Côté relationnel avec leurs
collègues, l’ambiance est mitigée, car quelques gendarmes, hommes comme femmes,
les regardent en biais, en souriant sur leur passage, en se rappelant de
l’excitant spectacle qu’elles ont donné devant eux. Certains les accablent
toujours de surnoms peu flatteurs, même si le Gendarme Gwenola G. veille à ce
qu’elles ne deviennent pas les souffre-douleurs de la caserne. Elles ont fauté
et elles ont été sévèrement punies pour ça, il n’y a pas de quoi en rajouter.
Si elle devait s’apercevoir que les cadettes étaient mises au banc de la
caserne, elle en informerait son Lieutenant, pour faire cesser ces
comportements injurieux. Les jeunes femmes sont de futures femmes gendarmes en
puissance et doivent être considérées comme telles.
Les jours se ressemblent tous,
car à cause du confinement, les sorties personnelles hors de la caserne sont
proscrites et les cadettes sont confinées lorsqu’elles ne sont pas en patrouille,
comme bon nombre de nos concitoyens, ce qui fait que l’ennui est vite atteint.
Lors de l’entrée ou de la
sortie de la caserne, les personnels se livrent à une prise de température
systématique. Depuis leur punition, les quatre cadettes, ont, de la part du Capitaine
médecin Cindy B., une prise de température rectale. Sur le dos, les cuisses largement
écartées, à regret, les cadettes se laissent enfoncer le thermomètre dans
l’anus et sous une minute, elles sont fixées. Par contre, dès qu’elles sont
reculottées, elles râlent d’être prises pour des gamines à qui on doit prendre
ce type de température, car elles trouvent qu’elles ont déjà largement payé
leur faute.
Quelques jours plus tard, lors
d’une patrouille, dans les faubourgs de la ville, le groupe contrôle des
personnes. Certaines attendent le bus, d’autres font leur footing, et les
autres marchent en promenant leur chien. Lucie S. demande à une dame d’un
certain âge de lui montrer son autorisation de sortie. Mais la dame répond
qu’elle est désolée, mais elle n’en a pas, car elle n’a ni ordinateur et encore
moins d’imprimante pour éditer ledit formulaire. Lucie S. parlemente avec la
dame et lui dit que l’amende sera de cent trente-cinq euros. La dame lui dit
qu’elle n’a pas trop les moyens et qu’elle doit aller faire ses courses, car
elle n’a plus rien dans son réfrigérateur, mais qu’elle fait attention de
rester un minimum de temps dehors pour ne pas risquer d’attraper le virus. Lucie
S. voit bien que la dame est de bonne foi et elle a un cas de conscience, car
d’une part, il faut qu’elle fasse son travail mais d’autre part, si elle lui
met une amende, la dame n’aura peut-être plus d’argent pour acheter de quoi
vivre. Lucie S., qui avait commencé à remplir le formulaire de procès-verbal,
le déchire.
Lucie S. demande à la dame
d’appeler la mairie et que des gens pourront venir mettre des formulaires
vierges dans sa boite aux lettre et de cette façon, elle pourra sortir faire
ses courses tout en étant dans le respect de la loi. La dame promet de
téléphoner à la mairie et d’avoir les documents pour la prochaine fois.
Rassurée, Lucie S. laisse partir la dame sans autre forme de procès et va
retrouver ses collègues, qui viennent d’en finir avec les autres personnes.
La patrouille se poursuit avec
encore quelques contrevenants autant à pied qu’en voiture. La ronde est assez
longue et lorsque les gendarmes rentrent à la caserne, elles sont bien
contentes de pouvoir retirer leur équipement.
Juste après leur rituel
passage chez le médecin Cindy B. pour leur prise de température assez vexante,
le Gendarme Gwenola G. demande aux cadettes d’encoder de suite leurs PV et
juste après, elles seront libres pour la fin de la journée.
Les jeunes femmes renseignent
le logiciel pour le suivi des régularisations des contraventions. A posteriori,
lors du contrôle fait par le Gendarme Gwenola G., il apparait qu’une saisie
n’est pas faite. Il y a discordance entre les bordereaux papier renseignés et
les bordereaux saisis. Le Gendarme repasse les saisies des cadettes pour
s’apercevoir qu’il manque une saisie pour Lucie S. Tout d’abord très étonnée
d’être la responsable de cette erreur, elle se rappelle l’histoire avec la
vieille dame. Elle dit à sa responsable qu’elle a volontairement déchiré un
formulaire, car cette dame lui a fait mal au cœur et elle lui a promis de se
procurer l’autorisation de sortie. Le Gendarme Gwenola G. s’emporte, car elle
va encore devoir expliquer cette embrouille et enguirlande Lucie S. de ne pas
l’avoir mise au courant pour ce PV déchiré, car au moindre doute, les consignes
étaient de lui demander conseil, ce qu’elle n’a pas fait. Lucie S. lui dit
qu’elle n’a pas cru bon l’ennuyer avec ça et qu’elle ne regrette absolument pas
sa décision, car elle a aidé une dame à pouvoir acheter ses courses au lieu de
payer une contravention.
Le Gendarme Gwenola G. réplique
qu’elle va être obligée de faire un rapport auprès du Lieutenant et celle-ci ne
va pas être contente. Lucie S. ne peut qu’accepter la décision de sa
supérieure.
Pendant que Marina de St T., Alicia
H. et Fiona V. retournent dans leur chambrée pour prendre leur douche et se
reposer, le Gendarme Gwenola G. explique la situation au Lieutenant, qui en
réfère immédiatement au Commandant. Celui-ci les convoque dans son bureau, car
il commence à en avoir assez de ces problèmes de discipline au sein de son
unité.
L’explication est retransmise
au commandant qui demande à Lucie S. de s’expliquer. Celle-ci justifie la
transgression des ordres par le fait d’avoir fait un rappel à la loi et de ne
pas l’avoir handicapée avec une amende qui ne lui aurait peut-être pas permis
de faire ses courses, faute de moyens informatiques. Le Commandant lui dit que
son grand cœur est tout à son honneur, mais il fallait tout de même en référer
à sa supérieure et que, compte tenu des circonstances, le résultat aurait été
le même et la vieille dame aurait pu faire ses courses, mais dans le cas
présent, le Commandant dit qu’il n’est pas permis de transgresser les règles
pour n’en faire qu’à sa tête et que cela mérite punition. Lucie S. qui se voit
déjà fessée une seconde fois devant toute la caserne dit au Commandant qu’elle
a fait un geste d’humanité et qu’il est vraiment trop injuste de lui faire
payer ça...
Le chef de la caserne lui dit
qu’elle n’a qu’à choisir entre être punie et être renvoyée. Mais il ne tolère pas
d’écarts de la part de ses gendarmes et encore moins des cadets, qui sont là
pour apprendre et exécuter les ordres. Se rappelant de sa dernière fessée, Lucie
S. hésite mais être renvoyée est synonyme de faire une croix sur sa carrière et
elle ne peut pas se le permettre, car son avenir serait compromis et elle
décevrait sa famille, au plus haut point. Rouge de confusion et rassemblant
tout son courage, elle dit en bafouillant, qu’elle choisit la punition, sachant
que ses fesses vont encore lui cuire durant plusieurs jours, mais au moins sa
carrière ne sera pas remise en cause.
Le Commandant enregistre la
décision et dit à Lucie S. qu’elle va recevoir soixante coups de fouet sur tout
le corps, entièrement nue et devant toute la caserne, Vendredi après-midi, ce
qui lui permettra de se reposer le weekend. Lucie S. n’en croit pas ses
oreilles de la sévérité de la punition. Elle proteste en disant qu’une fessée
aurait été largement suffisante, car sa faute n’est pas plus grave que la
dernière, ce à quoi le Commandant réplique que c’est la seconde faute en
l’espace de trois semaines et que ça doit être sévèrement réprimander pour lui
faire entendre raison. Lucie S. s’effondre en larmes et continue de protester.
Le Lieutenant intervient et lui ordonne de se taire, car elle commence à être
insolente. Lucie S. ne sait plus comment s’en tirer à moindre frais et,
résignée, finit par se taire.
Le Commandant entérine la
punition et dit qu’elle passera le weekend, entièrement nue et à la disposition
des permanents pour les travaux d’intérêt général. La séance étant clause, le
Lieutenant Helga K., le Gendarme Gwenola G. et Lucie S. quittent le bureau du
chef de la caserne. Lorsqu’elles sont sorties, le Lieutenant dit à Lucie S.
qu’elle aurait dû suivre les ordres mais que finalement, elle est très fière
d’elle d’avoir pris cette décision d’une grande compassion. Elle ajoute que si
elle lui en avait fait part, elle aussi, aurait abandonné les charges. Lucie S.
s’aperçoit qu’elle va se faire sévèrement punir pour rien... Complètement
démoralisée par l’annonce de la correction, Lucie S., en pleurs, remonte dans
sa chambre et met au courant ses amies, qui ont toutes les peines du monde à la
calmer.
Les deux jours qui les relient
au Vendredi sont assez pénibles, car à force que le temps passe, l’angoisse
monte et déjà plusieurs gendarmes, au courant de la prochaine punition commencent
à s’en régaler par avance et à diffuser l’information. Les sous-entendus fusent
à son passage... Certains lui demandent quel type de danse elle va leur
interpréter ? Humiliée, Lucie S. ne répond rien, se réfugiant dans sa
fierté, enfin le peu qui lui reste, car après ses fesses, elle va mettre au
grand jour le restant de son corps et son intimité n’aura plus aucun secret
pour personne après ça, ce qui pour une jeune femme à peine sortie de
l’adolescence est plus qu’avilissant.
Lucie S. se confie à ses amies
pour tenter de reprendre courage, puis avertit ses parents de ce qui l’attend.
Elle les prévient qu’ils vont recevoir une seconde vidéo avec sa correction. Sa
Maman tente de la rassurer et lui réaffirme sa confiance pour son grand cœur et
que ses épreuves la rendront plus forte, après. Elle a surement besoin de ça
pour se discipliner.
Le Vendredi après-midi, en
rentrant de patrouille où Lucie S. avait franchement la tête ailleurs, les
quatre cadettes vont en chambrée et voit le Lieutenant arriver. Celle-ci ordonne
à Lucie S. de se déshabiller entièrement et de venir car le Commandant a déjà
réuni les gendarmes et plusieurs membres des familles de ceux-ci dans la cour. Confuse
et sans empressement, Lucie S. retire ses vêtements et on peut voir ses yeux se
mouiller. Toute rouge de confusion, Lucie S., menottée, mains dans le dos, suit
sa cheffe et ses amies vers la cour. Lucie S. tente d’attendrir une dernière
fois sa responsable qui ne s’en laisse pas compter.
Avant le départ pour la cours,
le Capitaine médecin arrive et enduit Lucie S. d’une lotion huilée. Lorsqu’elle
a fini, elle dit à Lucie S. que cette lotion va attendrir la peau, pour que la douleur
soit plus intense et de ce fait, la punition sera mieux ancrée dans sa mémoire.
Lucie S. doit se faire extrême violence pour ne pas l’insulter, qui aime les
tourmenter à souhait.
A peine sortie du bâtiment, Lucie
S. sent se poser sur elle le regard réjouis de ses collègues, sent que ses
jambes commencent à flageoler et que ses tétons se dresser et durcir sous
l’intense émotion. Un grand moment de solitude s’empare d’elle et elle en
frisonne de peur. Au soleil, son corps huilé luit et met en relief ses formes
féminines, ce qui commence à exciter les hommes de façon assez visible. Lorsque
le groupe est arrivé et est au garde-à-vous, le Commandant dit à tous ce à quoi
et pourquoi Lucie S. est condamnée.
Les Gendarme Gwenola G. et Emmanuelle
G. l’empoignent et lui attachent les poignets et les chevilles en
« X » aux poteaux, dos au public puis prennent leur long fouet de
cuir. En voyant les impressionnants instruments de punition, Lucie S. hurle de
peur et implore le pardon de ses supérieurs, hurle qu’elle a compris et qu’elle
sera exemplaire à l’avenir. Le Commandant lui ordonne de se taire et se cesser
de faire l’enfant. C’est une femme et elle doit faire preuve de courage. Ordre
qui n’a pas beaucoup d’échos, puisque Lucie S. sanglote toujours. Le Commandant
recommande aux deux gendarmes de ne pas hésiter à la faire hurler.
Les deux flagellatrices s’en
donnent à cœur joie. Lucie S. s’agrippe à ses liens et ne peut que crier de
douleur, n’arrivant pas à se contenir. Les cinglées laissent des trainées
ardentes sur ses chairs et ce ne sont pas ses gesticulations et ses
piétinements qui calment quoi que ce soit. Les lanières cinglent de façon
sonores immédiatement suivi par une contorsion frénétique et un hurlement, plus
ou moins aigu en fonction de la partie du corps qui est fouettée. Marina de St
T., Alicia H. et Fiona V. regardent leur amie se faire corriger avec un mélange
étrange de compassion et d’excitation, car la voir tressaillir et hurler les excitent.
Elles comprennent mieux ce que ressentaient leurs collègues lorsque c’était
elles qui se trouvaient à la place de Lucie S. Elles pensent que leur amie
passe un sale moment, à la voir se cambrer et tirer sur ses liens de cette
façon. Mais le pire est à venir, car outre les trente coups qu’elle reçoit sur
les cuisses, les fesses et le dos, il lui en reste trente à recevoir sur le
buste. Elle s’en rappellera longtemps de cette punition, et tout ça, pour une
amende de cent trente-cinq qui de toute façon, n’aurait pas été donnée...
Au terme de la face arrière,
les deux gendarmes retournent Lucie S. pour la placer face au public. Bien
qu’elle tente de se dégager, les deux gendarmes réussissent à la maintenir et
la mettre en position. La cuisson est déjà très intense et Lucie S. appréhende
de ce qui va être appliqué sur son torse et entre deux sanglots, implore qu’on
ne lui fouette pas les seins, zone hyper sensible du corps d’une femme. Le
Gendarme Emmanuelle G. fait remarquer à Gwenola G., ironiquement et en
rigolant, que l’entrejambe de Lucie S. est bien poisseux de cyprine, c’est
qu’elle doit apprécier le traitement...
Les deux gendarmes se
remettent à fouetter le ventre et les cuisses de la punie qui hurle de nouveau
en se contorsionnant dans tous les sens. Les claquements secs des lanières qui
zèbrent la punie ravissent le public qui en redemande. Lucie S. hurle de façon
stridente lorsque les deux femmes lui cinglent les flancs, l’intérieur des
cuisses et les seins. Elle les agite de douleur. Son bas ventre n’est pas
épargné non plus, le fait qu’elle ait les cuisses écartées ne protège pas son
pubis, ni l’intérieur de ses cuisses. De longues traces rouges ornent
maintenant tout son corps. En sueur et la voix éraillée à force d’avoir hurlé,
Lucie S. fait vraiment pitié à voir.
Lorsque la correction est
finie, le Commandant, satisfait de la punition administrée, demande qu’on la
détache et qu’elle soit emmenée à l’infirmerie pour un examen, mais refuse que
le médecin lui applique sa « fameuse crème chauffante », car Lucie S.
a assez souffert. Le Commandant dit à Lucie S. que la prochaine fois, ce sera
l’exclusion de la gendarmerie, après le fouet et la crème chauffante. Lucie S.,
en sanglots, promets tout ce que souhaite son Commandant.
Devant leurs collègues hilares,
Marina de St T., Alicia H. et Fiona V. emmènent leur amie, qui avance les
cuisses écartées, vers l’infirmerie où le médecin lui fait prendre une bonne
douche froide pour calmer momentanément la cuisson et les autres cadettes ne
sont pas de trop pour l’aider à se laver. Elles sont assez étonnées de voir les
marques boursouflées et rouges laissées par les lanières sur sa chair. Elles
constatent aussi que malgré ça, la peau n’est absolument pas lésée. Le médecin ausculte
la punie qui chouine et lui dit qu’hormis l’intense douleur, tout va bien pour
elle. Propre et reconnue apte, le médecin la renvoie en chambrée où Lucie S.
tente de s’allonger, mais avec le dos et le torse fouettés, il n’y a pas de
position où la cuisson ne la fait pas souffrir. Elle passe une nuit des plus
agitées, malgré les linges mouillés et frais que ses amies lui posent sur le
corps.
Dès le lendemain matin,
fatiguée par cette nuit quasiment blanche, Lucie S. est avec les autres
gendarmes de permanence, mais nue, dans la cour, au garde-à-vous. Les mains le
long du corps et le buste droit, outre la chaleur de tout son corps, elle sent
à nouveau se poser sur elle les regards concupiscents et narquois des personnes
présentes et des membres des familles à leur fenêtre, admirant cet excitant spectacle.
Les trois cadettes aident
Lucie S. à ne pas se sentir trop seule, mais ne parviennent pas à faire taire
les remarques très désobligeantes des gendarmes qu’elles croisent, comme le
surnom « la poire » en référence à la forme de ses seins et de
ses longs tétons ou comme en référence aux traces bien rouges qui la zèbrent
des cuisses aux épaules !
Equipée d’ustensiles de
nettoyage, Lucie S. est encore bonne pour faire tout le sale boulot que les
autres ne souhaitent pas faire. Marchant en crabe, les cuisses écartées, pour
éviter le frottement sur les cinglées encore douloureuses, elle est même
assignée au service à la cantine et avec son tablier, elle ressemble plus à une
soubrette qu’à autre chose, ce qui n’est pas pour déplaire au personnel !
Après un weekend de corvées où
toute remarque, même minime, est sanctionnée par quelques bonnes claques sur
les fesses qui la font rugir et pleurer, Lucie S. doit reprendre sa vie, mais
le port de son uniforme est trop douloureux, ce qui fait qu’elle reste quelques
jours de plus, nue, à la caserne, affectée cette fois au secrétariat du
Commandant. Celui-ci, de goujate façon, n’hésite pas à lui tapoter la croupe où
lui caresser les seins, les tétons et son entrecuisse, lorsque Lucie S. vient
lui donner ou lui faire signer des documents. Au moindre sursaut d’amour-propre
ou de pudeur, le Commandant la fait mettre au garde-à-vous et se livre à ses attouchements
et Lucie S. se force à se taire, car elle sait que tout commentaire ou toute réaction
épidermique auraient des conséquences.
Quelques jours plus tard, à la
veille de la reprise de ses patrouilles, Lucie S., alors qu’elle est toujours
nue, parvient, avec l’aide de ses trois amies à déjouer, avec une bonne dose de
chance, une effraction dans la caserne, ce qui leur vaut une reconnaissance de
la part de l’état-major et une médaille de l’ordre des gendarmes. A compter de cet
exploit, les collègues des quatre cadettes les voient d’un autre œil.
C’est au cours d’un déjeuner au
mess que le Commandant Jean-Luc L. les informe que si elles veulent avoir leur
mutation dans sa caserne lorsque leur école sera finie, il appuiera la requête
et aucune des punitions reçues ne sera indiquée sur leur dossier, en
remerciement des services rendus.
Une série écrite par Elena
Elle nous revient pour quelques épisodes, un, c'est sûr, deux, très probable, plus ? ça semble le cas ! L'aventure continue !
Dans l'entourage d'Iourevna d'autres fessées ont déjà été administrées, lisez-les ici : le chapitre 1, début de la série et l'épisode précédent, le chapitre 30 acte 1
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Bonjour, Elena. Et bonjour à tous.
RépondreSupprimerAprès la fessée collective, une fessée individuelle. Difficile à vivre pour celle qui va la recevoir. Elle sait ce qui l'attend. Épreuve également pour ses trois collègues. Elles vont pouvoir voir les choses de l'extérieur cette fois et juger sur pièces du spectacle qu'elles avaient, elles aussi, été amenées à offrir. Ce qui va renouveler leur honte. Mais elles vont aussi toucher du doigt le plaisir qu'on peut éprouver (et que leurs collègues ont éprouvé) à assister à une fessée. Effet miroir à l'infini.
Amicalement.
François
Bonjour François,
RépondreSupprimerLes cadettes démarrent bien mal leur stage dans cette gendarmerie. Elles se rendent coupable de faits de corruption. Mais pour la jeune Lucie, c'est son grand coeur qui l'aura perdu ou trahi ou les deux...
Pour la représentation très excitante, les gendarmes de la caserne et leur famille aux fenêtres en redemanderont surement ! Après ça, nos malheureuses cadettes sentiront peser sur elles tous les regards concupiscents de leur collègues masculins et peut-être féminins, aussi, d'ailleurs.
Amitiés.
Elena.