J’ai passé une nuit abominable et c’est Lucie qui est venue me réveiller au petit matin, les parents de Corinne étaient venus la chercher dans la soirée, on ne rentrait tous les deux qu’à neuf heures et nous avions du temps devant nous, elle en a profité pour mettre définitivement les choses au clair, selon son expression.
- Tu vas aux toilettes, je te lave et
ensuite on fera le point.
- Mais je peux me laver tout seul !
- Tu fais ce que je te dis, on ne va pas commencer.
J’ai eu beaucoup de mal à me soulager, mes
fesses me cuisaient encore et je n’ai pas pu les poser sur la lunette, j’ai dû
rester accroupi en équilibre. La douche n’a pas été moins douloureuse même si
je dois reconnaître que ma cousine y a été mollo, elle n’a pas manqué cependant
de s’attarder sur ma raie culière et mon sexe qu’elle a décalotté à plusieurs
reprises comme à plaisir avant de le laisser prépuce baissé, avant de me sécher.
- Allez, tu viens sur mes genoux.
- Encore la fessée, mais je n’ai rien
fait, pitié, j’ai encore trop mal.
- Qui te parle de fessée, je veux seulement
examiner l’état de tes arrières après cette belle correction aux orties dont tu
te souviendras, n’est- ce pas ?
- Oh oui !
- Allez, tu restes tout nu.
Effectivement, tu es très marqué, il y a de toutes petites cloques un peu partout, je vais te passer un peu de Biafine. Tu vois que je peux être gentille
Je préférais me tenir cois pendant qu’elle passait la pommade cicatrisante sur mes fesses, mes cuisses et même le haut de mes mollets qui avaient eux aussi eut droit au passage des terribles plantes ;
- Il faut bien que tu comprennes que tu
es en quelque sorte mon soumis, compte tenu des vidéos dont je dispose, ce n’est
pas la peine que tu perdes ton temps à les chercher, elles ne sont pas ici et
de toutes façons on a tiré des copies et aussi de ce que sais sur ton compte,
capito ?
- Oui Lucie.
- En conséquence, je peux tout exiger de
toi, surveiller ta manière de t’habiller, de te laver, d’aller aux w.-c., ta
santé, tes fréquentations, tes branlettes sournoises. Ah ce propos, tu as aimé
ce qu’a fait Corinne ?
Joignant le geste à la parole, la coquine
s’était emparée de mon sexe, qu’elle caressait doucement et qui avait immédiatement
pris une belle dimension.
– Je ne sais pas trop.
– Et ce que je te fais en ce moment, tu aimes ?
– Oui, bien sûr.
– Je vais m’arrêter là, mais il faut que
tu saches que ce domaine aussi m’appartient et celui-là aussi.
Elle avait lâché mon sexe pour envoyer
un de ses doigts pile à l’intérieur de mon fondement.
– Ça aussi, j’y ai droit, c’est bien
pigé ?
Ça me faisait un drôle d’effet de me
retrouver de bon matin, allongé complètement nu sur les cuisses de ma jeune
cousine à me faire tarauder le trou de balle, juste après qu’elle se soit amusée
avec ma queue.
– Tu ne réponds pas, tu préfères que je
claque à nouveau les fesses, je ne sais pas ce qui me retient.
– Oui Lucie, tu as le droit de tout me
faire, mais je t’en supplie, pas la fessée.
– A la bonne heure, il faut aussi que tu
saches que je veillerai strictement à ton hygiène, j’ai remarqué que tous tes
slips étaient tâchés d’urine, ce n’est pas acceptable. Quand, ce sera possible,
ce sera moi qui t’essuierai à chaque fois que tu feras ton pipi, pour le reste
à toi de t’appliquer, je vérifierai et tout slip sale te vaudra une correction,
je serai ta baby sitter. Cette mise au point étant faite, je t’autorise à t’habiller,
le car de ramassage ne va pas tarder à se pointer, il ne manquerait plus que je
sois en retard chez l’autre folle de Bruno.
Cette remarque me rappelait opportunément
que si pour l’heure, j’avais officiellement accepté d’être le jouet de me cousine,
elle n’était pas la reine partout, il s’en fallait de beaucoup et je ne désespérais
pas de me venger tôt ou tard. Mais il ne fallait pas que j’oublie que ma déchéance
actuelle était justement le résultat de la vengeance de Lucie après mes manœuvres
pour la faire fesser par la tante Maud. Décidemment, je payais bien cher ces agissements
coupables, car si j’avais bien compris le discours de ma cousine, en sa présence,
je perdais toute autonomie et elle s’était arrogé tous les droits sur ma
personne, y compris sur ma plus stricte intimité !
Lucie s’en tient à son programme, les cinq
premiers jours de la semaine ne me furent pas trop pénibles, nous étions très
occupés par nos cours et je m’empressais dès leur fin de rentrer chez Madame
Leblanc, où paradoxalement je me sentais protégé de l’autorité de ma cousine, j’espérais
que Justine passerait me voir le samedi et je me tenais au maximum à carreau. J’eus
mal aux fesses et aux cuisses presque trois jours de file, elles ne m’avaient
pas raté, encore heureux que la Biafine que je m’appliquais comme je le pouvais
me soulageât quelque peu, les orties c’était vraiment abominable, ne parlons
pas si tu te prenais des fessées par-dessus, comme cela m’était arrivé dans les
premières semaines de mon séjour chez la mère Leblanc.
J’étais très déprimé, je ne savais pas
où j’en étais avec Justine, passerai-t-elle et si c’était le cas, à quelle
attitude devais-je m’attendre ?
Il était tout à fait possible qu’elle prenne
la main sur moi, imitant Lucie et Corinne et que je passe ainsi de Charybde en
Scylla !
Soucieux de ne pas risquer de tomber sous
les fourches caudines de la mère Leblanc, nous nous appliquions à respecter toutes
les règles de la maison, respectant également parfaitement les horaires fixés.
J’eus le bonheur relatif d’assister à
une fessée carabinée de la jolie Julie, qui avait ramené des notes
désastreuses, la pauvre eut droit en guise d’apéritif à une déculottée devant
tout notre petit aéropage, ce furent les mains battoirs de notre logeuse qui portèrent
son séant à incandescence, elle eut droit en prime à vingt coups de martinet
qui la laissèrent dégoulinante de larmes et haletante, avant qu’elle aille se calmer
au piquet, robe relevée par ses soins aux fins d’exhiber devant toute la compagnie
son fessier rubicond.
Lucie semblait avoir la tête ailleurs et
ne tourmentait plus guère, je me disais qu’elle était peut-être amoureuse et que
c’était une opportunité pour moi d’échapper à ses manœuvres perverses, voire
éventuellement d’en tirer une sorte de monnaie d’échange.
Le jeudi soir cependant, alors qu’on regagnait
notre appartement après le dîner, j’eus droit à ce qu’elle nommait une inspection
de routine ; je dus me présenter devant elle les mains jointes sur ma tête,
elle dégrafa mon ceinturon, baissa mon jean et constatât que le devant de mon slip
était tâché de pipi.
- Je le savais, décidemment, tu es vraiment
un dégoûtant, mais je te garantis que je vais te faire passer cette sale manie
de ne pas t’essuyer quand je ne suis pas là pour le faire, allez, tu viens te
mettre à plat ventre sur mes genoux, dépêche-toi, je n’ai pas que ça à faire.
- Mais Lucie, c’étaient juste quelques gouttes
et j’ai encore des séquelles de la fessée aux orties, je t’en prie, pas ce soir.
- Si tu insistes, tu auras double dose,
c’est ce que tu cherches ?
- Non, pardon, je viens tout de suite.
Je me dépêche de baisser mon pantalon.
- Allez, enlève tout, de toute façon, tu
vas aller te coucher ensuite.
Je m’exécute et je me présente devant elle
dans la position traditionnelle du futur fessé, c’est-à-dire bien droit, les
pieds joints et les mains croisées sur la tête, j’ai pris la précaution de
descendre la peau de mon prépuce. J’ai toujours aussi honte de me retrouver devant
elle, mes attributs virils à une cinquantaine de centimètres de son visage et
surtout peur de déclencher une érection qui me vaudrait certainement un supplément
de coups.
- C’est bon, arrive.
Je me couche sur ses cuisses, elle me cale
à sa convenance, vérifie que son mouvement n’a pas fait remonter mon prépuce.
- C’est humide, je suis sûre que tu ne l’as pas nettoyé et que ça pue la pisse, pouah !
Elle m’écarte les fesses et enfonce un truc
dans mon trou de balle, qui me fait me crisper, une petite claque suit.
- On se calme, je dois prendre soin de
ta santé et vérifier que tu ne me fais pas de température.
Je me mords les lèvres pour ne pas protester,
tandis qu’elle en profite pour m’enfoncer le thermomètre, ça m’a fait un mal de
chien et je n’ai pu me retenir de crier.
- Tu deviens de plus en plus douillet
mon chéri, il va pourtant falloir que tu t’habitues car comme tu t’en doutes,
je n’ai pas l’intention de te ménager ; 37°5, c’est parfait, tu as de la chance
que je te le fasse pas lécher comme mes doigts. Allez c’est parti.
Effectivement, elle a commencé à me claquer
les fesses, je me dis que si elle ne se sert pas d’un instrument, cela va être
à peu près supportable, mais elle a repris la vieille tactique de frapper sur une
fesse après l’autre, n’en changeant que quand elle devient cuite à point.
Quoiqu’elle en dise, je ressens encore
les séquelles de l’abominable fessée aux orties et je me mets vite à pousser
des cris, qui vont crescendo, jusqu’à ce qu’enfin elle s’occupe de mon autre globe.
La chipie a fait des progrès et que je sache,
c’est au détriment de mon bas du dos qu’elle s’est entraînée, elle est désormais
entrée dans la catégorie des maîtres fesseurs, la preuve, même sans instrument,
elle n’est pas loin de me tirer des larmes.
Et ça vient, elle tape trop fort, les larmes
commence à perler à mes paupières, pour l’instant, je réussis à ne pas la supplier,
ce qui sera je le sais tout à fait vain.
Je ne sais pas ce qu’elle a, sans doute
une frustration quelconque à surmonter, mais elle s’acharne, je n’ai pas souvenir
qu’elle m’ait fessé à mains nues aussi longtemps, je me console en songeant que
ses mains doivent être douloureuses, moins que mes fesses, désormais cuites à
point, mais il n’empêche, mas je ne résiste pas davantage, les orties sont passés
par là et je commence à sangloter.
C’est semble-t-il ce qu’elle cherchait
car elle cesse tout à coup, passant sa main sur mon cul massacré comme pour bien
en apprécier l’incandescence.
- Eh bien, tu en mis du temps à chialer,
je ne voulais pas prendre la brosse ou le martinet pour t’épargner, mais u m’as
fait transpirer. Tu sais bien que la fessée a des vertus curatives, il faut que
tu pleures pour que cela te fasse vraiment du bien, que tu te repentes de tes
bêtises, tu comprends ça ?
- Oui Lucie, arrête s’il te plait, j’ai
trop mal.
Le tout éructé entre deux gémissements.
- Encore une petite série pour que ça te
rentre bien dans la tête, tu es toujours décalotté au moins.
Elle préfère vérifier en glissant sa main
entre mes cuisses, heureusement pour moi, c’est toujours le cas, j’ai même une
légère érection qui s’accentue au contact de ses doigts.
Et c’est reparti pour un tour, tu parles
que ma queue reprend son volume minimal, elle a repris sa technique du départ, une
fesse après l’autre, la petite interruption lui a redonné de la vigueur et je
prends cher, je perds le peu de dignité qui me restait et je mets à la supplier
de me faire grâce et pleure à gros sanglots.
Enfin elle cesse de me martyriser le fondement
et se moque de moi.
- Alors le bébé a un gros chagrin, on a
fait du mal à son cucu, oh la vilaine Maman. Allez c’est fini, on va aller se calmer
au piquet et on ira faire un gros dodo les fesses bien rouges.
En même temps, elle les caressait d’une
main tandis qu’elle introduisait l’autre entre mes cuisses.
- C’est qu’il a un tout petit Kiki, le
bébé, bien à l’air, c’est bien Fabien, allez, arrête de pleurnicher, ti ne crois
pas que c’est un peu exagéré pour une simple fessée à la main ?
Elle avait raison, c’était trop et j’avais
autrement souffert dans d’autres circonstances, notamment avec les terribles orties,
non, je pleurais sur ma situation, sur ce que j’étais devenu en un peu plus d’une
année.
Cela avait commencé avec ma logeuse qui
m’avait fessé et humiliée devant les filles de la maison, me rabaissant au rang
de gamin, puis à l’école avec cette correction à la règle cul nu devant toute
la classe et ensuite l’enchaînement fatal des choses. Ma mère interpellée par
la lettre de la mère Leblanc, à laquelle elle avait joint un martinet, qu’ultime
humiliation, j’avais été obligé de convoyer, qui s’était remis à m’infliger des
fessées, dix ans après avoir cessé de le faire, m’estimant trop grand garçon !
Quelle dérision !
Et quelles fessées, pas des petites, il
n’aurait jamais fallu accepter la première correction, il avait bien tenté de
se rebeller, mais il avait pris cher, quatre fessées publiques successives dont
une aux orties dont il gardait encore plus d’une année plus tard, un souvenir
cuisant, mais que faire, il aurait fallu tout envoyer balader, ses études, sa
mère, son foyer, risquer de crever de froid et de faim, il n’avait pas eu le
courage et à présent il payait cette impéritie au prix fort.
Après sa mère qui l’avait fessée et humilié
devant la tante Maud et ses deux cousines, c’est cette dernière qui s’était autorisée
à lui claquer les fesses et pas qu’un peu et pour finir, l’enchaînement fatal,
il avait voulu faire punir sa peste de cousine par ce qu’il pensait être de
subtiles manœuvres et à la sortie, tout s’était retourné contre lui, Lucie
avait été autorisé à le corriger ! Quand il y repensait, il n’arrivait pas
à y croire, sa cousine plus jeune que lui bénéficiait de l’autorité d’une
grande personne le concernant, nul n’aurait voulu y croire et pourtant, c’était
la triste réalité.
Sans parler des autres individus qui s’étaient
autorisées à le déculotter et le fesser comme un bambin, la liste commençait à
être longue ; l’amie de la tante Maud, la terrible Madame Bruno, Audrey, la
pionne, Madame Sands, la directrice du supermarché, la gamine qui l’assistait,
sans parler de Corinne qui depuis n’avait de cesse de renouveler l’opération,
leur amie et son copain, une brute qui tapait comme un forcené et enfin le plus
avilissant, Justine, sa « fiancée » !
Il y songeait tandis qu’il languissait, allongé
sur les genoux de sa jeune cousine et c’est pourquoi, même si la cuisson de ses
fesses commençait à faiblir, il continuait de sangloter.
- Bon puisque c’est comme ça, tu vas aller
faire un séjour au piquet à genoux pour te calmer, si une si petite fessée te
met dans cet état, tu n’as pas fini d’en voir. Au fait, est-ce que nous aurons
le bonheur de retrouver Justine ce week end ?
Je lui dis entre deux hoquets que je ne
sais pas et je quitte le relatif confort de ses cuisses pour me traîner face au
mur que je commence à connaître.
- Tu tapes trop fort, tu ne te rends pas
compte, on dirait la mère Leblanc.
- Merci du compliment, mais il y a autre
chose pour que tu te mettes dans cet état, n’est-ce pas ?
- Oui.
- Quoi, crache ? C’est à propos de
Justine ?
- Pas seulement, c’est de voir à quoi j’en
suis réduit, regarde-moi, je suis là le cul en feu et le reste à l’air, les
bras croisés sur la tête devant ma cousine qui est plus jeune que moi et qui
prétend avoir désormais tous les droits sur ma personne, tout cela en quelques
mois, tu ne crois pas que c’est un peu dur à vivre.
- ça mon coco, il fallait y penser avant
et tu n’en serais pas là, si tu n’avais pas fait connerie sur connerie, tu n’as
pas l’air de te douter, que toutes les personnes qui te corrigent et moi la
première, agissent pour ton bien. Je reconnais que parfois j’exagère un peu,
histoire de me faire un peu plaisir, de me venger de ce que tu m’as fait subir
il y a encore quelques semaines, j’imagine que tu t’en souviens, mais c’est bien
normal que je compense un peu tout le mal que je me donne pour toi et dont tu n’as
pas l’air d’être conscient. De toute façon, il faut que tu t’y fasses, tu n’as fini
d’avoir les fesses rouges, arrête tes jérémiades et assume ta nouvelle condition
une fois pour toutes. Allez au lit à présent.
- Mais, il n’est que neuf heures et
demie.
- C’est déjà bien tard pour un petit garçon
qu’on fesse, dépêche-toi si tu ne veux pas que je t’en colle une autre.
Bonjour Serge.
RépondreSupprimerMerci pour ce beau récit. J'adore la façon dont Lucie éduque Fabien. Elle sait s'y prendre avec les jeunes males. Elle s'arrange pour l'avoir en soumission. Tout un programme !
Amitiés.
Elena.
Amis de la poésie et des fessées en série... Bonjour!
RépondreSupprimerBonjour Serge.
Fabien ne manque de rien, entre les mains de sa cousine Lucie, qui s'occupe de lui, du sol au plafond, du derrière au menton!
Il faut dire que la petite vicieuse ne gâche pas son plaisir ni celui du lecteur avec un sens aigu de la propriété. N'a t elle pas décrété, sans lui demander son avis, que la personne de son cousin Fabien lui appartenait corps et âme. Plutôt le corps d'ailleurs et particulièrement les fondations postérieures et les parties trois pièces en façade.
Outre les cuisantes fessées d’entretien de la surface corrigée et bien charnue, elle aime explorer les mystérieuses profondeurs de l'entre-fesses et prend bien soin de tester régulièrement la rigidité du pilier de soutènement de l'édifice. Avec, en récompense,quelques réjouissantes fessées supplémentaires. Enfin, réjouissantes, pas pour tout le monde!
Bref, tout ceci pour dire que le pauvre garçon, se retrouve entièrement soumis aux caprices disciplinaires de sa diabolique cousine qui ne manque ni de charmes pervers ni d'imagination pour lui en faire voir de toutes les couleurs. Essentiellement du rouge aux fesses, dont elle s'occupe avec un soin méticuleux, comme du reste d'ailleurs, recto, verso! . Décalotté au recto, calotté au verso...Un peu raide comme formule, j'en conviens.
Ce qui est passionnant dans ce récit, entre deux séances de fessées et décalottées en tout genre, c'est qu'on se demande, à chaque chapitre, jusqu'où la délicieuse Lucie, va t- elle s'arrêter d'inventer de nouveaux humiliants stratagèmes pour parfaire le dressage, déjà bien avancé du cousin...
Dans le genre de facéties, on s'attend à la fessée avec le manche du martinet dans le derrière, ou autre objet pénétrant, mais sait on l'avenir qu'elle lui réserve... à son derrière! Pas rose en tout cas, mais beaucoup plus foncé ! (rire)
Amicalement
Ramina