LES BIENFAITS D'UNE STRICTE DISCIPLINE DOMESTIQUE
DU DOUBLE USAGE D'UN MARTINET.
Sévèrement corrigée, Géraldine, renonçant à toute velléité
de résistance, finit par abandonner complètement son derrière à l'impitoyable
correction. Elle ne peut plus que pleurer abondamment en s’efforçant de garder
son fessier en l’air, bien bombé, comme l'exige sa tante, les mains posées à
plat sur le sol, les jambes battant l’air frénétiquement. La bouche grande ouverte, elle
sanglote en continu, bavant sa morve, les yeux écarquillés débordant de larmes
mêlées de rimmel qui tombent en petites gouttes sur le plancher de la boutique.
– « Alors, chère amie... Comment trouvez-vous les fesses de Géraldine ? Elles
claquent bien, n'est-ce pas ? Notre amie Bettina à mille fois
raison...C'est seulement quand elles sont bien rouges et cuisantes, que la fessée
commence à produire son meilleur effet ! »
– C'est vrai... Répond Gladys en croisant haut les jambes.
Il faut reconnaître qu'elle dit souvent des choses très justes. »
Elle savoure le
spectacle, mais garde un œil sur son grand garçon, qui commence à avoir des
fourmis dans les jambes et se relâche un peu trop, à son goût.
– « Robin, ne profite pas de la situation ! Ce n'est pas parce
que je t'ai autorisé à rester pour assister à la fessée de Géraldine...N'oublie
pas que tu es toujours puni... Redresse toi, les mains sur la tête ou je te
remets une fessée à toi aussi !... Avant celle qui t'attend à la
maison ! Tu as l'air d'oublier que j'ai toujours tes fesses à portée
de main ! »
Pour
rendre l'avertissement plus convaincant, elle le remet immédiatement au garde à
d’un fulgurant aller et retour sur les fesses...
– « Celles-là aussi claquent bien ! S'exclame-t-elle joyeusement en réponse à madame
Delaniaires. Il faut faire claquer les fesses tant qu'elles sont
chaudes ! »
Astrid a relevé la tête, la main en l'air, en suspend
quelques secondes au-dessus du derrière enluminé de sa victime qui pleure maintenant à
chaudes larmes. Elle échange un sourire
d'approbation avec Gladys.
– « Sur ce point aussi, je suis tout à fait d'accord
avec vous ! »
Et
la fessée reprend son rythme régulier qui parfois s’accélère ou ralentit
au gré de la fesseuse, tandis que la volumineuse croupe écarlate danse sans
arrêt en l’air sous les claques sonores et vigoureuses qui s’abattent dessus avec
force. Astrid, le visage sévère , ne
quitte pas des yeux le gros fessier puni de sa nièce qui gigote désespérément.
Robin,
assiste à la fessée en connaissance de cause, et se dit qu'elle est tout de
même très sévère …certes une
bonne fessée c’est une bonne fessée ...Mais sachant l'effet que ça fait pour en
recevoir régulièrement , et encore une il y a quelques instants, il compatit
presque à la douleur que Géraldine doit ressentir sur son gros derrière. Enfin, Astrid la repose par terre. Elle tombe
à genoux en larmes, mâtée par la terrible fessée. Elle a à peine le temps de se
frotter le derrière que l'ordre fuse.
– « Passe-moi ton martinet !!
Géraldine, qui a perdu toute dignité, supplie comme une
petite fille à qui sa maman annonce une nouvelle fessée encore plus sévère.
« Oh non ma tante, pitié ! Pas le martinet...S'il
vous plaît ! Vous m'avez déjà mis deux fessées à la main, et vous avez
tapé fort ! »
– « Voyons Géraldine, il faut bien que je montre à
notre cliente l'efficacité du martinet qu'elle a l'intention d'acheter. Ça
fait partie de mon travail au magasin. D'ailleurs, tu devrais être flattée que j'utilise tes
fesses pour tester la qualités des instruments de discipline que fabrique ton
oncle. »
Elle fait semblant
de réfléchir quelques secondes et reprend avec le sourire de celle qui vient
d'avoir une idée lumineuse.
« Très bien, je te laisse le choix...Tu préfères du
martinet sur les fesses ou une fessée à la main avec le manche dans le
derrière ? »
Géraldine qui craint par-dessus tout une nouvelle fessée au martinet
n'hésite pas une seconde, malgré l'humiliante proposition.
– « Oh, le manche dans le derrière ma tante ...avec la fessée à
la main ! »
– Très bon choix ma fille ! Passe-moi le martinet . »
Géraldine lui tend d'une main tremblante. Elle l'empoigne
et lance un clin d'œil
à Gladys que la tournure des événements amuse beaucoup.
– « Démonstration de l'autre usage intéressant du
martinet dont je vous parlais tout à l'heure... »
Elle ordonne à Géraldine de venir se remettre en position,
cette fois sous son bras, et lui commande de bien écarter les fesses. Ce
qu'elle fait en semblant avoir oublié la présence de Gladys et Robin, ou peut-être la trouve-t-elle sans importance à ce moment-là. Dans tous les cas, trop contente
d'échapper à la fessée au martinet, la perspective de s'en prendre une autre à
la main avec le manche planté dans le derrière n'a pas l'air de la perturber
outre mesure.
– « Oui ma tante, la... la fessée à la main, avec … Avec... Le...
Oh... Dans le... le... C'est vrai,
pardon, j'ai été insolente... Oui... Une autre fessée … je la
mérite ! »
– Avec plaisir ma chérie ... »
Astrid ne se fait pas prier, au contraire. Elle lui enfonce
lentement, anneaux par anneaux quinze bons centimètres de cuir dur, enduit de
vaseline, dans le derrière et démarre une nouvelle fessée en redoublant les
claques. Gladys, avec un sourire amusé, observe les trépidations du manche du
martinet et les lanières oscillant au rythme des claques entre les fesses
rebondies. Leur couleur, par endroit, vire à l'écarlate. Géraldine, entre
larmes et gémissements, tortille du derrière en cadence.
– « Oh ma tante … ça fait mal ...çà... ça brûle ... oh là là ! çà cuit trop... et... et c’est dur
ce... ce machin dans le... Raaaah ... pas si fort s'il vous plaît, pas dessus, ça l'enfonce encore plus !
-
Gladys constate avec satisfaction que les cannelures et le renflement du bout du manche facilitent son
maintien bien en place. Il ne ressort pas, malgré la puissance des claquées qui
secouent durement les fesses de la punie. Madame Delaniaires, en honnête
commerçante, n'a pas exagéré sur les qualités de polyvalence de l'instrument de
discipline.
Au bout de cinq longues
minutes d'un fesse droite, fesse gauche bien rythmé, la fessée se termine sur une dernière
claquée, si forte que Géraldine manque d'en tomber par terre
– « Tu restes en
position, déculottée, les fesses en l'air bien déployées, lui ordonne sa tante.
Il faut laisser le temps à nos clientes d'apprécier l'efficacité de nos instruments
après trois belles fessées successives. »
Géraldine, définitivement
matée, obéit en pleurant et arrondit docilement son derrière, vers Gladys et
Robin qui profite, lui aussi, de l'émoustillant spectacle. Les lanières
bruissantes du martinet, solidement planté entre ses fesses écarlates,
ressortent comme une queue de cheval en cuir noir qui se balance au rythme de
ses sanglots.
– « Alors ?... Convaincue ? Demande madame
Delaniaires. Et je vous garantis la qualité du cuir. Même en usage intense, vous
n'êtes pas prête d'user les lanières ! »
– Bien au-delà de mes espérances... » Répond
Gladys avec un large sourire de satisfaction.
Madame
Delaniaires, arbore l'attitude triomphante de celle qui vient de réussir une
belle démonstration d'autorité. Le
visage rayonnant, elle contemple la récompense de sa débauche d'énergie. La
paire de fesses, flamboyantes, sévèrement corrigées, d'une demoiselle arrogante qui la provoquait quelques instants
auparavant. Matée sous les fessées, et la honte de devoir s'exhiber avec le
manche de son martinet enfoncé dans le derrière, l'insolente de tout à l'heure n'est
plus qu'une petite fille en larmes, adoptant maintenant l'attitude de soumission propre à la repentance.
Madame Delaniaires ne boude pas son plaisir.
– « Alors ma chère nièce, j'espère que cette correction va
te servir de leçon. Une bonne leçon que tu vas retenir... pour quelques temps au moins...
Jusqu'à la prochaine !
--Oh oui, ma tante... Pour ça oui !
S'empresse de répondre la jeune femme entre deux sanglots.
Toujours à genoux, déculottée, les
lanières du martinet pendant entre ses fesses écarlates. elle s'adresse à sa
tante par-dessus son épaule. Elle n'ose pas se relever, attendant que sa
Tante l'autorise à retirer ce maudit manche qui lui chauffe terriblement le derrière.
– « Je vous ai mal parlé... J'ai été insolente...
Par... pardon, je... je ne recommencerai
plus... Vous m 'avez bien corrigée.
– Oui en effet, je ne suis pas mécontente de ma prestation.
Il faut reconnaître qu'un fessier aussi bien fourni que le tien facilite
grandement les choses... Qu'en pensez-vous Gladys ?
– Que ça serait dommage de s'en priver,
effectivement ! Et de toute évidence elle en a grandement besoin.
– Tu vois, reprend Astrid,
Gladys partage mon avis et celui de ta mère. Les fessées c'est pour ton bien...
Pareil pour Robin, vous ne comprenez qu'avec ça ! Alors, on est là, pour vous en flanquer le plus souvent possible
! »
Robin, tout d'un coup concerné, fit semblant de ne pas
avoir entendu. Il attendait que sa mère l'autorise à se reculotter et se décide
à quitter cette boutique dont l'atmosphère commençait à s'alourdir d'une
envahissante odeur de fesses chaudes.
Madame Delaniaires et Gladys ordonnent aux deux punis de se reculotter. Auparavant,
Astrid a pris soin de retirer bien lentement, le manche cannelé du
martinet des fesses cuisantes de sa nièce qui accompagne le retrait d'un long
gémissement de honte entrecoupé de soupirs de soulagement.
– « Voilà... La
prochaine fessée on essayera un manche un peu plus gros ! Dit-elle en riant ; Elle lui claque les
fesses. Tu peux remonter ton slip maintenant... Et ajuste-le, bien serré s'il te plaît ! »
Même consigne pour Robin. Sous l'œil goguenard de leur fesseuse respective,
les deux jeunes gens remontent leur slip sur des derrières en feu, gonflés de claques. Ce
qui provoqua maints tortillements et gémissements douloureux...au point que
Robin osa demander à sa mère s'il pouvait rentrer avec seulement son pantalon.
Ça ne traîna pas...Elle refusa évidemment et, devant une madame Delaniaires,
ravie de voir jouer les prolongations, elle le reprend aussitôt sous son bras,
le redéculotte et lui flanque une nouvelle fessée... brève mais intense.
– « Voyez, il n'en a jamais assez ! dit-elle en lui faisant sauter les fesses l'une
après l'autre à grandes claques retentissantes. Il hurle.
– «. Ça, mon petit bonhomme, c'est pour t'apprendre à
essayer de négocier les règles ! »
Elle le reculotta elle-même, sans ménagement, en s'appliquant à lui ajuster son slip, serré
au maximum, sur le derrière en regain de cuisson.
– « Voilà ce que tu as gagné mon chéri !
Qu'est-ce
qu'on dit à maman pour la remercier,
maintenant que tu vas encore mieux sentir l'effet de tes
fessées ? »
– Oui maman... Oui mer... Merci... Je... Je les sens
bien mes fessées...
Pour le coup, le rouge cramoisi, qui colorait maintenant
ses fesses, transparaissait beaucoup plus nettement à travers le nylon de son
slip, témoignant de l'efficacité de la main ferme de sa mère. Les deux
fesseuses échangèrent un regard brillant qui en disait long sur leur niveau de
satisfaction. Quant aux deux punis, l’expression de leur visage ruisselant de
larmes, montrait clairement que la
cuisson de leur fessier, suractivé par l’effet calorifugeant du Dolpic, n’était
pas près de s’atténuer !
Gladys, remercia chaleureusement madame Delaniaire pour sa
disponibilité, sa compétence et sa
magnifique démonstration. Elle ramassa
son sac avec le tube de Dolpic et expédia Robin vers la sortie d'une nouvelle claque au derrière.
– « Aller en route ! Et je n'en ai pas fini avec
tes fesses. Il y a encore une fessée qui t'attend ce soir pour fêter l'arrivée
de ton nouveau martinet à la maison ! »
Géraldine, dont la journée au magasin s'était terminée par
cette magistrale correction, fut invitée
par sa tante à rentrer chez elle.
– « Et tu es priée de montrer la couleur de tes fesses à ta mère
en arrivant et de lui en expliquer les raisons ! »
La probabilité était
grande qu'une deuxième tournée de fessées, vienne confirmer la légitimité de la
première.
Après la levée de punition que lui avait accordée sa mère
après l’achat de son nouveau martinet , grâce à son application à se montrer
docile et obéissant, Robin avait bénéficié d'une sorte de trêve et avait reçu
peu de nouvelles fessées, sinon symboliques... pour le tenir bien '' en ligne''.
Mais
cette détente fut interrompue …en grande partie de sa faute. Robin n’avait pas résisté de retour à St
Marie après les vacances, de se vanter auprès de Rodolphe et Gérôme, sous le sceau
du secret, de sa ruse concernant le fameux martinet dont il avait coupé les
lanières. Il avait aussi, pour faire bonne mesure et faire admirer son esprit
aiguisé, raconté ce qu'il avait entendu concernant Bettina. Selon son pertinent
diagnostic, il en avait conclu qu'elle devait être un peu folle, parce qu'après avoir été sévèrement corrigée
par son mari après son infidélité avec la mari de Régine, elle avait pris goût
à la fessée. Cela ne lui déplaisait pas, à l'occasion, d'en recevoir. Qu'on accepte de recevoir la fessée quand on
l’a méritée, c’était normal …mais y trouver une certaine satisfaction, cela
dépassait leur entendement. Comme si cela ne suffisait pas, la rumeur courrait
qu'elle appréciait autant les femmes que les hommes. Il n'en fallait pas plus pour en rigoler sous
le manteau.
Sauf que ce crétin de Rodolphe qui s’était
abstenu de révéler la ruse pour le martinet parce que c’était pour lui, le plus
grave, trouvant cette histoire digne du cinéma comique avait rapporté à Gérôme,
les propos de Robin sur l'état mental de Bettina.
Pas
de chance pour lui, Clarisse, l'avait entendu en parler au téléphone.
Comprenant à demi-mots de quoi il en retournait, elle n'eut pas à le cuisiner
longtemps pour obtenir des éclaircissements. Rodolphe subit un interrogatoire
musclé à plat ventre, déculotté sur les genoux de sa mère. La fessée dura tout
le temps qu'il fallut pour lui faire avouer les ragots qu'il faisait courir
avec les deux autres lascars, sur la personne de Bettina. Gladys, mise au courant,
ne manqua pas l'occasion de prendre les mêmes mesures vis à vis de Robin. Les
agissements de Bettina ne concernaient qu'elle, et quoi que l'on puisse en
penser, il n'était pas question de laisser ces petits voyous lui manquer de
respect en répandant des horreurs sur son compte. Leur punition se devait
d'être exemplaire. Ils durent s'engager à aller s'excuser auprès de
l'intéressée qui entra dans une colère bien légitime et exigea de corriger elle-même
les deux insolents. En attendant, les mères se chargeaient de leur préparer le
derrière avec fessée quotidienne jusqu'au jour fixé.
La
veille de la punition collective, Robin venait de se prendre sa fessée par sa
mère avec finition habituelle du derrière au Dolpic.
–
« Il faut que tes fesses soient en forme pour demain... dit Gladys en
l'envoyant au coin le derrière en feu. Tu connais Bettina pour qui les fessées
ne sont jamais assez sévères ! Je
vais t'en remettre une ce soir pour bien te préparer ! Parce que tu vas
dérouiller mon ami.... et vous l'avez bien mérité, toi et ton imbécile de
Rodolphe ! »
Robin
maudissait Rodolphe de n’avoir pu résister à l’envie de se vanter de ce qu'il
lui avait raconté. Il se disait en guise de consolation qu’il avait dû, lui
aussi, recevoir une fessée dont il se souviendrait …peut-être d’ailleurs était-il
encore en train de la recevoir ,allongé déculotté, sur les genoux de sa mère...
Mais la représentation de cette image ne le rassurait pas pour ce qui le
concernait. Il voyait en effet que Gladys, pensive, était fortement ennuyée
vis-à-vis de Bettina. Il se confirmait que l’affaire n’allait pas en rester là.
Lorsque,
Edouard entra un peu en retard comme d'habitude, il vit tout de suite le
fessier de Robin, d’un rouge éclatant ! Il savait que dans ces cas-là il
avait intérêt à se tenir à carreaux. Quand Gladys était en colère, une fessée
pouvait très vite en déclencher une autre. Il valait mieux être de son
avis tout de suite et ne surtout pas la contrarier.
–
« Eh bien je vois que tu lui en as encore mis une bonne ma chérie...
Qu'est-ce qu'il a fait ?... C'est l'histoire avec Bettina ? dit-il en
prenant un ton léger, presque indifférent.
–
Tu es au courant ?
–
Oui, je viens de discuter avec son mari. Walter m’a tout raconté !
–
On a rendez-vous demain chez eux avec Clarisse et Rodolphe. Bettina, va
leur flanquer à chacun une correction pour les punir des saloperies qu'ils ont
raconté sur elle… Tu la connais... ça va claquer dur ! Et elle aura
raison. »
En
entendant sa mère, Robin se surpris en train de me masser craintivement les
fesses ,encore douloureusement cuisantes, comme s'il était déjà sur les genoux
de Bettina en train de recevoir la grosse fessée annoncée. Il se rassura
provisoirement en se disant que ce ne serait que le lendemain …
Malgré
ses supplications, Gladys inflexible lui annonça sa deuxième fessée après le
dîner.
–
« Oh maman, s'il te plaît... j'ai les fesses encore sensibles de celle de
ce midi. J'arrive à peine à supporter mon slip ;
–
Justement mon chéri, ça tombe bien... Tu ne vas plus avoir à supporter ton
slip... C'est une fessée déculottée que je vais te mettre !
–
Maman, non... pitié ! Pas la fessée déculottée... je t'en prie...
–
Pas de pleurnicherie Robin ! Tu te déculottes et tu rappliques ici tout de
suite, pantalon aux chevilles, slip aux cuisses. Je te donne cinq secondes pour
venir me présenter tes fesses, ou c'est la fessée
supplémentaire ! ! »
Résigné, il se positionna bien déculotté sur les
genoux de sa mère, s'installant comme il en avait l'habitude et comme elle
l'avait dressé à le faire. Mains posées par terre, le nez près du sol, reins
creusés, derrière en l’air exposé au maximum, les pieds levés pour les faire
battre en l’air et faire ressortir son fessier. Il attendit sa fessée en
ajustant sa position. Il n’eut pas à attendre plus de quelques secondes.
Un déluge de fortes claques bien appliquées
sur son gros derrière bondissant le fit immédiatement brailler pendant que sa
mère le sermonnait. Ses fesses étaient encore bien sensibles de la fessée du
midi. Il se mit à pleurer à chaudes
larmes puisque personne n’assistait à cette déculottée et qu'il n'avait donc
aucune raison de rester stoïque pour faire le malin. Il n’avait qu’à subir sa
fessée jusqu’au moment, dont il savait qu’il n’était pas près d’arriver, ou sa mère
la jugerait suffisante. Ses fesses devenaient de plus en plus rouges. Malgré
leurs soubresauts et leurs tortillements désespérés, malgré le pédalage de ses
jambes en l’air au rythme des claques, elles avaient vite atteint un niveau de
cuisson insupportable. Il sanglotait bruyamment sans même essayer de demander
pardon car il savait que ce serait peine perdue et que de toute façon c'était à
Bettina qu'il le devait. Il savait, aussi, que la fessée allait être de plus en
plus douloureuse et qu’il n’y avait rien d’autre à faire que d’attendre qu’elle
soit terminée, en gardant son derrière en bonne position pour la recevoir...
même en le trémoussant …
Fidèle
à la méthode éprouvée, Gladys variait le rythme des claques qui tombaient comme
une averse. Tantôt elles étaient plus espacées et sa main restait
volontairement collée à sa peau quelques secondes comme si elle avait voulu y
faire pénétrer la chaleur, tantôt une dizaine de claques visait le même
endroit, ou faisaient systématiquement le tour de son postérieur sans en
épargner la moindre parcelle…Quand il eut le droit de se remettre debout ce
fut, pour être mis à genoux au pieds de la table, en attente de la suite.
Comme
il s’y attendait, à peine la première fessée terminée, sa mère était allée
chercher le tube de Dolpic. Elle le prit sous son bras, le déculotta un peu
plus largement pour disposer d'une plus grande surface, et lui en frictionna
vigoureusement le derrière…Indifférente au redoublement de ses sanglots, elle
lui ordonna de rester dans la position où elle l’avait mise en lui faisant
cambrer les reins pour faire ressortir ses fesses. Il obéit évidemment en
faisant de son mieux …mais ce n’était jamais jugé suffisant et les
'' mieux que ça ! '' fusaient à répétition.
La
fessée repris, lui claquant la totalité du postérieur déjà mis en feu par la
précédente et le traitement au Dolpic. Il se mit à hurler, mais rien n’y
faisait …
–
« Tends tes fesses mieux que çà Robin, au lieu de faire ta petite
mauviette! Aller creuse les reins, encore! »
Il
ne pouvait pas mieux, à moitié soulevé par la poigne solide de sa mère qui lui
entourait la taille …il ne voyait plus rien à travers ses larmes, sentant
seulement son derrière comme une grosse boule rouge fendue, ballottée
sous les claquées. Enfin, elle le reposa, au sol, pleurant encore plus que la
première fois !!!
–
« Voilà ! Je crois que tu as eu ta dose ! Qu'est-ce qu'on dit à maman qui t'en a encore
mis une bonne !
–
Mer... merci maman... pour... pour cette bonne fessée
–
De rien mon chéri. Rien de tel qu'une
bonne fessée après dîner pour faciliter la digestion ! Et c'est fou comme ça détend... Tu vas dormir
comme un bébé...L'esprit tranquille... tes fesses sont prêtes pour
demain ! »
Et hop, une nouvelle saison ! C'est déjà la troisième !
Nous retrouvons des protagonistes dont nous avons déjà fait la connaissance précédemment, mais nous allons également découvrir de nouveaux personnages pour lesquels la fessée est à l'ordre du jour.
Que s'est-il passé dans le dernier épisode ? Un trou de mémoire ? Ce n'est pas grave voici là où a commencé la saison, le chapitre 1, et le précédent, c'est le chapitre 28
Pour ceux qui n'auraient pas lu le tout début de la série, la voici : le chapitre 1 de la saison 1
Pour ceux qui n'auraient pas lu le tout début de la série, la voici : le chapitre 1 de la saison 1
Il y a une suite, oui, mais il faudra attendre la semaine prochaine.
Ramina est l'auteur de nombreux récits et commentaires sur ce blog.
Juste retour des choses il attend les vôtres. Ecrivez vos appréciations, vos retours, vos questions ... dans le cadre ci-dessous. Ramina vous répondra.
Bonjour Ramina,
RépondreSupprimerQuelle riche idée cette punition avec le manche dans le fondement. Un beau raffinement. Pourrais-je conseiller à mes personnages de s'approvisionner chez Mme DELANIAIRES ? C'est une enseigne sérieuse à recommander et le matériel à multiple usages. Pour le DOLPIC, ça va devenir un incontournable... Un passage obligé de la punition.
J'adore.
Amitiés.
Elena.
Bonjour Elena,
RépondreSupprimerVous êtes bien matinale...
Mais bien sûr chère amie !!! Dans l'esprit de transversalité oblique de nos récits, la conjugaison de nos inspirations ne demande qu'à s'élargir.( ça y est le Coronaprépus fait délirer!)
Madame Delaniaires, sera ravie d'étendre sa clientèle aux personnages de vos récits,si riche, en consommation d'instruments de discipline.
Le judicieux double usage du martinet ne manque effectivement pas de fondement(s). Fessées raffinées, agrémentées de nouvelles sensations. Entre plaisir et humiliation ...Et ce n'est pas fini, l'imagination au pouvoir enrichit le rituel punitif de la fessée...
Amicalement
Ramina
Bonjour à vous tous...
RépondreSupprimerLa fessée se conclut d'une manière plus que cuisante.
On franchit une étape dans la punition graduelle.
Gageons que les "victimes" ne souffrent pas de problèmes hémoroïdaires. Une noisette de vaseline eut été judicieuse. Non ! Me direz-vous. La sentence doit être exemplaire ! ". Alors je m'incline.
Courages, les champions ! Mais faites gaffe quant même !
Amicalement. Peter.
Prendre autant de plaisi à donner de splendides fessées à des hommes soumis ça doit bien défouler.
RépondreSupprimerTrès bien écrit ça donne parfois envie d'être à la place des victimes.