LES BIENFAITS D'UNE STRICTE DISCIPLINE DOMESTIQUE
UN DERRIERE, CA SE PREPARE !
Rodolphe, responsable d’avoir répandu les propos maladroits de Robin
sur Bettina, présentée comme étant un peu dérangée à cause de ses frasques, se
préparait, lui aussi , à affronter une
terrible séance de représailles au domicile de l'outragée. Il se leva, ce matin-là, le derrière encore sensible de sa
fessée de la veille. Clarisse, à l'instar de Gladys avec son fils, s'était fait
un devoir d'anticiper sur la séance de correction et de repentance prévue pour
le lendemain. Les deux garçons, taraudés par la crainte de la fessée qui leur
était promise de la main, et sans doute du martinet de Bettina, n'en menaient
pas large en ce début de journée.
L’idée que Robin allait recevoir la même déculottée que lui
ne consolait pas Rodolphe pour autant... Le petit monsieur, toujours fourré
dans les coups tordu, quand il ne les inventait pas, s'était rendu complice de médisance... Il
devait maintenant rendre des comptes. Il aurait voulu s’enfuir, se glisser dans
un trou de souris et n’en ressortir que le danger passé. Il ne pouvait même pas
espérer un geste de clémence venant de sa mère qui, s’était engagée auprès de
Gladys et Bettina. Ils avaient mis en cause l'honneur de leur famille, ces
Dames attendaient qu'elle leur inflige un châtiment d'une sévérité exemplaire
en guise de réparation. Elles n'allaient
pas être déçues, leur fantasque voisine, un peu perverse sur les bords, était
naturellement sans limite dans ce domaine. Ce serait encore une séance de
fessées, d'autant plus magistrales, que personne ne semblait enclin au pardon. Les deux
garçon s'étaient comportés comme des petits voyous, ils méritaient tous les
deux une sévère correction et ils allaient l'avoir. Contrat de
confiance éducative, service après-vente façon Bettina.
Durant toute la matinée, Rodolphe et son beau-père, ce dernier, toujours méfiant lorsque
son derrière était mis en alerte rouge fessée, s'efforcèrent de faire profil
bas pour essayer de se préserver d'une soudaine avalanche de claques. Douglas savait, par expérience, que Clarisse
en colère, pouvait passer sans sommation d'une paire de fesses à l'autre, sans
véritable raison, sinon celle fallacieuse de ne pas faire de jalouses. Dans ces
cas-là
il valait mieux essayer de les mettre aux abris, par une attitude plus
qu'exemplaire, une obéissance absolue, le petit doigt sur les élastiques du
slip. C'était ça, une stricte discipline domestique !
Mais, Clarisse ne
semblait pas leur prêter une attention différente que celle des autres
jours. Douglas, de service au rayon
entretien de la maison, s’appliquait à
faire un ménage approfondi comme le lui avait ordonné son exigeante épouse.
Chacun devait apporter sa contribution aux tâches ménagères surtout ces
messieurs, Douglas en tête de gondole, avec bien évidemment fessées à la clé si
le travail n'était pas bien fait...Ce qui arrivait régulièrement, étant donné
le niveau d'exigence de la maîtresse de maison. Elle lui faisait laver le sol de la cuisine, toujours à
genoux, déculotté, le slip en travers des cuisses pour disposer rapidement de
ses fesses à la moindre négligence. Avec
un tel stimulant, on pouvait contempler le reflet écarlate de son derrière dans
un carrelage si brillant, et tellement propre, qu'on aurait pu manger parterre.
Il était maintenant occupé à nettoyer toutes les vitres
sans perdre de temps lorsque Clarisse s'approcha pour en vérifier la
transparence. Les sourcils levés, en une interrogation muette, elle pointa son
index vers une trace de doigt en le regardant avec une sourire goguenard.
– « C'est quoi ça Douglas ? Dit-elle d'un ton doucereux. C'est comme ça que
tu nettoies les vitres maintenant ? »
Elle n'eut pas besoin d'en dire plus. Le malheureux
savait ce que cela voulait dire et, bien dressé, sans un mot, il commença
aussitôt à se déculotter pour prendre sa fessée. Elle la lui mit, plié en deux sur sa cuisse relevée en
pont, le talon aiguille posé sur une marche de l'escabeau qui lui servait à
nettoyer les carreaux.
– « Nous avons tout notre temps ! dit-elle en lui claquant méthodiquement le
derrière parfaitement présenté. Le rendez-vous chez Bettina n'est qu'en début d'après-midi. Je veux voir les vitres, aussi
reluisantes que tes fesses quand j'en aurais terminé avec. !
–
Ouille ! Aiiie !!! Pas... pas si fort, chérie ! La... La
fessée... simplement pour une petite trace de doigt !
–
Mais bien sûr la fessée ! Et là ce ne sont pas juste des petites traces de
doigts sur les fesses qu'on va voir mon chéri, mais celles de ma main tout
entière ! Quand je te demande de faire carreaux je les veux parfaitement
propres ! Sinon... ne fais pas l'étonné, tu connais le tarif... c'est la
fessée ! »
– Ah oui chérie... mais quand même … Roaiiiiie !! Aïe !!
La fessée pour...
–.Ça suffit ! Monsieur est habitué à ce qu'une femme
de service vienne ranger son bureau tous les soirs. Et bien ici c'est l'inverse. Il est temps
que tu apprennes ce que c'est que de faire le ménage. Avec ma main sur tes
fesses à chaque fois que tu bâcles le travail ! »
Son chiffon dans une main la bombe de produit à carreau
dans l'autre, Douglas se prend sa fessée en poussant des gémissements,
tortillant frénétiquement du derrière sur la cuisse gainée de nylon de son
épouse. Celle-ci tout en lui claquant de vigoureux allers et retour sur les
fesses interpelle son fils, resté prudemment à l’écart.
– « Rodolphe... Viens ici... tout de suite !
Viens voir la belle danse des fesses que nous fait ton beau-père... Ça va te donner un aperçu de ce qui
attend les tiennes tout à l'heure chez Bettina ! »
Le garçon obéit sans discuter, mais, compte tenu des
circonstances, avec beaucoup moins d'enthousiasme que d'habitude, quand sa
mère le fait assister aux corrections de son beau-père. Celui-ci, à peine reculotté, dû finir ses
carreaux, en larmes, le postérieur en feu, après une deuxième fessée à
l'escabeau, à cause d'une légère projection de produit à vitres sur les
rideaux. Clarisse, comme toutes ses amies, partait du principe qu'une
bonne discipline conjugale passait par
une exigence de respect et d'obéissance de tous les instants. Elle considérait
donc qu'une paire de fesses bien rouge, était le meilleur moyen d'en faire
accepter les principes. Les démonstrations d'autorité devaient donc se faire le plus souvent possible, à la moindre
occasion.
Dans le même temps, chez Gladys, l'atmosphère d'avant
punition, était aussi lourde qu'une grosse claquée sur un derrière
déculotté. Le nez plongé dans un livre d'économie, Robin, à la table du
salon, sous surveillance de sa mère, faisait semblant de travailler. En
réalité, il se morfondait en ne pouvant chasser de son esprit la
cuisante fessée qu’allait lui flanquer Bettina. Il espérait, que les
corrections qu'elle avait reçues de son mari à cause de ses écarts de comportement, ne l’incite pas à se
montrer encore plus sévère. Par phénomène de compensation et pour mettre en
application ce qu’elle proclamait si fort d’habitude, quand elle se régalait de
le voir se ramasser des déculottées par sa mère. Il maudissait Rodolphe, sans
toutefois le soupçonner de mauvaises intentions, mais seulement de bêtise, pour
avoir trahi sa confiance dans le but de se rendre intéressant...Eh bien, il
allait être servi avec Bettina....Il espérait bien qu’elle allait lui tanner ses grosses
fesses encore plus fort qu’à lui, à ce crétin !
Ils déjeunèrent pratiquement en silence. Gladys n’était
guère loquace, Edouard, faux jeton comme à son habitude, se méfiant, lui aussi,
de la séance de punitions prévues chez Bettina, s’activait pour prévenir ses
désirs, respectant son silence et ne prenant la parole que pour lui
répondre ,
– « Tout de suite Gladys ! Bien sûr... Oh ! Pardon ma
chérie, excuse-moi, ne bouge pas, je le fais immédiatement ! »
Il savait pourtant que Gladys ne supportait pas cette
attitude grossièrement servile, qui finit d'ailleurs par l'agacer. Au moment où il s'y attendait le moins, elle
lui flanqua une grand claque en pleine figure au milieu du repas . Il en
perdit sa fourchette et son couteau qui voltigèrent sur le carrelage de la
cuisine.
« Arrête ça tout de suite Edouard ! Tu m'énerves avec
tes simagrées ! Tu crois que je ne vois pas ton petit manège ?
--Mais... mais chérie , je t'ass...
– Qu'est-ce que je viens de te dire... Tu continues !... Tu veux
discuter ? Baisse ton pantalon, et déculotte-toi ! Tu vas finir de manger comme ça, le derrière à
l'air, prêt à claquer... Encore un mot de travers avec ce comportement idiot,
et je te mets une fessée avant de partir !... Maintenant, ramasse tes
couverts que tu as fichu par terre et finit ton assiette ! ».
On n'entendit plus Edouard,
jusqu'à la fin du repas. Le déjeuner était terminé. Robin, la gorge
nouée, n’avait pratiquement rien avalé. Vers quatorze heure, Gladys annonça
qu’il était temps de se rendre chez nos voisins. Pris de panique, l’idée le
saisit brusquement qu’il fallait absolument qu'il se rende aux toilettes bien
que n’ayant pratiquement rien bu durant le repas. Il était soudain empli de la
crainte de faire pipi de trouille sur les genoux de Bettina ce qui, à
l’évidence, n’arrangerait rien pour lui ! Quand il sortit des toilettes, sa
mère l'attendait avec Edouard.
– « Ce n'était pas la peine de te reculotter, dit-elle en lui faisant signe de s'approcher.
; tu vas y aller en tenant ton pantalon baissé !
– Mais maman... tout le monde va voir mes f...
– Tes fesses ! ...Mais c'est ce que je veux, bien
sûr !... Que les gens voient tes fesses pour bien montrer que tu es puni
et que tu vas recevoir une correction ! »
Elle l'attira à elle et, soigneusement, tira au maximum sur
les élastiques de son slip pour les lui rentrer dans la raie des fesses et,
ainsi, les dégager presque entièrement.
– « Voilà, comme ça tout le monde va pouvoir en
profiter, et moi aussi d'ailleurs ! »
L'occasion était trop bonne et le derrière,
ainsi présenté, devenait une véritable provocation. Elle le courba sous son
bras et lui administra une vingtaine de claques bien appliquées qui ravivèrent
la couleur de ses fesses et la douleur de la fessée de la veille. L’attrapant
ensuite par une oreille, elle se dirigea vers la porte en faisant claquer ses
hauts talons et en dandinant le postérieur...
– « Edouard, cette fois tu fermes bien à
clé derrière nous... Souviens-toi que ça t'a valu un fessée
déculottée sur le trottoir la dernière fois que tu as oublié en
sortant ! »
– Oui chérie... je ferme à clé ; »
Gladys marchait vite sans se préoccuper des
deux hommes. Edouard avait du mal à suivre son pas, et
Robin, toujours fermement tiré par l’oreille,
trottinait près d'elle en retenant, à deux mains, son pantalon baissé sur
ses cuisses. Il n’avait pu s’empêcher de se mettre à pleurnicher, à la fois
parce qu’elle lui faisait mal et qu'il redoutait la terrible fessée qui
l’attendait.
Il était
possible de passer d’un jardin à l’autre mais la perverse maman, avait décidé
de le faire passer par la rue pour l'obliger à bien exposer ses fesses au
regard des passants. Même si le trajet n'était pas très long, c'était suffisant
pour lui infliger une bonne dose d'humiliation avant sa correction.
Elle sonna au portail. Walter apparut,
visiblement un peu éméché. Après avoir
bredouillé une sorte de.
– « Ah ! Aaaaah bon...jour
...vous... vous voilà... Bettina vous attendait
avec... avec impatieeence... »
. Il les emmena dans leur jardin. Celui-ci
était un peu plus grand que le leur et une terrasse recouverte de gravier
jouxtait leur maison. Une table de jardin en métal trônait au centre entourée
de deux canapés d'extérieur et quelques chaises de même fabrication .
Walter semblait content de l'arrivée des
voisins et, par contre, semblait ignorer Robin qui, il est vrai se faisait le
plus discret et le plus timide possible. Il semblait s'adresser à Edouard comme
il l’aurait fait à un copain de longue date qui serait venu lui rendre visite.
En réalité il n’avait d’yeux que pour Gladys, dont il lorgnait ostensiblement
la petite jupe de tailleur remplie à craquer d’une paire de fesses bien
rebondies qui manifestement ne le laissait pas indifférent.
Malgré l'extrême sévérité de sa mère, Robin
avait découvert qu'il éprouvait une sorte de sentiment de jalousie ou de
propriété à son égard. Il détestait qu’elle fasse l’objet de la convoitise des
hommes en général. Mais ce jour-là, il devait
reconnaître honnêtement qu'il était bien content de n’être pas, pour le
moment, le point de mire de l'assistance. En outre, il avait remarqué, à
son élocution en dérapage incontrôlé, que Walter semblait en avoir un “léger
coup dans l’aile” comme on dit...
Celui-ci les entraîna vers son
“salon de jardin” et d’une voix tonitruante clama à Edouard,
–« “ Tiens, on va d’a... d'abord boire un
bon coup !!! »
Edouard jeta un regard un peu perdu vers Gladys
comme s'il attendait son autorisation. Ça sentait l'embuscade, pas du tout
prévue au programme. Elle le laissa se
débrouiller avec son récent ''ami de toujours', se réservant l'excellent
prétexte de lui flanquer une bonne fessée à la maison en cas de retour
alcoolisé.
Sur la
table métallique étaient posés une bouteille en grès et deux verres. Walter
proclama avec fierté et solennité dans la voix.
– « Tu... Tu vas voir, c’est du bon
Genièvres... pas fabriqué avec des po... pommes
d’arrosoir ! Tu vas m'en dire des... des nouvelles ! »
Mis à part un Whisky que son épouse lui
imposait de prendre avec elle, pour trinquer au bon déroulement d'une fessée
particulièrement sévère, Edouard ne buvait
pas autre chose que de la bière, et sans exagération. Il n’osa
refuser le Genièvre et son verre était plein avant qu’il dise quoique ce
soit !
A mi-distance entre la maison et la table où
s’étaient installés les deux hommes,
Gladys,
guettait l’apparition de Bettina et commençait
à s'impatienter. Elle était à la fois
flattée et contrariée de se sentir détaillée par ce mal élevé de Walter qui se
régalait à soupeser ses rondeurs en même temps qu’il savourait son alcool. Elle
aimait attirer les regards sur son opulent fessier, mais pas celui du mari de
sa voisine en état de semi-ébriété. Pas étonnant qu'elle ait eu un peu envie d'aller
voir ailleurs.
Robin, sans nul doute encore plus embarrassé
que sa mère, était docilement resté auprès d’elle, attendant avec impatience
l’arrivée de Rodolphe... malgré tout ce qu'il avait à lui reprocher...
Walter ayant lampé son verre et en
proposa un autre à Edouard qui avait à peine entamé le sien et, craignant des
représailles par la suite, put cette fois décliner l’offre.
– « Euuuh... merci … Pas tout
de suite ...un peu plus tard . »
-
Ce qui n’empêcha pas Walter, sur sa lancée, de
se servir un deuxième verre qu’il avala d’un trait et de le remplir une troisième
fois, en se contentant provisoirement d’une nouvelle gorgée .
Enfin, Bettina descendit les quelques marches de son
perron, vêtue d’une ces petites jupes noire à poix très courte, qu'elle
affectionnait particulièrement et d'un bustier qu’emplissait sa poitrine
généreuse. Ses talons aiguille claquaient bruyamment sur la pierre. Elle
s’excusa de son retard. Elle venait à l’instant de recevoir un appel de Clarisse qui partait de chez elle pour amener son
fils et l’avait prévenue qu’elle devrait repartir après l’avoir déposé, car
elle avait un rendez-vous important chez sa coiffeuse. Rodolphe rentrerait chez lui
à pied après avoir reçu la bonne fessée qu’il méritait...
Gladys s’étant rapprochée de Bettina, Robin se trouvait à peu
près à la même distance des deux groupes et il restait là en attendant
l’arrivée de Rodolphe qui marquerait sans nul doute le début de la séance de
corrections ! Contrairement à son mari, Bettina le regardait sans arrêt et,
grâce à son pantalon baissé, pouvait tout à loisir, lui soupeser le derrière du
regard, pour se régaler à l'avance de la sévérité de la fessée qu'elle allait
lui administrer. Il sentait ses fesses se serrer d'appréhension sur les
élastiques de son slip presque entièrement enfoncé dans la raie. Afin d’ignorer son regard menaçant, il baissa
piteusement la tête mais ouvrit grandes ses oreilles pour entendre ce qui se
disait dans les deux groupes .
Bettina, comme pour mettre le sujet sur le tapis, avait dit
à sa mère.
– « Ah dites donc, Gladys, votre fils ! il a pris une sacrée dérouillée hier soir
! Vous n'y êtes pas allé de main morte... Pour taper, ça tapait dur... J’ai
bien entendu comment ça claquait fort sur ses grosses fesses ! Et qu'est-ce qu'elles claquent bien !
– Et oui Bettina...C'est le résultat d'un entretien
régulier. Et vous savez comme moi qu'une fessée ça doit claquer fort si on
veut obtenir une belle cuisson !
– Pour ça, vous savez y faire... Il a dû avoir sacrément
chaud aux fesses, hein... je l’entendais crier et chialer comme un gamin.
– C'est ce qu'il lui faut pour bien corriger son gros
derrière. D'une part il en avait mérité une sévère et, d'autre part, ça lui a servi de préparation à la correction
que vous allez lui mettre maintenant. D'ailleurs, depuis le temps que le
voyez se tortiller sur mes genoux, vous allez pouvoir apprécier, par vous-même, la belle souplesse de ses fesses qui
rend ses fessées si claquantes ! »
Cet échange ne lui disait rien qui vaille, et, par moment,
la conversation lui paraissait bizarre ...Bettina, comme à son habitude parlait
fort, avec enthousiasme. Il était bien sûr question de fessées mais,
curieusement, il lui semblait, aussi, de recettes de cuisine. Gladys écoutait
plus qu'elle ne discutait, hochant la
tête en signe d’approbation ou manifestant sa surprise.
– « Ah ? Ah bon ?... Vous dites que c'est bien meilleur avec
ça... Oui... ça doit cuire aussi à l'intérieur... Il va falloir absolument que
j'essaye... »
Robin entendait des mots qui lui semblaient ne pas avoir de
rapport entre eux. '' Radis noirs...fessées,
gingembre...martinet ''...Il y avait des termes dont il ne comprenait
pas trop la signification. Il ne savait pas qu'il existait des radis noirs
alors qu’ils étaient toujours roses et blancs dans son assiette... Et le
gingembre ? Quelle idée de mêler
des conseils culinaires à une discussion sur la fessée qui, hélas, lui semblait le seul sujet d’actualité.
Pendant ce temps-là Edouard et Walter, discutaient, chasse,
pêche, nature, mais très peu tradition... et d’une façon plutôt embrouillée,
surtout Walter, à l'élocution gravement endommagée, sans aucun doute, à cause
de l’alcool qu’il buvait par rasades .
Enfin, Rodolphe et sa mère arrivèrent. Elle le traînait
plutôt que le tenir, lui aussi, par l'oreille et fit une entrée triomphale,
étroitement moulée dans un petit tailleur outrageusement court qui mettait en valeur les rondeurs opulente
de sa poitrine et de son sculptural fessier. Les boucles métalliques de ses
jarretelles apparentes brillaient au soleil. Rodolphe tout péteux, tenait
son pantalon à la main. Sa mère l'avait carrément amené en slip à fessée, très étroit et très
serré, dont les élastique tendues à craquer s'enfonçaient jusqu'au fond de la
raie. Ses grosses fesses débordaient largement des deux côtés et la transparence du nylon révélait une surface cramoisie
zébrée des rayures faites par les lanières d’un martinet qui s’entrecroisaient
depuis les fesses jusqu'en haut des cuisses. De toute évidence sa mère venait
de lui flanquer une sacrée déculottée à la maison avant d'arriver ici.
Il vint se mettre à quelque distance de Robin, soucieux
sans doute des coups de pieds qu'il pourrait lui envoyer discrètement dans les
chevilles...
Clarisse rejoignit Gladys et Bettina, sans estimer devoir
s'excuser. Justifiant son retard, en arguant d'un incontournable cas de force
majeur, qu'en fesseuses accomplies, ces Dames ne pouvait que prendre en
considération. .
– « Je sais Mesdames, je ne suis pas vraiment en avance... mais
vous savez ce que c'est... Pour tout dire, j'ai pris mon temps. Mais il fallait
que je mette sa fessée à Rodolphe juste avant de partir, pour qu'il arrive ici
le derrière en pleine forme. Il lui en fallait une sévère... Il l'a eue …
Suffit de regarder ses fesses elles sont prêtes pour une bonne séance.
– Je vois ça ! Je vois ça ! Joli travail de
préparation ! »
Dit Bettina en se
frottant les mains comme pour se les échauffer.
– Par contre, je suis vraiment désolée Mesdames, mais ne
vais pas pouvoir rester...
– Ah bon ? Mais pourquoi donc ? »
S'exclament,
ensemble, Gladys et Bettina l'air sincèrement déçu.
– J'avais pris rendez-vous, au salon de coiffure chez Béatrice,
bien avant que ne se décide cette petite réunion punitive. C'est une amie
aussi, je ne peux décemment pas lui faire faux bond...
– Et bien vous ne savez pas ce que vous allez
rater ! »
S'exclame Bettina en
lorgnant d'un regard gourmand, les volumineux derrières des deux garçons.
Clarisse s'était déjà levée pour prendre congé. Elle
désigna son fils d'un coup de menton, la main droite levée, paume tendue comme
en action, évoquant la fessée.
– « Je vous confie Rodolphe et je vous fais confiance
pour bien lui cuire les fesses...Corrigez le sévèrement, qu’il se souvienne de
la fessée que vous allez lui donner. Il en a une bonne paire qui encaisse bien…
Alors n'hésitez pas à taper fort. Je
viens de lui en claquer une belle avant de partir, mais ce n'est pas suffisant,
il lui en faut encore ... et je lui en flanquerai une nouvelle quand il
rentrera pour lui faire finir sa journée en beauté! »
Et hop, une nouvelle saison ! C'est déjà la troisième !
Nous retrouvons des protagonistes dont nous avons déjà fait la connaissance précédemment, mais nous allons également découvrir de nouveaux personnages pour lesquels la fessée est à l'ordre du jour.
Que s'est-il passé dans le dernier épisode ? Un trou de mémoire ? Ce n'est pas grave voici là où a commencé la saison, le chapitre 1, et le précédent, c'est le chapitre 29
Pour ceux qui n'auraient pas lu le tout début de la série, la voici : le chapitre 1 de la saison 1
Pour ceux qui n'auraient pas lu le tout début de la série, la voici : le chapitre 1 de la saison 1
Il y a une suite, oui, mais il faudra attendre la semaine prochaine.
Ramina est l'auteur de nombreux récits et commentaires sur ce blog.
Juste retour des choses il attend les vôtres. Ecrivez vos appréciations, vos retours, vos questions ... dans le cadre ci-dessous. Ramina vous répondra.
magnifique posture!le postérieur bien offert aux cuisantes claques de la fesseuse.
RépondreSupprimerserge...
Bonjour Serge.
RépondreSupprimerJe reconnais bien là notre amateur de derrières bien présentés.
Oui c'est une magnifique position, humiliante à souhait, qui retrouve un peu d'actualité dans les récits.(Sophie, JLG) Pour tout dire, ça change de la traditionnelle fessée sur les genoux. (OTK) Il faut bien varier les plaisirs.(sourire)
Le fessier est parfaitement exposé, bien épanoui. Il offre des rondeurs très tendues, par le poids du buste et des jambes dans le vide. Le derrière s'offre d'autant plus ferme sous la main que c'est la seule partie du corps en appui sur la cuisse de la fesseuse. Posture idéale pour des solides fessées !!
Cordialement
Ramina