Pendant la nuit suivant notre après-midi romantique, avec Géraldine, je rêvais que j'étais en infraction routière et, convoqué au poste, j'étais reçu avec Maman par une robuste représentante de l'ordre public qui entreprit "une cuisante remise à niveau" de mes connaissances !
Bonjour Peter,
RépondreSupprimerIntérieur de commissariat... Engagez vous qu'ils disent... ce n'est certainement pas demain la veille pour Gérôme... manque de vocation et plutôt enclin au désordre public.
L'escapade romantique nocturne en scooter coûte cher. Surtout avec Géraldine la sulfureuse sur le porte bagage. Qui s'y frotte s'y fait piquer les fesses! Toujours très amusant et productif, ce va et vient entre les personnages des deux histoires.
On était déjà habitué à ces mégères acariâtres et sévères, redresseuses de tort, donneuses de leçons et de fessées, mais la harpie au chignon et à lunettes, là, te fait passer des frissons dans la culotte!...
Elle fait plus penser à une déménageuse en uniforme à souliers cloutés. Pas étonnant que l'ami Gérôme préfère la compagnie ( pas de gendarmerie) des gracieuse fesseuses en talons aiguille... Qu'il va d'ailleurs bientôt retrouver...
Amicalement
Ramina
Bonjour Ramina,
RépondreSupprimerBien vu les expressions : "déménageuse en uniforme" et "la harpie au chignon". Je m'applique. Rires.
"... qu'il va bientôt retrouver !". Ca ne saurait tarder.
Oui, les interactions entre récits respectifs redonnent l'envie de s'y replonger. C'est un peu le but recherché. En attendant, on s'amuse. On est (je suis) impatient de retrouver la "joyeuse troupe des mégères inapprivoisées" ! Réservez vos billets en avance de la première. " Tante Gladys ou les mémoires d'une préceptrice". Rires.
Amicalement. Peter.