Dix minutes s’écoulent comme dans un rêve éveillé, cela a à peine suffit à calmer les sanglots de Lucie qui sont devenus presque silencieux.
- Allez ma fille, nous n’avons pas toute la nuit devant nous et il est temps que tu goûtes aux effets tonifiants des orties, relève-toi et approche.
La malheureuse peine à se redresser, sur un signe de la main de la
maîtresse des lieux, Sylvie et Béatrice se précipitent pour l’aider, la
prennent par les aisselles et l’encadrent jusqu’à ce qu’elle se trouve plantée
devant madame Leblanc, elle est désormais parfaitement domptée et s’empresse de
croiser ses mains sur sa jolie tête presque aussi rouge que ses fesses. Elle
contemple avec horreur les trois bouquets d’orties qu’on vient de finir de
confectionner à son usage et qui reposent sur un guéridon à portée des mains
gantées de notre logeuse.
- Mets- toi à plat ventre sur mes cuisses chipie.
C’est fait, Lucie, non sans mal est parvenue à s’installer comme on
vient de le lui ordonner, sa bourrelle la cale en avant en lui arrachant de
petits cris de douleur quand elle lui touche son flanc droit sur lequel les
lanières se sont égarées en bout de course, de sorte que ses pieds ne reposent
plus à terre, j’observe que pour assurer un peu mieux son équilibre, elle serre
de ses menottes les pieds de la chaise sur laquelle repose la forte corpulence
de celle qui s’apprête à la supplicier à nouveau. La lumière crue distillée par
la lampe d’appoint me fait découvrir à nouveau les fesses de ma cousine, qui
ont par endroit d’ores et déjà virées au violet.
La mère Leblanc en fesseuse confirmée sait que sa
« patiente » va avoir du mal à conserver la position qui lui est
assignée et la ceinture de son bras gauche, prend un bouquet d’orties et appuie
son coude à mi-dos. Les fesses de Lucie se resserrent étroitement le long de la
fente fessière et font bloc en prévision de la frottée, notre logeuse lève son
bras à mi-hauteur, mais ne frappe pas avec vigueur, elle vient frôler les
fesses, les cuisses, les mollets, ensuite elle relève légèrement sa victime
pour que sa poitrine soit aussi touchée.
Sur l’instant,
Lucie ne montre aucune réaction, au second passage du sommet de la croupe aux
chevilles, elle commence à remuer, arque son dos et pousse de petits cris,
madame Leblanc renouvelle l’opération, cette fois elle donne des coups plus
francs, plus appuyés, en insistant sur certains endroits, elle l’oblige de sa
main à écarter largement ses jambes, nous donnant une nouvelle fois la vision
terriblement affriolante de son entre-cuisses et lui passe à plusieurs reprises
les orties à l’intérieur de sa raie culière, sans oublier son sexe glabre.
La peau qui vient
d’être « caressée » par les feuilles rosit à travers les zébrures du
martinet toujours bien visibles, à mesure que le bouquet se promène sur le
corps, à présent c’est tout le dos qui y a droit, nous apercevons que de
petites cloques se forment sur l’ensemble de la zone punie.
Lucie craque
progressivement, ses gémissements se transforment en cris de plus en plus vifs
et elle commence à supplier qu’on cesse de la tourmenter ce qui laisse bien sûr
notre hôtesse de marbre, au contraire, elle la remet sur ses pieds
Le spectacle est
d’autant plus de qualité qu’il est rare, j’ai subi cet abominable traitement
devant les pensionnaires à plusieurs reprises et Kevin y a eu droit
également, mais c’est la première fois
que c’est une fille qui en est la victime, de plus pour ajouter à l’attrait de
la torture, car après une fessée au martinet, à la règle, voire à la baguette,
c’est véritablement de cela qu’il s’agit, la victime est entièrement nue et
épilée ! je me répète, mais il y a du drap mouillé dans l’air, sans parler
des culottes.
Les orties
maniées avec adresse par notre tutrice sur le corps tourmenté, je n’ose écrire
supplicié, qui n’épargne aucune partie de chair, vont laisser des souvenirs
cuisants durant pas mal de temps, au moins quarante-huit heures, sinon
davantage, la brûlure sera permanente, très difficile à endurer, puis elle
s’atténuera progressivement, restant toutefois présente, lancinante, à chaque
fois que les mouvements du châtié amèneront l’épiderme meurtri au contact d’une
matière quelconque et cela durant trois ou quatre journées, la souffrance,
certes largement atténuée au fil du temps, restera présente, elle rappellera le
souvenir de la punition initiale et ses motifs et compte que tu ne seras pas
près de recommencer les mêmes erreurs. Dans l’idéal, il faudrait rester nu, le
temps que les brûlures s’estompent, ce qui ne va évidemment guère être
possible.
Avant qu’on la
redresse, Lucie ne se débattait pas vraiment, mais ses pieds battaient
irrégulièrement ; se croisaient, elle commençait à écarter ses cuisses,
avant que madame Leblanc l’oblige à ouvrir au maximum son compas, j’observais
que sa tête dodelinait et que les sanglots commençaient à poindre, alors que
son bassin bougeait à peine au contact des bouquets urticants, elle avait
seulement un petit geste instinctif de retrait.
Elle est à
présent debout face à sa bourrelle, les mains croisées sur sa tête et elle
sanglote à gros bouillons.
- La même chose
devant et ce sera terminé.
- Oh non pitié,
pardonnez-moi, madame Leblanc, c’est trop dur, je n’en peux plus, pas ma poitrine,
je vous en supplie.
Tu parles que
cela ne trouble guère notre logeuse, elle lui caresse à présent le haut du
devant de ses cuisses à l’aide du second bouquet, dessinant trois longues
lignes de cloques qui les barrent sur toute leur largeur, l’effet est quasi
immédiat, les hurlements et les pleurs redoublent.
Je me dis que
Lucie doit prendre beaucoup sur elle pour ne pas s’enfuir, car à présent la
main qui lui entoure la taille ne la retient que symboliquement. Madame Leblanc
sent cependant qu’elle est au bout de sa résistance et lui glisse avant de
terminer son ouvrage.
- Tiens-toi
tranquille, tu sais ce que tu risques, si tu bouges, je te flanque à la porte
et tu te débrouilleras avec ta mère, il convient que tu te souviennes longtemps
de cette punition, sache que ta correction ira à son terme.
Les orties sont à
présent passées sur les seins, le ventre et le pubis de ma cousine, y laissant
des traces que je sais pour l’avoir cruellement vécu, extrêmement douloureuses,
d’une petite tape, on l’incite à écarter à nouveau les cuisses aux fins que les
feuilles urticantes puissent bien frotter sur la chatte chauve, voire la
pénétrer, sans parler de son clitoris qui doit y avoir droit également.
Là, Lucie n’y
tient plus, elle se met à hurler de plus belle et saute sur ses pieds.
- Calme-toi ma
belle c’est terminé, continue à faire la folle et je t’en remets une couche.
Madame Leblanc
s’est remise debout et elle traîne la malheureuse par l’oreille jusqu’à la
cloison que nous avons surnommé entre nous le mur des lamentations.
Ma cousine qui on
ne sait comment, a réussi à garder ses mains sur la tête, suffoque à présent,
hoquette même, mais se laisse néanmoins entraîner jusqu’à son lieu de
pénitence.
- Tu vas y rester
une demi-heure, je t’épargne l’agenouillement, mais je suis trop bonne, le
temps de méditer sur tes fautes et que je ne te vois pas sautiller ou te
tordre, sinon tu auras droit à une nouvelle fessée qui risquerait de faire
éclater les cloques. Lucie, cette frottée ne doit pas te faire oublier comment
on doit se tenir au coin. Resserre tes jambes ! Je les veux bien
jointives, comme d’habitude. Et cesse de pleurer bruyamment ! Si je te
mets au coin, c’est pour que tu t’y fasses oublier, pas pour que tu empêches
toute conversation. Silence tout de suite !
Je revois
parfaitement la scène, la poitrine de Lucie est toujours soulevée par des
sanglots, mais ils sont maintenant plus ténus, presque silencieux, jusqu’au
moment où après un long moment, interminable, que nous avons passé à diverses
occupations, tout en zieutant en douce, la pénitente, notre logeuse nous dit en
tapant dans ses mains.
- Allez, tous au
lit, j’espère que la démonstration a été salutaire et surtout exemplaire, allez
Lucie, c’est fini, je ne te garderai nulle rancune, tu as payé tes fautes, on
n’en parlera plus, viens me demander pardon.
Elle doit boire
le calice jusqu’à la lie, après tout ce qu’elle a subi, il faut à présent
qu’elle aille à Canossa et s’excuse !
Elle va
s’exécuter, elle n’a pas d’autres choix et elle se retourne, marchant à petits
pas, la démarche parfaite du canard, nous dévoilant une nouvelle fois son
visage ravagé par les larmes et la souffrance toujours bien présente.
- A genoux et tu
me baises les mains pour les remercier de t’avoir châtiée pour ton bien, j’espère
que tu n’en doutes pas ?
C’est l’ultime
humiliation, la mère Leblanc ne l’avait jamais fait avec aucun de ses punis,
cela emporte ma conviction que pour je ne sais quelle obscure raison, elle
déteste Lucie et fera tout non seulement pour la mater, la soumettre, mais pour
l’abaisser définitivement, ce qui me semble bien pire.
Cette dernière
n’a pas le choix et quitte à rendre gorge, elle va aller jusqu’au bout de la
mortification, elle se traîne jusqu’aux pieds de celle qui la si durement
corrigée, s’agenouille et glisse d’un ténu son de voix entre deux sanglots
rentrés « merci madame Leblanc de m’avoir châtiée pour mon bien ».
- Répète, je veux
que toute l’assemblée entende ta contrition.
Ma cousine n’en
est plus à ça près et elle s’exécute, toujours avec des trémolos qui l’empêche
d’articuler convenablement, on veut bien s‘en contenter et accepter le baiser
qu’elle donne à la main qui l’a si sévèrement battue. Je vous garanti que c’est
un grand moment, nous sommes tous complètement pétrifiés, pour ma part, j’en
suis même gêné, ma cousine m’a fait subir bien des tourments, mais là c’est too
much, mais elle se prend pour qui la mère Leblanc, ça lui est monté au cerveau
cette autoritarisme, je me demande si je rapportais l’intégralité de cette
soirée mémorable à ma mère et à sa sœur, si elle ne trouverait pas que l’on
tombait dans l’excès et que l’éducation rigoureuse et les châtiments corporels
qui allaient avec, avait ses limites et qu’on les avait franchies, j’espérais
que dans la foulée nous échapperions tous les deux à la férule de notre
impitoyable logeuse, je me réservais d’échanger à ce sujet avec Lucie qui était
au moins aussi concernée que moi.
- C’est bien ma
fille, tu es pardonnée, tu peux aller te coucher, même si tu vas avoir du mal à
trouver le sommeil, mais rassure toi, au final les orties feront du bien à ta
jolie peau.
Pour l’heure,
elle se relevait difficilement, étrangement elle tremblait et semblait avoir
froid, après avoir eu terriblement chaud aux fesses et ailleurs, encouragé par
une mimique de la mère Leblanc, je m’approchais d’elle, la prit dans mes bras
et l’habillais sommairement des fringues que me passaient Julie.
Je conservais son
slip et son sous-tif en me disant que le seul contact avec sa jupe et son pull
serait déjà très rude. Elle est complètement tétanisée la pauvresse et c’est
Béatrice qui doit lui passer ses chaussures et lui poser sa doudoune sur les
épaules, elle s’appuie sur moi et marche à petits pas, les cuisses largement
écartées, complètement ridicule, on dirait une petite vieille, encore heureux
qu’elle ne dépasse guère les cinquante kilos, car la montée de l’escalier qui
mène à notre appartement est spécialement délicate.
Enfin arrivés à
bon port, à peine la porte refermée, elle s’effondre dans mes bras et se remet
à pleurer presque silencieusement se soulageant en me faisant le récit de ses
souffrances, narrées plus avant, comme si je n’en avais été le témoin.
Lucie rhabillée
au minimum, sans sous-vêtements avait du mal à marcher, se tenait les cuisses
largement écartées en répétant sans désemparer « oh la salope, putain que
ça fait mal, jamais comme ça, jamais je n’ai autant morflé », ressassait
pour elle à mi-voix, le déroulement de sa terrible correction « la garce,
la fessée, plus la baguette, plus les orties, c’est vraiment trop »,
tandis que je l’aidais à prendre une douche très tiède pour ne pas irriter
davantage une peau que je découvrais presque entièrement marquée, entre les
zébrures du martinet et les cloques, avec de petites bandes de peau blanchâtres,
causées par le frottement des orties, il n’y avait guère de parcelle de chair
intacte, seuls sa figure, encore heureux, son cou, ses bras et le devant de ses
mollets avaient échappés au massacre..
- Bon Dieu, les
premières minutes sont horribles. Rien ne semble vouloir faire diminuer le
fourmillement qui emporte tes fesses et tes cuisses. Il est continu, uniforme
et une chaleur intense rayonne depuis ton cul (je sais qu’elle va devoir
patienter plusieurs heures avant d’en noter une diminution). C’était comme si
des centaines d’aiguilles te piquaient la peau toutes en même temps et cela
continuait sans fin.
De façon
discontinue, imprévisible, mes fesses étaient parcourues d’une douleur plus
aiguë qui les traverse dans un sens, puis dans l’autre, s’arrêtant, puis
reprenant, disparaissant là pour renaître un peu plus loin. C’est incessant,
cela dure, je pensais que je ne parviendrais pas à rester sinon immobile, du
moins à ne pas trop remuer.
C’était
difficile, mais Lucie y était parvenue. Tout était possible pour éviter une
nouvelle confrontation avec les orties.
-Mes cuisses
jointes étaient maintenant le centre de la douleur. Même en restant immobile
comme c’était la règle au coin, elles frottaient légèrement l’une contre
l’autre, provoquant à chaque fois des ondes de douleur.
- Allez c’est
fini ce gros chagrin, je vais m’occuper de toi et ça va aller mieux, je vais te
repasser sous la douche, ça éliminera les pointes résiduelles de ses saletés
d’orties et cela te fera du bien, ensuite, je te passerai de la Biafine,
d’accord.
Elle me donne son
aval dans un murmure entre deux sanglots. Je dois dire qu’au-delà de la
compassion et de la vraie tendresse que je ressens en ce moment pour ma
cousine, je me réjouis perversement d’avoir son joli corps nu à mon entière
disposition, elle ne s’est pas privée de son côté pour faire du mien tout ce
qu’elle voulait, y compris d’user de mon engin comme une sorte de sex toy et de
m’introduire ses doigts dans mon fondement.
Elle est trop
abattue par ce qui vient de lui arriver pour ne pas s’abandonner complètement à
mes soins et je ne prive pas de lui caresser les seins avec le gant de
toilette, pareil pour ses fesses qui sont si tuméfiées que j’ose à peine passer
le bout de mes phalanges dans sa raie, en revanche, je peux laisser libre court
à ma lubricité concernant sa chatoune mignonne qui n’a pas été sollicitée par
les lanières du martinet, ni les claques, mais que n’a pas ménagée le bouquet
d’ortie, la peau de son pubis est complètement boursouflée et parsemé de
petites cloques, je profite de l’occasion pour lui glisser mon doigt à
l’intérieur de bas en haut à deux reprises.
Là, tout de même,
elle réagit.
- Dis,
tu ne trouves pas que tu profites un peu de la situation.
- C’est comme tu
veux, si tu ne veux pas que je te touche, on ne parle plus de la Biafine, c’est
dommage car c’est souverain pour soigner les brûlures.
- Non, ça va,
oublie, je te remercie de t’occuper de moi, je ne t’aurais pas cru si
attentionné, mais n’exagère tout de même pas.
- Sûr qu’après
tout ce que tu m’as fait subir, tu ne pouvais imaginer que je serais aussi
compatissant, non ?
- N’en parlons
plus, veux-tu, disons que je regrette, j’ai été méchante, ça te va ?
- C’est déjà ça,
mais nous en reparlerons, tu ne crois pas que je vais passer l’éponge sur
toutes ces avanies et le mot est très modéré, avec deux mots d’excuse. C’est
bon, tu es bien sèche à présent, viens t’allonger sur ton lit et enlève ton
peignoir de bain, tu sais tu n’as plus rien à me cacher à présent, non plus
qu’aux autres pensionnaires, on a tout vu et nous te connaissons désormais par
cœur, y compris au plus intime de ta personne. Ah, non, tu ne vas pas te
remettre à chialer.
Du coup pour la
consoler, je la couvre de petits bisous y compris sur sa bouche qu’elle ne me
refuse pas.
Amis de la poésie, de la fessée ortie-colle, et la santé par les plantes... Bonjour...les survivants.
RépondreSupprimerBonjour Serge.
Que voilà un chapitre qui ne manque pas de piquant! Vous avez aimé la soupe aux orties, vous allez adorer la dégelée aux plantes urticantes du même nom !
La " Mère Le Blanc" n'y va pas avec le dos de la feuille. Après une terrible série de fessées, à la main, au martinet, à la règle, elle passe à l'Ortie-culture et te vous met l'Emilie punie, en cloques... recto-verso, intérieur-extérieur.
Ouille, ouille ouille... ça brûle, ça pique et pique et co...latéral. Parce qu'on ne peut pas dire que l'amie Emilie se soit, auparavant, montrée très douce avec son cousin Fabien. Le petit revanchard en profite d'ailleurs, à la fin, pour lui tripoter la boîte à miel, et mettre le doigt à l'intérieur de ce qu'on ne voit pas en vitrine. Après le carnage, le chantage! Excursion digitale dans la forêt zônienne, sinon tintin pour la Biafine à calmer les boursoufflures aux fines herbes! Pas un pour rattraper l'autre!
Il convient de souligner la précision et le réalisme des descriptions habilement écrites qui conduit l'imaginaire du lecteur vers une représentation très imagée des situations. On chercherait presque instinctivement la pommade adoucissante à la lecture de certains passages particulièrement explicites. Comme la pénible impression d'être assis sur une poignée d'Orties.
Après un tel traitement, que peut on attendre d'une " Mère Leblanc", technicienne de surface à l'ortie blanche? La fessée au gant de crin ?
On en frémit d'avance!
Cordialement
Ramina
Fabuleux, très bien raconté. C'est dur à dire, mais étant moi-même du sexe de notre ami Fabien, j'ai souffert pour lui, lors des épisodes où il était la victime de cette saleté de Lucie. Aussi, dans ces derniers récits où c'est elle qui devient la victime, j'ai eu du mal à la plaindre. C'est très mal, ce n'est pas charitable, mais je ne pouvais m'empêcher de me dire qu'elle l'avait bien mérité: bien fait pour elle, la vilaine. Comme Fabien , tout de même émoustillé par l'incroyable scène à rallonge, le supplice pour tout dire, j'ai moi été un peu excité! Peut-être changera t'elle de comportement? cela me surprendrait, le naturel revient au galop et il faut dire que Fabien est un voyeur certes, mais très bienveillant. J'ai hâte d'avoir la suite. Que va t'il se passer pour elle dans sa sévère institution scolaire ? Amitiés à tous
RépondreSupprimerMerci à tous les deux pour ces compliments qui me vont droit au coeur, surtout venant de notre exemplaire Ramina qui sait de quoi elle parle et dont je désespère de parvenir un jour à effleurer ses chevilles.
RépondreSupprimerBien sympathiquement .
Serge
Hello, Serge...
RépondreSupprimerJe sais que mon pseudo est équivoque...( pour tout dire ça m'amuse) mais je suis un "il", genre masculin, des pieds à la tête et tout ce qu'il y a entre les deux. Ramina étant le diminutif de "Raminagrobis", le chat de la fable de Lafontaine " Le chat,la belette et le petit lapin".
Bon, ceci dit qu'est ce que vous avez tous (Elena c'est pareil) avec mes chevilles ... J'ai autant de plaisir à vous lire que vous, avec ma prose.
Amicalement
Ramina