Il se rendit compte alors de sa tenue et il plaça ses mains
devant son sexe et il se baissa avec l’intention de remonter son jogging.
« Tu arrêtes cela tout de suite Arthur !
– Non, non ! »
Garder une main en coupe pour dissimuler ses organes
génitaux, tout en remontant sa culotte d’une seule main, ce n’était pas aisé.
« Arthur, faut-il que je demande aux personnes que tu
as importunées de venir m’aider à te tenir en place pendant que je finis ta
fessée ? »
Il regarda autour de lui. Cinq ou six des femmes qui
assistaient à la scène montrèrent leur disponibilité pour prêter main forte à
Madame Farette. Certaines avaient fait un petit pas en avant, d’autres
hochaient la tête. Arthur ne s’était pas rendu compte qu’il avait contrarié
autant de personnes. Arthur relâcha sa culotte. Il ne l’avait remontée qu’au
ras de ses fesses.
« Reviens ici, Arthur ! »
Il n’y avait que deux pas à faire pour revenir se placer
sous la coupe de la cheffe d’atelier. Arthur eut l’impression qu’il devait
parcourir un long et ardu périple. Madame Farette replaça la culotte là où elle
l’avait laissée quand elle l’avait déculotté. La fessée reprit aussitôt. Elle
attendit d’avoir bien rougit les fesses pour faire une pause.
« Maïlis, pouvez-vous me ramener la règle qui est sur
mon bureau, celle que j’ai utilisée pour vous punir. Je pense que les fesses de
ce garçon ont besoin d’une peu plus que ce que ma main peut leur donner.
– Oui Madame. »
C’était encore un pan de ce qu’elle aurait préféré que cela
restât secret que Madame Farette venait de dévoiler. Elle mettait tout sur la
place publique, y compris et surtout la fessée qu’elle administrait à Arthur.
« C’est pire que ce que j’ai subi, se dit-elle. »
Peut-être pas pire, mais au moins aussi humiliant. Maïlis
n’était pas fâchée de la diversion que faisait Madame Farette. Elle n’était
plus seule à avoir été corrigée, donc à être objet de curiosité de la part des
autres. Après la fessée d’Arthur, d’en avoir reçu une précédemment, lui
paraissait bien moins grave que ce qu’elle avait imaginé. Avoir été déculottée
et fessée par sa cheffe d’atelier, ce n’était pas encore une banalité, mais
cela devenait bien moins singulier que ce qu’elle avait cru ce matin.
La règle était là où Madame Farette le lui avait indiqué.
Dès que sa cheffe l’eut en main, elle en administra une dizaine de coups sur
les fesses d’Arthur qui sautilla sur place en poussant des hurlements.
« Cela a des conséquences, mon garçon, de tenter de se
soustraire à une fessée que je donne. La règle va d’apprendre ce que cela
coûte ! Bien entendu, tu en auras une nouvelle ration ce soir, comme je te
l’avais promis si tu contrecarrais le bon déroulement de ta fessée. J’espère
que tu n’auras pas la mauvaise idée de recommencer. »
Madame Farette voulait que cette fessée constitue un
souvenir cuisant pour Arthur. Il en avait besoin afin de comprendre que c’était
la dernière fois qu’il se livrait à de tels agissements. Il devait mesurer le
risque qu’il prendrait s’il recommençait. Ses fesses devraient alors lui
remettre en mémoire cette correction. Elle ne retenait donc pas ses coups de
règle et, vu les réactions d’Arthur, cela portait ses fruits.
Il dansait d’un pied sur l’autre, se prenant les pieds dans
son pantalon tombé sur ses chevilles, tout en criant comme si on l’écorchait…
ce qui n’était pas le cas, mais cela s’en approchait tout de même. La cuisson
qui s’amplifiait sur ses fesses ne lui laissait pas de répit. Ses sanglots
rendaient ses paroles incompréhensibles.
De larges rectangles rouges, de la forme de la règle,
traversaient son postérieur de part et part. Puis, la fessée se poursuivant,
ils finirent par se chevaucher et se confondre pour ne plus faire que vaste
tâches carmin qui couvrait les fesses d’Arthur, du bas des reins au haut des
cuisses.
Les efforts qu’il faisait pour garder sa main éloignée de la
brûlure que provoquait la règle, étaient visibles. Sa main droite, libre de
toute entrave oscillait entre sa bouche dont les dents mordaient dans les
doigts pour les retenir et la proximité de ses fesses, sans, au début, oser
aller plus loin.
Mais sa volonté ne fut pas assez forte. Alors que Madame
Farette faisait tomber la règle plusieurs fois de suite au même endroit, là où
de l’épiderme est plus tendre à la jonction des fesses et des cuisses, il
couvrit de sa main, la zone dont sa cheffe s’occupait. Celle-ci n’en tint pas
compte. Elle continua à frapper au même endroit, sur les doigts qui recouvraient
la peau.
Les cris d’Arthur devinrent désespérés. Il enleva sa main,
mais il la remit aussitôt pour l’enlever presque immédiatement. Madame Farette
prit son poignet dans la main qu’elle avait mise sous le ventre d’Arthur et la
règle poursuivit son œuvre. Il trépignait sur place et la continuité de son cri
laissait supposer qu’il ne reprenait jamais son souffle.
Quand la fessée cessa, il s’étrangle, toussa, reprit sa
respiration par une grande aspiration et se remit à pleurer plus doucement.
Madame Farette le laissa courbé sous son coude quelques dizaines de secondes
tout en tapotant légèrement les fesses qui rayonnaient de chaleur. Il cessa
tout mouvement, laissant son poids reposer sur le bras de sa cheffe.
Chacun et surtout chacune pouvait voir son sexe qui pendait
entre ses jambes et qui effectuait un lent mouvement de balancier. Il n’y avait
plus rien du machisme dont il avait fait preuve et ce serait certainement
difficile de pouvoir en retrouver ne serait-ce que l’apparence.
Arthur était très loin de ces préoccupations. Il ne se
souciait pas du spectacle qu’il donnait et encore moins de ses suites une fois
cette séquence punitive achevée. Il voulait simplement que la fessée ne
recommençât point. C’est une aspiration assez simple.
« Vous avez vu, Arthur, comment Maïlis se tenait au
coin ? Vous irez vous y placer au même endroit et vous vous y comporterez
de la même façon. »
Arthur esquissa le geste de remonter sa culotte, mais le
regard noir de sa cheffe d’atelier l’arrêta. Il se dirigea vers l’endroit que
désignait Madame Farette. Quand Maïlis y avait séjourné, il n’avait pas fait
très attention à la façon dont elle s’y était tenue. Il savait seulement qu’il
fallait placer son nez dans le coin et attendre. Madame Farette fut obligé de
le reprendre.
« Vos bras croisés dans votre dos et tenez donc vos
vêtement relevés au-dessus de votre taille ! »
Arthur tourna la tête. Un réflexe qu’il regretta aussitôt.
Une claque sur les fesses lui ordonna de replacer son nez là où il aurait dû
rester. Madame Farette attendit qu’Arthur se soit remis en place.
« Plus haut les bras ! »
Enfin satisfaite, elle se tourna vers la petite assistance
qui avait observé tout l’épisode.
« Regardez bien comment se tient votre camarade.
J’exigerai la même chose de tous ceux que j’enverrai au coin. »
Il y eut un murmure qui parcourut l’assemblée.
« Oui ? L’un ou l’une d’entre vous a-t-il quelque
chose à dire ? »
Personne n’avait rien à dire, mais les implications de ce
que venait de dire Madame Farette étaient inquiétantes : il y aurait
d’autres mises au coin, certainement après une fessée. Qui sera le
suivant ? Chacun s’imagina, en frissonnant à la place d’Arthur. Vu de
cette façon, c’était bien moins distrayant que ce qu’ils avaient cru en voyant
Maïlis exposer ses fesses nues. Cela changeait considérablement la donne.
Madame Farette regarda ses subalternes, cherchant un regard
de défi dans leurs yeux. Certains détournèrent la tête, d’autres regardèrent le
bout de leurs chaussures. Pas une once de révolte et les protestations
restaient muettes. Les choses étaient entendues. L’autorité de Madame Farette
ne serait pas contestée et il fallait s’attendre à ce que la fessée sanctionnât
le prochain écart. Ils espéraient tous que ce serait le voisin ou la voisine
qui en serait le destinataire.
Camille était inquiète. Cela faisait un long moment, elle ne
savait pas exactement combien de temps, qu’elle était au coin et Madame Daurent
ne lui avait pas accordé la moindre parcelle d’attention. Camille ne pouvait
pas savoir si, à chaque fois qu’elle passait à proximité, sa patronne lui
octroyait un regard, mais elle avait l’impression d’une grande indifférence à
son égard.
Madame Daurent entrait dans la boutique et elle en sortait,
elle passait dans le dos de Camille, elle vint même travailler, presque à la
toucher, sur le comptoir derrière lequel se tenait la jeune fille mais elle ne
lui adressa pas un mot. C’était déroutant pour Camille qui aurait préféré se
faire gronder, voire recevoir quelques claques sur les fesses, plutôt que cette
incertitude sur l’état d’esprit de Madame Daurent à son sujet.
Elle envisagea, un instant, de se manifester, mais elle
avait bien trop peur de la fessée qui s’en suivrait pour aller au bout de ses
intentions. Son moral était au plus bas au point qu’elle en se préoccupait plus
des éventuels spectateurs qui pourraient la contempler, elle en pénitence et
surtout ses fesses nues, en passant sur le trottoir.
« Viens ici, jeune fille désobéissante que j’en finisse
avec toi. »
Elle sursauta. L’ordre de sa patronne l’avait surprise. Quand
elle se retourna, elle scruta le visage de Madame Daurent pour connaître ses
intentions. Que lui préparait-elle ? Une autre fessée ? S’il fallait
en passer par là, elle ne protesterait pas. Tout plutôt que cette indifférence.
Les sourcils étaient froncés, ce qui ne présageait rien de bon. Camille se
pressa de se présenter face à sa patronne, montrant le plus ouvertement
possible son obéissance.
Elle ne voulait plus rien lui cacher, ni physiquement,
Madame Daurent avait gagné le droit de pénétrer dans son intimité et sa jupe
relevée en était le témoignage le plus clair, ni psychologiquement et elle
aurait répondu à n’importe quelle exigence de sa patronne à ce moment-là.
« Qu’est-ce que je vais bien faire d’une jeune fille
aussi indocile ? »
Le cœur de Camille se serra. Est-ce que Madame Daurent se
préparait à l’exclure de sa vie ? Avait-elle conclu qu’il n’y avait pas
moyen, malgré les fessées, que Camille s’amende ? Les larmes lui montèrent
aux yeux.
« Arrive ici que je m’occupe de toi ! »
Madame Daurent, de ses deux mains passées derrière les
fesses de Camille, attira celle-ci sur ses genoux. Elle l’y assit face à elle.
La culotte de Camille gênait pour qu’elle puisse prendre une position
confortable.
« Attends, je vais te l’enlever ; »
Madame Daurent bascula Camille sous son coude et elle acheva
de descendre la culotte pour l’ôter complètement. Elle remit la jeune fille
dans sa position initiale, et elle posa la culotte sur le comptoir à côté
d’elle. Camille n’avait pas vraiment eu le temps d’avoir peur, sur le moment,
de recevoir une nouvelle correction. Elle ne s’aperçut, qu’a posteriori que ses
fesses avaient été de nouveau dans une position idéale pour que Madame Daurent
lui donnât une fessée.
« Crois-tu que nous allons pouvoir continuer à travailler
ensemble ? »
Tout en posant cette question, elle plaqua Camille contre sa
poitrine et sa main caressa les fesses qu’elle avait meurtries si
consciencieusement.
« Qu’en dis-tu ?
– Oh si Madame, s'il vous plait.
– Tu veux rester ici ? Même si tu sais qu’il y aura
désormais la fessée à chaque fois que je penserai que ce sera utile ? … et
un séjour au coin ?
– Oui Madame je veux rester… si vous le voulez bien.
– Je veux être très claire : non seulement je te
donnerai la fessée quand je le déciderai et j’en informerai Madame Caroni qui,
dès ton retour à la maison, doublera celle que je te donnerai, mais de plus je
demanderai aux clients de te corriger quand tu seras désagréable avec eux.
Est-ce bien d’accord ? »
Camille soupira. Les fessées de Madame Daurent et de Madame
Caroni étaient inévitables, mais celles des clients… elle soupira et fit une
grimace, ce qui lui valut une claque sur les fesses.
« Est-ce bien d’accord ?
– Oui Madame.
– C’est bien. »
Camille, le visage caché dans le creux du cou de sa patronne,
se laissa bercer un long moment. Tout ce qui venait de se passer depuis
quelques jours prenait un sens qui lui allait bien. Certes, il y avait la
fessée qui deviendrait une habitude. Elle se doutait qu’entre celles de sa
tutrice et de sa patronne, elle n’aurait pas la vie facile tous les jours. Mais
elle entrevoyait un autre avenir où, sous la houlette de toutes ces personnes à
même de lui imposer une exigence, elle entamait une nouvelle vie. Elle soupira
de contentement et s’abandonna dans les bras de Madame Daurent.
Arthur n’était pas resté longtemps au coin. Comme elle
l’avait fait pour Maïlis, Madame Farette l’avait reculotté sans lui laisser
prendre aucune initiative tout en le grondant et en lui promettant une
prochaine correction à son prochain écart.
« J’aurai deux mots à vous dire avant que vous ne
partiez ce soir. Vous passerez à mon bureau. »
Cela n’annonçait pas de bonnes nouvelles, mais Arthur, sur
le coup, ne put que montrer sa compréhension, ce qui valait acceptation de
cette demande de sa cheffe d’atelier. Il est vrai qu’il est difficile de
refuser quoi que ce soit à la personne qui vous reculotte, comme si vous
n’étiez pas capable de le faire seul et ignorant votre pudeur bien mise à mal.
Un silence inhabituel s’était installé dans l’atelier. Il
n’y avait pas eu ni de moqueries ni de regards ironiques, ni en direction de
Maïlis, ni d’Arthur qui avaient été remis au travail sans délai. La fessée
était comme suspendue dans l’air, une promesse prête à tomber à la première
occasion. Sans les bavardages qui habituellement interrompaient le travail,
l’atmosphère était studieuse. Chacun faisait très attention à ce qu’il faisait
afin de ne pas être celui qui prenait le risque d’être le prochain puni.
Madame Farette circulait dans l’atelier et elle était
précédée par une onde de tension qui passait d’un employé à l’autre au fur et à
mesure qu’elle avançait. Les cadences de travail augmentaient alors et la
concentration sur ce que chacun faisait était à son maximum. Il n’aurait pas
fallu commettre une erreur sous ses yeux, les conséquences en étant
imprévisibles.
Quand la cheffe d’atelier regagna son bureau, l’application
au travail continua. Nul ne savait quand elle pouvait de nouveau surgir dans le
dos de l’un ou de l’autre ni quelles seraient les conséquences d’un travail
approximatif. Puis, comme à toute chose, on s’habitue.
Lentement, progressivement mais inexorablement les papotages
reprirent. Ils duraient moins longtemps que ce qui avait cours les jours
précédents, mais ils eurent de nouveau leur place. Il suffisait de s’assurer,
d’un regard furtif, que la cheffe d’atelier n’était pas dans les parages. Avec
eux, revinrent les sarcasmes envers les deux malheureux qui avaient eu le
privilège d’inaugurer la fessée déculottée. Marlène excellait dans cet
exercice.
Tout le monde craignait sa langue acérée. Elle savait
appuyer là où ça faisait mal. Peu échappaient à ses railleries et une fois
transformé en cible, il était difficile de sortir de son collimateur. Elle
savait mettre les rieurs de son côté et il était hautement recommandé de la
suivre dans ses moqueries sous peine de s’en trouver la victime dès que Marlène
s’apercevait de la réticence de l’un de ses collègues à suivre ses attaques. Le
tout étant fait sous le prétexte de la convivialité et de la bonne camaraderie.
Il n’aurait pas été de bon ton d’y déroger.
Maïlis s’était faite sa complice numéro un. C’était
généralement avec elle que Marlène montait ses coups et, afin de ne pas être la
prochaine visée, Mailis avait répondu avec enthousiasme aux sollicitations de
Marlène. Cela l’avait protégée des attentions malveillantes de cette petite
roitelette qui régnait sur une cour docile. Maïlis en était la première
courtisane. En bonne politique, elle ne s’attaquait pas au pouvoir en place.
Jamais elle ne ciblait Madame Farette et celle-ci la laissait faire tout en
maintenant les railleries de Marlène dans des cadres raisonnables tant que cela
ne devenait pas ostensible et que cela ne troublait pas le bon déroulement du
travail.
Marlène savait exploiter les faiblesses des autres Elle
trouvait toujours le défaut ou la situation qui embarrassait sa future victime.
Elle ne pouvait ignorer une double fessée déculottée en public. L’occasion
était trop belle. Elle profita d’un moment où Maïlis était hors de vue de la
cheffe d’atelier pour susurrer brièvement en passant à côté de Maïlis.
« Alors, ça va les fesses ? Pas trop
douloureux, »
C’était une première approche et Maïlis savait qu’elle ne
s’en tiendrait pas là. Moins d’un quart d’heure plus tard, elle revenait à la
charge.
« Sois plus attentif à ton travail, autrement Tatie
Farette va te redonner une fessée. »
Maïlis ne put s’empêcher de rougir et de baisser la tête.
Combien de temps devrait-elle supporter les lazzis de ses collègues ? Tant
que Marlène n’aurait pas d’autre os à ronger, elle insisterait jusqu’à ce que
Maïlis craquât. Cette dernière l’avait vu agir si souvent qu’elle savait
reconnaître sa façon de s’y prendre.
Le troisième assaut eut lieu en public. Marlène s’était
enhardie, considérant que Madame Farette lui laissait de nouveau le champ
libre.
« Est-ce que tes fesses sont toujours aussi rouges
comme la dernière fois que nous les avons vues ? C’était impressionnant,
les filles, n’est-ce pas ? Montre-les-nous ! On va te dire si elles
ont retrouvé leur couleur naturelle. »
Cette moquerie fut accueillie par les rires complaisants des
spectatrices. Marlène se trouvait au milieu d’une allée et elle bloqua la
tentative de passage de Maïlis.
« Eh, ne t’en va pas si vite ! On n’a pas encore
pu vérifier l’état de tes fesses. Maintenant que tu les montres à tout le
monde, tu n’as plus de raison de nous les cacher !
– Laisse-moi passer !
– Voilà, voilà, il suffisait de le demander. »
Un éclat de rire général accompagna Maïlis qui pressait le
pas pour être au plus vite hors de vue du petit groupe. Ce n’était que le
début. Selon la méthode utilisée par Marlène, il y aurait d’autres épisodes.
Maïlis se rendit compte que ses yeux étaient humides et que des larmes
brouillaient sa vue. Elle les essaya rapidement, il ne fallait pas que les
autres voient combien cela l’affectait. Ce serait la curée !
L’épisode suivant eut lieu vers la fin de l’après-midi.
Maïlis finissait de scotcher des cartons qui devaient partir chez des clients.
Elle travaillait sur une table au fond de l’allée ménagée entre deux étagères.
Maïlis n’y était que depuis quelques minutes quand elle sentit une présence
dans son dos. C’était Marlène. Heureusement, elle était seule.
« Marlène ? Qu’est-ce que tu veux ? »
Marlène sourit, sans rien dire. Maïlis sentit une menace
derrière l’ai affable de sa collègue.
« Laisse-moi tranquille !
– Je ne crois pas que tu sois en position d’exiger quoi que
ce soit. Je te conseille plutôt de faire profil bas. Puisque désormais on peut
te donner la fessée, j’attends de toi une obéissance plus immédiate que ce dont
tu as fait preuve jusqu’à maintenant.
– Mais… mais… je n’ai pas à t’obéir !
– Je crois que désormais tu dois obéir à tout le monde. Tu
n’es qu’une petite fille qu’on peut déculotter et fesser quand elle n’a pas été
sage.
– Mais non, à Madame Farette, oui, mais pas à toi !
– C’est là où tu te trompes. Tu sais que je peux être
persuasive et cela pourrait être désagréable. Si tu m’obéis sagement, ce sera
plus simple, mais je veux une obéissance absolue. Pour commencer, tu vas me
montrer tes fesses. Je veux voir s’il y a encore des marques dues à la fessée.
– Marlène tu ne peux pas…
– Tu épuises ma patience, Maïlis. Dernière fois que je te le
dis !
– Il y a une autre façon de satisfaire votre
curiosité. »
La voix qui venait de s’immiscer dans la conversation venait
de derrière l’étagère. Sa propriétaire fit son apparition au bout de l’allée.
C’était Madame Farette.
« Je vois que vous êtes très intéressée par les effets
à long terme d’une fessée. Je pense qu’il serait très utile de satisfaire votre
curiosité. »
Maïlis se vit déjà de nouveau la culotte baissée exposant
ses fesses à la vue de Marlène et de sa cheffe d’atelier, mais la suite prit
une tournure à laquelle elle ne s'attendait pas.
« Le plus simple, reprit Madame Farette, c’est que je
vous montre en direct les effets d’une fessée. Quoi de mieux que de l’éprouver
soi-même ? Vous pourrez les vérifier aussi souvent que vous le voudrez en
regardant vos fesses dans un miroir.
– Non, je plaisantais. Je ne le disais pas sérieusement. Ce
n’était pas sérieux.
– Ah je comprends mieux ! Vous trouvez cela
divertissant. Eh bien nous allons continuer le divertissement et vous allez
être aux premières loges. Venez ici !
– Non, attendez, vous ne… vous n’avez pas le droit. Pas ici,
pas comme ça…
– Vous savez, je pense que vous n’avez pas le choix. Votre
attitude envers votre collègue Maïlis vous met en faute. Cela mérite une
sérieuse fessée. Mais vous avez raison, cela ne doit pas se passer ici. Il faut
que bien plus de personnes assistent à votre fessée. Cela leur donnera une
leçon salutaire et à vous aussi ! »
Madame Farette attrapa l’oreille de Marlène et elle la tira
derrière elle. Marlène tenta de résister, mais une traction plus forte sur son
oreille vint à bout de sa résistance. Elle emmena Marlène au centre de
l’atelier. Un coup d’œil circulaire et elle trouva ce qu’il lui fallait.
Elle posa le pied sur un petit escabeau qui traînait un pied
d’une pile de cartons. Sa cuisse était maintenant à l’horizontal, prête à
accueillir Marlène qui s’y trouva à plat ventre avant d’avoir pu organiser se
défense. Madame Farette passa son bras entre les cuisses de Marlène et elle la
souleva en la faisant basculer et en la plaçant en équilibre sur sa cuisse.
Marlène ne réagit qu’à ce moment. Elle battait des pieds,
moulina des bras mais elle ne trouva que la jambe de Madame Farette comme point
d’appui. En y prenant appui, elle tenta de se relever. Madame Farette qui avait
déjà relevé la robe, découvrant une petite culotte bleu ciel, asséna une claque
sur le sommet des fesses de Marlène.
« Voulez-vous vous tenir tranquille pendant que je vous
fesse ! Je vous assure que vous en avez besoin et que je ne vous
relâcherai pas avant que vous ayez reçu une correction à la hauteur de ce dont
vous avez besoin. »
Un appui ferme sur le dos de Marlène la ramena en position,
mais elle refusa d’y rester et elle saisit sa culotte à pleine main quand sa
cheffe d’atelier entreprit de la baisser.
« Non arrêtez ! Je ne veux pas, non !
– Je comprends que tu ne veuilles pas, mais malheureusement
c’est pourtant ce qui va se passer. Lâche cette culotte que je puisse la
baisser ! »
Marlène, en se démenant, compromettait l’équilibre des deux
femmes.
« Bon, tu l’auras voulu ! »
Madame Farette fit passer Marlène sous son bras, la serrant
contre sa hanche et entourant sa taille d’un bras qui tenait Marlène dans un
étau. Puis, elle passa son genou entre les deux jambes de Marlène laissant
celle-ci à plat ventre sur la cuisse. Enfin, elle saisit la main qui tenait la
culotte et elle le fit passer sous le ventre de Marlène en l’enfermant dans son
propre poignet. Plus rien ne s’opposait au déculottage, ce qui fut fait en
quelques secondes. Marlène n’avait plus aucun point d’appui. La fessée
commença, à grandes claques lourdes.
Madame Farette attendit que la peau des fesses rougisse
quelque peu, puis elle cessa.
« Maïlis, s'il vous plait, voulez-vous bien aller me
chercher la règle. Vous savez où elle est. »
Madame Farette reprit l’ouvrage qu’elle avait laissé en
plan. Les cris de Marlène n’y changeaient rien. Les fesses rougissaient à vue
d’œil.
Vous avez loupé le début de l'histoire ?
Pas de problème, voici comment tout cela a commencé : le chapitre 1
... et ce qui s'est passé juste avant : le chapitre 42
On peut tous les retrouver sur la page "mes récits"
On peut tous les retrouver sur la page "mes récits"
Il y aura une suite, bien sûr !
C'est le chapitre 44
Les commentaires...
Ils sont les bienvenus, voire un peu plus. Lâchez-vous ! Laissez-vous aller ! Exprimez-vous ! N'hésitez pas à dire ce que vous en pensez ! Bref, on attend vos contributions.
Bonjour à toutes et tous,
RépondreSupprimerTrès bon épisode où l'on retrouve l'atmosphère particulière d'un atelier où travaillent une majorité de femmes, avec tout ce que cela comporte : Jalousie, pouvoir, mesquineries, coups bas. Les femmes entre elles, se comportent de façon sournoises, par moment !
Bravo.
Elena.
Je suis contente que cette moqueuse ait pu avoir cette fessée ! Ils ont de la chance d'avoir une patronne aussi juste
RépondreSupprimerAmis de la poésie et de la règle plate sur les fesses... Bonjour!
RépondreSupprimerImpitoyable madame Farette, cheffe d'atelier fessées, qui rétablit, à la fois, les cadences infernales au travail et celles des claquées sur les fesses...Comme une onde de tension permanente... Vol de fessées au dessus d'un nid d'employés...
Notons avec plaisir, ( du moins en ce qui me concerne) la réactualisation de la position fesses en l'air sur la cuisse relevée à l'horizontale, très tendance aussi dans les récits de Sylvie...
Description très imagée et richement détaillée de la fessée d'Arthur et de son ressenti... La fréquence des fessées dans les récits (la moindre des choses sur ce blog ) en rend les descriptions difficiles à renouveler. Il convient de souligner le mérite de l'auteur de réussir dans ce passage a en proposer une approche originale avec une écriture de qualité. Ben oui!
Amicalement
Ramina
Très belle histoire la tutrice a vraiment de la chance d avoir à porté de main plusieurs fessiers qu elle peut corriger quand bon lui semble hâte de lire la suite
RépondreSupprimerUne histoire très claquante. les fesses en prennent pour leur compte. Vivement la suite.
RépondreSupprimerBonjour Gladys,
SupprimerVous devriez pourvoir trouver les chapitre 44 et 45 sur le blog. La suite viendra bientôt.
Au plaisir de vous lire,
JLG.