Depuis Septembre, ma coiffeuse, Sylvie W., a fait appel à deux apprenties du Centre de Formation et d’Apprentissage de notre région.
Conformément à l’article du code de l’éducation L.912-5, l’Ecole Technique de Coiffure ( ETCV ) fait partie d’un regroupement pédagogique entre Ste CROIX et le CFA à connotation international, accueille des élèves de tous horizons, français et étrangers. L’enseignement général est dispensé à Ste CROIX et tout ce qui touche à la technique de coiffure est assuré par les professeurs de l’Ecole Technique de Coiffure. Il est à noter que l’ETCV n’est pas la seule école à être jumelée avec Ste CROIX. D’autres secteurs ont recours à Ste CROIX autant pour la qualité de son enseignement général que pour sa discipline, tout ce qu’il faut pour les élèves de tous type de cycle.
Sur les
conseils de la directrice de l’ETCV, Virginie M., ma coiffeuse, également
ancienne élève de l’ETCV, recrute pour deux années, Samantha D. et Sandy M.,
toutes deux âgées de tout juste dix-huit ans. Les deux jeunes apprenties seront
en décalé, à l’école et au salon, de sorte que Sylvie W. ait toujours au moins une
des deux jeunes apprenties au salon avec elle.
Virginie
M. laisse carte blanche à ma coiffeuse pour la discipline à laquelle Sylvie W.
a été habituée lorsqu’elle était apprentie, car elle était assez provoquante et
insoumise et elle a reçu huit sévères fessées en public. Mais Sylvie W., à
présent mère de famille, est rangée, très bonne professionnelle et son salon
est toujours plein. Elle a même reçu le trophée des « ciseaux de bronze »,
il y a quelques années.
Avec la
réouverture des commerces post confinement, Sylvie W. a de nouveau beaucoup de
travail et l’aide de ses apprenties, est un bienfait pour le salon, ce qui lui
permet de remonter le chiffre d’affaire, car il coute cher.
Olga et
sa sœur Iourievna prennent un rendez-vous chez MOD’COIF en fin d’après-midi, au
salon de Sylvie W. Leurs cheveux ont poussé durant le confinement et une
égalisation serait la bienvenue pour les tailler les pointes et la frange.
Dès qu’elles
arrivent au salon, Olga pousse un cri de surprise, car elle voit Sandy M., les
fesses à l’air et toutes rouges. Les marques sont celles laissées par une
monumentale fessée. Même sous son masque, Olga et Iourievna voient que Sandy M.
a pleuré et qu’elle est toute rouge de honte d’avoir le bas du corps exhibé à
la vue de tous.
Voyant
que ses deux clientes sont interloquées, Sylvie W. dit :
« Sandy, raconte à ces demoiselles
pourquoi tu t’es pris une fessée et pourquoi tu te trouves les fesses à
l’air devant les clientes ? »
« Je me suis trompée dans le dosage pour
la couleur de la cliente et la couleur est bien plus marron que prévu » bafouille Sandy.
« Eh ben, tu l’as senti passée celle-là,
ma pauvre ! » la plaint Iourievna
« Oui, Mademoiselle, ça brule » lui répond Sandy.
« Ne la plaignez pas, elle a les fesses
rouges, mais ça lui apprendra à faire attention et puis une bonne fessée n’a jamais
tué personne, n’est-ce pas, Sandy ? »
« Non Madame, mais je m’en serai passé » répond timidement Sandy.
« Cette fessée peut paraitre cruelle, mais
j’en ai moi-même reçues des plus carabinées, lorsque j’étais à l’ETCV et je ne
m’en porte pas plus mal, aujourd’hui »
ajoute Sylvie W.
« L’ETCV dépend de Ste CROIX, me semble-t-il ? » demande Olga.
« Oui, tout à fait, vous y êtes
scolarisées ? »
« Oui, ma sœur et moi y sommes depuis
notre seconde » avoue Iourievna
« Et la discipline est toujours
implacable, avec cette chère proviseure Madame D. et les deux religieuses ? » demande Sylvie W.
« Ô oui, il ne se passe pas une semaine
sans qu’il y ait au moins une fessée en public » avoue Olga
« Je m’en doutais, car des clientes m’ont
dit qu’elles entendaient des hurlements venant de Ste CROIX ! Et
vous ? Vous vous en êtes pris des fessées publiques ? »
« Euh... Oui, Madame, quelques-unes »
reconnait Iourievna, en rougissant.
« Il faut reconnaitre que lorsqu’elles ont
des élèves à corriger, elles savent s’y prendre, les deux religieuses, avec
leurs fameux martinets de discipline... Ça cingle les chairs ! »
« Oh oui, ils sont effroyables, ils
laissent des marques et la douleur ne s’estompe qu’après plusieurs jours » admet Iourievna
Durant la
discussion, devant la vitrine, quelques passants regardent avec bonheur Sandy,
le bas du corps nu. Celle-ci tente de masquer au maximum sa demi-nudité, mais
n’y arrive pas vraiment.
« Madame ! » demande Sandy
« Oui, Sandy, qui a-t-il ? »
« Il y a des gens, dehors, qui me regardent.
C’est humiliant ! Pourrais-je me rhabiller ? J’ai été assez punie » implore Sandy
« Surement pas, Sandy, je t’ai dit que tu
resterais les fesses à l’air pour le restant de la journée et c’est ce que tu
feras. Ne reste pas les bras ballants, mets les deux demoiselles au bac à shampoing,
je termine avec Madame et je vais prendre les deux demoiselles, après. Et si
des gens regardent, c’est que tu vaux le coup d’œil et puis ça fera venir les
clients, c’est toujours bon pour le commerce... » ironise Sylvie W.
Sandy,
vexée et toute rouge d’être reluquée, invite Olga et Iourievna à aller au shampoing.
Elle baisse le regard pour ne pas voir ses admirateurs qui ont l’air de bien
s’amuser en la regardant.
Perturbée
par les passants qui ne cessent de la regarder en rigolant, fait que Sandy perd
ses moyens. Le shampoing tourne rapidement à la bêtise. Sandy met beaucoup trop
fort le jet ce qui a pour conséquence de copieusement asperger Olga. S’en
rendant compte trop tard, Sandy stoppe tout en s’excusant platement, mais le
mal est fait. Olga pousse un cri de surprise, car elle a le visage et le haut
de sa chemise mouillée.
« Ah, mais quelle cruche, cette Sandy.
Regarde ta cliente, elle est toute mouillée, maintenant ! Ça continue... ! » la sermonne Sylvie W.
Dehors,
les gens qui regardaient sont hilares d’avoir vu cette scène peu commune.
Sandy et Sylvie
W. essuient Olga qui tente de dédramatiser la situation, mais est tout de même
assez ennuyée, car sa chemise ne va pas sécher en deux minutes. Sylvie W.
utilise son sèche-cheveux pour réparer à peu près l’ânerie de son apprentie.
« Mademoiselle, je suis désolée pour
Sandy. Cette petite idiote me fait bêtise sur bêtise, aujourd’hui »
Lorsque
la cliente précédente s’est rhabillée et a payé, Sylvie W. se retourne vers
Sandy et lui dit :
« Toi, ma cocotte, tu vas t’en reprendre
une ! »
« Oh non, Madame, je suis désolée, je ne
l’ai pas fait exprès ! »
pleurniche Sandy.
« Discuterais-tu mes ordres,
Sandy ? »
« Non, Madame, je n’oserais pas mais j’ai
déjà reçu une fessée ce matin »
« Puisque tu n’oseras pas, déshabille-toi
entièrement » lui ordonne sa patronne.
Le visage
empourpré, Sandy ne répond pas et retire sa chemise. Olga et Iourievna voient
qu’elle ne porte pas de soutien-gorge, mode particulièrement fréquente chez les
adolescentes et les jeunes adultes depuis peu.
« Pose tes affaires au vestiaire et viens
t’allonger sur mes genoux ! »
La tête
basse et résignée, Sandy se met en position sur les cuisses de sa patronne.
« Tu vas le sentir passer, Sandy. Je vais
te corriger comme une gamine. Je ne supporte pas que les clientes soient déçues
de la prestation, car elles pourraient ne plus revenir et ce serait néfaste
pour le salon, tu sais bien que la période est compliquée et que toute rentrée
d’argent qui ne se fait pas creuse les dettes »
« Oui, Madame, je le sais, je suis
désolée » bafouille Sandy en
pleurnichant.
Sylvie W.
claque sèchement les fesses de son apprentie, en prenant de l’élan pour que la
claque sonne et chauffe bien les chairs, d’ailleurs, Sandy ne tarde pas à crier
de douleur.
Sandy a
les cuisses écartées et Olga et Iourievna peuvent aisément voir les
contractions frénétiques de l’anus, des grandes lèvres et les tressaillements
des muscles fessiers de Sandy.
« Mate sa fouf ! Avec ce qu’elle se
prend, elle va mouiller, c’est sûr ! » murmure Olga à sa sœur.
« T’as raison Olia, moi, à sa place, avec
ce qu’elle prend, ça aurait coulé depuis un moment » lui répond Iourievna.
Avec la
douleur, Sandy commence à battre des pieds, car sa chair est ardente. Sandy ne
supporte plus les claques répétées de sa patronne. Elle a beau dire qu’elle
n’en peut plus et d’implorer son pardon, Sylvie W. termine ce qu’elle a
commencé. Sandy met sa main pour se protéger, mais sa patronne lui retire et la
bloque.
« AOUH ! ... S’il vous plait, madame,
... AIEE ! J’en peux plus ! ... AIEEE H ! ... ASSEZZZ !
» braille Sandy
« Voilà, Sandy ! As-tu compris à
présent ? Tes fesses sont-elles suffisamment bouillantes ? » demande Sylvie W.
« Oui, Madame ! J’ai mal, Ô,
qu’est-ce que j’ai mal ! Ayayaie ! Aouh ! » se plaint Sandy qui ne pense même plus à se protéger sa nudité
des regards des gens qui se massent à la vitrine.
« Reprends ton travail sans discuter,
Sandy ! Si ton autre cliente a la moindre réclame à faire, tu t’en
prends une autre sur le champ » la
menace sa patronne.
« Je vais faire attention » promet Sandy.
Très
zélée, Sandy lave les cheveux de Iourievna et est aux petits soins avec elle.
Ses fesses lui brulent tellement que Sandy n’a pas du tout envie de s’en reprendre
une autre.
Après le
shampoing, Sandy se met dans un coin, espérant échapper aux regards inquisiteur
des gens à la vitrine.
« Ne reste pas le coin, Sandy,
approche et regarde comment je fais ! » lui demande Sylvie W.
Toute
penaude, Sandy vient près de sa patronne et regarde les techniques de coiffure.
Sylvie W. explique plein de choses à sa jeune apprentie. De ce fait, Sandy est
en plein milieu de la pièce, complètement à découvert, exhibant sa nudité et
honteuse de le faire, tentant de masque comme est peut ce qui peut l’être.
« Sandy, retire tes mains de devant ton
sexe et de devant tes seins, ton intimité doit être exhibée, c’est la seule
façon de te rendre attentive à ce que tu fais »
« Oui, Madame, mais c’est terriblement
humiliant »
« C’est fait pour ça, et de la façon dont
tes tétons sont dressés, je vois que ça marche »
Après les
coupes d’Olga et de Iourievna, la mère de Sandy arrive au salon pour la
récupérer.
« Eh bien, Sandy, qu’est-ce que tu fais
toute nue en plein milieu du salon ? » lui demande sa mère
« J’ai été punie, Maman »
« Ça devait arriver, ça ! Avec
ta tête de linotte »
« Explique à ta mère ce que tu as fait
pour en arriver là » lui demande Sylvie W.
Honteusement,
Sandy explique les deux bêtises qu’elle a faite et les deux fessées qu’elle a
reçues.
« Merci d’avoir corrigé Sandy. Ça lui
mettra du plomb dans la tête. Depuis le temps que son père lui en promet une
bonne et qu’il ne la corrige pas » explique
la mère de Sandy
« J’ai eu le feu vert de l’ETCV pour
appliquer les mesures qui s’imposaient et c’est ce que j’ai fait. Je ferai le
rapport sur PRONOTE dans la soirée, pour en informer ses professeurs » complète la patronne.
« Ce soir, Sandy, tu passeras la soirée,
toute nue, ça t’apprendra »
« Mais Maman, j’ai déjà été toute nue,
toute la journée ! »
« Ne discute pas Sandy, tu vas faire ce
que l’on te dit, et c’est tout. On en a assez de tes bêtises ! »
Olga dit
discrètement à sa sœur :
« Eh ben, avec deux fessées en une seule
journée et avoir passé la journée à poil, elle va se tenir à carreau la
cocotte »
Sylvie W.
donne un conseil à la mère de Sandy :
« Savez-vous ce qu’on nous infligeait
lorsque j’étais à l’ETCV ? »
« Non, expliquez-moi » demande la mère de Sandy
« Eh bien, on exigeait que l’on porte un
tee-shirt ou une chemise blanche la plus fine possible de façon à ce que notre
poitrine se voit bien au travers et une jupe la plus courte possible, sans
sous-vêtement, bien entendu ! De cette façon, ça nous faisait prendre
conscience de l’importance de notre travail. Je vous prie de croire que ça nous
rendrait toutes obéissantes et appliquées »
lui répond Sylvie W.
« Très bonne idée, je pense que Sandy a ça
dans sa garde-robe. Elle viendra dans cette tenue demain matin et on verra
si elle fait encore la fière ! »
« Ça devrait la faire réfléchir à ce
qu’elle fait. Sandy, va te rhabiller, il est l’heure de partir »
Sandy file
au vestiaire et ne traine pas pour revêtir ses vêtements, trop heureuse de
pouvoir enfin masquer sa nudité et de sentir quelque chose sur elle.
« Au revoir Madame, à demain et
encore pardon » dit timidement Sandy
« A demain, Sandy, et n’oublie pas ta
tenue »
« Et ben, demain, elle sera dans ses
petits souliers devant les clients... J’aimerais pas être à sa place » la plaint Olga
« Ne la plaignez pas. Un peu de vexation
est très bon pour tenir les jeunes dans la bonne voie et puis qu’elle ne
s’apitoie pas sur son sort, elle ne sera pas toute nue » ironise Sylvie W.
« Oui, c’est vrai, mais ce sera tout de
même très humiliant ! » dit
Iourievna.
Après une
soirée vexante, passée toute nue à son domicile devant ses parents, le
lendemain matin, en arrivant au salon, Sylvie W. constate que la mère de Sandy
lui a choisi la tenue qu’il fallait. Le sombre des aréoles et les tétons de
Sandy tranche très bien avec le blanc du tissu assez fin de sa chemise et la
jupe courte couvre juste son postérieur et le haut de ses cuisses. En soulevant
sa jupe, Sylvie W. constate que Sandy ne porte pas de culotte. Sandy devra
faire constamment attention à ne pas trop se baisser, car son intimité sera
dévoilée.
« Bon, habillée comme ça, tu la ramèneras
moins ? et n’oublie pas, tu n’es pas à l’abri d’un déshabillage
complet devant tout le monde » constate
Sylvie W., ajoutant une tape sur la croupe de son apprentie.
« Oui, Madame, je me tiendrai tranquille et
je ferai attention à ce que je fais »
« J’espère, Sandy, j’espère ! »
Durant sa
journée de travail, les clients et clientes s’étonnent de la tenue on ne peut
plus légère, que porte Sandy, qui est obligée d’expliquer encore et encore le
pourquoi de cette punition humiliante. Les sourires des clients en disent long
sur leur joie de voir la gêne procurée par la vue et le flottement des seins de
Sandy lorsque celle-ci marche.
En fin de
journée, Sylvie W. est satisfaite du chiffre d’affaire. La tenue de Sandy a été
pour beaucoup dans la venue des clients au salon.
« Sandy, tu as été très bien, aujourd’hui.
Demain, tu pourras te vêtir comme tu le souhaiteras. J’espère que ces deux
journées vexatoires t’auront appris le sens du mot respect de la
clientèle ? »
« Oui, Madame. J’ai été humiliée et je
vais être plus sérieuse, maintenant »
« Tu sais, Sandy, Ce que tu as vécu, je
l’ai vécu également et un peu de vexation est très formateur. En fait, c’est
pour ton bien que je fais ça. Tu me remercieras un jour lorsque tu seras
considérée comme une grande professionnelle »
« Oui, Madame, mais en attendant, j’ai
encore mal aux fesses de la fessée d’hier ! »
« Ce n’est pas grave. Une bonne fessée
fait réfléchir durant plusieurs jours ! Samantha vient la semaine prochaine pendant
que tu seras à l’école et j’espère qu’elle s’est améliorée depuis la dernière
fois, car elle se fera trousser de la même façon que toi. Puisque votre
directrice, Madame M., m’a donné carte blanche pour la discipline, vous serez
récompensées et punies à la hauteur de vos prestations ou de vos fautes avec
les clients ».
Une série écrite par Elena
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Bonjour, Elena. Et bonjour à tous.
RépondreSupprimerUne petite incursion dans un salon de coiffure où Iourievna et Olga sont bien involontairement responsables de la punition infligée à la petite stagiaire devant eux. Bien qu'elles soient elles-mêmes parfois soumises à ce traitement, dans diverses circonstances, (ou précisément à cause de cela) elles se délectent sans vergogne du spectacle qui leur est offert. Après tout cela fait partie de la punition. Quant aux passants, ils ont tôt fait de remarquer qu'une fois sa punition reçue, la jeune fille devait poursuivre son travail les fesses à l'air. Agglutinés en nombre derrière la vitre, ils ne perdent rien du spectacle. Cela aussi fait partie de la punition. Et sert de publicité à la patronne qui voit son chiffre d'affaires s'envoler. La jeune stagiaire et la camarade appelée à la remplacer peuvent s'attendre à ce que "l'expérience" soit renouvelée à la première occasion.
Amicalement.
François
Bonjour François,
SupprimerComme vous pouvez le voir, j'explore tout un tas d'endroit et de situation différentes, pour varier les plaisirs, mais tout concoure à un seul but, punir les récalcitrants.
Dans ce chapitre, nos apprenties ne sont pas à la fête et toute faute, même mineures, est sanctionnée. L'excellence du métier où chaque geste est important pour le résultat, est à ce prix.
Et pour le chiffre d'affaire, les fautes des apprenties sont les bienvenues, car les clients vont arriver en nombre...
J'ai bien aimé écrire ce chapitre, ça m'a fait sortir de Ste CROIX et explorer d'autres espaces.
Les chapitres à venir seront également très différents...
Amitiés.
Elena.
Amis de la poésie et de la fessée qui décoiffe... Bonjour!
RépondreSupprimerBonjour Elena, qui a une capacité de renouvellement de situations, riche en rebondissements... fessiers. Dans ce chapitre, drolatique, nous quittons Ste CROIX pour un salon de coiffure qui ne recule devant rien pour attirer la clientèle en exhibant le derrière et la moumoute intime de ses apprenties.
Sylvie W, (comme wachement sévère !, C'est la patronne du dernier salon où l'on fesse,ciseaux de bronze aux derniers jeux Olympiques de la mise plis, sans faux plis. Une main de fer à friser, dans un gant de crin qu'on vous dit !
A preuve, la patronne de Chez MOD'COIF passe en MODE'FESSE quand sa stagiaire Sandy'M (comme maladroite) se trompe dans la couleur d'une cliente et se retrouve marron comme ses cheveux. Trop foncé c'est la fessée! Sylvie W, (comme wachement en colère) voit rouge et lui fait une coloration du derrière de la même teinte et tout à la main.
C'est presque une lotion assouplissante à côté des terribles raclées au martinet des Soeurs furieuses de la déculottée, dans la cour de Ste Croix. Mais ça chauffe quand même un poil. Sandy M, (comme malheureuse), en mouille sa perruque dans l'entrejambe, et inonde Liourevna avec un jet d'eau non maîtrisé. Nouveau shampoing manuel sur les fesses avec les compliments de maman, qui trouve très bien que ça fille se fasse redresser le poil.
La maison MOD'COIF ne recule devant aucun artifice pour attirer les clients, Sandy M, (comme mal aux fesses), sur le fil du rasoir, n'a pas fini de se faire des cheveux et doit travailler à poil, devant la vitrine.
Et comme un brin d'humiliation vaut encore mieux que deux fessées tu les as eues, Sandy doit revenir le lendemain avec une tenue genre coupe de cheveux, court devant ras derrière et ras la touffe ! Que si tu te penches trop, tu te mets le buisson ardent à portée de tondeuse à gazon maudit.
Atmosphère capillaire... poil au derr...
Amicalement
Ramina
Bonjour Ramina,
SupprimerVotre prose me ravit toujours autant, mêlant l'humour, les jeux de mots et la synthèse. En fait, mes textes se suffiraient à votre résumé.
J'aime élargir, non pas le cercle de mes amies ( je ne pourrais pas et ne suis pas équipé pour... ), le cadre des aventures de mes personnages ( lieux et situations ). Les chapitres suivants prendront encore d'autres chemins et d'autres tournures, pour, je l'espère, le plus grand plaisir de mes lecteurs. Je garde sous la main tout un tas de personnages qui viennent, partent et reviennent dans les épisodes comme les personnages des séries télévisées. Non, je ne suis pas GODARD ou AUDIARD, mais j'aime mettre en scène mes personnages. C'est un bonheur d'écrire et de laisser aller mon imagination !
Amitiés.
Elena.