QUI AIME BIEN, FESSE BIEN
LE MARTINET DOUBLE USAGE. 2ème
partie
L'élastique
du slip de Norbert vient à peine de claquer sur ses cuisses, que sa nouvelle
fessée, démarre à un train d'enfer, dans un magnifique feu d'artifice de
claques retentissantes. Quand Astrid fesse, elle ne plaisante pas. C'est à
l'énergie et elle en a, à revendre. Le derrière qu'elle corrige s'en souvient
longtemps, et la mémoire vive de celui de son mari est souvent pleine.
Assise
en face du puni, Régine Duplessy, imperturbable, engage la conversation comme
si de rien était.
–
Voyez-vous, Madame Delaniaires, quand
mon mari a besoin d'être très sévèrement puni, et ça arrive souvent, après sa
fessée au martinet, je lui en mets, tout de suite une autre à la main avec le manche planté
dans le derrière. C'est sa petite gâterie, qu'en réalité, il n'apprécie pas du
tout, mais que personnellement je trouve tout à fait réjouissante.
–
Je veux bien le croire, ça doit même être très excitant. ;
–
Tout à fait, j'adoooore! Aristide profite mieux de ses fessées qui en sont
doublement efficaces. Ça cuit à l'extérieur et ça chauffe à l'intérieur. Un peu
comme les fessées au Gingembre mais en plus humiliant.
– Vous m'étonnez ! Des fessées avec vingt-cinq
centimètres de cuir dur enfoncé dans le derrière, ça calme !
–
Et comment, surtout que Aristide est
très réceptif de ce côté-là. En fait c'est comme un jeu d'adresse. Il faut
s'appliquer à bien faire rebondir les claques d'une fesse à l'autre par-dessus
les lanières qui dépassant de la raie. Cela provoque un mouvement de balancier
qui oblige le puni à tortiller du derrière en cadence. C'est très amusant, et
ça rend les fessées plus attractives.
–
J'imagine tout à fait, répond Astrid en continuant à claquer le derrière de son
mari tout en discutant. L'un n'empêchant pas l'autre. Je vois de plus en plus
de clientes pratiquer ce nouveau genre de fessées et elles en sont très
satisfaites.
–
Absolument, je vous garantis que ça dresse bien ! Après chaque séance
comme celle-là mon petit chéri est doux comme une couette. J'en fait ce que je
veux.
–
Je n'en doute pas une seconde et je vais d'ailleurs l'expérimenter dès la
prochaine fessée de Norbert, elle appuie encore les claques comme pour souligner
la réalité de l'annonce sur ses fesses.
Nous allons essayer ça, n'est-ce pas mon ami ?
Norbert, des sanglots plein la voix, a bien du
mal à répondre, mais a appris, à ses dépens, qu'il en a l'obligation.
–
Oaiiie !! Non Astrid... Pitié pas ça !!! Raaaah !! Pas la fessée
avec le marti... Oaiiiiiie !!
La
gorge pleine de larmes, Il s'étrangle à moitié et pleure de plus en plus
abondamment, réduit à l'impuissance sous les cuisantes claquées qui lui
incendient le postérieur.
Indifférente
à sa souffrance, Régine Duplessy, poursuit tranquillement la discussion comme
s'il s'agissait d'une conversation ordinaire. Pas gênée le moins du monde, elle
entre dans le vif du sujet, aussi aisément que le manche du martinet, dans le
derrière de son mari. Car c'est justement de cette partie de l'instrument de
discipline qui n'est pas adapté à l'usage qu'elle veut en faire.
–
Le problème c'est que... comment dire, sans être vulgaire... Aristide à un
rectum très souple... voyez-vous,
et … dès que je commence à taper fort, le manche en ressort trop
facilement. Ce qui est fort déplaisant, car je suis obligée d'interrompre sans
arrêt sa fessée pour le ré-enfoncer... C'est très fâcheux, n'est-ce pas ?
–
Je comprends bien sûr. Peut-être mettez-vous trop de vaseline ou de
lubrifiant... Alors forcément, avec l'impact répété des claques...ça finit par
s'éjecter tout seul. ;
–
Franchement non, j'en lui en beurre un peu la raie des fesses, c'est tout. Et
puis, tout de même, il prend sa fessée avec toute la longueur du manche dans le
derrière !
C'était
rectal ! Régine Duplessy, à l'allure si distinguée, à l'expression
raffinée, au phrasé assez sophistiqué, semblait balancer son éducation et ses
airs de bonne famille par-dessus son
porte jarretelles, dès que les conversations s'engageaient sur l'exaltant sujet
de la fessée. Son intransigeance et son caractère autoritaire reprenaient très
vite le dessus, pour laisser place à la maîtresse femme perverse qu'elle était
en réalité.
Comme
les grands timides peuvent se transformer en redoutables challengers, elle
était capable d'abandonner toute
retenue, ne reculant devant aucune méthode avilissante dans l'exercice de ses
pratiques disciplinaires. Régine Duplessy était, en quelque sorte, la
doctoresse Jekyll et Mistress Hyde, de la fessée.
Ce
n'était pas pour déplaire à Astrid Delaniaires qui la comptait parmi ses plus
fidèles clientes. Elle faisait partie de ces dresseuses de mari, qui fessaient
beaucoup et faisait une grande consommation d'instruments de discipline... et
de Dolpic. D'où l'attention portée à sa
réclamation concernant le manche de son dernier martinet.
–
Vous n'avez pas essayé de lui faire serrer les fesses dessus, pour l'obliger à
le garder, au moins pendant la durée de sa fessée ? S'enquiert Astrid entre
deux claques.
–
Si, bien entendu ! Comme faisant
partie de sa punition, mais ça lui fait durcir les fesses qu'il a déjà très
fermes. Je lui fais pratiquer l'équitation, beaucoup de trot assis, pour lui
muscler les fessiers. De ce fait, si je l'oblige à serrer les fesses,
elles perdent de leur élasticité, et sont moins agréables à claquer. Ses
fessées ne retentissent pas avec autant d'éclat. Ça gâche un peu le plaisir n'est-ce
pas ? Surtout que son derrière claque formidablement bien naturellement.
–
Tu entends ce que dit madame Duplessy ? Gronde Astrid en ponctuant
sèchement sa question sur les fesses de
son mari. Qu'est-ce que tu as à lui répondre ? Il va falloir que tu trouves
une solution. Au prix où sont nos martinets, on doit bien ça à nos fidèles
clientes !
– Oh ce
n'est pas une question de prix, madame Delaniaires, quand on veut des
instruments performants on ne regarde pas là-dessus. Ces martinets sont, par ailleurs, d'une qualité
irréprochable et d'un parfait cinglant.
A mon avis, il suffirait d'une simple modification à apporter à la forme
du manche.
–
Mais chère madame, cela relève de notre service après-vente. Norbert ! Tu réponds à madame Duplessy !
Elle te parle ! Insiste l'intransigeante épouse qui poursuit la
conversation et la fessée en même temps.
Le
visage grimaçant de douleur, la bouche pleine de larmes et de morve mêlées,
le malheureux, durement secoué par le
rythme infernal de sa fessée, a du mal à gargouiller quelques mots
intelligibles. Il répond en saccade.
–
Roaaaiie, j'en... Ouaiiiie J'entends...
je … rouuuuaiiie... je vais... trouver... Une... une.
–
Tu as intérêt ! tonne Astrid en l'interrompant. Et regarde madame Duplessy
quand tu lui parles, mal élevé !
Elle
le saisit par les cheveux et lui redresse la tête. Ce qui lui fait cambrer les
reins un peu plus et augmenter l'arrondit de son postérieur qu'elle claque à la
volée, pleines fesses. Il se remet à hurler pendant que Régine, sans état d'âme devant son visage
dégoulinant, continue la discussion, à sens unique.
–
Si je puis me permettre, je pense qu'il suffirait d'augmenter l'épaisseur du
manche et de le rallonger encore de quelques centimètres, avec des cannelures
plus grosses pour le rendre plus stable une fois enfoncé .
–
Je suppose que vous le lui introduisez entièrement, sur toute la longueur...
demande Astrid avec un sourire qui en dit plus long que le manche du martinet
en question.
–
Bien sûr, je vous garantis qu'il a ses vingt-cinq centimètres de manche planté jusqu'aux lanières, mais
ça ressort presque systématiquement dès que je commence à le faire tortiller du
derrière.
–
Tu as compris Norbert ? dit Astrid qui le fesse maintenant à l'horizontale
pour bien lui faire sauter le derrière sur sa cuisse. Question danse des fesses
elle a le coup de poignet efficace.
Projeté
en avant sous la puissance des claques, le corps secoué dans tous les sens,
Norbert est obligé de se tenir au tabouret pour garder la position et surtout
ne pas tomber. Il n'est pas vraiment en état de suivre la conversation.
Inébranlable,
Régine, quant à elle, continue la discussion, réduite à un monologue. Elle est
obligée de monter la voix pour essayer de se faire entendre à cause du
claquement assourdissant de la fessée qui retentit dans tout le magasin. Elle
parle distinctement, avec autant de naturel que s'il s'agissait d'un outil de
jardinage ou d'un ustensile de cuisine.
–
Si je puis encore... une suggestion, dit-elle avec un geste
gracieux de la main, le petit doigt en l'air.
Mais je suis simple utilisatrice, pas spécialiste. Ne croyez-vous pas qu'au lieu d'aligner les cannelures comme elles le
sont, il serait plus pratique de les disposer
en biais le long du manche, en forme de pas de vis. Il serait ainsi aisé
de l'enfoncer dans le derrière en le vissant
pour qu'il ne ressorte pas. Cela permettrait de fesser à l'aise, sans
être obligée de s'arrêter pour le remettre en place.
Le
menton en l'air, sourire aux lèvres, elle croise les bras sous sa forte
poitrine, satisfaite de sa proposition.
–
Tu entends ça Norbert ? Dit Astrid en lui remettant le derrière en
place. A force de le faire rebondir il a
fini par relâcher la position. Madame Duplessy nous donne son avis pour améliorer nos
modèles. Intéressant d'avoir un retour constructif de nos clientes ! Tu
n'avais pas pensé à ça hein, de mettre les cannelures dans un autre sens ?
Plié
en deux sur la cuisse de sa femme, bras et jambes ballant de part et d'autre,
Norbert, s'il entendait vaguement la
conversation, n'était pas vraiment motivé pour y prendre part. Il restait sans
réaction, subissant sa fessée et laissant son épouse le corriger comme bon lui
semblait. Il savait depuis longtemps, que ses fesses ne lui appartenaient plus,
à partir du moment où elle en prenait possession. Elle en disposait à sa guise,
et quels que soient les motifs de punition, les fessées étaient toujours
longues et sévères. La présence
stimulante de Régine Duplessy n'incitait pas à la modération, bien au
contraire. Entre ces Dames dominantes, les démonstrations d'autorité lors des séances de punitions en public
étaient habituelles. On y échangeait,
conseils avisés et techniques de correction, aussi naturellement que
s'il s'agissait de recettes de cuisine. La seule référence commune était la
durée et l'intensité de la cuisson.
A
cette heure de fin de journée, Astrid n'attendait plus de cliente et avait
fermé la boutique, pour régler
tranquillement les affaires courantes, plutôt claquantes en l'occurrence. Il régnait dans le magasin, la chaleureuse
ambiance de fessée qui faisait la réputation du lieu et entretenait son
attractivité auprès de toutes les adeptes des pratiques disciplinaires. Les
fesses de Norbert et Aristide, étaient à l'honneur et contribuaient, à l'élévation constante de la
température ambiante de la pièce.
Le
derrière déculotté de Norbert, toujours en compétition, bien déployé sur la
cuisse relevée de sa femme, irradiait d'une chaleur intense sous l'effet de la
cuisante fessée qui claquait sans répit depuis une bonne dizaine de minutes.
S'ajoutant aux deux précédentes, le tarif commençait à devenir élevé.
Aristide
de son côté ne se manifestait plus que par de discrets gémissements
spasmodiques, dus au contact prolongé de ses fesses avec le bois du tabouret.
La fessée déculottée qu'il avait reçue parce qu'il s'était montré réticent à
accompagner sa femme chez les Delaniaires, faisait encore de l'effet et les
rendaient encore sensibles. Elles étaient moins sollicitées pour le moment,
mais Régine Duplessy n'étant pas du genre à rester inactive dans des
circonstances aussi stimulantes, ça sentait tout de même le provisoire.
Elle
avait été reçue et entendue par la patronne de la boutique, et n'allait pas
partir en plein milieu de cette excitante séance de fessées. D'autant plus
qu'elle en était un peu la cause. Une
nouvelle tentative d' Aristide de soulever ses fesses pour les soulager, lui
fournit l'occasion de sévir à nouveau. Bien que ses motifs de punition étaient
souvent extrêmement fantaisistes, il lui en fallait un, même futile, pour
donner une apparence de justification à une intervention disciplinaire. Elle venait de trouver un excellent prétexte
en prenant Aristide en flagrant délit de, soi-disant, désobéissance.
Il
était si bien dressé qu'elle n'eut même pas besoin d'annoncer sa fessée. Quatre
mots suffirent, pour qu'il réagisse aussitôt. ;
–
Aristide, vos fesses... immédiatement !
–
Mes fess... Oui, oui, tout de suite ! dit-il en protestant intérieurement.
Même si ce n'était pas vraiment justifié, il savait que ça allait lui claquer
au derrière et que ce n'était pas le moment d'aggraver sa situation par des
remarques inutiles. Une tournée supplémentaire serait vite programmée.
Il
se leva avec précaution et l'impression que son postérieur, encore cuisant,
allait rester collé au tabouret qu'il allait emmener avec lui. Il n'en fut rien
heureusement. Il vint docilement se placer au garde à vous devant son épouse, à
proximité de Norbert dont la chaleur des fesses et le souffle des claques, lui
emplissait la tête. Vu l'atmosphère
ambiante, il n'avait pas besoin d'information complémentaire pour savoir ce qui
l'attendait. Régine, comme la majorité des épouses dominantes, adorait le
corriger en public.
–
A votre tour, mon ami, de montrer à madame Delaniaires, dans quelle position
vous devez présenter vos fesses à votre épouse pour vous faire administrer vos
fessées.
Campée
devant lui, mollets cambrés sur ses talons aiguilles, elle retrousse sa jupe
sur ses hanches et désigne, d'un doigt autoritaire, l'espace dégagé entre ses
jambes écartées. Il sait ce qu'il doit faire. Sans aucune hésitation il se
courbe en avant et vient caler sa tête entre ses cuisses, qu'elle referme en
étau autour de son cou avec un sourire dominateur. Ses jarretelles et le
renfort noir de ses bas nylon frottent déjà sur ses joues. Les mains sur les
hanches elle pèse sur sa nuque de tout le poids de son plantureux postérieur
pour le contraindre à fléchir les jambes. Habitué à se positionner ainsi pour
se faire corriger, il creuse docilement les reins afin de positionner ses
fesses en l'air, tendues à bloc, bien déployées.
En
attendant que sa fessée reprenne en même temps que celle d'Aristide, Norbert profite de la courte pause qu'Astrid lui accorde.
Elle a beau voir, chaque jour, défiler dans son magasin, des fessiers à
claquer, présentés dans toutes les positions, elle se fend d'un petit
commentaire élogieux.
–
Et bien ma chère, ça fait plaisir de voir un mari bien dressé, présenter
docilement ses fesses, comme Madame l'exige et sans discuter. On sent tout de
suite le poids de la discipline.
–
Vous savez ce que c'est ! répond
Régine en passant sa main sous le ventre de son puni pour l'obliger à lever
plus haut le derrière pendant qu' elle assure la prise de ses cuisses sur ses
joues. Il couine un peu, sans plus. Vous êtes prêt Aristide ? J'espère, au
moins ,que vous avez compris la raison de cette nouvelle fessée pour qu'elle
serve à quelque chose.
–
J'ai... j'ai... compris! Bredouille la voix étouffée qui sort d'entre les
cuisses de son épouse et de dessous ses fesses, qui pèsent sur sa nuque.
– Je . . je ne suis pas resté correctement
assis sur le tabouret.... pffff ! … pffff ! Vos fesses Régine, s'il
vous plaît, elles m'écrasent la tête...
.
– Oui, et alors ?
–
J'ai... J'ai mérité une nouvelle fessée … pas trop forte s'il vous plaît...
pas trop forte... les fesses me cuisent encore de l'autre ...
–
Et bien c'est tant mieux, celle qui vous attend va être encore meilleure...
Vous en avez de la chance. Un derrière comme le vôtre a besoin de fessées
toujours plus sévères. Votre épouse est là pour le satisfaire.
–
Et des fessées déculottées bien sûr !
Surenchérit Astrid en tapotant le
derrière écarlate et brûlant de son mari, qui bénéficie d'une brève, mais
appréciée, RTT.
Norbert,
attend, dans l'angoisse, la suite de sa correction qu'il trouve vraiment sévère
pour quelques défauts de fabrication. La crainte de la fessée supplémentaire en
cas de relâchement lui fait mettre à profit ce mince moment de répit, pour rectifier de lui-même sa position sur la cuisse de son
épouse. D'essayer aussi de soulager un peu son ventre, comme son sexe tendu,
rendus douloureux par le frottement continu sur ses jarretelles et le revers de
ses bas nylon.
Les reins creusés ,
les genoux pliés, les pieds en l’air, il sait que cette pose accentue l’arrondi
provocant de son fessier et facilite l'administration de la fessée. C’est comme
s'il voulait exposer un derrière prêt à fesser,
aussi copieux et tentant que celui d'Aristide courbé en deux entre les cuisses de sa
femme. Lui aussi, exhibe, impudiquement, une volumineuse et rougeoyante paire
de fesses parfaitement positionnée. Une cliente, entrant à ce moment-là dans le magasin, aurait pu croire
qu’ils faisaient, tous les deux, une compétition pour offrir à leur femme, le
fessier le plus excitant à corriger. Comme une preuve de soumission à leur
autorité, dans l'espoir jamais réalisé, d'obtenir des fessées un peu moins
sévères .
A
l'annonce d'une fessée déculottée,
Aristide, comme paniqué, réagit comme s'il avait été piqué par une
escadrille de frelons. Il trépigne sur place en pliant les jambes et tortillant
du derrière à défaut de pouvoir bouger d'autres partie du corps. –
–
Non ! Non, pitié ! Pas la
fessée déculottée Régine, s'il vous plaît !! La fessée oui, mais pas
déculottée !!! Vous m'en avez déjà mise une comme ça tout à l'heure !
Régine
resserre sa prise, en faisant crisser le nylon de ses bas sur les joues de son
mari puni. Ça l'amuse de le voir, les fesses en l'air,
gigoter comme un beau diable entre ses cuisses, et de l'entendre accepter sa
fessée, en suppliant de ne pas la recevoir déculottée. Elle le rend d'autant plus ridicule, qu'il ne
réalise pas que ces fameux slip à fessées, très étroits, en nylon très fin, ne
le protège en rien et ne lui couvre même pas la moitié du derrière. Elle fait
semblant de lui concéder une faveur qui n'atténue en rien la sévérité de la
nouvelle fessée qu'elle lui prépare, bien au contraire.
–
Très bien mon ami, pour un fois je vais être magnanime. Je vous autorise à
garder votre slip. Mais je vous préviens je vais taper fort.
–
Oh oui merci...Régine chérie... merci... Oui, forte la fessée, mais par pitié,
pas déculotté...S'il vous plaît...
–
Très bien, nous sommes d'accord, pas déculotté...
Elle envoie un clin d'œil complice en
direction d'Astrid en saisissant la
ceinture de son slip qu'elle lui remonte sur les hanches en étirant les
élastiques entre les fesses. Elles s'en trouvent presque entièrement dégagées.
Il ne reste plus qu'un petit triangle de nylon blanc en haut de la raie. Un slip qui ne recouvre plus rien,
englouti dans la profondeur du volumineux fessier, rebondi de toute part.
Aristide, conscient de s'être fait abuser, pousse un râle
de protestation. Les mains agrippées aux
cuisses de sa femme, la tête prise entre les deux, il fait des sauts de
cabri, sur place.
– Raaaah, mais non, chérie !! Ce... ce
n'est pas juste ! On avait dit pas décul...
– Oui, c'est ce qu'on avait dit, pas
déculotté !... Alors de quoi vous
plaignez vous, c'est le cas ! Vous avez toujours votre slip sur le derrière
il me semble !
–
je dirais même dans le derrière ! Ironise Astrid qui a évidemment suivit
la scène. Elle ajoute, l'air goguenard. En attendant autre chose.
– Oui mais... mais non... pas comme ça ! Trépigne le
puni, doublement humilié. Ça revient au même, c'est comme si...
– Aristide ça suffit, vous n'êtes jamais content !
Cessez vos caprices de petit garçon, , vous allez prendre votre fessée comme
ça, et estimez-vous heureux que je ne vous déculotte pas entièrement .
Tendez vos fesses mieux que cela, pour qu'elles sentent bien ma main claquer dessus !
Aristide expose encore mieux son fessier toujours rouge de
la fessée qu'elle lui a flanquée, chez eux avant de partir. Servile, il abonde
dans son sens en espérant obtenir un peu
de clémence. Ce qui n'arrive jamais.
– Oh oui chérie.... les fessées à la main c’est ce qui est
le mieux, sentir votre main ferme claquer sur mes fesses et me les chauffer
aussi longtemps qu’il faut ...c’est bien efficace les fessées à la main.....
Au point où ils en sont, les deux hommes sont prêts à dire et faire n'importe quoi, pour
quémander un soupçon de mansuétude. Ce qui laisse leurs épouses totalement
indifférentes.
D'un signe de tête, Régine indique à Astrid qu'elle est prête et qu'elles peuvent
commencer.
Et après la saison 3... vient la saison 4!
Nous retrouvons des protagonistes dont nous avons déjà fait la connaissance, mais nous allons également découvrir de nouveaux personnages pour lesquels la fessée est à l'ordre du jour.
Que s'est-il passé précédemment ? Un trou de mémoire ? Ce n'est pas grave vous retrouverez ici la saison, précédente le chapitre 1, et le dernier en date de la saison 4, c'est le chapitre 9 La suite, c'est très bientôt.
Ramina est l'auteur de nombreux récits et commentaires sur ce blog.
Juste retour des choses il attend les vôtres. Ecrivez vos appréciations, vos retours, vos questions ... dans le cadre ci-dessous. Ramina vous répondra.
Bonjour Ramina,
RépondreSupprimerWahou ! il y a du rififi à Paname ! Le SAV tourne à plein régime.
Les clientes entament une réclamation collective, preuves à l'appui.
Ces dames se paient sur le tas ! Elles sont redoutables. J'aime bien l'expression "Doctoresse Jekyll et Mistress Hyde". Excellente ! J'aurais pas mieux fait. Presque Missize Hulk ! Rires.
Ben, les deux Charybde et Scylla ne sont pas encore sorti de l'atelier !! Courage, les champions !
Amicalement. Peter.
Amis de la poésie avec le manche en foncé, bonsoir !
RépondreSupprimerOn en apprend de belles dans ce chapitre, Aristide a le rectum très souple, peut-être à force de le lui beurrer. Ah, une raie au beurre, il n'y a pas mieux pour déguster une bonne fessée.
Par contre, à mon humble avis, Norbert devrait innover dans l'ergonomie des manches sur mesure pour en faire un "deux en un" : Bonne prise en main pour la fessée et anti-rejet sous les claques de l'épouse d'Aristide et éviter l'effet "tir de missile" en cas de surpression ( dangereux s'il y a des vitres en face... ).
Les cours d'équitation pour muscler les fesses et les cuisses, il n'y a pas mieux et un petit tour au crazy horse pour muscler le reste... Mme Régine n'a pas son pareil pour remettre Aristide sur de bon rail, une fessée au martinet et l'autre avec la main. Avec juste les lanières sortant des fesses, ça donne une certaine ressemblance avec une croupe d'un cheval. Les deux font la paire. Quant au manche avec un pas de vis, c'est du grand art, en mode anti-retour.
Dans cette réunion de mégères, on se croirait revenu dans les réunions Tupperware où chacune donne sa recette sur tel ou tel ustensile et sa recette associée.
Avec les deux postérieurs chauffés au rouge, la pièce sera indéniablement à bonne température. En ces temps de grand froid, nos deux bougres pourront même faire cuire des oeufs sur leur derrière à force de se les faire corriger.
Amitiés.
Elena.
Bonjour Peter,
RépondreSupprimerAh ben oui, Chez les Delaniaires c'est le SAV façon "Darty" au service des maîtresses de maison. Ici on ne jette pas, on répare ou on adapte!
Après rififi à Paname, la factrice claque toujours deux fois...C'est vrai que ces messieurs ne sont pas encore sortis de la boutique... Gare aux remises à niveau, une arrière train peut en cacher une autre.
Amicalement
Ramina
Bonjour Elena,
RépondreSupprimerElena qui se surpasse en commentaires salaces, passe et repasse les passages, pas sages, et drolatiques à souhait. Dans la série claquera bien qui claquera le dernier, Martinet d'or, on adore, pour la "raie au beurre"... noir pour le manche, rouge pour les fesses !
Prix spécial de la mise en forme, au manche "anti retour" et au renouveau des réunions Tupperware... Et pour finir avec "Cuisine et dépendances" une étoile pour la nouvelle recette de cuisson des oeufs au plat, par chaleur à induction sans gaspillage de combustible.
On salue sous les applaudissements des lecteurs.
Amicalement
Ramina