LES BIENFAITS D'UNE STRICTE DISCIPLINE DOMESTIQUE
LA PUNITION D'EDOUARD.
Mais,
''L'affaire Bettina'' comme l'appelait certains esprits malveillants, friands
de croustillants faits divers, ne se limitait pas aux seuls protagonistes. Il
s'avéra très vite que d'autre personnes y étaient compromises en se rendant
complices ou en ayant essayé de tirer profit de la situation. Edouard, mouillé
jusqu'aux oreilles, avait encouragé Gilbert en prévoyant de le soumettre
ensuite à un chantage éhonté pour l'obliger à lui faire rembourser une dette de
jeu. Douglas que ça amusait beaucoup,
s'était bien gardé d'en parler à sa femme qui aurait pu tenter d'arranger les
choses avec Régine.
Bettina
se ramassa une monumentale correction qui ne fit qu'attiser le feu qu'elle
avait déjà aux fesses. Mais Romuald, son mari, magnanime et pas rancunier,
finit par lui pardonner en partie. Il avait beau ne pas la fesser très souvent,
ce qu'elle regrettait d'ailleurs, cette fois il avait mis la dose ; Deux
jours après, elle éprouvait encore les pires difficultés à remettre son
postérieur au contact d'une chaise, même avec un coussin.
Inutile
de préciser, (mais il faut le faire quand même), la colère des épouses
lorsqu'elles apprirent les petites manigances et autres misérables
comportements de leur conjoint. Elles ne mirent pas longtemps à fixer le tarif
des punitions et dans un soucis d'harmonisation des représailles, d'appliquer
le même traitement pour tout le monde :
fessées matin et soir pendant une semaine. Comme ces Dames fessent les
fenêtres ouvertes pour que tout le monde sache quand ça sévit à la maison, ce
sont de véritables concerts de fessées de cris et de pleurs qui résonnent d'une
maison à l'autre depuis trois jours, Ça démarre dès le petit déjeuner et, après
l'entracte de la journée, ça reprend au repas du soir. Le quartier n'a jamais
été aussi animé. Béatrice n'a jamais vendu autant de slips à fessée et le
cordonnier est obligé de faire des heures supplémentaires pour honorer les
commandes de martinet. Tout le monde y trouve son compte, sauf les punis dont
les fesses ne chôment pas, et passent presque autant de temps en dehors des
slips que dedans.
Depuis le début de la semaine, Edouard avait reçu l'ordre de se lever un peu plus
tôt que d'habitude. Gladys voulait avoir le temps de lui administrer sa fessée
du matin suffisamment longue pour qu'il en ressente l'effet au moins jusqu'au
début de l'après-midi. Même obligation en fin de journée. Il lui fallait rentrer
immédiatement après son travail pour sa fessée du soir qui commençait avant de
passer à table histoire de se mettre en appétit, disait Gladys, et reprenait
après le repas pour faciliter la digestion.
– « Edouard... tu m'entends ? Viens ici... Tout
de suite ! C'est l'heure de ta fessée ! »
Il vient à peine de rentrer. Gladys trône déjà sur la
chaise à fessées au milieu du salon. Pour ne pas trop la froisser, elle a retroussé sa courte jupe au-dessus du renfort noir de ses bas nylon ;
Ses boucles de jarretelles métalliques brillent sous la lumière du lustre. Patricia s'est
confortablement installée dans le canapé pour assister à la séance. Robin qui a
purgé sa peine, n'a pas besoin, cette fois, de se cacher en haut de l'escalier pour
voir. Sagement assis dans un fauteuil,
il a exceptionnellement l'autorisation de profiter du spectacle de la punition
qui, pour être vraiment exemplaire, doit se dérouler en public devant tout le
monde. Il n'est cependant pas vraiment tranquille, partagé entre deux
sentiments contradictoires. Le souhait que sa mère utilise le martinet aux
lanières découpées pour corriger le beau-père, mais la crainte que ça lui retombe
dessus quand elle va s'en apercevoir.
Les mains sur les hanches, Gladys lève la voix en direction du
bureau.
– « Et bien Edouard, qu'est-ce que tu fabriques ? J'attends tes
fesses mon ami. Et plus tu me les fais attendre, plus... tu connais la
suite... plus la fessée sera longue. »
L'intéressé arrive précipitamment en commençant à défaire
sa ceinture.
– « Pardon chérie, excuse-moi je finissais de ranger un dossier... et
– On s'en fiche ! Le coupa Patricia, quand maman te
demande tes fesses tu les amènes tout de suite ! »
Le malheureux ne répond rien et commence à baisser son
pantalon devant les deux femmes. Gladys ordonne d'un ton sec.
– « Tourne toi quand tu te déculottes et penche
toi en avant pour bien présenter tes fesses !. »
– Et tu te déculottes lentement pour qu'on ait le temps de se régaler pendant que tu
les prépare. » Ajoute Patricia en
surenchère d’humiliations.
Il s'exécute puis, le pantalon aux chevilles, vient à
petits pas, s'allonger docilement sur les cuisses de son épouse pour y déployer
ses fesses. Elle le regarde faire avec
un petit sourire goguenard.
– « Maintenant
rappelle
nous un peu les raisons de cette punition. Il est tout de même important que tu
n'oublies pas pourquoi tu vas te faire claquer le derrière deux fois par jour
pendant toute la semaine. »
Il obéit et récite en quelques mots. Mensonges,
manipulation, chantage... Le tableau est beaucoup moins reluisant que ne seront
ses fesses dans quelques instants.
– « Bien... j'espère que tu vas retenir la leçon. Mets-toi en position, mieux que ça ! »
Sans un mot, il cambre les reins en prenant appui sur les
mains, posées à plat au sol, et pousse sur le derrière pour l'arrondir, tendu
au maximum. Prêt à claquer.
La correction
commence aussitôt, par une fessée d'échauffement à travers le slip. Prélude à la déculottée. Les deux fesses bien serrées dans le nylon
offrent une surface compacte, ferme sous la main et agréablement claquante que
Gladys s'applique à chauffer rapidement.
– « Veux-tu que je nous serve un Whisky
maman ? Dit alors Patricia en décroisant les jambes, prête à se
lever. Ça donne du cœur à l'ouvrage ! »
Gladys ne répond pas tout de suite, trop occupée à
continuer à claquer vigoureusement le postérieur d’Edouard qui braille comme un gamin tout en maintenant son fessier dans la bonne
position. Puis s'adressant à son fils tout en continuant à fesser.
-- « Robin, aide ta sœur, va chercher des glaçons,
qu'est-ce que tu attends ! Rends toi utile ! Décontenancé,
il réplique d'une voix plaintive,
-- Oui maman, tout de suite ! Heu, je les mets
dans quoi ?
– Je les mets dans quoi ? Quel empoté ! tu es encore
plus ballot que je croyais ! Elle reprend son ton sévère en s'adressant à Edouard
dont elle continue à faire tressauter le derrière sous les claques pendant
encore quelques minutes, puis s'arrête brusquement.
– Toi...lève-toi et vas t'occuper de ça ...Mais te fais
pas d’illusion je n'en ai pas encore terminé avec tes
fesses... ta fessée n’est pas finie... La suivante qui t'attend après,
c'est la déculottée ! »
Edouard ne se le fait pas dire deux fois, trop content
d’échapper à la correction pendant au moins quelques minutes. Il se relève,
sans pouvoir essuyer les larmes qui coulent sur son visage presque aussi rouge
que son fessier. Le pantalon sur les chevilles, il s'apprête à se diriger à
petits pas vers la cuisine quand Gladys, passant derrière lui et remonte
brusquement son slip. Elle le lui fait presque entièrement entrer entre les
fesses sur lesquelles elle assène une monumentale claque supplémentaire qui le
fait sursauter et déclenche de nouveaux pleurs bruyants.
– « Aaaah, il n'y a pas à dire, les fesses claquent
beaucoup mieux comme ça ! Aller dépêche-toi de ramener les glaçons, on reprend tout
de suite après ! »
Le pantalon toujours baissé, Il fait l'aller et retour
entre la cuisine et le salon en se dandinant comme s'il se déplaçait avec des
patins. Patricia revient et pose un Glen douze ans d'âge et deux verres sur la
table basse. Gladys s'est levée en lissant sa jupe sur ses cuisses pour enlever
les faux plis. Sa main droite est brûlante d'avoir claqué si fort sur le
derrière tendu sous le nylon. Elle lui
commande d'un ton sans réplique ;
– « Tu vas nous servir Patricia et moi et tu vas retourner te mettre à genoux sur
le tabouret, les fesses déculottées, en attendant que je te flanque ta fessée
au martinet ! »
Robin tend l'oreille, satisfait mais pas entièrement
rassuré. Le moment fatidique est arrivé.
Edouard proteste du bout des lèvres.
– « Oui, chérie… mais... mais s'il te plaît, pas la
fessée au martinet. Je préférerais une autre fessée à la main... plus longue,
si tu veux.
– Voyons mon cher,
tu plaisantes ! A ton âge et vu ta conduite, les fessées à la main c'est bien,
mais ça ne suffit pas. Une aussi grosse paire de fesses comme les tiennes, ça
mérite beaucoup mieux ! Après la fessée à la main pour hors d'œuvre, rien de meilleur qu'une fessée au
martinet en plat de résistance. Tu sais ce que c’est le martinet, Hein ? Dis-le... bien fort, tu sais ce que c’est la
fessée au martinet ?
– Ouiiiiii. Je
sais !
– Tu sais quoi ?
Insiste Patricia que le petit jeu de questions, réponses, amuse
beaucoup. Edouard trépigne en pleurnichant, mortifié par l'humiliant
interrogatoire auquel il doit se soumettre sous peine de fessée supplémentaire.
– Ah oui, pour ça, la fessée au martinet, je sais ce que
c'est !
Gladys l’achève sans états d'âme.
– « Bon ...et bien, pour que tu la sentes bien avant
d’aller au coin à genoux sur le tabouret, tu iras te passer les fesses au Dolpic
!
Edouard bondit en se tenant le derrière comme pour
anticiper l'application de la terrible pommade chauffante.
– « Ooooh non, Gladys... Je le passerai après ma
fessée au martinet ...s’il te plaît ! »
--“ Qu'est-ce que ça veut dire, monsieur
proteste ! Tu obéis tout de suite,
ou c’est moi qui vais te frictionner les fesses et avec le gant de crin en
plus ! »
Le malheureux époux, qui n'est pas en mesure de négocier
quoi que ce soit, doit assumer sa punition jusqu'au bout. Il court en gémissant vers la salle de bains.
« “Non, non chérie ...je le fais, je le fais tout de suite ! “
Les deux femmes s'amusent à le voir se précipiter vers la
salle de bain, le slip enfoncé dans la
raie des fesses, qui, en semi-liberté conditionnelle, tressautent lourdement au rythme de sa démarche chaotique. Elles
trinquent en riant à la santé de Bettina à qui, finalement, elles doivent ces réjouissantes mesures
disciplinaires. Les glaçons tintent dans les verres tandis que Edouard, le
derrière chauffé au rouge sous le Dolpic, ne cesse de pleurer et gémir dans la
salle de bains en se tortillant devant la glace. Il en ressort pleurant de nouveau à chaudes
larmes, son fessier provocant encore plus rouge et reluisant. Ces dames posent
leur verre pour l'applaudir et le complimenter. Gladys, aussi enthousiaste que
devant un coucher de soleil, lui en remet une couche.
– « Maintenant va te
mettre en position sur la chaise à fessée et déculotte-toi entièrement pour nous faire admirer le
résultat. !
– Le slip au milieu des cuisses pour bien dégager les
fesses ! »
Précise Patricia, un
peu teigneuse sur les bords. Tout en pleurant, le puni, honteux, s’approche
prudemment
de la chaise, baisse complètement son slip et s’agenouille sur le siège en
larmoyant. Ce n'est pas vraiment des genoux qu'il souffre.
– « Oooooh Chérie... qu'est-ce que ça cuit !... Ça brûle… C'est comme si je sentais déjà la fessée
... »
Les reins creusés pour bien l'arrondir, il installe
docilement son indécent postérieur en feu, tendu vers l'assistance.
Robin, enfoncé dans son fauteuil, se fait discret. Il suit
le déroulement des opérations en se gardant de tout commentaire. Ce n'est pas
son rôle et puis, il a quand même participé à l'embrouille avec l'histoire de
la lettre de Bettina. Il a eu sa raclée, maintenant il attend de voir ce qui va se passer quand le
fameux martinet va entrer en action.
Sa mère et sa sœur prennent leur temps. Elles se sont confortablement installées dans le
canapé pour
savourer le spectacle et le délicieux moment d'attente avant le deuxième
service. Deuxième fessée, deuxième Whisky. Le bruit clair des glaçons tinte à nouveau contre la paroi des
verres. Edouard frémit sur sa chaise
tandis que Gladys s'adresse à Patricia en commentant la scène.
– « Regarde-moi cette belle paire de fesses ! Bien rouges, non ? Ah Il y a quand même des endroits qui
le paraissent un peu moins. Pourtant j'étais persuadée avoir tapé aussi fort
sur toute la surface des deux fesses.
– Tu sais maman, dans le feu de l'action, on a les fesses
sous les yeux qui sautent dans tous les sens et on ne voit pas toujours si
elles prennent bien la couleur partout.
C'est seulement quand on prend du recul.
– Il va falloir que j’égalise tout ça pour que la fessée soit bien efficace. Avec
le martinet d'abord et encore à la main pour bien finir. Je veux que ce soit
des fessées dont il se souvienne ! Ce n'est pas pour rien qu'il est puni
toute la semaine, comme ses complices, Gilbert et Douglas. Qu’en penses-tu ?
– Certainement maman. Il faut que la punition soit très
sévère pour qu'il s'en souvienne. Tu
lui as déjà donné une bonne fessée, mais ce n'est pas suffisant, Il lui en faut
au moins une autre.
– Ça me
semble évident, sinon, il se n’en fiche pas mal et il est intenable. La preuve
regarde ce qui vient de se passer, alors que la semaine d'avant il s'était déjà
pris une raclée à cause des paris aux courses.
– Tu as raison maman, on ne les fesse jamais assez !
– Exactement !
Mais crois-moi... la fessée au martinet il va la sentir ce soir. Elle se
tourne vers son fils, affalé dans son fauteuil. Tiens Robin, bouge-toi un peu et va me chercher le
martinet ! »
Le garçon obéit avec un peu d’appréhension... Pourvu
qu’elle ne s’aperçoive pas que deux lanières ne tiennent plus que par un fil !
Il va décrocher le martinet et, avec un peu
d’appréhension, le tend à sa mère. Mais elle le saisit sans même le regarder,
occupée à sermonner son mari qui ne cesse de
pleurer tout en présentant sa croupe du mieux qu'il peut, d’un rouge
resplendissant que le Dolpic rend encore plus éclatant.
– « Oooh chérie... je t'en supplie... pas
trop fort, ça cuit… mes
fesses... j’ai le derrière brûlant !
Gladys n'a pas l'habitude de se laisser
apitoyer.
– « Et alors ? J'espère bien que
tu as le derrière brûlant. C'est normal
après une bonne fessée ! Et tu connais les raisons et le tarif de ta
punition !.
– Non...je
sais pas… Euuh si, si ! Pardon
chérie... Je sais ! Je sais !...
Je suis puni toute la semaine... oui, toute la semaine... la fessée
matin et soir, jusqu’à nouvel ordre. Et je l'ai
bien mérité.
Alors de quoi te plains tu ?
– Je ne me plains pas chérie ...je mérite...
– Et bien voilà...Tu vois quand tu veux
! »
Patricia poursuit le dialogue en prenant un ton
infantilisant
– « Et
qu'est ce qui arrive au derrière du vilain d'Edouard après une fessée à la
main ? Hein ? Qu'est ce qui arrive ?
Le pauvre est au supplice et ne sait plus
à qui répondre. Il ressemble à un petit garçon terrorisé qui attend, culotte
baissée, que sa maman lui flanque sa fessée.
– «
La fesséééée... au martineeeeet !
– Ouiiiii,
c'est bien Edouard.! La fessssée... au
martinet !
Un peu vicieuse, la jeune femme s'amuse à faire
siffler les '' s'' entre ses dents serrées pour rendre l'annonce plus
impressionnante.
Gladys, continue de le mettre en condition avec
un plaisir non dissimulé.
– « Redis nous ça bien fort mon chéri...
et articule... On n'a pas tout entendu.
– A... Après la fessée à la main...C 'est...
C'est la fessée au... au martinet...
– Déculottée, Edouard ! Déculottée !
Tu as oublié de préciser. C'est la fessée déculottée au
martinet !
Le malheureux tremble sur sa chaise et se dandine
d’un genou sur l'autre en se tenant le derrière à pleine
main.
– « Mais... mais pas trop fort,
chéri, tu m’as déjà donné une bonne fessée... plus forte que d’habitude… j’ai
les fesses en feu... avec le Dolpic en plus... je suis déjà bien puni... tu m'as déjà
bien corrigé... Pitié ! »
Les larmes aux yeux il implore sa femme qui le
regarde, impassible en faisant glisser les lanières du martinet dans sa main.
Elle sourit en resserrant ses doigts autour du manche.
– « Patricia chérie, sors-le de sa chaise et tiens-le-moi en position, les fesses en
l'air bien tendues. Tel que je le connais, il va tellement gigoter qu'il serait
capable de tomber.
– Bien sûr maman, je vais te le tenir, et je te
garantis qu'il ne bougera pas. Ça ne sera pas très difficile, il ne pèse pas
très lourd »
Effectivement, en deux temps un seul
mouvement, elle le fait descendre du siège, le courbe en deux entre ses
jambes pour lui coincer la tête entre ses
cuisses et, croisant ses mains sous son ventre le soulève, les pieds
décollés du sol. Il émet un couinement
pathétique lorsqu'elle fléchit sur ses jambes, elle lui faire arrondir le
derrière bien en l’air, à disposition de sa mère.
– « Ça te va comme ça maman, ou je te
remonte ses fesses un peu plus haut ?
– Parfait ma chérie ! C'est la position idéale pour la fessée au
martinet. Il faudra penser à l'utiliser souvent. »
, Un peu tendu dans son fauteuil, crispé même,
Robin retient son souffle. Il voit sa mère
prendre du recul pour se positionner à la bonne distance du derrière et
armer son bras avec un petit rictus de plaisir. Ça va cingler... et fort. Le beau-père va déguster. Mais pendant
combien de temps les lanières vont-elles tenir ?
Un cri de douleur jaillit au premier de coup de
martinet qui lui a cinglé les deux fesses en les enveloppant …
– « Ouaiiiii !
Pas si foooort ! Chér... Ahhhhrr ! »
Le deuxième vient de tomber sur le volumineux
fessier ...et là… une des lanières s’envole.
Gladys surprise ne dit rien… Wouaahh ! La seconde lanière se
détache à son tour… Elle continue cependant à fouetter le provocant
postérieur dont le volume semble, à l’évidence, avoir été façonné pour être
réceptif aux cuisantes claquées des fessées à la main et aux cinglades du martinet.
– « Tiens ! Tiens ! Tu la sens bien ta
fessée mon petit chéri !? La bonne fessée au martinet ! Je vais t’apprendre à jouer les
hypocrites, à mentir et à manipuler ! Tiens ! Tiens Tu vas écouter ce que te
dit ta femme ! Tiens ! Ça te va comme ça, bien cinglant ? Une bonne
fessée au martinet, déculottée devant tout le monde ! Ah je tu vas
comprendre ! Je vais te dresser moi... A coups de
lanières ! ...Tiens le bien Patricia ! Les fesses un peu plus hautes
s'il te plaît !
– « Pas de problème maman, je peux
tenir comme ça le temps qu'il faudra...tu peux y aller ! »
Edouard ne répondait que par des
sanglots; la tête tantôt relevée sous une douleur plus vive, tantôt rentrée
entre les épaules. Solidement maintenu en position, il se trouvait cependant
en équilibre instable, les mains agrippées aux mollets de Patricia,
les fesses toujours bien exhibées, la raie écartées au maximum, et l’anus
visibles par intermittence. Ses pieds à une trentaine de centimètres du sol
semblaient chercher désespérément à se poser quelque part ...On ne voyait plus
que du blanc et du rouge. Le blanc de son slip
descendu à mi-cuisses et le rouge particulièrement écarlate et luisant de
ses fesses plantureuses qui, au rythme des volées de martinet se contractaient
et s’étalaient de nouveau.
Et hop, une nouvelle saison ! C'est déjà la troisième !
Nous retrouvons des protagonistes dont nous avons déjà fait la connaissance précédemment, mais nous allons également découvrir de nouveaux personnages pour lesquels la fessée est à l'ordre du jour.
Que s'est-il passé dans le dernier épisode ? Un trou de mémoire ? Ce n'est pas grave voici là où a commencé la saison, le chapitre 1, et le précédent, c'est le chapitre 17
Pour ceux qui n'auraient pas lu le tout début de la série, la voici : le chapitre 1 de la saison 1
Pour ceux qui n'auraient pas lu le tout début de la série, la voici : le chapitre 1 de la saison 1
Ramina est l'auteur de nombreux récits et commentaires sur ce blog.
Juste retour des choses il attend les vôtres. Ecrivez vos appréciations, vos retours, vos questions ... dans le cadre ci-dessous. Ramina vous répondra.
Bonjour, Ramina. Et bonjour à tous.
RépondreSupprimerÇa, c'est de la déculottée! Et, comme Robin, on en profite longuement. On savoure. La pauvre victime sans doute beaucoup moins qui va avoir droit deux fois par jour et plusieurs jours durant à ce traitement brûlant. Mais on ne va tout de même pas le plaindre. Il l'a bien cherché.
Amicalement.
François
Bonsoir François Fabien et les gens.
RépondreSupprimerMerci de commenter, c'est toujours encourageant d'avoir quelques retours... Il faut d'ailleurs que je retourne dans le journal d'Olga...
Sûr, c'est de la déculottée ! On peut se lâcher dans le fantasmatique... Encore que la réalité rejoint, voir dépasse parfois la fiction. Mais bon, le plus drôle de l'histoire c'est que me voilà embarqué dans une sombre histoire de martinet ( les amateurs apprécieront) alors que, personnellement, j'ai un prédilection pour les fessées à la main... je ne maîtrise plus mes personnages!
Edouard préférerait certainement continuer sa punition à la main, mais ce n'est pas lui qui décide. Robin finira t il par être démasqué? Rodolphe a t il encore grossi du derrière... Gérôme s'est il fait à nouveau surprendre a dessiner des femmes nues,... Moi même je me demande...
Le suspense est aussi insoutenable que les fessées de Patricia !
Amicalement
Ramina
Rebonjour à tous.
RépondreSupprimerÀ la main ou au martinet? Vaste question. La main est plus infantilisante. Et donc sans doute plus vexante. Le martinet, surtout s'il est appliqué avec force, plus douloureux. La solution est peut-être dans l'alternance?
Amicalement.
François
Bonjour, tout le monde des gens...
RépondreSupprimerPour une correction plus efficace on peut conjuguer les deux. Commencer par une solide fessée d'échauffement à la main pour bien sensibiliser le derrière et continuer avec la fessée au martinet... Là ça fait une complète! Il n'y a pas que la recette des crêpes à la chandeleur !(rires)
Amicalement
Ramina