Elle m’a regardé d’un air tout à fait pathétique, complètement nue, les cheveux emmêlés, sa mignonne frimousse dévastée par les larmes qui séchaient à peine, elle était véritablement dressée, vaincue, restait les bras ballants, ne cherchant plus à rien dissimuler de son intimité, comprenant intuitivement que c’était vain, tant elle n’avait plus de secret pour notre trio.
- Pitié Fabien, j’ai déjà trop mal, ça me brûle, tu ne peux pas savoir.
- Tu sais bien
que si et tu sembles avoir oublié que tu m’as flanqué une fessée, il n’y a pas
si longtemps, tu avais même pris des photos, il faudra d’ailleurs que tu me les
rendes, avec la pellicule bien sûr, faute de quoi, je ferais circuler les
tiennes, allez, cesse tes jérémiades et viens te mettre en position avant que
je m’énerve.
- Je veux bien
que tu te venges, mais alors pas trop fort, j’ai déjà les fesses en marmelade,
ça me cuit atrocement.
Elle est venue
s’installer sur mes cuisses, résignée à subir son sort et assouplie par les
deux sérieuses corrections qu’elle venait de se ramasser, il est vrai que ses
fesses étaient sinon brûlantes, encore très chaudes. Je l’ai attaquée bille en
tête pour ne pas me laisser attendrir, je bénéficiais d’une super érection
qu’elle devait évidemment sentir contre son ventre.
J’y allais en
désordre, sans l’ordonnancement relativement précis de celles qui m’avaient
précédé, frappant plusieurs fois sur une fesse en divers endroits, m’attaquant
ensuite à ses cuisses graciles, pour revenir sur son fessier, très vite, elle
s’est mise à geindre et a écarté progressivement son compas, je me penchais
sournoisement en avant pour jeter un œil sur sa foufougnette, que j’avais
pourtant eu tout loisir de contempler précédemment, surtout quand Lucie l’avait
contrainte de se mettre dans la position dite « du cul en l’air ».
Il est vrai qu’il
y avait un grand moment que je n’avais pas eu le bonheur d’exercer ce bel
exercice, la dernière que j’avais fessée, c’était Lucie, au début de notre
séjour balnéaire, il me semblait qu’il y avait un siècle. Je ne cherchais
d’ailleurs pas à m’appliquer ni à imiter les fesseuses émérites que j’avais eu
le loisir de regarder faire et par ailleurs, hélas, durement appréhendé leurs
méthodes respectives au détriment de mes fesses dénudées.
Le fessier de
Justine, déjà durement éprouvé par les deux corrections précédentes, avait
rapidement repris la couleur de la fraise écrasée, je songeais à nouveau à ces
fameuses photos que j’avais presque oublié,
il s’agissait de celles de mon arrière-train en fâcheuse posture, après
les deux fessées qu’elle m’avaient administrées, unissant pour l’occasion ses
forces à celle de ma cousine, il est vrai qu’elle ne m’en avait plus jamais
reparlé et j’avais enfoui cette épisode peu glorieux qui succédait à d’autres
qui ne l’étaient pas moins. D’y songer à nouveau me donnait une sorte de rage
et je tenais à faire voir à ma victime la différence qu’il existait entre une
fessée féminine, même bien menée, ce qui avait été largement le cas et celle
infligée par une main d’homme. Justine sous la violence des claques que
j’infligeais à son bas du dos, ne tardât pas à se tordre, sans qu’elle ne
manifeste pour autant la volonté de se dérober aux claques que je lui assénais,
les corrections précédentes l’avaient véritablement démoli mentalement et elle
avait bien intégré qu’une révolte entrainerait des conséquences fâcheuses pour
ses fesses. Je n’avais donc nul besoin d’intensifier la pression de ma main gauche
sur sa taille. Elle avait résisté un moment, j’imagine ne voulant pas me donner
la satisfaction de la voir pleurer, elle gémissait de plus en plus fort,
poussait des cris de douleur de moins en moins maîtrisés, quand ma main
s’abattait sur une partie de ses fesses déjà maltraitée, puis ses jambes se
mirent à battre en tous sens, comme celles d’une gamine et enfin elle cédât et
après quelques sanglots, ce furent les grandes eaux.
Etrangement, elle
pleurait presque en silence, résignée, sachant que cela ne changerait rien à ma
détermination de me venger, ne remuant presque plus, je savais ce que cela
signifiait, j’étais parvenu au bout, continuer à m’acharner sur son cul ne
changerait rien ou alors il aurait fallu que je me munisse d’un instrument coercitif,
le martinet par exemple qui se trouvait au fond du tiroir de la table de nuit
de Lucie voire frapper comme cette dernière l’avait fait sur la chatte ou
l’anus, je préférais m’en tenir là, je passais les mains sur le fessier bien
massacré tout de même par trois fessées consécutives et pas des petites, je
songeais à celle de Lucie qui m’avait semblé particulièrement sévère. Les
fesses et même le sommet de ses cuisses que j’avais également frappées dans ma
première fureur étaient flamboyants, on aurait presque dit qu’elles avaient
gonflé, je crois bien que si j’avais coincé un œuf entre ses fesses, il aurait
cuit !
Hélas, je vais bientôt
avoir d’autres soucis, je m’aperçois que soudainement l’atmosphère vient de
changer, les filles se sont installées sur les deux fauteuils et me regardent
étrangement. C’est Corinne qui embraye.
- Ça c’est fait,
nous avons vengé ma copine et ce n’est pas fini, avec la vidéo qu’on a d’elle,
elle est à notre merci, je la convoquerai à nouveau un de ses jours et elle me
sucera la chatte, la chipie, ça ne t’intéresse pas Lucie ?
- Non, sans
façon, je préfère les mecs.
- Cela n’empêche
pas crois-moi, à ce propos, nous pourrions peut-être bien joindre l’utile à
l’agréable avec ce cher Fabien, dis-moi mon coco, ta non moins chère cousine
m’a dit que tu avais envisagé de me filer une fessée avec son aide, je ne suis
pas sûre que ça me fasse plaisir.
- Non, ce n’est
pas ça, le plan, c’était avec Justine…
- Et je n’en
faisais pas partie ? En plus tu mens comme un arracheur dents, cela te
vaudra des sanctions supplémentaires pour te guérir de ce vilain défaut.
J’étais
atterré, moi qui croyais m’être rapprochée de me Lucie, avoir trouvé une alliée
à tout le moins de circonstances, la garce m’avait trahie.
-
Alors tu avoues tes turpitudes.
-
C’est vrai que j’en avais parlé, mais vaguement, ce n’était qu’une idée en
l’air, après tout, tu étais la seul de nous trois à qui ça n’était pas arrivé,
cela n’aurait été qu’une petite fessée symbolique et puis elle ne t’a pas dit
qu’elle était d’accord.
-
Tu t’enfonces, si elle te l’a dit, c’était pour te piéger et bien sûr tu es
tombé dans le panneau, tu n’as même pas le courage de tes opinions et bien moi,
ce n’est pas une petite fessée symbolique que je vais te flanquer, tu ne vas
pas pouvoir t’assoir d’un bon moment, crois-moi.
Ça
allait être ma fête, moi qui étais ravi de mon début d’après-midi, j’avais
réussi à me venger de Justine, tout en conservant un espoir de la revoir, c’est
en tout cas l’impression que j’avais eu sur la fin, celle de m’être enfin
comporté en homme et peut-être n’attendait-elle que ça, je tombais de
haut !
-
Allez, approche que je m’occupe de ton cas.
-
Il n’en est pas question, c’est fini ces manières, tu peux faire une croix
dessus, je m’en balance de tes vidéos de merde.
-
Bien, si tu le prends comme ça, allons-y, tu me passes ton ordi ma chérie, on
va publier tout ça, y compris les dernières de Justine, on va arroser grave, y
compris et surtout l’école, cela fera plaisir à tes futures copines de te
découvrir en train de te ramasser une fessée par deux filles, surtout que je te
rappelle que tu parais tout à fait consentant, le spectacle va combler tes
nombreuses admiratrices, puisque Lucie me dit que tu joues désormais les Don
Juan.
C’était
horrible, c’est vrai qu’en faisant mon bravache, je n’avais pas envisagé toutes
les conséquences de la mise en ligne de cette vidéo, j’étais coincé, je ne m’en
sortais pas et je ne voyais pas ce que je pouvais faire, sauf à me débrouiller
pour disposer d’un film similaire de ces deux pouffiasses, ce qui
n’apparaissait tout à fait simple.
-
Je pourrais déposer une plainte, vous n’avez pas le droit de faire ça.
- A
ton aise, cela fera encore un peu plus de publicité et nous nierons être les
auteurs de la diffusion, qu’on fera bien sûr avec ton propre ordi, les flics
penseront que comme tu parais totalement consentant, tu es un pervers et que tu
as mis ça en ligne pour te faire mousser, compte comme tu veux, tu es coincé
mon pauvre vieux, allez, ça suffit, asses tergiversé, la punition va être à la
hauteur de ta rébellion, allez, mets-toi tout nu et vite, car tu n’es pas au
bout de tes peines crois-moi.
Elle
avait raison, j’étais pris au piège, je jetais un regard désespéré à ma cousine
qui faisait semblant de n’être pas concernée, genre, moi j’ai eu un début de
vengeance avec Justine, mais je veux me payer Anaïs, toutes vos histoires ne
m’intéressent plus guère, ce sont des enfantillages, tout juste si elle
n’envoyait pas ; les fesses de Fabien et le reste, je connais par cœur, ça
va comme ça.
Je
n’avais pas d’autre choix que me déshabiller, apparemment Corinne n’était pas
lassée de me voir nu et de me tourmenter, une fois en slip, je me présentais
devant elle.
-
Tu fais des progrès mon petit Fabien, tu as compris que c’était à moi de te
baisser ta culotte et que j’y prenais un petit plaisir coquin, voilà qui est
fait, mais toi aussi, ça te plait, regarde Lucie, monsieur bande, je constate
que tu ne le négliges pas, il est trop mignon épilé de frais.
C’est
vrai que je ne sais trop pourquoi, mon sexe était à moitié gonflé, alors que
les perspectives de cette fin d’après-midi me concernant étaient tout sauf
réjouissantes. La chipie ne s’est pas privée de m’empoigner les bourses à
pleines mains, de les examiner de près et de les soupeser.
-
C’est bien ma chérie, tu as fait du bon boulot, il n’y a pas l’ombre d’un poil
sur ses boules, toujours aussi moches, par ailleurs, tu le décalottes toujours
avant la fessée.
-
Oui bien sûr, cela fait partie du règlement. Lucie soudainement interpellée par
mes misères, se fendait la poire.
-
Eh bien, je vais faire de même, il ne faudrait pas que ce garçon perde ses
bonnes habitudes. Dis-moi ma chérie, voudrais-tu aller m’acheter du camphre à
la pharmacie du coin et de l’harissa.
-
Tu vas te lancer dans la cuisine ?
-
T’inquiète, tu veux bien ?
-
O.K, j’y vais, mais ne commence pas sans moi.
-
Nous avons bien le temps, Fabien, tu restes avec ta culotte sur les chevilles
et tu vas aller me chercher le martinet dans la cuisine, ensuite tu te mettras
au piquet, à genoux, les mains sur la tête, allez, plus vite que ça, n’aggrave
pas ton dossier qui est déjà suffisamment chargé.
Je
m’exécutais, de l’étrange et surtout ridicule démarche que l’on peut adopter
dans ces conditions difficiles, surtout nu comme un ver ou presque et je
m’inquiétais fortement de ce que trafiquait Corinne, décidemment encore plus
garce que ma cousine, la fouettée au martinet, ça j’allais y avoir droit,
restait seulement à en connaître la durée et par conséquent la sévérité,
j’imaginais le pire pendant que je me morfondais au piquet, ayant rapidement
mal aux genoux, peut-être comptait-elle carrément m’écorcher les fesses et y
passer du piment dessus aux fins d’aviver mes souffrances, j’avais lu que ça se
faisait dans la marine anglaise, on mettait du sel sur les blessures des
malheureux condamnés au fouet, soi-disant que ça accélérait la cicatrisation,
peut-être bien, en attendant le pauvre diable devait déguster, j’en frémissais
d’avance. Après une dizaine de minutes d’angoisse, Lucie est revenue toute
guillerette.
-
J’ai trouvé ce que tu voulais et j’ai rencontré une fille de l’école, c’est
dommage, je ne la connais pas assez bien, je l’ai invitée à venir boire un
café, mais elle n’avait pas le temps, je n’ai pas osé lui dire qu’il allait y
avoir du spectacle, ç’aurait été d’autant plus marrant qu’elle connait et
semble-t-il apprécie mon cher cousin, tant pis ce sera pour une autre fois,
allez Fabien, c’est l’heure du châtiment.
Il
n’aurait plus manqué que ça, j’aurais été complètement grillé dans toute
l’école et adieu à mes projets de flirt avec Marie Claude, quoique, on ne sait
jamais avec les filles, en tant que sœur de fessée, la compassion aurait pu
l’emporter sur le mépris, je préférais ne pas avoir à me poser la question.
Je
me relevais avec peine, tous les muscles tétanisés et je me plantais devant
Corinne, toujours aussi affligeant avec ma culotte aux chevilles, j’aurais de
loin préféré me trouver complètement en tenue d’Adam, ce qui n’a d’ailleurs pas
tardé. Corinne m’a fait allonger sur la table basse et m’a lié les mains à deux
de ses pieds à l’aide de petits bouts de ficelle plutôt solides, qu’elle avait
dû récupérer dans la cuisine pendant mon stage au piquet.
-
C’est pour éviter des manifestations trop intempestives mon chéri, car comme tu
l’as bien compris, j’ai bien l’intention de te mettre les fesses en sang.
Je
savais pertinemment qu’elle n’irait pas jusque-là, il n’empêche, ça faisait
encore monter d’un niveau l’angoisse qui me sciait le ventre. Justement, elle a
placé un traversin sous mon estomac, pour bien surélever ma croupe, comme elle
disait, m’a enfin dépouillé de mon slip et m’a fait écarter les jambes au
maximum.
Tu
vas avoir droit à cinquante coups de ce joli martinet, plus dix pour ta
dissimulation, tu veux bien les compter ma chérie.
-
Volontiers.
C’était
l’horreur, je ne me rappelais pas d’avoir reçu autant de coups de martinet ou
alors j’avais oublié, après, ce n’est évidemment pas seulement le nombre de
coups qui constituent l’importance de la fouaillée, mais surtout la force avec
laquelle, ils sont appliqués et je savais hélas d’expérience que Corinne,
certes plus grande que sa copine, mais par ailleurs plutôt élancée, elle avait
une poitrine très menue, n’y allait pas mollo, elle tapait même plus rudement
que Lucie qui pourtant n’amusait pas la galerie, le maître étalon restant dans
ce domaine la mère Leblanc, à égalité avec madame Bruno, même si je gardais
l’abominable souvenir d‘une fessée à la baguette, qui en succédait à une
précédente au martinet appliquée par ma mère qui m’avait durablement marqué le
fondement. De toute façon, la peur n’évitant pas le danger, au point où j’en
étais, je ne pouvais que subir une correction qui s’annonçait extrêmement
sévère, si possible avec courage et dignité, même si je n’étais guère confiant.
Et
c’est parti sur des bases élevées, Corinne m’a très rapidement strié les fesses
et je n’ai pu résister au-delà du dixième coup de martinet, j’avais vraiment
l’impression que les lanières me perforaient les fesses, c’était très dur et je
me suis mis à sortir la panoplie de celui ou celle qui se ramasse une sévère
fessée, gémissements, cris puis hurlements de douleur aux alentours du
quinzième coup, soigneusement énoncé par ma cousine qui debout derrière moi
n’en perdait pas une, enfin j’ai lâché les eaux cinq coups plus tard, pleurant
à chaudes larmes. Je me disais que la grognasse avait bien fait de m’attacher,
sinon je n’aurais pas pu résister, j’aurais tenté d’échapper aux terribles
lanières qui me cisaillaient les fesses, quoiqu’il puisse m’en coûter par la
suite, Corinne ne mollissait pas, le spectacle de mes fesses que j’imaginais
complètement dévastées ne l’incitait pas pour autant à la clémence, le mot ne
devait pas faire partie de son vocabulaire, elle poursuivait son programme, au
trentième coup, je hurlais si fort et me cabrais dans mes liens, me redressant
autant que je le pouvais qu’elle voulut bien me consentir une pause, à force de
mes tordre et de briller, j’étais en apnée et j’ai mis du temps à retrouver une
respiration normale, j’avais l’impression que mes fesses n’était plus qu’une
plaie vive, fumait même.
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