C’était surtout le bouquet d’orties qu’Hélène avait posé à côté d’elle qui effrayait Marguerite. Elle gardait un souvenir cuisant de la dernière fois qu’on avait utilisé ces végétaux urticants pour la punir. Les effets s’en étaient fait sentir pendant deux jours pour ce qui était des plus cuisants et les picotements n’avaient totalement disparus que deux jours encore plus tard. Quatre jours à se rappeler la fessée à chaque fois qu’elle s’asseyait ou simplement quand sa culotte frottait contre ses fesses… c’est-à-dire à peu près toute la journée, sans compter les nuits où il avait fallu dormir sur le ventre. Elle ne tenait pas à vivre de nouveau cette expérience et c’est pourtant ce qui lui était promis ce soir-là.
On
aurait pu penser qu’il s’agissait de quatre amies qui se promenaient, en cette
fin d’un samedi après-midi, alors qu’elles se dirigeaient vers le coin où
poussaient les orties. De loin on voyait nettement que le carré de plantes s’était
étoffé et que celles qui avaient été cueillies, il y a quelques semaines,
avaient été remplacées par de jeunes pousses.
« Hélène,
s'il te plait, ce n’est pas obligé.
–
Qu’est-ce qui n’est pas obligé, ma chérie ?
–
De cueillir les orties. Tu peux me donner la fessée autrement. Avec la
règle ?
–
Désolée, Marguerite, mais je crois bien que ce sont des orties dont tu as
besoin. Donc tu les auras ce soir et je compte bien que cela te laisse des
souvenirs piquants pendant plusieurs jours.
–
Oui, mais…
–
Je crois que cela suffit sur ce sujet. C’est ce que j’ai décidé et je ne
reviendrai pas dessus. Mais comme j’en ai quelques-unes à portée de main,
si tu insistes, je peux commencer par t’en frotter les fesses dès
maintenant. »
Marguerite
ouvrit la bouche, mais cela n’alla pas plus loin. Une fessée aux orties, ici,
dans la rue ? Non, non, Marguerite n’était pas candidate. Elles s’étaient
mises, toutes les quatre, à cueillir délicatement les végétaux et elles les
posaient délicatement dans une boite en carton qu’Hélène avait apportée. Il
s’agissait de ne pas perdre du pouvoir urticant des orties.
« Il
y en a peut-être assez, suggéra Marguerite.
–
Assez ? Crois-tu ? Combien en avais-tu cueillies la dernière fois,
Teva ?
–
Il y avait deux bouquets et bien une bonne vingtaine de plantes dans chaque.
–
Alors il faudra que j’en aie trois, cette fois-ci ! Avec autant d’orties
dans chaque !
– Mais
ce n’est pas juste ! Deux ça suffit !
–
Ah oui ? Est-ce que cette première fessée aux orties a suffi pour que ton
comportement soit, par la suite, irréprochable ?
–
Non, mais…
–
C’est donc que deux bouquets, ce n’était pas assez ! Nous allons essayer
trois cette fois-ci. Nous verrons bien si cela sera suffisant.
–
Oh non, s'il te plait Hélène !
–
Ah, tu en préfères quatre tout de suite ? Il fallait le dire. »
Marguerite
baissa les yeux, sans tenter d’argumenter plus loin. Cela ne pourrait
qu’envenimer les choses. Hélène attendit un peu avant de conclure.
« Je
pense que pour cette fois, tu te contenteras de trois bouquets. Nous essayerons
quatre la prochaine fois. »
Durant
tout le trajet qui les ramenait à la maison, on pouvait voir les orties qui
dépassaient de la boite. Les personnes qui passaient à proximité, quand elles
prenaient conscience de quelles plantes il s’agissait, jetaient des regards
interrogatifs à Marguerite à qui Hélène avait confié le soin de porter la cueillette.
Elle
s’attendait, à tout instant, à ce que l’une de celles qui prenaient un air des
plus étonnés, s’enquière de l’usage auquel étaient destinées les orties. Hélène
ou Teva n’auraient eu aucune raison de ne pas expliquer à quoi elles devaient
servir et elle aurait peut-être même demandé à Marguerite elle-même de donner
les explications. Heureusement, cela ne s’était pas produit et Marguerite avait
été soulagée quand elle avait pu se réfugier chez Hélène et clore la porte
derrière elle.
Face
à l’inévitable, maintenant, ce n’était plus aussi simple.
« Allons,
approche ! De toute façon, tu n’échapperas pas aux orties ! »
Marguerite
avait des larmes dans les yeux quand elle fit les derniers pas. Hélène avait
raison. La fessée aux orties était décidée, plus rien ne pouvait la lui
épargner. Il fallait en passer par là.
Hélène
prit en main fermement la suite. Elle agrippa le bras de Marguerite et elle la
força à se mettre à genoux entre ses pieds. Marguerite était en chemise de
nuit. Hélène la retroussa d’un geste du poignet.
« Ecarte
tes genoux ! »
La
main d’Hélène se glissa entre les cuisses et elle en tapotait l’intérieur
jusqu’à ce que l’écartement lui convînt. Il donnait accès à la peau située à
l’intérieur des cuisses. Marguerite geignait doucement. Hélène n’y prenait pas
garde. Il était, après tout, normal que sa protégée anticipe, avec crainte, la
fessée qui l’attentait. Cela en montrait l’efficacité alors qu’elle n’avait pas
encore commencé.
Hélène
fit glisser le bouquet d’orties qu’elle tenait en main, le long de la cuisse
gauche de Marguerite, et elle remonta jusqu’au haut des fesses. Puis elle
effectua le même geste de l’autre côté. Marguerite s‘attendait à une brûlure
insupportable. Elle le fut bien moindre que ce dont elle se souvenait. Une
deuxième fois, Hélène caressa les fesses de son bouquet.
L’embrasement
monta aussitôt. Marguerite poussa un cri étouffé. Là, cela correspondait à son
souvenir, mais Marguerite n’en avait cure. Une troisième caresse des feuilles
urticantes en rajouta au feu qui brûlait ses fesses. Elle rua entre les jambes
de sa tutrice et elle battit des pieds aussi fortement qu’elle le put, mais elle
n’avait pas l’autorisation de bouger de la position dans laquelle Hélène
l’avait mise.
Marguerite
n’aurait, de toute façon, pas osé aller au bout de son geste. Elle ne pouvait
pas faire autrement que de subir cette fessée que lui administrait Hélène,
quelle que soit la douleur qu’elle provoquait. Hélène en avait le droit,
c’était même son devoir de punir sa pensionnaire quand Marguerite l’avait
mérité. Marguerite ne pouvait pas nier que cette correction était justifiée.
Hélène
alternait entre des moments où elle caressait les cuisses et les fesses de Marguerite
avec les feuilles des orties en en lent mouvement régulier, partant du bas
d’une des cuisses pour remonter vers le haut des fesses, d’un côté, puis de
l’autre ; et des temps où elle frappait légèrement la peau des fesses avec
son bouquet, pas trop fort, pour ne pas casser les fragiles tiges végétales.
A
chaque répit que lui laissait Hélène, l’intensité de la brûlure augmentait. Marguerite
lui était gré de reprendre l’application des orties sur ses fesses, tout en
sachant que ce n’était que reculer le moment où il faudrait faire face à l’atroce
cuisson qui ne cessait de s’amplifier.
Quand
elle se rendit compte que le premier bouquet avait perdu de sa vigueur,
Hélène s’empara du deuxième. La pause ne profita pas vraiment à Marguerite. La
douleur explosa sur ses fesses après quelques secondes sans la caresse des
feuilles urticantes. Ça aurait presque été un soulagement quand Hélène
recommença la frottée si elle n’avait pas choisi un territoire qui n’avait pas
encore connu les orties : l’intérieur des cuisses.
Hélène
posa le bouquet végétal juste au-dessus du genou et elle remonta jusqu’à
l’entrejambe. D’une rotation du poignet, elle frotta les feuilles fraîches
contre le pubis de Marguerite qui poussa un hurlement et referma les jambes,
coinçant les orties entre ces deux jambes qu’elle rouvrit immédiatement. La
brûlure était trop forte.
« Je
te préviens, Marguerite, que si tu recommences tu auras une deuxième fessée aux
orties demain soir et autant de fois que ce sera nécessaire tant que tu ne me laisseras
pas te punir ! »
Marguerite
redoubla de sanglots pour toute réponse.
« Tes
cuisses restent écartées ! »
Hélène
fit remonter son faisceau végétal le long de l’autre cuisse, pour finir au même
endroit. Même au travers de ses sanglots et malgré la cuisson qui s’était
emparée de toute la peau du bas de son dos jusqu’en bas des cuisses, Marguerite
avait compris la menace. Pour rien au monde elle n’aurait poussé Hélène à
décréter qu’elle aurait une autre fessée aux orties le lendemain. Elle laissa
ses cuisses ouvertes à la morsure des orties.
Quand
Hélène constata que le troisième bouquet avait, lui aussi, perdu son pouvoir
urticant, elle jugea de l’effet de la punition. Les fesses et les cuisses de Marguerite
étaient rouges. L’inflammation dégageait une chaleur qui était perceptible sur
le visage d’Hélène. C’est comme si elle avait eu un radiateur entre ses jambes.
Toute la surface de la peau était couverte de petites cloques.
Hélène
y posa la main. Le hurlement que cela provoqua chez Marguerite montrait comment
toute cette zone était hypersensible et qu’elle ne supportait plus le moindre
contact.
« Cette
grande fille va dormir sur le ventre cette nuit, pensa-t-elle. Mais cela ne
suffira pas. Même le poids du drap sera difficile à supporter. »
Hélène
ressentait de la compassion pour la jeune femme qui était allongée sur ses
genoux, mais elle ne la plaignait pas et elle n’éprouvait aucun remord. Bien au
contraire ! Elle avait le sentiment d’avoir accompli son devoir. Marguerite
avait mérité cette correction et elle en avait besoin. Nul doute qu’elle se
souviendrait de ce qu’elle risquait s’il lui prenait de nouveau l’envie de
quelque insolence envers ses aînés, y compris quand elle ne serait pas sous la
surveillance directe de Teva ou d’Hélène.
La
propension au désordre et à laisser une chambre dans un état déplorable
n’inquiétait pas Hélène. A la moindre chaussette qui traînerait, à la première
culotte sale qui ne serait pas dans le panier à linge, au plus petit papier
laissé sur le sol, la fessée mettrait bon ordre. Pour cela, Marguerite serait
en permanence sous sa main. La sanction suivrait de peu l’oubli coupable.
Faisant
fi du redoublement des pleurs qu’elle provoquait, Hélène passa sa main sur la
peau enflammée. C’était une sensation surprenante de sentir toutes ces petites
boursouflures sous ses doigts, là où la peau était habituellement lisse.
« C’est
parfait ! Ma grande chérie en a pour plusieurs jours en en sentir les
effets. Quand il lui faudra rester assise toute la journée lundi, celui lui
cuira encore. »
Hélène
passa ses doigts entre les jambes de Marguerite, vérifiant si le pubis avait
également eu sa dose de liquide urticant. La réaction de Marguerite, suite à
l’attouchement, la rassura. Là aussi les feuilles avaient trouvé leur chemin.
« Les
orties sont vraiment formidables. Il ne faudra pas en abuser, mais je sais
maintenant comment donner une très sévère fessée. Il faudra que je garde cela
pour les occasions exceptionnelles. »
Elle
tapota les fesses sous sa main.
« Allons,
grande fille, debout ! Il est l’heure d’aller au coin ! »
Marguerite
savait que ce n’était pas le moment à montrer des réticences à obéir. Elle ne
tenait pas à ce qu’Hélène prolonge la fessée. Même si les orties seraient
maintenant inefficaces, la main d’Hélène suffirait pour en rajouter à la
brûlure qui emportait ses fesses.
Elle
se leva, mais, dès les premiers pas, la marche se révéla difficile. A chaque
pas, ses cuisses frottaient l’une contre l’autre. C’était une sensation
insupportable. Elle marcha les jambes écartées, mais cela ne suffisait pas à
éviter le frottement douloureux. C’était insoluble. Hélène trouva la solution.
« Plus
vite que cela ! »
Une
forte claque sur les fesses décida Marguerite à ignorer la brûlure qui
emportait ses cuisses à chaque pas. Le risque d’une deuxième dose de fessée
était bien trop grand. Arrivée au coin, la question se reposa. Heureusement, la
position à tenir voulait que la chemise soit remontée dans le dos. Plus rien
n’était en contact avec les fesses. Marguerite n’avait pas encore la lucidité
nécessaire pour s’en réjouir, mais c’était pourtant une cause de désagrément
qui lui était épargnée.
C’est
du côté des cuisses que cela ne s’arrangeait pas. Bien qu’elles soient
immobiles, le contact de l’une contre l’autre suffisait à provoquer des élancements
intolérables. Marguerite comptait qu’ils se calment au bout de quelques minutes
sans bouger, mais il n’en fut rien. Elle écarta un tout petit peu les jambes,
mais ce n’était pas suffisant. Encore un peu… et encore…
« Qu’est-ce
que c’est que cette position ? »
Quatre,
cinq, dix claques sur les fesses.
« Resserre-moi
ces jambes ! Et que je ne te vois plus bouger ! »
Il
était clair qu’au prochain reproche, Marguerite ne s’en tirerait pas si
aisément. Des larmes recommencèrent à couler de ses yeux, silencieusement. A
part les « aïe » qui avaient accompagnés le contact de la main
d’Hélène avec les fesses de Marguerite, cette dernière n’avait proféré aucune
plainte. C’était interdit quand on était au coin.
Bien
que le temps au coin ait duré, la fournaise qui embrasait les fesses de Marguerite
ne s’était pas calmée quand Hélène annonça qu’il était l’heure d’aller au lit.
Elle prit Marguerite par la main et elle la conduisit dans la chambre. Elle
ouvrit les draps, invitant la jeune femme à s’y glisser.
« Est-ce
que je peux dormir sur le ventre ?
–
Bien sûr, ma chérie. Je pense que tu ne vas pas avoir d’autre choix pendant
quelques jours. »
Marguerite
grimaça, mais il était évident qu’Hélène avait raison. Elle s’allongea
précautionneusement sur le ventre, les jambes bien écartées. Le contact de son
pubis irrité sur le drap lui arracha un glapissement aigu. Les larmes lui
montèrent de nouveau aux yeux. Elle souleva son bassin, mais ce n’était pas une
position qui lui permettrait de dormir.
« Ça
suffit, cette comédie ! Tu te couches tout de suite ! »
La
claque qui accompagna cet ordre montrait, s’il en était besoin, qu’Hélène ne
plaisantait pas. Marguerite se laissa retomber sur le lit, serrant les dents à
la douleur que cela provoquait. Elle cacha son visage dans son oreiller qui
absorba les larmes qui commençaient à couler de ses yeux.
Hélène
rabattit la chemise de nuit sur les fesses. Le tissu, bien qu’il soit léger,
irritait les cloques qu’avaient laissées les orties. La couette en rajouta
encore un peu. Des élancements fulgurants traversant les fesses et les cuisses
sans arrêt, un fourmillement continu qui émanait de toute la surface de peau
que les orties avaient visitée et que le contact avec les fesses rendait encore
plus indisposant, une chaleur qui émanait de toute la zone et qui ne diminuait
pas… Marguerite se dit qu’elle ne pourrait jamais dormir dans ces conditions.
Hélène éteignit la lumière.
« Tu
restes avec moi, demanda-t-elle timidement ?
« Chut,
fit Hélène ! »
Elle
avait pris une voix ferme qui ne laissait pas place à l’émission d’un autre mot
de supplication de Marguerite. Il était temps de se taire. Sans rajouter un
mot, Hélène s’assit sur le bord du lit. Sa cuisse frôlait la joue de Marguerite.
Elle glissa sa main sous la couette, elle trouva le chemin sous la chemise de
nuit et elle commença un léger massage des fesses.
Marguerite
ne put ravaler un gémissement.
« Silence,
gronda Hélène ! »
Là
où passait la main d’Hélène, la douleur devenait plus aiguë, mais elle
s’apaisait ensuite. Marguerite serrait les dents, mais pour rien au monde elle
n’aurait voulu que la caresse cesse. Peu à peu elle se détendit. Elle était
endormie quand Hélène quitta la pièce.
Marguerite
fut réveillée au petit matin par l’inconfort émanant de ses fesses. Elle ne
supportait plus le frottement du tissu sur sa chemise de nuit. La cuisson de
ses fesses n’avait pas diminué et les élancements étaient toujours aussi
fulgurants. Marguerite rejeta la couette au pied du lit et elle releva sa chemise,
découvrant les fesses. L’air frais la soulagea un petit peu.
« Qu’est-ce
que c’est que ces fesses que je vois là ? »
Hélène
était entrée dans la chambre sans prévenir, comme à son habitude. Marguerite
n’avait pas eu le temps de retrouver une tenue plus décente. Une bonne claque
sur les fesses lui rappela qu’Hélène n’appréciait pas les postures indécentes.
« As-tu
besoin d’une fessée pour comprendre qu’une grande fille comme toi ne se montre
pas les fesses nues ? Sais-tu que quand tu les montres, c’est soit quand je
m’occupe de ton hygiène corporelle ou bien qu’une fessée soit nécessaire ?
Est-ce que c’est ce que tu veux ? »
Marguerite
avait rabattu vivement sa chemise de nuit, dissimulant le plus gros de ses
rondeurs.
« Je
préfère cela ! Lève-toi et viens déjeuner. »
Marguerite
suivit Hélène qui lui tendit la main qu’elle prit avec empressement. Cela
rassura la jeune femme. Sa tutrice n’était pas vraiment en colère. Cela lui ôta
un poids.
« Puisqu’on
parle de montrer tes fesses, viens-ici que je regarde dans quelle état elles
sont. »
Hélène
avait pris place sur une chaise dans la cuisine. Elle coucha Marguerite sur ses
genoux et releva la chemise de nuit. Marguerite ne releva pas l’irone de la
situation. Pour quelqu’un qui était attentive aux comportements pudiques de sa
pupille, Hélène exposait ses fesses bien facilement. Ce n’était pas le moment
de le faire remarquer. Cela aurait été pris pour une insolence dont les
conséquences étaient évidentes.
La
main d’Hélène caressa les fesses. Marguerite gémit et serra les dents.
« C’est
parfait ! Elles sont encore très sensibles. C’est ce qu’il faut ! Je
pense que tu en as au moins pour toute la journée, mais ce ne sera pas
totalement fini demain. Va t’asseoir pour prendre ton petit
déjeuner ! »
Hélène
avait supervisé la toilette de Marguerite. Elle l’emmenait maintenant dans sa
chambre pour l’habiller. Elle fit passer la chemise de nuit par-dessus la tête
de la jeune femme. Marguerite regarda en grimaçant les vêtements qui avaient
été préparés pour elle.
« Approche
que je t’habille ! »
Marguerite
ne réagit pas à l’ordre donné qui lui était donné. Hélène fronça les sourcils.
« Est-ce
que je peux rester en chemise de nuit aujourd’hui ?
–
Il n’est pas question que tu restes en vêtement de nuit toute la journée. Ce
n’est pas une habitude à prendre. Viens ci ! »
Marguerite
ne bougea pas plus qu’à la première injonction.
« Est-ce
que je peux ne pas porter de culotte aujourd’hui ?
–
Depuis quand les jeunes femmes de ton âge ne porteraient-elles pas de
culotte ? Ce ne serait pas une tenue décente. Je t’interdis bien de t’y
essayer une seule fois. »
Marguerite
fit la moue.
« Dois-je
comprendre que non seulement tu désobéis, mais en plus tu me fais un
caprice ? La fessée d’hier ne justifie pas du tout que tu ne dois pas être
habillée correctement. Je sais que le frottement de la culotte sur la peau de
tes fesses ne va pas être facile à supporter. »
La
grimace de Marguerite était éloquente.
« Tu
n’as à t’en prendre qu’à toi-même. C’est à cause de ton insolence que tu as eu
les orties. Tu porteras une culotte comme tous les autres jours ! »
Hélène
porta sa main, paume ouverte à hauteur de son visage. Elle lui faisait faire de
rapides allers-retours dont la signification était claire.
« Par
contre, les caprices… »
Aller
plus loin, c’était la fessée assurée. La culotte serait ensuite remontée sur
des fesses encore plus enflammées qu’elle ne l’était déjà. Inutile d’en
rajouter. Marguerite laissa Hélène l’habiller. La culotte était effectivement
bien difficile à supporter.
Voyons, voyons, Maeva, Teva... ça me dit quelque chose
Eh bien oui ! Nous les avons déjà croisées. Rappelez-vous c'était dans le chapitre 93 d'Axel au supermarché que nous avons fait la connaissance de la jeune fille et, dans le chapitre 98, de sa sœur si sévère.Il faut suivre si l'on veut comprendre, donc avoir lu ce qui a précédé
Voici le début du récit : le chapitre 1
L'épisode précédent : le chapitre 38
Mais, ce n'est pas fini
Y a-t-il une suite ? Bientôt, bientôt peut-être. Allez, je lâche le morceau : c'est sûr, mais il faut attendre la semaine prochaine.
Enfin le retour de Teva, Maeva, Hélène, Marguerite.... ça va se remettre à fesser dans l'immeuble. On n'a pas fini d'entendre des claques, des cris et des pleures ! Merci JLG
RépondreSupprimerAmis de la poésie, nature et découverte, de la fessée aux orties, Bonjour,
RépondreSupprimerBonjour Josip. On a reconnu le père fouettard !
On n'est encore loin du printemps mais on voit bien que la nature reprend déjà le dessus. Colchique dans les prés, promenons nous dans les bois, à la cueillette aux orties... La fessée frottée écologique au végétal, est très tendance en ce moment. Après les fesses de Lucie, dans "Fabien 2" c'est Marguerite, ici, qui se fait effeuiller le derrière à la plante urticante, ça cuit, un peu, beaucoup, à la folie, par dessus tout... Et pas que les fesses, la belle Hélène ne fait pas de détail. Frotti, frotta, entre les cuisses, sur le pubis, et tout le tra, la, la... La mignonnette se fait sonner les cloques avant Pâques.
Etonnant comme la fessée aux orties inspire les auteurs, qui se fendent de descriptions précises, si suggestives qu'on en a le derrière qui pique rien qu'en lisant....
Parole de Dutronc: "Dans mon slip, il y a des cactus !.." Quand même pas!
Amicalement
Ramina