Tatie les emmène une fois au cinéma, voir un
dessin animé. Les garçons, surtout les deux aînés, ne sont pas très fiers de se
voir retirer la capuche de leur anorak à l’entrée du cinéma, sous les regards
amusés ou incrédules de certains spectateurs, fin décembre et les trois en
culottes courtes. A la sortie du cinéma, Tatie leur remet à tous les trois
leurs capuches bien attachées par l’arrière.
Pas de passe-droit spécial pour le 31 décembre,
les enfants sont au lit à 20h30. Il n’est évidemment pas question d’aller voir
le feu d’artifice qui commence bien après l’heure du coucher.
La rentrée de janvier arrive vite. A 8 h,
mademoiselle Paget arrive et retrouve le « petit Benoit » en blouse
et culotte courte.
Elle lui fait réciter les leçons qu’elle lui
avait données pour les vacances, lui fait faire évidemment une dictée et
reprend son « enseignement ». Benoit connait maintenant tous les
départements français et leurs préfectures et commence à apprendre la liste des
pays d’Europe avec leurs capitales. En histoire, il doit réciter la liste des
rois de France depuis Hughes Capet.
En quoi cela va-t-il favoriser son entrée à
l’université, il se le demande. Quant à poser effectivement la question, celui
lui a valu une fois une fessée. Depuis, il se tait.
Trimestre sans surprise et surtout sans
changement dans le planning des enfants. Seul fait notable, ils sont invités un
dimanche après-midi chez les deux dames qui étaient venues déjeuner. Les
garçons ont leur tenue du dimanche avec culotte de flanelle et socquettes
blanches, sauf Benoit qui est « favorisé » en portant des grandes
chaussettes bleues assorties à sa son blazer.
Et, avant de se rendre à l’invitation:
« - Les enfants, vous avez intérêt à être
sages, poli et obéissants. Comme vous le voyez, j’emmène dans mon sac le
martinet. Vous pouvez emmener chacun deux petites voitures. Maintenant, venez
faire pipi et on y va.
- Oui Tatie, oui maman »
Ils sont accueillis par des bisous, se laissent
retirer leurs anoraks et vont docilement s’asseoir sur le tapis. Les deux dames
les félicitent pour leur tenue si mignonne et si pratique pour des enfants.
Benoit rougit.
Le thé est servi, mais ce sera bien sûr une
tasse de lait chaud pour les garçons .
Après quelques questions sur leurs études, ils
sont autorisés à jouer avec leurs petites voitures sur le tapis, sans faire de
bruit.
Les trois dames papotent entre elles, parlent
de l’éducation des enfants en particulier, et Benoit rougit quand Tatie
explique que oui, bien sûr, lui et ses cousins reçoivent encore la fessée et
sont couchés à 20 heures……
Bertrand doit se lever et recevoir deux claques
sur chaque cuisse pour avoir « provoqué » une collision de petites
voitures dont le bruit a dérangé ces dames…….
Tatie repense plusieurs fois à ce qu’elle avait
imposé aux garçons à Noël. La sieste finalement, pourquoi pas. Du temps libre
pour elle, sans avoir besoin de les surveiller.
Le premier jour des vacances de Pâques, Ils ont
le matin leurs deux heures de devoirs de vacance obligatoires. Pour l’occasion
, et au déplaisir des enfants, elle leur a fait mettre leurs superbes (!)
tabliers à carreaux et boutonnage dos. Ils ne portent pas, heureusement pour
Bertrand et Michel, ces blouses au lycée mais uniquement à la maison. Bien
entendu, les trois détestent cette tenue. Pourtant, le boutonnage dos ne
devrait pas être un problème puisque de toutes façons ils ne s’habillent pas
tout seuls……
Après les deux heures d’étude et récitation des
leçons, Maman/Tatie les emmène au salon et s’installe sur le canapé.
Les enfants s’assoient par terre: Michel les
jambes allongées, Bertrand assis sur ses chevilles et Benoit les jambes
croisées.
Tatie regarde avec amour ses trois petits
garçons aux jambes nues et si mignons avec leurs tabliers.
- Mes chéris, j’ai quelque chose à vous
annoncer; J’ai décidé que pendant les vacances, celles-ci et les prochaines
grandes vacances, vous ferez une sieste deux fois par semaine.
- Oh non, maman, pas la sieste
- Tatie, on n’est plus des bébés
- Taisez-vous. Il y a autre chose qui vous
plaira plus. Si mes trois garçons se conduisent comme des enfants sages et
obéissants et dorment pendant la sieste, vous aurez le droit ce jour-là de
veiller jusqu’à 21 heures. »
Voilà du nouveau. Bertrand et Michel ne se sont
jamais de toute leur vie couchés si tard (et Bertrand va bientôt avoir 15
ans!).
« - Mais attention; je veux que vous
dormiez comme il faut et j’irai vérifier quand vous serez couchés. Si jamais un
seul de vous trois ne dort pas, vous irez au lit à l’heure habituelle. Si tous
les trois vous dormez gentiment, vous pourrez veiller plus tard.
Vous ferez votre première sieste cet
après-midi.
Maintenant, venez que je vous retire vos
tabliers et allez jouer ».
Dans la salle de jeux, les commentaires vont
bon train. Un désaccord surgit entre Benoit et les cousins. Benoit commence:
« - On ne va pas aller au lit
l’après-midi, on n’est plus des bébés
- Oui mais on pourra se coucher à 9 heures !
- C’est pas une raison. Ça compense pas. »
La discussion continue et Bertrand résume la
situation:
« - De toutes façons, si maman l’a décidé,
on devra aller au lit. Alors autant en profiter pour se coucher plus
tard »
Et Michel surenchérit:
« - On a qu’à faire semblant ! »
La discussion continue et Benoit finit par
accepter de jouer le jeu pour voir.
Et ce même jour, Ils sont appelés après
déjeuner:
« - Les enfants, pipi et au lit »
Ils sont déshabillés, emmenés aux toilettes,
mis en pyjama et couchés. Volets fermés, lumière éteinte. Ils entendent des
enfants bien plus jeunes jouer dans la rue…..
« - Maintenant dodo mes chéris ».
20 ou 30 minutes plus tard, Maman/Tatie entre
dans la chambre et fait le tour des lits. Elle est bien consciente qu’ils font
semblant de dormir, même Michel, mais cela lui convient parfaitement. Cela lui
permettra de leur dire plus tard que quand elle est venue les voir, ils
dormaient comme des enfants sages et c’est la preuve que la sieste est
nécessaire. Elle leur impose cette fois ci deux heures au lit.
La deuxième sieste intervient trois jours plus
tard. Mais cette fois, Benoit refuse de faire semblant. Quand Tatie vient
vérifier « le sommeil » des enfants, il est ostensiblement éveillé,
presque assis dans son lit. Tatie le gronde et lui reproche de risquer de
réveiller ses cousins. Elle lui annonce qu’il sera puni.
Tatie les laisse trois heures au lit (!) et au
réveil:
« - L’un d’entre vous n’a pas dormi
pendant la sieste. C’est une désobéissance de se forcer à ne pas dormir pour
prouver je ne sais quoi. Comme je vous l’avais dit, ce soir au lit à l’heure
normale sans pouvoir veiller plus tard. Tant pis pour vous. »
Comme on peut l’imaginer, une fois dans leur
salle de jeux, les cousins se plaignent amèrement auprès de Benoit.
« - C’est de ta faute ! On ne pourra pas
se coucher plus tard. On n’a rien gagné.
- J’ai 18 ans, bientôt 19 ans, et je ne veux
pas faire la sieste comme un gosse.
- Tu n’as pas le choix. De toutes façons, maman
nous mettra au lit quand elle le décidera. On peut pas gagner. »
La fin de l’année scolaire approche. Pour
Benoit, l’incertitude. Va-t-on enfin arrêter de le traiter en bébé et
l’inscrire à l’université ?
Pour Bertrand, c’est l’examen du brevet. Cet
examen se déroulera dans un autre lycée que celui des enfants. Maman s’est
renseignée sur l’itinéraire pour pouvoir l’emmener. Pendant plusieurs jours,
Bertrand supplie sa mère de lui épargner la blouse pour le jour de l’examen.
Rien n’y fait. Il tempête, il pleure, mais ne récolte que plusieurs fessées
pour comportement inacceptable et caprices. Pas question qu’il ne porte pas son
« tablier » au risque de salir ses vêtements. C’est un Bertrand tout
timide, à quelques jours de ses 15 ans, qui va passer l’épreuve, et l’oral
d’anglais, en culotte courte et blouse d’écolier, devant des garçons de son âge
qu’il ne connait pas.
Pour Benoit, il était prévu une réunion
d’évaluation avec les deux enseignantes, celle qui l’avait évalué à l’automne
et son institutrice, parce que c’est bien comme cela qu’il faut l’appeler.
Elles deux interrogent un Benoit debout, mains
dans le dos, sur quelques sujets, puis disent à Tatie qu’elles vont parler
toutes les trois.
- Benoit, va jouer. On t’appellera tout à
l’heure »
Et de nouveau son futur va se décider sans
qu’on lui demande son avis;
Une demi-heure plus tard, il est rappelé. Il
prend soin de se tenir droit, mains dans le dos en espérant enfin la nouvelle
tant attendue.
« - Benoit, mon chéri, j’ai discuté avec
tes deux professeurs et nous avons reconnu que tu étais encore immature et
absolument pas prêt pour l’université.
- Mais Tatie
- Ne discute pas, tu es encore un enfant et
j’établirai avec Mademoiselle Paget ton programme pour les vacances et l’année
prochaine
- C’est pas juste! C’est pas possible! Je vais
avoir 19 ans et on me fait apprendre des leçons de bébé ! J’en ai marre
! »
Benoit tempête, tape du pied, crie.
Tatie s’approche, lui donne une paire de
claques et lui déboutonne sa culotte courte.
« - Benoit, ton comportement est inacceptable.
Il prouve bien que tu n’es qu’un gamin insolent. Et les mots que tu as employés
méritent à eux seuls une correction
- Tatie, pardon, pas la fessée devant elles
- Tu as déjà reçu la fessée devant Mademoiselle
Paget »
Tatie lui baisse son slip, et le fesse.
Longtemps, sévèrement, avec force. Benoit ne compte plus les coups et pleure
comme un gamin. Au bout d’un moment, Tatie le relève, le mouche et:
« - Benoit, va chercher le martinet
- Tatie, s’il te plait »
Une claque additionnelle sur chaque fesse et
Benoit, culotte et slip aux chevilles va à petits pas chercher le martinet.
Il est toujours en pleurs quand il le tend à
Tatie. Il a le temps de voir le regard amusé des enseignantes sur son absence
de système pileux à l’entre jambes.
Et il est fouetté comme il ne se souvient pas
l’avoir été. Et ça dure longtemps. Il n’en peut plus de pleurer, de sursauter
sous les coups…Enfin:
« - Benoit, relève-toi. Mains sur la
tête »
Tatie le mouche de nouveau
« - Tu dois t’excuser de ton attitude
inconvenante. Tu vas répéter après moi
– Je vous demande pardon pour avoir été impoli. »
– Je vous demande pardon pour avoir répondu et
crié
– J’ai reçu une fessée bien méritée
– Je promets de bien travailler pendant les
vacances »
Mademoiselle Paget s’approche de lui, lui
tapote les joues et lui promet une liste de devoirs de vacances appropriée.
Tatie le tire par l’oreille, toujours fesses
nues, et le mets au coin mains sur la tête.
Et les deux enseignantes prennent congé.
La famille avait l’habitude de passer un mois
l’été chez une cousine éloignée habitant au bord de la mer. Ce fut aussi le cas
cette année-là.
Benoit se réjouissait d’aller à la mer, et de
pouvoir nager en s’éloignant un peu du contrôle tatillon de Tatie.
Pour ce départ en vacances, Maman/Tatie
envisagea un moment de mettre aux enfants leurs salopettes courtes. Puis elle
se ravisa et les habilla plus classiquement avec leurs culottes courtes
habituelles.
Sandales et socquettes.
« - J’espère que vous serez sages et vous
tiendrez bien dans le train. S’il le faut, je n’hésiterai pas à donner une
fessée devant tout le monde. C’est bien compris ?
- Oui Tatie, oui maman
- Vous prenez chacun deux petites voitures et
un livre pour le voyage. »
Une fois les cousins installés près de la
fenêtre, Benoit et Tatie au milieu, ils virent entrer une dame d’un certain âge
qui s’installa côté couloir.
«- Les enfants, vous dites bonjour s’il
vous plait. Je ne devrais pas avoir à vous le rappeler
- Bonjour madame
- Bonjour les enfants ».
Benoit n’a pas très envie de jouer aux petites
voitures ….en public et préfère prendre un livre pour le moment.
Au bout de deux heures, Tatie/maman appelle les
cousins:
« - Michel, Bertrand, venez avec maman.
Benoit, tu restes ici et tu es sage. »
Pendant l’absence de Tatie, la dame du
compartiment qui se demande quel âge peut avoir Benoit (14 ans, 15 ans ?)
engage la conversation.
« - Comment t’appelles-tu mon grand ?
- Je m’appelle Benoit, madame
- Et quel âge as-tu ?
- J’ai 18 ans, madame.
- Oh je te croyais plus jeune. Tu travailles
bien en classe ?
-Oui madame »
Benoit n’ose pas dire qu’il est à un mois de
ses 19 ans et que cela fait maintenant un an qu’il a le bac !
Tatie emmène les deux petits jusqu’aux
toilettes et rentre avec eux. Elle déculotte Bertrand mais, inquiète de la
propreté de la cuvette des WC, lui fait faire pipi debout en lui tenant la
verge.
« - Bertrand, les mains sur la tête. Ce
n’est pas une punition, c’est parce que c’est plus pratique pour maman ».
Il fait pipi, est essuyé et rhabillé. Vient le
tour de Michel pour qui cela se passe de la même façon.
Ils retournent dans le compartiment.
« - Benoit, tu as été sage ?
- Oui Tatie
- Madame, il ne vous a pas embêté ?
- Pas du tout, ce grand garçon a été très calme
et très poli
- Les petits, allez-vous asseoir et soyez
sages. Benoit, viens avec moi »
Et Tatie emmène Benoit subir le même traitement
que ses cousins. Pipi debout, mains sur la tête, habillage. Un bisou pour avoir
été sage.
En sortant, Benoit a le rouge au front en
laissant la place à un jeune garçon de 13 ou 14 ans, en pantalon (!) et qui
vient faire pipi tout seul. Lui sort accompagné de Tatie, comme un petit
garçon.
Retour au compartiment
« - Les petits ont été sages ? »
Le voyage continue…..
Un peu avant d’arriver à leur destination:
« - Les enfants, en arrivant chez la
cousine, vous l’embrassez et ensuite ce sera l’heure de la toilette.
- Mais maman, il sera trop tôt
- Non et de toutes façons ce soir vous vous
couchez plus tôt que d’habitude
- Mais maman, pourquoi ? On est en vacances !
- Bertrand arrête de discuter ou tu as une
fessée. Vous irez vous coucher tôt parce que le voyage est fatiguant pour des
enfants.
Et demain, ce sera la sieste.
- Oh maman…..
- Vous voyez madame. Les enfants sont tous
pareils. Dès que l’on parle de les mettre au lit, ça discute…. »
Arrivés chez la cousine, il faut s’installer.
Il n’y a que deux lits dans la chambre des enfants. Tatie décrète que deux
enfants dormiront dans le même lit, à tour de rôle. Et que ce ne soit pas une
occasion de bavarder au lit !
La baignoire est plus petite qu’à la maison.
Les enfants seront donc lavés en deux fois; deux garçons, puis un garçon. Là
aussi à tour de rôle.
Il n’est que 17h30, mais ils sont immédiatement
lavés. Benoit passe le premier, puis attends, tout nu, que ses cousins soient
également lavés. Ils sont évidemment passés par les WC préalablement.
Ils sont mis en pyjama et peuvent jouer, sans
se salir !, avant le diner.
Diner servi à 18h30. Serviette autour du cou
évidemment.
Jeux puis appelés à 19h15 pour le pipi du soir.
Les trois garçons au lit à 19h30. Ce n’est même
pas une punition, juste un coucher « normal » pour des enfants
fatigués par le voyage, pour Tatie. Et ils sont prévenus qu’ils feront la
sieste le lendemain.
Le matin suivant, procédure classique. WC,
toilette, habillage, petit déjeuner. Pas de devoirs de vacances pour ce premier
jour à la mer.
Promenade et courses au village. Les
commerçants connaissent la famille qu’ils voient tous les ans.
« - Lui c’est Bertrand ? Comme il a grandi
!
- Et ce jeune homme ? Votre neveu ?
- Les enfants, dites bonjour….. »
Retour à la maison, jeux (il y a un jardin et
la possibilité de faire un peu de ballon), puis appelés pour le déjeuner, et
ensuite sieste.
Benoit boude de devoir encore faire la sieste,
mais Tatie lui rappelle que ce sera le cas pendant toutes les vacances deux
fois par semaine.
Après la sieste, jeux et lectures jusqu’à la
toilette du soir, à 18h30.
Coucher à 21H, puisqu’ils ont été sages pendant
la sieste.
Le lendemain matin rien de nouveau. Pipi,
toilette, habillage, petit déjeuner.
Et deux heures de devoirs de vacances.
Une heure après le déjeuner, départ pour la
plage. Les garçons sont habillés de leurs humiliantes salopettes courtes, chemisettes
et sandales. Ils emmènent un ballon et chacun deux petites voitures. Benoit
voulait emmener un livre, mais ce fut refusé. Il aurait ramené du sable à la
maison.
Arrivés à la plage, Tatie/maman les emmène un
tout petit peu à l’écart et entreprend de les déshabiller. Benoit est mort de
honte d’être déshabillé devant les autres estivants, puis de rester tout nu
pendant que Tatie s’occupe de ses cousins.
Elle leur enfile ensuite un slip de bain assez
enfantin et:
« - Les enfants, il est trop tôt pour aller
vous baigner. Restez près de moi et jouer dans le sable avec vos petites
voitures ou faites un château. »
Benoit doit jouer dans le sable comme un enfant
de cinq ans. Et pas question de s’échapper.
Une heure plus tard, Tatie les autorise à aller
se baigner, mais:
« - Les petits, pas question d’aller plus
loin qu’un mètre dans l’eau. Je vous surveille.
- Mais Tatie, je sais nager, un mètre, je ne
pourrais pas, il n’y a pas assez d’eau.
- Benoit, j’ai dit un mètre maximum. Si tu
désobéis, j’irai te chercher avec le martinet que j’ai pris dans mon sac. C’est
compris ? »
Ils peuvent donc juste barboter dans l’eau,
jouer à s’éclabousser. Bertrand rougit quand il doit refuser l’invitation d’un
groupe d’enfants d’aller jouer avec eux. Ils vont trop loin dans l’eau…..
Les trois garçons jouent ensuite au ballon
entre eux, puis Tatie les trouvant en nage, leur enjoint de retrouver le sable
et les petites voitures.
Vers 16h30, Tatie leur enlève le slip de bain
et les rhabille slip, chemisette et salopette courte. Benoit surprend le regard
de certains jeunes qui n’avaient pas encore remarqué la tenue des garçons et
s’en moquent ouvertement.
« - Vous êtes encore en barboteuse
? »
En retournant à la maison, Tatie prévient:
« - En arrivant, c’est toilette et pyjama.
- Maman, c’est trop tôt.
- Pas du tout. La plage fatigue les enfants et
vous irez vous coucher tôt ce soir.
— Oh Tatie, pas encore »
Benoit récolte une claque bien sonore sur une
cuisse.
A suivre…
Voyons, voyons...
Si nous n'en sommes plus au premier chapitre, c'est qu'il y en a eu un autre avant. Mais où est-il ? Ah oui, le voilà : chapitre 6
La suite ? Eh bien elle est annoncée
Il y aura un prochain épisode.
Alors ? Vos impressions ?
Si je vous dis que Bruno les attend avec impatience, ça vous étonnera vraiment ? Vous pouvez également lui en faire part directement : Bruno
Amis de la poésie et du pi-pi, pan-pan cu-cul... Bonjour.
RépondreSupprimerBonjour Bruno,
La barboteuse c'est prévu pour barboter dans l'eau sans se mouiller au dessus du genoux. Piétiner dans les flaques d'eau en éclaboussant partout, mais pas plus haut que les cuisses. Alors on barbote et si on est mouillé quand même à l'entrejambe, c'est qu'on a fait pipi-culotte...Pipi lâché, c'est la fessée!
Bon, ces gamins de quatre/cinq ans sont en réalité des, presque, adultes, habillés, nourris, torchés et traités comme des mômes classe biberon. Les post pubères des bacs à sables en deviennent particulièrement ridicules!
C'est bien le sujet du récit, par ailleurs remarquablement documenté sur la vie et le comportement des enfants en bas âge. Le rapport avec le monde des adultes est scrupuleusement observé et décrit.
Maman, j'ai rétréci les ados!! . On s'y croirait, assis par terre, tu-tuut, Vroom, vroom! à jouer aux petites voitures
Chaque chapitre est un développé d'emploi du temps, précis et détaillé qui montre à quel point Tatie materne et infantilise ces baby-adultes, renvoyés à la case couche-culotte avec claques aux fesses réglementaires! Les phrases courtes rythment les activité babillonnantes des nains de jardin en salopette!
Etonnant.
Cordialement
Ramina
Merci à Bruno pour ce voyage dans les années 60, et pour permettre à certains d'entre nous de nous remémorer nos expériences diverses où nous avons été amenés avec un certain anachronisme à subir l'humiliation d'une régression mi acceptée mi imposée. Vivement la suite !!
RépondreSupprimerJérôme
Henriette, Ramina, Jojobonno,
RépondreSupprimerMerci de vos appréciations. Auriez vous vécu ou connu une éducation similaire à celle donnée par Tatie ?"
Je recherche des adeptes de la fessée déculottée soft entres grandes personnes je suis très sérieux et motivé je suis en Picardie je m appel Nicolas laisser un message svp merci
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