LES BIENFAITS D'UNE STRICTE DISCIPLINE DOMESTIQUE
MADAME DELANIAIRES FESSE .
Robin,
reçoit les premières cinglées avec le second martinet ...les arêtes de ses
lanières carrées sont coupantes et il hurle … Gladys après quelques allers et
retours bien ajustés donne son avis.
– « Ah il n'est pas mal non plus, il cingle
bien, mais je préfère le premier. J'ai l 'habitude de taper fort et
avec celui-ci,
je serais sans doute amenée à lui chauffer le derrière beaucoup trop vite. Je
veux que ses fessées durent longtemps pour qu’il ait le temps de bien les
sentir et de montrer ses fesses déculottées en train de cuire et rougir. Je
vais vous prendre le premier ! »
Elle
desserre les cuisses et, sans ménagement, le laisse s'écrouler sur le parquet. Il s’y tortille aussitôt de douleur en se
frottant frénétiquement le derrière, entièrement strié de traces de lanières cramoisies.
– « Tu
peux te reculotter maintenant ! Dit-elle en l'enjambant sans un regard pour se
diriger vers la caisse. Et bien serré. Il faut que tu ressentes l'effet de ta
fessée jusqu'à la maison ! Les slips à fessées ça sert à ça aussi »
Pendant
toute la durée de la séance d'essai des martinets, la jeune femme au comptoir
s'est occupée à attacher des étiquettes sur le manche des battoirs qu'elle a
accrochés à
un présentoir. Elle a seulement levé le nez de temps en temps pour profiter du
spectacle. Sa tante l’interpelle.
– « Tu vois Géraldine, ce garçon va avoir le
même martinet que toi !
– Ah… bon… Vraiment ? Elle ironise. Il en
a de la chance ! » !
Gladys
lève un sourcil, étonnée du commentaire de la jeune femme qui contraste avec
son attitude plutôt discrète et silencieuse jusque-là.
– Oui,
approche... Ordonne sa tante, qui fait semblant de ne pas avoir entendu,
et dis à Madame Gladys, ce que tu penses des fessées déculottées que je te
flanque avec ? Dis-lui comme il chauffe bien les fesses ? “
Géraldine
s’approche sans hésiter, les yeux pétillants de malice, apparemment peu farouche.
Voire effrontée. Elle a une bonne vingtaine d'années, à peu près l'âge de
Robin.
– Oui tantine ! Il chauffe bien... Avec ça tu
me mets de bonnes déculottées – Contre toute attente, elle ajoute, provocante – Il faut croire que je les mérite.
– Et
ton frère, Sébastien, il s'en prend de
bonnes aussi... des sévères, n'est-ce pas ?
– Pour
ça oui ! Encore plus souvent que moi !
– Donc...
il est efficace ce martinet ?
– Oui,
ma tante, c'est le moins qu'on puisse dire …Il cingle fort.
– Alors
qu’est-ce que tu as à dire à ce jeune homme désobéissant ?
Elle
regarde Robin avec un sourire goguenard et soulève sa poitrine avantageuse d'un
long soupir faussement désolé.
– «
Ben...Qu'il a intérêt à bien préparer ses fesses s'il fait des bêtises – Elle s'adresse directement à lui - Parce les fessées que tu vas recevoir avec ce
martinet, ça te chauffera encore plus le derrière que les fessées à la
main ! »
Robin,
est davantage préoccupé par la cuisson persistante de ses fesses que par la
conversation en cours. Il répond bêtement, pour faire son petit malin, après la
raclée qu'il vient de recevoir devant elle. Du genre : ''même pas mal !'',
alors qu'il a les fesses à la température d'un poêle à bois.
– «
Oui... je sais ...Les fessées au martinet... j'en prends presque tous les
jours !
– On
dit ça, on dit ça ! Se moque-t-elle en riant. D'après ce que j'ai vu, ta
mère n'a pas l'air d'y aller de main morte, alors attends la première
qu'elle va te mettre avec ce martinet... je serai curieuse de voir l'état de
tes fesses ce jour-là ! Tu ne pourras même pas te reculotter ! »
Madame Delaniaires, satisfaite du témoignage de sa nièce,
semble maintenant désireuse de continuer la conversation avec Gladys. Elle
s'est tournée vers elle.
– « Géraldine
sait de quoi elle parle. Elle n'a pas l'air, comme ça, mais c'est une vraie
petite délurée, qui n'a pas froid aux yeux.
Du haut de ses vingt-deux ans, elle en fait voir de toutes les couleurs à sa mère.
Elle, et sa copine Chantal, la fille de Régine Duplessy, avec leur air de petites filles bien sages,
les hypocrites... Je ne vous dis pas ce qu’elles en font voir à leur mère et à
moi...A croire qu’elles ont le feu où je pense toutes les deux ! . Alors,
les fessées avec un bon martinet cela ne manque pas. Les fesses de Géraldine
ont dû essayer à peu près tous ceux du magasin...Il n’y a que cela pour lui
faire entendre raison.
– Mais
qu'est-ce que vous racontez ma tante? L'interrompt brusquement l'intéressée
depuis le comptoir. Madame Gladys n'a pas besoin de savoir tout
ça ! »
Astrid
se retourne d'un bloc, furieuse et fusille sa nièce du regard .
– « C'est
vrai quoi ! Continue la jeune femme, Ce n'est pas la peine de lui raconter
la vie de mes fesses !
– « Non
mais Géraldine, de quoi tu te mêles ! Et d'abord, qu'est-ce que c'est que ce ton ? Et ces
remarques désobligeantes...devant les clients en plus ! Il va falloir que
tu me parles autrement ma petite !... Tu te prends pour qui ? Tu vas voir comment je vais m'en
occuper de la vie de tes fesses... ça va être vite réglé ! »
Elle lance un regard presque amusé vers
Gladys.
– « Voilà ! Qu'est-ce que je vous disais ! Vous avez entendu , la petite
insolente, vous allez voir ce que je vais lui mettre ? Vous avez bien encore un
moment pour assister à sa fessée ?
Robin,
avait tendu l'oreille en entendant prononcer le nom de Chantal. Il savait le
rôle qu'elle avait joué dans l'affaire Bettina qui avait failli provoquer la rupture entre les parents de Maxime. C'est à elle, que celui-ci avait remis la fameuse lettre, à l'origine
du scandale, et qui en avait fait l'usage que tout le monde savait.
Gladys
hésite un moment. Elle projetait de rentrer tout de suite à la maison, pour
prendre le temps de mieux tester le nouveau martinet sur le postérieur de son
fils. La fessée dans le magasin n'avait pas été assez longue pour en profiter
pleinement. D'un autre côté elle avait bien envie de voir l'imposante madame
Delaniaires administrer sa correction à sa nièce. Finalement, elle décide de
rester.
– « Par
contre, toi Robin, je te connais ! Ne compte pas te régaler à voir
Géraldine prendre sa fessée... Tu vas rentrer à la maison en emportant ton
martinet !
– Vous
savez, il peut rester... Au contraire.
Insiste la tante, ça va lui faire du bien à cette petite peste de se
ramasser une bonne déculottée en public. Après tout, elle s'est bien rincé l'œil devant celles de Robin.
– Justement
non. Ça lui ferait trop plaisir de prendre cette petite revanche !
– C'est
bien dommage, mais c'est comme vous voulez Gladys... ça ne vous dérange pas que
je vous appelle Gladys. ?
– Pas
du tout, je vous en prie... Astrid... Maintenant que nous fessons ensemble, on
peut s'appeler par nos prénoms ! »
Les
deux femmes éclatent de rire en même me temps.
Robin
qui n'a toujours pas été autorisé à remonter son pantalon et se tient toujours
les fesses à pleine main, maudit sa mère de le priver du croustillant
spectacle. Il se console en pensant à Chantal, pas mécontent d'apprendre
qu'ainsi, cette petite pétasse a droit maintenant aux fessées au martinet comme
tout le monde...bien fait !
Gladys
a décidé de régler tout de suite. Elle paie et lui donne à porter “son”
martinet , enveloppé dans un joli papier cadeaux façon Noël. Elle met dans son
sac le tube de Dolpic que la maison Delaniaires offre gracieusement pour
l'achat d'une instrument de discipline en cuir.
– « Tu
rentres directement à la maison, et tu prépares tes fesses pour quand je vais
revenir !! »
Madame Delaniaires avec un sourire
moqueur.
– Oh ça
m'étonnerait qu'il aille se balader en ville avec son martinet à la
main ! »
Elle prend soudain un air menaçant en
s'adressant à sa nièce.
--« Toi,
tu prends un des gros sur le comptoir, et tu me ramènes ton gros fessier,
immédiatement ! Je vais t'apprendre à me parler correctement ma
jolie ! »
– Oh ma
tante... S'il vous plaît pas devant tout le monde ! »
Les
mains sur les hanches Astrid la toise du regard en souriant. Elle tapote le sol
du talon aiguille impatient.
–«
Je vais me gêner tiens ! Bien sûr
que si devant tout le monde... et, déculottée même ! Une fessée déculottée
est toujours meilleure quand
elle est donnée en public ! ».
Elle lance un clin d'œil complice en direction de Gladys.
– « N'est-ce pas chère amie que les
fessées en public sont plus efficaces ?
– Tout à fait ! Rien de plus savoureux qu'une bonne
déculottée bien humiliante administrée entre amies ou devant un public
d'inconnus. Je ne rate jamais l' occasion. Comme celle qui vient de se
présenter avec Robin. Ça lui fait le plus grand bien.
– .Alors vous voyez !... Vous devriez
restez là, avec lui, pour bien regarder comment je vais faire danser les belles
fesses toutes rouges de Géraldine … Et j'y pense, voulez-vous un thé en attendant la
représentation?... Oui ? Mon mari va nous préparer ça... Norbert ?
Viens ici, tout de suite ! »
Madame est
aussi autoritaire que son mari est discret.
Norbert apparaît à la porte de son atelier et, sans discuter, se dirige
vers la cuisine.
Devant l'assaut d'amabilité, Gladys n'hésite
pas très longtemps et finit par accepter. Après tout, elle a toujours trouvé
très bénéfique pour Robin, qu'il assiste à des séances de fessées. Ne serait-ce que pour lui faire
mesurer pleinement l’effet d'une
bonne correction comme celles qu'il reçoit régulièrement. Ce n'était pas dans cette perspective que le garçon se réjouit intérieurement
du changement d'avis de sa mère. Il savait, que de toute façon, il aurait sa
deuxième raclée au martinet de retour à la maison.
– « C'est parfait ! Vous n'allez
pas le regretter ! »
Se réjouit Madame Delaniaires que la
perspective d'une séance de fessées rendait aussi enthousiaste que le jour de
l'achat de sa première paire de bas nylon. Il faut dire que l'ambiance
particulière de la boutique, emplie de martinets, et d'une odeur entêtante de
cuir neuf, rendait omniprésente une excitante atmosphère de discipline
domestique.
– « Maintenant vous allez voir, Poursuit la forte femme en saisissant sa
nièce par l'oreille. Balançant
exagérément des hanches sur ses hauts talons, elle la trimballe triomphalement
jusqu'au milieu du magasin pour lui mettre le derrière bien en vue.
– Vous
allez adorer ! Les fessées que je flanque à Géraldine sont toujours très
spectaculaires. Mademoiselle à une de ces paires de fesses. Elle ricane. Pour
ça, il y a de quoi faire, ses slips sont toujours bien remplis! N'est-ce pas ma mignonne ?...
– Oui ma tante... C'est... C’est vrai.... Ouille !... Mon
oreille.! . Vous me faites mal ! »
Elle se tortille au bout des doigts de la
pétulante fesseuse qui la tire fermement vers le haut, l'obligeant à suivre le
mouvement en se dressant sur la pointe de ses talons aiguille.
– « Ce n'est rien à côté de ce qui
attend tes fesses ma chérie ! Parce
que maintenant... je vais t'administrer la bonne fessée au martinet que tu as
méritée pour te punir de ton insolence ! »
La jeune femme, sachant qu'il ne servirait à
rien d'implorer une quelconque clémence, semble accepter sa punition avec
fatalité.
– « Oui ma tante ! La fessée au
martinet ! La bonne fessée au martinet …que j’ai …méritée... Et je sais... Vous allez me faire
danser les fesses avec...je le sais bien ...mon gros derrière tout rouge de
vilaine fille... ! »
– « Voyez
comme l'annonce de la fessée la rend déjà moins fière. Tout juste si elle ne la
réclame pas ! Dit la tante en s'adressant de nouveau à Gladys. C'est
qu'elle les redoute mes fessées... Et elle a bien raison. Elle sait que tante
Astrid fesse dur et adore ça …
– C'est bien naturel, il faut aimer ce qu'on
fait ! Dit Gladys, assise sur le tabouret, pour assister à la correction – Pour être efficace, une
fessée au martinet ça doit cingler fort.
– Justement, vous parlez d'efficacité... Un
derrière ça se prépare ! J'ai l'habitude de le lui chauffer d'abord à la
main. Comme dit votre amie Bettina, qui vient ici de temps en temps, une fessée ne commence vraiment que lorsque les
fesses sont écarlates, après une bonne déculottée préliminaire ! »
Robin,
le pantalon aux chevilles, sanglote,
toujours debout à côté de sa mère. Indifférente à sa douleur, elle tient
délicatement dans sa main, la tasse de thé sur sa soucoupe que Norbert lui a
apportée avec respect et précaution.
Géraldine est devenue un peu pâle, mais
garde un petit sourire en coin pour ne pas perdre la face devant tout le monde.
Elle sait ce qui attend ses fesses, mais, rebelle jusqu'au bout, n'en est pas
encore au stade de regretter son attitude vis à vis de sa tante dont elle
connaît pourtant l'extrême sévérité. Chaque séance de fessées est une épreuve
de force entre les deux femmes, dont Astrid finit toujours par triompher,
malgré l'âpre résistance du derrière de sa nièce. Elle adore claquer son beau
fessier récalcitrant qui satisfait à son plaisir d'administrer de longues et
cuisantes fessées.
– « Allez, l’insolente...
Position, fesses en l'air !! »
Ordonne-t-elle en
courbant Géraldine devant elle pour la faire venir s'encastrer entre ses
jambes. Elle a retroussé sa jupe sur ses hanches pour faciliter le mouvement.
Les talons aiguille claquent sur le sol pendant la mise en place.
– « Je vais la fesser dans la même
position que celle que vous avez fait prendre à Robin tout à l'heure. C'est
aussi une de mes préférées ! »
Dit-elle en
resserrant ses fortes cuisses sur la tête de sa nièce qu'elle écrase sous son
plantureux fessier. Le revers noir de ses bas nylon crisse sur les joues de la
jeune femme où s'incrustent aussi ses boucles de jarretelles. Elle glisse ses
doigts sous l'élastique de son slip, de chaque côté des hanches, et la déculotte en un habile tour de main.
Libéré de l'étreinte du nylon, l'opulent fessier rebondi de Géraldine semble
s'épanouir, complaisamment exposé au regard sévère de l'impitoyable fesseuse
comme aux deux témoins.
– « Voyez Gladys, c'est comme ça
qu'elle doit me présenter ses fesses pour recevoir sa fessée dans les
meilleures conditions !
– Vous avez raison, c'est une excellente
position et je vois qu'elle est bien dressée, elle s'y met pratiquement toute
seule !
– Pour ça oui, elle est habituée... Elle
s'en prend tellement par sa mère et moi... Ricane la tante. Ses fesses sont
devenues si endurantes qu'on n'est pas trop de deux pour bien les corriger...
Tends les mieux que ça s'il te plaît !
»
Exigeante la
tantine, elle tient à lui faire prendre la position qu'elle estime la meilleure pour bien lui claquer
sa fessée. Reins creusés, slip à mi cuisses, jambes fléchies, fessier
parfaitement arrondi, tendu à disposition de la main qui va claquer dessus.
Consigne impérative de la maîtresse femme : garder la posture pendant toute la durée de la correction, sous
peine de fessée supplémentaire.
Un grand classique chez les adeptes de stricte discipline.
– « Prête pour ta séance d'échauffement
Géraldine ? »
Une
voix étouffée sort d'entre ses cuisses .
,-- Oui
ma tante... je suis prête... pas trop fort s'il vous plaît... »
Astrid
s'amuse de la requête inutile et commence une magistrale fessée qui retentit
avec éclat dans tout le magasin. Soucieuse de bien préparer le derrière pour la
fessée suivante au martinet, elle
fesse avec application, comme elle en a l'habitude, en prenant soin de
varier la cadence des claques qu'elle fait pleuvoir sur les fesses de sa
nièce. Méthode efficace pour que celle-ci ne puisse d’aucune manière les
anticiper. Tout en allongeant
les cuisants allers et retours
elle ne cesse de morigéner la jeune femme, qui
commence à trépigner sur place, agrippée aux colonnes charnues des cuisses
gainées de nylon.
– « Alors ? Petite insolente ! Tu
la sens bien cette fessée ? Et tes fesses... Tu sens aussi comme elles te
cuisent ? Tes grosse fesses d'arrogante ?
Et c’est loin d’être fini !! Je
vais t'apprendre moi à parler correctement à ta tante ! Et présente les
mieux tes fesses ! Mieux que ça encore ! Bien en l’air ! Allez la fessée... La
bonne fessée déculottée ! Je te garantis que tu vas t’en souvenir de celle-là ! Hein, qu’est-ce que tu en dis ?
– Je... Je dis que vous tapez trop...
trop fort ma tante !!! Commence à gémir la jeune femme... ça fait très mal !
– Voyez-vous ça... ça fait très mal ! Depuis quand une fessée
ça ne fait pas mal ? Comme si tu n'étais pas habituée... Et c'est juste un
petit échauffement en attendant la
fessée au martinet ! Je vais
t’apprendre le respect moi ! A ton âge on respecte sa famille... Sinon ...C'est
la fessée déculottée ! »
Géraldine,
en souffrance, était bien incapable de répondre quoi que ce soit. Dès le début de la fessée elle avait
commencé à émettre, en continu, des petits cris plaintifs qui rythmaient les
claquées. La tête serrée dans l'étau des cuisses qui lui mettaient les joues en
feu par le frottement continu des bas nylon, elle avait du mal à reprendre sa
respiration et s’étranglait à moitié. Elle parvenait cependant à ne pas lâcher
le martinet que sa tante Astrid lui avait ordonné d'apporter pour sa fessée
suivante.
Au bout d’un quart d’heure de ce traitement,
elle avait les fesses rougies à point . Malgré sa volonté de résister et la présence de Gladys et Robin qui ne
perdaient pas un miette du spectacle, elle s'était mise à pleurer bruyamment
sans retenue possible.
A voir la mine
réjouie de Madame Delaniaires, et sa détermination à claquer le derrière,
qu'elle avait sous la main, il apparaissait nettement qu'elle aimait flanquer
des fessées. Les claques sur le fessier rebondi, bien exposé à sa main,
faisaient un bruit éclatant qui emplissait la boutique tout entière, et
témoignait de la sévérité de la fessée. Elle y mit fin presque à regret. d'un
fulgurant aller et retour sur chaque fesse ;
– « Vous
avez vu comme elle les prend bien ses fessées ? » Dit-elle en
desserrant les cuisses pour la libérer.
Géraldine se
laisse glisser à genoux aux pieds de sa fesseuse , son slip entre ses
cuisses est tendu à craquer. Une de ses jarretelles a sauté. Elle a les joues
presque aussi rouges que ses fesses. Les larmes aux yeux, les dents serrées,
elle veut garder encore un peu de dignité et, malgré l'atroce cuisson de son
postérieur sévèrement corrigé, se retient encore pour ne pas manifester sa
honte et sa souffrance. Elle sait que sa tante va de faire un plaisir
de continuer sa démonstration d'autorité. Surtout devant un public aussi averti
que Gladys, dont la réputation de fesseuse expérimentée n'est plus à
faire.
– « Alors
ma chérie... comment sens-tu tes fesses après ce petit tour
d'échauffement ? S'amuse-t-elle en la toisant du haut de son imposante
stature. Tu l'as trouvé comment ta fessée...Hein ? Dis-moi que ton
derrière en a bien profité au moins...
Je suis certaine que Gladys brûle d'envie de le savoir... Elle rit.
Géraldine,
loin d'être idiote, sait qu'elle n'est pas en position de contester. L'heure
n'est plus aux fanfaronnades.
– Oh
oui ma tante ! Pour ça, il en bien
profité... vous avez encore tapé fort... qu'est-ce que ça cuit !
– C'est
parfait... Nous allons pouvoir passer à la fessée au martinet. Mais auparavant
… Robin, au lieu de t'esquinter les yeux
à regarder les fesses de Géraldine se tortiller, rend toi utile et apporte moi
le tube de Dolpic qui est sur le comptoir ! »
La
jeune femme sursaute et se tient les fesses à deux mains comme pour se les
protéger à l'avance de l'application du terrible baume chauffant. Cette fois ci
elle ne peut dissimuler sa crainte.
– « Oh
non ma tante... pitié ! S'il vous
plaît pas la fessée au Dolpic ! Je vous en prie !
Ça fait
trop mal !!
– Aaah
on fait moins la fière maintenant hein ? C'est fini le petit ton arrogant
de tout à l'heure ! Elle la relève
et la courbe sous son bras, ses fesses enluminées tournées vers Gladys et Robin
qui savourent le spectacle sans vergogne.
– Roaaah
non... Pitié ma tante... pas le Dolpic ! Pas le Dolpic !!
Astrid
se régale et insiste avec jubilation.
– «
Mais si ma chérie ! Mais si ! Une bonne friction du derrière avant de
recevoir le martinet , après la bonne fessée ce que tu as déjà reçue, je
pense que cela te corrigera très bien !
– Et
autre avantage du Dolpic, intervient Gladys, ça empêche d’avoir trop de marques
sur les fesses après une correction.
– Tout
à fait ... reprend Astrid. Et ça sera
plus agréable de les retrouver en bon état si sa mère décide de lui flanquer
une nouvelle fessée ce soir, ou moi demain ! ».
Elle
saisit le tube que lui ramène Robin après un aller et retour claudiquant du comptoir au milieu du magasin. Malgré son
pantalon toujours baissé, il a presque oublié la déculotté que sa mère vient de
lui flanquer il y a une demi-heure.
– « Pitié
ma tante ! gémit Géraldine qui
lâche prise progressivement. Pas le Dolpic sur les fesses ! S'il vous
plaît,...
– Mais
qu'est ce qui te fait croire que je vais t'en mettre sur les
fesses ? » Ironise la tante.
Elle a débouché le tube de pommade et s’en
enduit soigneusement la paume de la main droite. Elle jubile intérieurement en
annonçant la suite. ;
– « Tes fesses ne sont pas encore assez
rouges ma chérie, j’estime qu’il te
faut encore une bonne fessée à la main, avant la suivante au martinet ! »
La
malheureuse a à peine le temps de bredouiller quelques protestations, que sa
tante, intraitable, l'attrape par une oreille, la force à se relever et la traîne vers le
tabouret de discipline ou elle l'installe sur ses genoux.
– « Je vais t'apprendre ce qu'il en coûte de
se montrer insolente avec moi ma petite !
C'est une magistrale déculottée qu'il te faut ! Aller, tends bien tes
fesses ! »,
En
gourmande, elle lui ajuste son slip au milieu des cuisses pour s'offrir une
plus grande surface à claquer et la fessée recommence. Cette fois, c'est avec
la main recouverte de Dolpic, qui lui enflamme les fesses encore cuisantes de
la récente fessée précédente.
Et hop, une nouvelle saison ! C'est déjà la troisième !
Nous retrouvons des protagonistes dont nous avons déjà fait la connaissance précédemment, mais nous allons également découvrir de nouveaux personnages pour lesquels la fessée est à l'ordre du jour.
Que s'est-il passé dans le dernier épisode ? Un trou de mémoire ? Ce n'est pas grave voici là où a commencé la saison, le chapitre 1, et le précédent, c'est le chapitre 27
Pour ceux qui n'auraient pas lu le tout début de la série, la voici : le chapitre 1 de la saison 1
Pour ceux qui n'auraient pas lu le tout début de la série, la voici : le chapitre 1 de la saison 1
Ramina est l'auteur de nombreux récits et commentaires sur ce blog.
Juste retour des choses il attend les vôtres. Ecrivez vos appréciations, vos retours, vos questions ... dans le cadre ci-dessous. Ramina vous répondra.
Bonjour Ramina,
RépondreSupprimerBen dites onc, ça rigole pas chez les Delaniaires !!!
Cinglantes, la traversée !!! Un peu vicelarde, Miss Géraldine !
A l'autodérision, elle ajoute une pointe de cynisme pour bien enfoncer l'aiguille. Pas sympa avec son condisciple d'infortune. Rob' doit en être mortifié. Pensez-donc. Courage, champion ! On l'aura au tournant !
Amicalement. Peter.
Bonsoir Peter,
RépondreSupprimerDans la famille Delaniaires on demande la tante... mais on regrette très vite quand elle décide de s'occuper de vos fesses !!Le nom est bien porté!
Certes, comme tu dis, un peu cynique la demoiselle. Mais "Tantine" va prendre les choses en main et, chacun son tour. Miss Géraldine va être bien servie aussi, et expérimenter un usage du martinet plutôt original... ça sera pour mardi prochain !
Amicalement.
Ramina