Le cabaret parisien LE CRAZY HORSE SALOON a recruté une nouvelle équipe pour des représentations hors cabaret. Le CRAZY HORSE de la capitale affiche complet six jours sur sept et dans la mesure où certaines villes de province souhaitent accueillir des spectacles de charme, le CRAZY HORSE SALOON a inauguré dans un spectacle itinérant afin de contenter une clientèle provinciale.
Trois femmes dirigent l’équipe de sept jeunes danseuses, formées au cabaret parisien avant d’aller présenter leurs spectacles à travers la France et dans d’autres pays, friands du charme à la française.
L’équipe
produit deux spectacles par soirée et les filles s’entrainent tous les jours
avant la représentation. Le rythme est assez soutenu et les danseuses sont
soumises à une discipline stricte d’ordre alimentaire, sportive et de danse
très suggestive. Deux contraintes viennent s’ajouter à ce rythme, celles des
voyages inter villes, inter pays et l’absence vis-à-vis de leurs familles, mais
la gloire d’appartenir à ce prestigieux cabaret est à ce prix.
L’équipe
itinérante du CRAZY HORSE est composée de :
·
Trois responsables :
Andrée D. directrice générale des tournées, Svetlana K. directrice de scène,
Sophie E. responsable de la création artistique,
·
Sept danseuses : Alyson
K. dix-huit ans alias Baby, Noémie M. vingt-deux ans alias Lolita, Dounia L.
dix-huit ans alias Starlette, Myriame T. vingt-et-un ans alias EtatDame, Silvia
R. vingt-et-un ans alias Chippie, Margot L. dix-huit ans alias Candy, Fanny O. vingt-trois
ans alias Daisy.
Il est à
noter que chaque danseuse porte un nom de scène pour ne pas révéler leur véritable
identité.
Alyson K.
est une de nos amies qui a stoppé ses études après son BAC. Elle est montée à
la capitale pour y faire carrière dans le monde du spectacle, au sein des
cabarets. Après quelques expériences où elle ne s’est pas épanouie, elle a trouvé
une place inespérée au CRAZY HORSE SALOON, mais dans l’équipe itinérante. Alyson
K. aurait préféré se produire sur la mythique scène parisienne, là où viennent
les applaudir toutes les personnalités du gratin mondain, mais les places sont limitées
et les filles qui s’y trouvent, s’y accrochent. Seuls les départs pour cause de
grossesse, de limite d’âge ou autres évènements familiaux peuvent libérer des
places dans la célèbre troupe parisienne.
Durant
les fêtes, je reçois un appel d’Alyson et nous parlons de nos vies depuis
l’époque où nous étions dans la même école de quartier, puis à la fin de la
conversation, elle me dit que l’équipe du CRAZY va venir dans la ville voisine
de le mienne, pour quelques dates de représentations. Celles-ci seront faites au
théâtre SEPTIEME VAGUE qui fera parfaitement l’affaire en recréant l’atmosphère
tamisée dont la revue a besoin pour diffuser les effets érotiques des scènes.
Alyson me
dit que ce serait sympa de se revoir au théâtre. Je pourrais prévenir nos amies
communes et venir en masse pour l’applaudir sur scène. Elle me donne les
coordonnées du théâtre et du système de réservation. Nous pourrons avoir droit
à une petite ristourne dans la mesure où Alyson me donne un code partenaire. Alyson
me confit :
« Tu sais, même mes parents viendront et
ce sera une première pour eux. Ils ne sont jamais venus à PARIS et ce sera
quand même un peu gênant pour moi de danser nue devant ma famille, mais j’essaierai
de ne pas y penser et donner un spectacle de qualité ».
Je lui
réponds : « J’avoue que pour
moi, je n’oserai pas faire ce que tu fais, car après ça, quelle impression on
donne à ses parents ? »
« Je me suis fait la même réflexion que
toi, Lena, mais je danse devant des dizaines de personnes et nous en faisons
abstraction. Déjà par le fait que nous ne voyons pas le public qui est dans le
noir, qu’il y a tellement de jeux de lumière que notre nudité est juste
suggérée et que nous portons toutes, une perruque et du maquillage. Mais tu as
raison, il y a des soirs où j’ai un super trac de me montrer entièrement nue »
« Tu gagnes bien ta vie, au
moins ? » lui demandais-je.
« Oh, tout juste. Nous avons deux mille
euros net, mais pour tous les sacrifices que nous faisons, c’est mince, je
trouve. D’autres danseuses des autres cabarets gagnent entre deux mille cinq cents
et quatre mille euros et restent à PARIS. Je trouve que les tournées sont
fatigantes ! » me répond mon amie.
« Bon, OK, je fais le tour de toutes nos
connaissances et nous viendrons te voir sur scène » je lui promets.
Dès le
lendemain, un mouvement de grève éclate dans le cabaret historique parisien où
les filles réclament une revalorisation de leur salaire. La direction est
contre, car les frais sont nombreux pour l’entretien de la salle du CRAZY, en
cette période de « vaches maigres » pour cause de couvre-feu, ce qui
fait que la salle est peu remplie. Pour les représentations en province, le
constat est le même. Les représentations doivent se faire en journée et les
spectateurs ne sont pas enclins à venir, car souvent, leur journée de travail
n’est pas finie à l’heure des spectacles.
Alyson,
qui m’avait déjà dit ce qu’elle pensait de son salaire est l’une des premières
à refuser de monter sur scène. Avec seulement sept danseuses, si l’une d’elles
est manquante, le spectacle n’est pas de la même qualité et il est trop tard
pour trouver une remplaçante, ce qui est un argument de poids pour les
danseuses.
Les
filles de l’équipe itinérante sont reçues par l’équipe dirigeante.
La
directrice Andrée D. prend la parole :
« Mesdemoiselles, il n’est pas acceptable
en ces temps de crise sanitaire que vous vous montriez regardantes quant à
votre salaire. Vous avez la chance d’avoir un travail prestigieux. Beaucoup de
filles rêvent d’être à votre place. Vous devriez être honorée de faire partie
de la troupe »
« Vous avez fait d’énorme bénéfices
l’année passée et c’est grâce à nous. Nous voulons juste avoir les fruits de
notre travail ! » réplique Alyson.
« Alyson, vous êtes l’une des plus jeunes
avec le moins d’expérience. Je vous trouve assez effrontée de me dire
ça ! » lui répond sèchement Andrée
D.
« Comment allez-vous faire si aucune de
nous ne souhaite monter sur scène ? » lui lance Noémie, une autre danseuse.
« Eh bien, nous allons commencer par
diminuer votre salaire pour nous avoir fait perdre des représentations » répond la directrice
« IL
N’EN EST PAS QUESTION ! VOUS N’AVEZ PAS LE DROIT ! LES
FILLES DU CRAZY, C’EST NOUS ! ! » aboie Alyson, hors d’elle.
« Calmez-vous Alyson ! vous dépassez
les bornes en hurlant ainsi. Je suis votre directrice. Taisez-vous ! »
« J’en ai rien à faire. Nous, on fait
grève. On veut au moins mille euros en plus pour être dans la bonne
moyenne des payes de la profession ! » dit
Alyson en baisant un peu le ton.
Les
négociations tournent court, car de chaque côté, les arguments sont solides et
les sept danseuses ne sont pas prêtes à remonter sur scène.
Avec une
Alyson, remontée comme jamais, qui souhaite défendre son pouvoir d’achat, et à
la tête des autres danseuses, la directrice est obligée d’en référer à la
direction générale du cabaret, pour tenter de débloquer la situation.
En
attendant que les choses avancent, Alyson vient rendre visite à ses parents, qui
habitent dans mon quartier. Ils la reçoivent avec joie, pour les fêtes de fin
d’année. Alyson leur explique dans quelle situation les danseuses sont avec la
direction. Ses parents lui disent de modérer les choses, car ça pourrait mal
tourner pour elle. Beaucoup de ses amies sont en manque de travail, en ce
moment. Les entreprises tournent au ralenti ou ferment. Alyson a au moins la
chance de travailler tous les soirs, ce qui lui assure un revenu stable.
De notre
côté, durant ces fêtes, nous allons lui rendre visite également. Pour lui faire
une surprise, nous nous présentons avec les anciennes copines du lycée, avec
entre autres, Olga et Iourievna.
Nous
discutons entre filles de choses et d’autres et toutes les copines se font
photographier avec Alyson, que nous considérons comme une des stars du CRAZY
HORSE, qui est pour nous toutes, une référence en termes de cabaret de charme.
Alyson nous explique ses tournées à travers les villes de France et d’autres
pays et les thèmes des spectacles et toutes les filles présentent iront la voir
sur scène lorsque la grève des danseuses sera terminée. Nous avons des étoiles
dans les yeux à l’écouter. Ça nous parait tellement féérique ! ... Et puis
Alyson est une très belle fille avec tous les atouts pour appartenir à ce
cabaret : assez fine, de longs cheveux, de longues jambes, des proportions
bien respectées. Une vraie beauté...
« Waouh, comme t’as de la chance,
Alyson ! » s’exclame une de nos amies.
Le
lendemain matin, la directrice propose aux danseuses une réévaluation au plus
bas, deux mille cinq cents euros, mais étalée sur plusieurs mois et en tenant
compte des affluences des spectateurs.
Cette
proposition convient grandement à la majorité des danseuses, sauf pour Alyson
et pour Silvia. Les deux jeunes danseuses souhaitent une réévaluation
immédiate, car elles ne savent pas si les clients reviendront bientôt ou s’il
faudra attendre l’année prochaine pour faire le plein des salles.
« Alyson et Silvia, nous comprenons votre
impatience, mais c’est tout ce que nous avons pu obtenir de la direction de
PARIS. Il n’y aura rien de plus » affirme
Andrée D.
Devant
l’entêtement des deux danseuses, la directrice perd patience et menace les deux
filles de licenciement. Cela est du bluff, car elle sait bien que trouver deux
filles aptes pour les spectacles est irréalisable en si peu de temps.
« Mais ce serait du licenciement abusif,
ça ! Nous ne faisons valoir uniquement que nos droits » lance Alyson.
« Je vais utiliser d’autres arguments qui
sauront vous faire plier ! Svetlana et Sophie, allez chercher les
ceintures, nous allons fesser ces deux jeunes femmes et on verra bien si elles
refusent de se produire ! »
ordonnent Andrée D.
« Vous pourrez toujours y aller, on ne
cèdera pas. On sait être courageuses ! » défie Silvia, le regard dans celui de sa directrice.
« Nous allons voir ça, Silvia.
Déshabillez-vous entièrement, toutes les deux ! »
Sans se
faire prier, Alyson et Silvia retirent leurs vêtements et les jettent sur le
côté, pour bien marquer leur désapprobation et leur défiance quant à cette
correction.
« Penchez-vous toutes les deux sur la
table, cuisses bien écartées ! »
Les deux
punies se mettent en place, sous le regard ébahi des autres danseuses qui se
félicitent d’avoir accepté la proposition de la direction. Elles sont tristes
pour leurs deux amies, qui vont s’en prendre tant qu’elles n’auront pas cédé.
« Ne vous entêtez pas, ça n’en vaut pas la
peine ! » les supplient les autres danseuses.
« JAMAIS ! Et vous nous
remercierez lorsque nous aurons obtenu une plus grosse augmentation »
Svetlana
K. et Sophie E. cinglent intensément les fesses et les cuisses des deux
danseuses, qui serrent les dents et les poings pour prouver leur courage et
leur détermination, mais les contractions de leurs muscles fessiers et leurs
gémissements trahissent que les cinglées les éprouvent.
De belles
marques zèbrent les chairs des deux jeunes femmes, qui ont l’impression d’être
assises sur des charbons chauffés au rouge, tant la cuisson est ardente.
C’est
Silvia qui hurle la première peu avant qu’Alyson le fasse également. Les deux
filles ont des larmes inondant leur visage. L’intensité des fouettées ne
faiblie pas. Les deux jeunes femmes tentent de se protéger le bas du corps,
mais en vain, les fesseuses visent là où leurs mains ne sont pas. Les autres
danseuses voient leurs deux amies trépigner de douleur en hurlant.
« Alors, Mesdemoiselles ? Vous en
avez eu assez ? » demande Andrée D. laissant
les deux filles récupérer quelques instants.
Silvia et
Alyson, reprenant leur souffle et se caressant les fesses et l’arrière des
cuisses, rendues hyper sensibles, disent qu’elles ne sont toujours pas
d’accord. Elles ne veulent pas remonter sur scène tant qu’elles n’auront pas
obtenu satisfaction.
« D’accord, vous êtes coriaces et vous
l’aurez voulu ! Svetlana, Sophie, fouettez-leur le dos, on va voir si elle
résiste toujours ! »
« Mais... vous...vous pouvez pas
fai...faire ça ! » implore
Alyson.
« Je vais me gêner ! » lui répond Andrée D.
Dès les
premières cinglées, les deux filles rugissent de douleur et poussent des
hurlements stridents en se secouant dans tous les sens. Elles tentent de se
protéger, mais en vain, Svetlana et Sophie savent manier la ceinture et
châtient les deux jeunes femmes.
Avec des
marques rouges irradiant tout son dos, c’est Silvia qui cède la première, en
s’écroulant à genoux. Effondrée en larmes sur le sol, elle pleurniche :
« ASSEZ ASSEZ ! J’accep...te les
condi...tions, assez ! ça fait...trop mal ! » se plaint Silvia en pleurant.
Seule
Alyson se démène comme une damnée en hurlant tant et plus, avant de s’écrouler,
elle aussi.
« J’EN PEUX PLUS ! ! Vous av... vez...
gagné... Arr... arrêtez ! »
bafouille Alyson entre deux sanglots.
« Eh bien, voilà, ces deux jeunes femmes
sont à présent raisonnables ! N’est-ce pas Mesdemoiselles ? » demande Andrée D.
En
sanglotant, Silvia et Alyson disent qu’elles sont d’accord et qu’elles sont
désolées.
Les danseuses
relèvent deux jeunes femmes éprouvées, en pleurs et en sueur d’avoir subi cette
sévère correction.
Chacune
soutenue par les bras, elles regagnent les loges, le corps en feu. Lorsqu’elles
sont allongées, Noémie, Dounia, Myriame, Margot et Fanny s’occupent d’elles.
« Bon, elles vous ont pas ratées, les
filles » constatent Fanny.
« Ouais, vous allez rester marquées
plusieurs jours ! » complète
Margot.
« Et ben, être en scène avec ces marques
sur le corps, ça va pas être possible »
surenchérie Myriame.
« Ne vous inquiétez pas, c’est pas bien
méchant, tout ça » dit Svetlana K. en entrant
dans la loge.
« C’est super rouge et tout boursoufflé,
quand même » dit Noémie en posant des
linges humides sur les fesses d’Alyson.
« Si elles avaient cédé avant, on en
serait pas là ! Margot, mouille une serviette et pose-la sur le dos
de Silvia, ça va la soulager. Myriame, fait pareil pour Alyson »
Les deux
punies crient de douleur lorsqu’elles sentent les linges sur elles, malgré la
délicatesse de leurs amies.
« Elle ne seront jamais remise pour après-demain ? » demande Noémie
« Avec des linges frais sur le corps durant
deux jours et du fond de teint pour masquer les traces résiduelles, elles
pourront être sur scène, ces deux cocottes » dit Svetlana K.
Vaincues et
prostrées sur leur lit, Silvia et Alyson, ne disent plus rien, conscientes
qu’elles ont dû subir cette punition pour rien. Il était évident qu’elles
auraient craqué un à moment donné.
Leurs
amies prennent bien soin des deux jeunes punies, car le spectacle ne peut avoir
lieu qu’avec des danseuses au complet et au top de leur forme.
A
suivre...
Une série écrite par Elena
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Bonjour, Elena. Et bonjour à tous.
RépondreSupprimerLes esprits forts et revendicateurs trouvent toujours, dans les Rebelles, à qui parler. Et on leur fait passer l'envie de jouer à nouveau les fortes têtes. Ces danseuses professionnelles n'échappent pas à la règle. Issue de Sainte-Croix, Alyson exerce une certaine fascination sur ses anciennes petites camarades. Qui, parmi elles, n'a pas rêvé d'être ainsi un jour propulsée en pleine lumière? Il y a toutefois un revers à la médaille. Tout n'est pas forcément aussi rose qu'elles auraient pu l'imaginer.
Amicalement.
François
Bonjour François,
SupprimerLe monde du spectacle est impitoyable. Pour le devant, les paillettes, mais derrière, il y a tout ce que l'on ne voit pas. En ce qui concerne, Alyson et Silvia, le combat pour l'augmentation ne leur réussi pas.
Mais bon, comme vous dites, la rébellion est le thème de mes chapitres et mes personnages ont de fort caractère, ce qui les pousse à enfreindre les règles, sans vraiment d'arrière pensées, mais ce sont des femmes libres qui savent ce qu'elles veulent et qui se battent pour les idées qu'elles ont.
Amitiés.
Elena.
Amis de la poésie et de la fessée à dada sur mon cinglé de bidet... Bonjour. Bonjour Elena.
RépondreSupprimerOn savait notre prolixe auteure, à cheval sur les principes de discipline, mais, quelle ruade l'a frappée pour placer son récit au salon du cheval fou ? Riche idée au demeurant, le GRAZY HORSE SALOON étant considéré comme le temple du Strip-tease érotique classieux. Pas un poil qui dépasse!
A noter qu'Elena a du se fendre d'une recherche pointue sur le fonctionnement du lieu car tout ce qu'elle décrit est exact. Amusant sa tendance habituelle à répertorier scrupuleusement les noms des personnages, et ici le surnom, de chaque cavalière en scène, comme celui des personnels de direction.
Mais bon! Ce n'est pas une raison pour flanquer des raclées en réponse aux revendications salariales, légitimes (parfaitement!) des danseuses. Les amazones en porte-jarretelles, sont déjà soumises à une discipline de vie drastique pour tortiller du derrière avec élégance sous les projecteurs,et gagner deux milles euros à tout casser. . Autant dire, à peine plus qu'un CRS, en début de carrière, avant son premier coup de matraque !
Mille euros d'augmentation d'un coup! La direction du GRAZY, pas très chevaleresque, et même rétive, argumente ne pas pouvoir les trouver sous le sabot d'un cheval.
C'est comme ça que la meneuse de revue et du mouvement de grève, Alyson... le glas, des revendications. La directrice Andrée D, (comme Dérouillée) propose une misère, étalée sur plusieurs mois. Chassez le naturel il revient au galop, Sylvia et Alison font de la résistance et se font remettre au pas avec une avoinée à grand coups de ceintures, à défaut de chambrières. Numéro de dressage en règle qui laisse tout de même de vilaines traces de boursoufflures sur la peau.
Curieuse méthode tout de même pour des filles dont on exige un corps parfait avec des croupes callipyges sans défaut. Va falloir quelques kilos de fond de teint avant de pouvoir se remettre en selle sur scène, en vue de la prochaine parade du GRAZY HORSE...J'te frai dire!
On s'attend à une vrai course d'obstacles, va falloir cravacher... mais pas sur les fesses ! A moins que, sait-on jamais, si on laisse la bride sur la plume d'Elena...
Amicalement
Ramina
Amis de la poésie et des commentaires qui ruent dans les brancards, bonjour,
SupprimerVous savez que j'aime éparpiller aux quatre vents mes scénarii. D'un coup sur l'autre, on est dépaysé. C'est ce qui fait que j'aime écrire, me diversifier autant que je peux et tenter, par là même, d'entrainer mes lecteurs dans mes appétences.
Mes sources d'inspiration sont multiples et j'en use et abuse. Ce qui m'a attiré dans cet épisode, c'est le culte du corps dans ce cabaret. Les filles sont bien mises en valeur et leur nudité est presque suggérée, tant les éclairages atténuent leur nudité. On n'est pas dans le voyeurisme à l'état pur. De ce fait, un peu de fond de teint et les quelques marques n'apparaissent plus... Un effet de style pour permettre les fessées sans préjudice pour le spectacle, car "show must go on".
Amitiés.
Elena.