« Tu vois,
lui dit Teva, quand tu veux, c’est possible de bien travailler. J’espère que tu
vas continuer sur cette voie.
– Je crois que je
n’aurais plus jamais de fessée au travail !
– Ne sois pas si
présomptueuse ! Ne t’avance pas sur des choses que tu ne tiendras pas. Il
y aura d’autres fessées et tu le sais bien. Ce ne sont pas trois jours sans
négligence ni désobéissance qui vont t’avoir changée au point de faire
disparaître la nécessité de te punir. Je serai surprise que tout le week-end se
passe sans que je sois obligée de sévir. »
Marguerite baissa
la tête. Elle n’aimait pas quand Teva lui rappelait la triste réalité qui passait
par de futures fessées. Mais ce soir-là, il en aurait fallu beaucoup plus pour faire
disparaître son enthousiasme.
« Je peux
aller le dire à Hélène ?
– Si tu veux.
Sois de retour pour le bain, dans quinze petites minutes.
– Je peux aller
avec elle, demanda Maeva ?
– Vas-y
également. N’oubliez pas de dire à Hélène qu’elle vous donne une bonne fessée
si vous l’importunez par vos bavardages !
– Oui
Teva ! »
Elles partirent
main dans la main.
« Hélène, je
n’ai pas eu de fessée au travail de toute la fin de la semaine ! »
Marguerite avait
clamé la nouvelle dès la porte ouverte. Hélène fronça les sourcils.
« Dites
donc, jeunes filles, on ne dit plus bonjour quand on arrive quelque
part ? »
Elle prit Marguerite
par le bras et lui fit tourner les fesses vers elle. Ce ne fut pas vraiment une
fessée, elle était trop faible, mais il fallait le prendre pour un
avertissement. Maeva eut le droit au même traitement. Les deux filles se
jetèrent alors dans les bras qu’Hélène avait ouverts en grand.
« Un bisou
chacune, mes chéries ! »
Les filles
déposèrent un long bisou chacun sur une joue d’Hélène.
« Alors, que
voulais-tu me dire ?
– De toute la
semaine, je n’ai pas été punie au travail.
– Oui, enfin sauf
mardi.
– Oui, sauf
mardi. Mais depuis, rien !
– C’est bien.
Deviendrais-tu plus raisonnable ?
– Je ne sais pas.
– Et toi, Maeva,
as-tu eu la fessée cette semaine ?
– Oui, répondit
Maeva piteusement, mais seulement à la maison par Teva. Pas au travail !
– C’est mieux que
rien. Tu es là pour le week-end, Marguerite ?
– Oui Hélène,
jusqu’à lundi matin. Je peux venir travailler avec toi ?
– Moi je veux
bien, mais il faudra demander à Teva. Tu te rappelles ce qui se passe si je ne
suis pas contente de toi ? »
La mine enjouée
de Marguerite se rembrunit un peu.
« Oui, je
sais.
– Tu veux venir
quand même ?
– Oui, bien sûr.
Tu ne me puniras pas trop sévèrement ?
– Ça dépendra de
comment tu travailles.
– Ah oui. »
Marguerite était
songeuse, mais elle ne changea pas d’avis.
« Je peux
venir, moi aussi ?
– Si Teva est
d’accord, je n’y vois pas d’inconvénient, Maeva. Mais ce sera pareil pour toi
que pour Marguerite. Si le travail n’est pas bien fait, ce sera la fessée. »
Maeva hésita un
peu. La fessée, cela faisait partie des aléas depuis qu’elle habitait chez
Teva. Elle ne pouvait pas toutes les éviter.
« Je veux
venir quand même. »
Teva passa sa
tête à la porte de son appartement.
« C’est
l’heure du bain les filles. On se dépêche ! »
En passant
chacune prit une petite tape amicale sur les fesses.
« Plus vite
que ça ! »
Les deux filles
poussèrent un cri, comme si elles avaient reçu une vraie fessée, puis elles
éclatèrent de rire en se précipitant vers la salle de bain.
« Vous allez
voir, toutes les deux si je vais me contenter de cris factices ! »
Mais le ton de
Teva disait clairement qu’elle n’était pas fâchée. Il n’y avait aucun risque de
fessée.
Le
bain s’était passé sans incident, ou presque. En y passant le gant de toilette,
Teva remarqua des petits boutons sur le pubis de Marguerite, là où les poils
avaient été épilés.
« Qu’est-ce
que c’est que ces boutons ? Les as-tu depuis longtemps ?
–
Je ne sais pas.
–
Comment ça, tu ne sais pas ? Tu t’en es bien occupée, non ? Tu y as
fait attention ? Qu’elle produit as-tu mis dessus ?
–
Euh… rien.
–
Des petits boutons apparaissent près de ta vulve et tu ne fais rien !
Pire, tu ne t’en aperçois même pas ! Comment as-tu fait pour ne pas les
voir quand tu te laves le matin ?
–
Euh… je ne sais pas.
–
Dis-moi, prends-tu une douche tous les matins ? »
Marguerite
eut une hésitation révélatrice.
« Attention,
prévint Teva, je veux la vérité !
–
Presque tous les jours, oui.
–
Presque tous les jours ! En as-tu pris une ce matin ?
–
Euh non, je n’ai pas eu le temps et…
–
Et hier ?
–
Non plus, mais…
–
Ce n’est pas possible ! »
Une
bonne claque atterrit sur les fesses de Marguerite. Celle-là n’était pas
factice.
« Tu
dois prendre une douche tous les jours et faire attention à tous les petits
boutons ! Cela ne peut pas durer comme cela. »
Teva
était de plus en plus convaincue que, malgré son âge et comme Maeva, Marguerite
était incapable de se prendre totalement en charge. Elle ne pouvait décemment vivre
seule. Il allait falloir s’occuper de cela.
Avant
de lui passer sa chemise de nuit, Teva s’empara du flacon d’huile d’amande
douce et en massa longuement le bas ventre de Marguerite. Elle attendit de
s’être lavé les mains pour réitérer sa menace.
« La
prochaine fois que tu ne prends par garde aux boutons, ce sera une bonne
fessée. Je ne tolère pas ce genre de négligence. »
Afin
d’être certaine que le message passe, elle coinça Marguerite sous son bras,
souleva le bas de sa chemise de nuit et elle lui administra quatre fortes
claques sur chaque fesse.
« As-tu
bien compris ?
–
Oui Teva, j’ai compris ! »
Pas
vraiment une fessée, mais un sérieux avertissement. Vivre avec Teva signifiait
en recevoir de ce genre-là assez souvent. Elle n’hésitait jamais à appuyer ses
remarques de quelques claques sur les fesses ou sur les cuisses nues, selon les
circonstances et la tenue de sa fille avec qui elle conversait. Ainsi elle était
sûre d’avoir mobilisé toute l’attention de son interlocutrice. Il est vrai que
cela montrait parfaitement bien les limites à ne pas dépasser.
« Les
deux grandes, venez-ici mettre la table ! »
Teva
appelait depuis la cuisine.
« Oui,
Teva, on arrive, répondit Maeva ! »
Allongées
en travers de leur lit, elles étaient toutes les deux plongées dans une
discussion animée sur l’efficacité des fessées qu’elles avaient reçues et sur
le classement des différentes personnes en matière de capacité à donner les
plus grosses corrections. Elles étaient toutes les deux d’accord pour dire que Fara
gagnait le concours haut la main. Mais elles n’étaient pas d’accord sur qui il
fallait mettre ensuite. L’une avait encore un argument à exposer, puis l’autre
jugea qu’il fallait y répondre. La discussion se poursuivit encore quelques
minutes jusqu’à ce que Teva entrât dans la chambre.
« Dites
donc, toutes les deux, cela fait dix minutes que je vous ai appelées.
Croyez-vous que je vais vous attendre encore longtemps ?
–
On vient, Teva. »
Les
deux filles se levèrent précipitamment.
« Bien
sûr que vous allez venir, mais maintenant, il y a une petite formalité. »
Maeva
était la plus proche. C’est elle qui se retrouva en premier courbée sous le
bras de Teva qui écarta sa chemise de nuit. Teva fessa Maeva, une dizaine de
claque de chaque côté. La fessée ne fut pas bien longue, mais elle fut donnée
avec une grande énergie, ce qui suffit pour que les larmes montent aux yeux de
Maeva et qu’elle gémit à chaque fois que la main fustigeait son postérieur.
« A
ton tour ! »
Marguerite
se mordit les lèvres, mais il n’y avait pas moyen d’éviter de subir le même
traitement que Maeva. La fessée qu’elle reçut était la copie conforme de celle
de Maeva. Teva y mit-elle un peu plus d’ardeur ? Marguerite était-elle un
peu plus douillette ? La correction lui arracha des cris plus francs et
quand elle se releva, des larmes avaient coulé sur ses joues.
Teva
avait eu raison, il n’y avait pas fallu attendre longtemps avant qu’elle ne
reçût une fessée, bien avant la fin du week-end. Elle était loin d’être assez
attentive à ce qu’on lui disait pour espérer que les corrections deviennent
inutiles. Encore une chance que celle-ci avait été plutôt légère. Légère, mais
tout de même cuisante.
« Ouste !
Toutes les deux dans la cuisine, il y a du travail qui vous attend. »
Ce
fut un week-end qui se passa calmement. Il y eut bien quelques fessées, c’était
assez inévitable, mais rien de spectaculaire. La plus sévère fut administrée
par Hélène. Les deux filles travaillaient sur l’ordinateur à composer une base
de données de références bibliographiques sur le sujet sur lequel Hélène
envisageait de travailler prochainement. Il y avait apparemment un différend
entre elles sur la manière de s’y prendre.
Hélène
avait remarqué, depuis un petit moment que, bien que les deux filles
conversassent à voix basse, les échanges entre elles n’avaient rien de serein.
Il n’était pas possible de comprendre la nature de leurs échanges, mais, bien
que tout cela restât feutré, il était évident qu’il s’agissait d’une dispute.
Hélène sourit des efforts qu’elles faisaient pour que l’altercation ne lui
vienne pas aux oreilles. Il fallait cependant y mettre fin.
« Dites-moi
toutes les deux, vous ne seriez en train de vous disputer, par
hasard ? »
Il
y eut une seconde d’hésitation chez ses interlocutrices, C’était la surprise
due à la découverte de ce qu’elles tentaient de cacher.
« Non,
non, Hélène, dirent-elle d’une seule voix.
–
Je préfère car si c’était le cas, je sais comment y mettre fin. Cela risquerait
de ne pas être très agréable pour vos fesses. »
Les
deux filles se replongèrent dans leur travail. Hélène sortit de la pièce, leur
laissant le champ libre. S’il s’agissait bien d’une dispute, comme elle le
pressentait, la querelle repartirait de plus belle en son absence. Si c’était
le cas, autant régler définitivement le problème au plus vite. Marguerite et
Maeva avaient été averties, à elles d’en tirer les conclusions ou d’en subir
les conséquences.
La
prudence des deux filles ne tint pas même trente secondes.
« C’est
de ta faute !
–
Non c’est toi ! Tu fais n’importe quoi.
–
C’est la dernière fois que tu viens travailler chez Hélène. Je n’ai pas besoin
de toi.
–
Quelle pétasse ! Comme si c’était toi qui en décidait !
–
Tu vas voir ce que c’est quand je me mets en colère, sale petite
pimbêche ! »
Le
ton avait monté. Hélène qui ne s’était pas beaucoup éloignée fit sa
réapparition.
« Alors,
il paraît que ce n’est pas une dispute ? C’est pourtant très bien imité.
Vous avez de la chance de ne pas être allées trop loin. »
Le
silence accueillit son intervention.
« Je
vais considérer que « pétasse » et « pimbêche » ne sont pas
des insultes, mais seulement des mots déplacés pour parler de sa plus proche
amie. Autrement, j’aurais été obligée d’être bien plus sévère. Une bonne fessée
chacune et un bon moment au coin devrait régler le problème. »
Cette
fois-ci, ce fut Marguerite qui était la plus proche. Elle fut donc la première
à se retrouver allongée en travers des genoux d’Hélène, la culotte baissée. Le
comportement des deux jeunes femmes nécessitait qu’elles comprennent que ce
n’était pas admissible alors qu’elles étaient censées travailler. Se disputer
nuisait grandement à la productivité, il fallait leur ôter l’envie de
recommencer. La fessée devait être magistrale.
Hélène
visait le même endroit des fesses de Marguerite cinq, six, dix fois. Les cris
de la jeune femme devenaient de plus en plus perçants jusqu’à ce qu’Hélène
change d’endroit où elle recommençait jusqu’à ce que la tension des muscles de Marguerite
témoignât de l’impossibilité à supporter une claque de plus au même emplacement.
Hélène persévérait pourtant encore un peu, puis elle passait à une zone des
fesses qui n’avait pas encore été rougie.
Maeva
regardait son amie accuser la cuisson de la fessée de plus en plus
difficilement. Malgré la fascination que provoquait la technique disciplinaire
d’Hélène, elle ne pouvait s’ôter de l’esprit qu’elle serait bientôt à la place
de son amie.
Plus
la fessée de Marguerite serait longue, plus la sienne le serait également. Elle
pouvait compter sur Hélène pour lui administrer une correction analogue à celle
de son amie. A l’inverse, plus vite en aurait finie Marguerite, plus rapidement
elle serait allongée à plat-ventre sur les cuisses d’Hélène pour y subir sa
punition. Aucune des deux solutions ne lui convenait. Malheureusement, ou
heureusement, ce n’était pas elle qui décidait de ces choses-là. Il lui
suffisait d’attendre.
A
chaque fois que la main d’Hélène trouvait un endroit à rougir un peu plus qu’il
ne l’était jusqu’à maintenant, tout le corps de Marguerite esquissait un geste
réflexe pour éviter la prochaine claque. Il était immédiatement contenu par la
position dans laquelle Hélène avait installée Marguerite. Impossible de
réellement bouger. Il aurait fallu se débattre, et ça, c’était impossible.
La
fin de la fessée de Marguerite annonça le début de celle de Maeva. Marguerite
fit un pas vers le coin. Hélène l’arrêta.
« Tu
restes là pour l’instant Marguerite. Je veux que tu regardes ce qui arrive à
Maeva, comme elle t’a regardée pendant que je te fessais. »
Déculotter
Maeva, l’allonger sur les genoux, retrousser le bas de la jupe dans le dos… les
préliminaires ne durèrent pas. Maeva gémissait faiblement et de la chair de
poule s’était formée sur ses cuisses et ses fesses.
« Compte
sur moi, tu vas bientôt faire tout autre chose que gémir. »
Hélène
donna la première claque sur les fesses de Maeva. La dernière vraie fessée de
Maeva ne datait que de quelques jours. On ne pouvait pas dire qu’Hélène fessait
significativement plus fort que Teva. Maeva eut pourtant l’impression, après
une dizaine de claques sur chaque fesse, que c’était la pire fessée de sa vie.
C’était comme si Marguerite n’avait pas gardé mémoire des précédentes fessées
reçues et qu’elle redécouvrait, à chaque fois, les effets d’une telle
correction.
Les
réactions de Marguerite qui, si elle l’avait pu, se serait soustraite à la
fessée, la durée de celle-ci et l’énergie qu’Hélène y avait mis, lui avaient
appris qu’il s’agirait d’une sérieuse fessée. Elle savait cependant qu’il ne
serait pas fait appel à la règle à laquelle elle avait déjà goûtée, puisque Marguerite
n’y avait pas eu droit. Il ne s’agirait donc pas d’une fessée magistrale qui
laissait des traces dans son esprit et sur ses fesses pendant un bon moment. La
fessée à la main provoquait une cuisson très intense sur le moment, fort
heureusement, elle diminuait rapidement quand on était au coin.
Oui,
mais nous n’y étions pas encore. Comme Marguerite l’avait fait, Maeva réagit
fortement quand Hélène entreprit de fesser à la jonction des fesses et des
cuisses. C’était un endroit plus sensible que le sommet des fesses. Ses cris
laissèrent place aux sanglots. Il ne lui était pas possible d’en subir plus et
pourtant Hélène estimait ne pas être arrivée au bout de la correction.
« Toutes
les deux au coin ! Marguerite, tu vas à ta place habituelle et toi Maeva,
tu te mets ici ! »
Hélène
conduisit Maeva dans l’angle que formait le côté d’une étagère surchargée de
livres et le mur de la pièce. Cela faisait un coin tout à fait acceptable. Les
deux filles n’étaient séparées que de quelques dizaines de centimètres, mais
elles ne pouvaient, bien entendu, pas se voir, chaque tournée vers l’angle qui
lui avait été désigné.
Une
demi-heure plus tard, elles étaient de nouveau assises l’une à côté de l’autre
pour continuer le travail que la fessée avait interrompu. Miraculeusement, il
n’y avait plus de dissensions entre elles deux. Le motif, probablement futile,
de leur dispute était oublié. Elles travaillèrent en silence, mais en abattant
un travail conséquent.
Hélène,
cependant, voulait aller au bout de la leçon. Vers dix-huit heures, elle
annonça la fin des travaux.
« J’espère
que vous avez tout fini ce que je vous avais donné à faire. »
Les
deux filles se regardèrent.
« Non,
Hélène. On n’a pas fini, risqua timidement Marguerite.
–
Ah, et comment se fait-il ?
–
C’est à cause de la fessée et du temps où tu nous as mises au coin.
–
Et pourquoi avez-vous eu une fessée ? »
Les
deux filles se regardèrent.
« Parce
qu’on se disputait.
–
Ce n’est donc pas la fessée la vraie cause de votre retard, mais votre dispute,
si je ne me trompe pas. »
Les
deux filles hochèrent la tête.
« Vous
en êtes donc responsables ! »
Un
nouveau hochement de tête.
« C’est
donc de votre faute si le travail n’est pas fini. A votre avis, quelle punition
méritent deux grandes filles qui n’ont pas fini, dans les temps, le travail qui
leur avait été donné ? »
Là
où voulait aller Hélène était maintenant très clair.
« Je
pense qu’elles ont besoin d’une bonne fessée ! »
C’était
Maeva qui était la plus proche. Hélène la courba sous son bras et elle la
prépara pour la fessée. Jupe relevée, culotte baissée, nous y étions. Il ne
s’agissait pas de donner une mémorable fessée, juste de ranimer la cuisson des
fesses que le temps avait apaisée.
Marguerite
prit la place de Maeva quand celle-ci fut renvoyée au coin. Une rapide fessée,
à l’instar de celle de Maeva et elle fila au coin sans demander son reste.
Hélène
les y laissa jusqu’à ce qu’il fût l’heure du bain. Elle les raccompagna chez
Teva en leur ordonnant de garder leur jupe relevée pour traverser le palier. La
culotte baissée laissait voir deux paires de fesses encore rosées.
Les
deux filles guettaient les bruits annonciateurs d’une arrivée par l’escalier.
Heureusement, il n’en fut rien.
Ce
fut avec une claque sur les fesses pour chacune que Teva les envoya au bain.
Voyons, voyons, Maeva, Teva... ça me dit quelque chose
Eh bien oui ! Nous les avons déjà croisées. Rappelez-vous c'était dans le chapitre 93 d'Axel au supermarché que nous avons fait la connaissance de la jeune fille et, dans le chapitre 98, de sa sœur si sévère.Il faut suivre si l'on veut comprendre, donc avoir lu ce qui a précédé
Voici le début du récit : le chapitre 1
L'épisode précédent : le chapitre 32
Mais, ce n'est pas fini
Y a-t-il une suite ? Bien sûr, le chapitre 34
Un commentaire, deux commentaires, trois... n'en jetez plus !
Si, si, au contraire, ne vous restreignez pas. Abondance de commentaire ne nuit point.
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