcher de s’installer, car la promenade est dans trente minutes. Il ne
faut pas qu’elles soient en retard.
Dans la
cour, les deux nouvelles détenues sont surprises de voir une poutre sur une
estrade et des piloris à côté. En posant des questions, on leur apprend que
pour des fautes graves, les prisonnières sont attachées et fouettées, nues,
devant les autres détenues, puis laissées au pilori pour l’exemple.
Deux
semaines après son arrivée, Lahna H. se fait déjà remarquer, car elle
s’accroche avec une autre femme, Lamenca M., qui la dévisageait. Les deux
femmes sont séparées par les gardiennes de la cour, car le pugilat était
proche. Lamenca M. est une chef de bande et à ce titre, elle fait sa loi dans
le centre pénitentiaire. Elle bénéficie de certains avantages, car certaines
gardiennes reçoivent des dessous de table.
Sœur
Marie-Zénaïde, qui a vu la fin du différend entre les deux femmes décide
d’intervenir et de calmer les esprits, mais elle ne réussit qu’à se faire
envoyer balader par Lahna H. Sœur Marie-Zénaïde n’insiste pas et en réfère à la
directrice du centre de détention.
Lahna H.
et sa rivale sont convoquées toutes les deux dans le bureau d’Isabelle M. qui
leur rappelle les règles de discipline. Lahna H. se plaint car sa rivale
tentait de l’intimider. Isabelle M. lui réplique qu’elle est là pour faire
profil bas, car dans le cas contraire, elle gouttera au fouet et au pilori.
D’une attitude défiante, Lahna H. répond sèchement à Isabelle M. qu’elle n’a
peur de rien et que ce n’est pas sa menace qui va l’intimider.
Lors de
la confrontation des deux protagonistes, une gardienne prend la défense de Lamenca
M. et affirme que Lahna H. est la seule responsable de cet affrontement.
Lahna H. est outrée de la partialité de la
gardienne, car ce n’est pas le reflet de la réalité. Lahna H. proteste, mais la
directrice la fait taire, car l’affaire est entendue. Isabelle M. tient à
casser l’esprit frondeur de Lahna H. et pour en faire un exemple, elle la fait
passer en conseil de discipline, qui jugera des suites à donner. N’ayant rien à
reprocher à Lamenca M., Isabelle M. classe son dossier « sans
suite ». Lamenca M. lance un grand sourire satisfait à Lahna H. en sachant
que lors d’un passage en conseil de discipline, Lahna H. sera punie de toute
façon, plus ou moins sévèrement, car aucune détenue n’a encore été graciée lors
d’une de ces séances et secrètement, Lamenca M. espère la voir se faire
fouetter, car ça lui rabaissera son caquet et renforcera son autorité sur les
autres prisonnières.
Le jour
du conseil, Lahna H. a beau se défendre, les accusations contre elle sont
nombreuses : insultes vis-à-vis les gardiennes et du médecin, refus de se
laisser examiner et pour finir, cette altercation avec une autre détenue. Le
dossier est suffisamment étoffé pour prononcer une peine exemplaire. Après
délibération, Isabelle M. annonce le verdict :
·
Soixante coups de fouet sur
tout le corps, nue devant les autres détenues,
·
Un mois de nudité complète,
avec quelques passages au pilori,
·
Des travaux d’intérêts
général.
En
entendant le verdict, Lahna H. proteste et dit qu’elles n’ont pas le droit de prononcer
des punitions corporelles sur les détenues, que ce n’est pas légal. Isabelle M.
dit qu’elle a tous les droits lorsqu’il s’agit de faire respecter la discipline
et Lahna H. va l’apprendre à ses dépens. Comprenant qu’elle est allée trop
loin, la détenue dit qu’elle est désolée pour tout, elle promet tout ce que voudra
la directrice mais elle ne veut pas être fouettée car elle ne le supportera
pas. Isabelle M. dit aux gardiennes qu’elles peuvent rassembler les autres
détenues et que Lahna H. va être fouettée devant elles. Avec du mal, Lahna H.,
hurlante, est trainée en dehors de la salle et ramenée en cellule, pour
attendre sa correction.
Sœur
Marie-Zénaïde passe voir Lahna H. pour tenter de lui faire entendre raison.
Elle lui dit qu’elle va payer pour ses fautes et qu’après, elle pourra repartir
sur de nouvelles bases, l’esprit libéré. Mais en attendant, elle doit se
préparer à passer un très mauvais moment, car on ne lui fera pas de cadeaux,
c’est le seul moyen qu’elle puisse se repentir. Lahna
H. est abattue et a peur de la punition qui lui est réservée. Elle n’a jamais
été confrontée à pareil correction. Sœur Marie-Zénaïde ajoute qu’elle prendra
soin d’elle après et lui demande de se mettre nue, car le moment est arrivé de
se repentir. Résignée, Lahna H. retire sa blouse et ses sous-vêtements et se
laisse menotter par les gardiennes, mains dans le dos.
Menée par
les gardiennes et par le religieuse, tête basse, Lahna H. défile dans les
couloirs du centre, traverse quelques portes de sécurité pour sortir dans la
cour de promenade où toutes les détenues se trouvent. Aussitôt, des
applaudissements, les sifflets, les moqueries et des insultes pleuvent sur
elle, l’humiliant au plus haut point. Elle se sent trembler, sent ses tétons
pointer et son entrecuisse se mouiller d’être dans cette situation plus
qu’inconfortable et de n’avoir aucune compassion de la part des autres femmes,
bien au contraire. Certaines lui prédisent déjà qu’elle va se pisser dessus dès
les premières cinglées, d’autres parient sur le fait qu’elles vont l’entendre
hurler et gigoter comme un poisson au bout d’une ligne de pêche voire appeler
sa mère, car les flagellatrices savent très bien cingler les parties sensibles
et faire souffrir de façon intense les punies.
La
religieuse et les deux gardiennes font monter Lahna H. sur l’estrade et Isabelle
M. la présente aux autres détenues en disant qu’elle va allonger la liste des
prisonnières qui sont déjà venues se faire punir. Elle annonce également le
nombre de coups de fouet à recevoir. Sœur Marie-Zénaïde et Athina D. seront les
deux femmes chargées de corriger Lahna H.
Helga A. et
Athina D. lui retirent les menottes et l’attachent en « X » aux
poteaux, bras et cuisses largement écartés. Les liens ne sont pas trop tendus
pour permettre à Lahna H. de gigoter à loisir. Ses contorsions, agitations et
spasmes vont être favorisées pour servir d’exemple aux détenues qui seraient
tentées de faire fi de la discipline imposée.
Un coup
d’œil à la foule et Lahna H. se rend compte que la centaine de femmes de
l’assistance est en euphorie. Lahna H. voit qu’au premier rang Lamenca M., tout
sourire, se régale déjà de la voir rabaissée à ce point.
Sœur
Marie-Zénaïde et Athina D. se saisissent de leur long fouet de discipline. Lahna
H. crie en voyant les instruments qui vont lui cingler la chair et tire sur ses
liens pour échapper à sa punition, mais elle se rend compte qu’elle est bel et
bien incapable de se détacher seule.
Le Dr.
Pierre B. monte à son tour sur l’estrade et enduit le corps de Lahna H. d’une
pellicule d’huile afin que les claquements des lanières sur sa chair soient
plus sonores et la douleur plus vive. L’huile met en relief les belles formes
féminines de la punie. En enduisant les seins généreux et légèrement affaissés
de Lahna H., le médecin lui dit que lorsqu’ils seront fouettés, elle devait
danser. Il lui titille les tétons, ce qui les fait dresser davantage et lui
caresse en même temps l’entrecuisse, allant jusque jouer avec son clitoris déjà
bien poisseux. Lahna H. grogne de ces attouchements inutiles, dépassant de loin
le cadre de sa fonction. Dr. Pierre B. dit à haute voix que la punie est prête à
« chanter » et à « danser ».
La
directrice Isabelle M. autorise la flagellation et demande aux deux flagellatrices
de la faire hurler afin que sa punition soit démonstrative. Alternativement, Sœur
Marie-Zénaïde et Athina D. lui cinglent les fesses et les cuisses, ne ménageant
pas les intérieurs des cuisses et des hanches, là où la peau est plus fine et tendre,
ce qui fait faire des bonds à la Lahna H. qui hurle à plein poumons. Elle se
débat en bombant les fesses en avant. Elle trépigne en tapant des pieds. Elle
se secoue pour tenter de calmer la douleur qui irradie dans tout son bassin.
Déjà des gouttes de sueur perlent sur le corps de Lahna H. Les vingt premiers coups
de fouet reçus lui ont mis le bas de son corps en feu. Les spectatrices, ravies
du spectacle, crient de continuer de la faire gesticuler, car elle ne mérite
que ça.
Les deux
bourrelles enchainent par vingt coups de fouet sur le dos. La douleur ressentie
va crescendo et Lahna H. pousse des hurlements stridents en se contorsionnant
vivement, ce qui fait balloter ses gros seins. De belles zébrures rouges ornent
sa chair. Les spectatrices peuvent voir Lahna H. se cramponner à ses liens en
se raidissant à chaque fouettée sonore lorsque les longues lanières des
martinets lui enveloppent le corps.
L’instant
le plus attendu est lorsque les deux femmes lui fouettent le ventre, le devant
des cuisses et les seins. Lahna H. ne cesse pas de hurler tant la douleur est
intense, surtout lorsque les lanières de cuir lui cinglent les seins, qui
s’animent et vibrent à chaque fouettée. Lahna H. les secoue avec vigueur, car
les brulures ressenties sont cuisantes. Les spectatrices, survoltées, incitent
les deux femmes à accentuer les fouettées, pas assez intenses à leur gout et
traitent Lahna H. de « grosse vache », en référence à ses seins et
ses hanches d’un bon volume.
Sous
l’effet de la douleur, Lahna H., qui gesticule comme une damnée, ne contrôle
plus rien et se met à uriner. Aussitôt, les spectatrices applaudissent en
sifflant, car ce relâchement signifie que la punition est ardente.
Lorsque
les fouettées cessent, en sanglots, le corps marqué, toute tremblante et
couverte de sueur, Lahna H. se détend. Sœur Marie-Zénaïde lui dit que la
punition est finie et qu’elle est pardonnée. Elle va pouvoir être détachée, soignée
et se reposer. Sœur Marie-Zénaïde et Athina D. la détachent et l’emmènent à
l’infirmerie pour quelques soins mineurs, car la chair n’est pas lésée et à
part la rafraichir, il n’y aura pas plus à faire. Le docteur accompagne les
femmes qui aident Lahna H. à avancer, car elle reprend ses esprits, petit à
petit, sous les huées et moqueries de ses codétenues, qui ne la ménagent pas.
Le retour
à l’infirmerie est pénible, car chaque pas lui demande un effort et la fait
gémir. Lahna H. est passée à la douche pour la rafraichir et la laver. Sœur
Marie-Zénaïde l’aide sous le regard amusé du Dr. Pierre B. Lahna H. crie de
douleur lorsque la sœur lui frotte les parties sensibles de son corps puis elle
on l’allonge, encore trempée, sur la table d’examen où le médecin l’ausculte et
lui passe de la crème.
Profitant
du départ de la religieuse, appelée pour animer un groupe de réflexion, le
médecin, passablement excité fait vigoureusement l’amour à sa patiente,
incapable de résister aux avances qui lui sont faites. Finalement, elle
acceptera l’honneur qui lui est fait, trouvant le plaisir dans l’acte en
comparaison avec ce qu’elle vient de vivre, même si celui-ci n’est pas désiré.
En fait,
le médecin, seul homme du centre pénitentiaire, use et abuse du statut de
détenu des jeunes femmes. Certaines se présentent d’elles même sous prétexte
d’une maladie pour avoir un réconfort charnel, ce qui ravie le médecin. Pour
d’autres, c’est sous la contrainte, qu’elles se donnent comme c’est le cas pour
toutes les punies au retour d’une sévère flagellation publique au milieu de la
cour de la prison.
Après une
nuit de repos, toujours nue, Lahna H. passe toute sa période de
« promenade » du lendemain, attachée debout, au pilori devant les
autres détenues et certaines, dont Lamenca M., se font un plaisir de venir la
narguer et la provoquer. Lahna H. subira le pilori durant une semaine, pour
assurer sa docilité et en même temps, faire voir aux autres détenues le sort
réservé aux indisciplinées. Plusieurs fois, elle sera appelée à l’infirmerie
pour des examens et à chaque fois, elle devra se soumettre aux avances du Dr. Pierre
B. mais acceptera finalement la situation plaisante pour les deux parties.
Durant
les quatre semaines que dure sa punition de nudité, au lieu de la laisser au
repos en cellule, Lahna H. est utilisée pour l’entretien des parties communes (la
cour, les douches, les couloirs, etc.), qu’elle vit assez mal puisqu’elle est
toujours au contact des autres prisonnières qui la molestent et l’accablent.
Au terme
de cette période de nudité et d’humiliations, d’un tempérament arrogant et
défiant, elle devient plus docile et plus sage.
Une série écrite par Elena
Elle nous revient pour quelques épisodes, un, c'est sûr, deux, très probable, plus ? ça semble le cas ! L'aventure continue !
Dans l'entourage d'Iourevna d'autres fessées ont déjà été administrées, lisez-les ici : chapitre 1, le début de la série et l'épisode précédent, le chapitre 26
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Bonjour Elena. Et bonjour à tous.
RépondreSupprimerJe sens qu'il va s'en passer des choses dans cette prison! Une première détenue a déjà pu expérimenter ce qu'il en coûtait de jouer les fortes têtes. Et a pu constater quelle humiliation supplémentaire c'était que de se trouver seule punie quand on n'est pas seule coupable.
Quant au curé, seul homme dans cet univers de femmes, il profite de façon éhontée de la situation un peu comme le faisaient jadis certains confesseurs dans les couvents de femmes.
Amicalement.
François
Bonjour François,
RépondreSupprimerOui, en effet, le médecin du centre, sous couvert de son statut impose ce qu'il veut. Certaines s'en accommodent, d'autres y sont contraintes. Mais finalement, toutes y trouveront leur compte. Le parallèle avec les confesseurs est bon, mais là, c'est soeur Marie-Zénaïde qui s'y colle, entre autres fonctions dans le centre.
Amitiés.
Elena.
J'aime la discipline en prison.
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