« Debout !
Va te mettre au coin ! »
Curieusement,
la fessée avait fait disparaître toute trace de pudeur. Il ne doutait pas que
toute tentative de rébellion le ramènerait sur les genoux d’Audrey. La
nécessité de lui obéir était plus forte que tout, plus forte que l’envie de
dissimuler son intimité aux personnes qui étaient présentes.
Sans
qu’on lui en ait donné l’ordre, il ne tenta pas de remonter ni son pantalon ni
sa culotte, découvrant la difficulté de marcher dans cette tenue. Traverser la
pièce, la culotte baissée, exhibant ses attributs sexuels qui ballottaient
entre ses cuisses, lui sembla naturel, compte tenu des circonstances. Il avait
le sentiment d’avoir été traité comme un enfant désobéissant. Il se comportait
donc comme le ferait un gamin que la fessée avait ramené à de meilleurs
sentiments. Nul besoin de cacher ses fesses.
Il
plaça son nez dans le coin, mais il ne savait pas quoi faire de ses mains.
Audrey lui vint en aide. Elle les ramena dans son dos et les y croisa. Elle y
glissa en-dessous la chemise qui tombait sur ses fesses.
« Tu
ne bouges pas de là avant que je ne t’y autorise ! »
Une
claque sonore sur ses fesses vint confirmer le sérieux de la résolution
d’Audrey, ce dont il ne doutait pourtant pas. Elle resta juste derrière lui une
vingtaine de seconde, examinant le résultat de son travail, puis elle
s’éloigna, le laissant seul dans son coin.
Il
n’en voulait pas à Audrey. Depuis la première fois qu’elle lui avait évoqué la
nécessité de le fesser, il se doutait que c’était comme cela que ça devait
finir. Il savait que l’exaspération de sa femme montait de jour en jour, mais
il se sentait incapable de modifier son comportement de lui-même. Comme les
autres, il avait entendu parler des corrections reçues par les filles du troisième.
Il avait pris conscience qu’elles légitimaient le recours aux châtiments
corporels et qu’il était dans le collimateur d’Audrey.
Il
savait que, puisqu’il n’était pas capable de s’imposer une attitude
responsable, il n’y avait pas d’autre solution s’il voulait éviter une rupture
définitive avec sa femme. Cela ne pouvait plus durer. Il fallait que quelqu’un
prenne les choses en mains. C’était elle qui avait raison dans la dispute qui
les opposait, c’était elle la plus raisonnable des deux. C’était donc à Audrey de
le faire.
Un
reste d’orgueil masculin l’avait retenu de franchir le pas plus tôt, en premier.
Ce n’était pas aisé de se soumettre, de son propre chef à la fessée. C’était
déchoir de son statut d’adulte qu’il avait eu tant de mal à gagner. Il fallait
qu’Audrey l’y contraigne, mais elle en était incapable physiquement. Il avait
vingt-cinq bons centimètres de plus qu’elle et elle lui rendait quinze kilos.
L’intervention de la voisine était tombée au bon moment.
D’un
côté, cela avait rendu les choses plus difficiles. Même dans ses cauchemars les
plus noirs, autant il s’était fait à l’idée de recevoir la fessée de sa femme,
autant il n’aurait jamais pensé qu’elle lui serait administrée en présence
d’une tierce personne et encore moins de la voisine.
D’un
autre côté, son intransigeance avait grandement facilité le saut dans le vide
qu’il devait faire. Elle lui avait fourni un prétexte, tout ce qu’il y avait de
plausible, pour qu’il se retrouvât dos au mur et dût faire un choix. En fait,
ce n’en était pas un. Dans l’alternative qu’elle lui avait proposée, les deux
solutions le menaient à la fessée. La moins pire des deux consistait à se
soumettre à la punition qu’Audrey avait décidé de lui administrer.
Le
moment le plus difficile avait été pendant qu’Audrey le déculottait. Une bouffé
d’angoisse l’avait submergé quand elle lui avait baissé le pantalon. Elle avait
été encore plus forte quand ce fut au tour de sa culotte. Il n’avait plus
l’habitude d’exposer son intimité depuis que l’âge lui avait appris que cela ne
se faisait pas. A part un épisode éprouvant devant une infirmière quand il
avait quatorze ou quinze ans, nul n’avait vu ses fesses nues jusqu’à ce qu’il
se marie avec Audrey. Et encore, il avait eu un moment d’hésitation quand elle
avait exigé que la lumière restât allumée le premier soir où ils avaient fait
l’amour ensemble.
Il
avait dû mettre sa pudeur de côté, malgré la présence de la voisine. Non, ce
n’était pas cela. Malgré sa honte, il n’avait rien pu faire pour ménager sa
pudeur qu’Audrey avait décidé d’ignorer. Il avait cru mourir de honte quand sa
culotte, descendant le long de ses cuisses, avait dévoilé son pénis et ses
bourses. Il n’en avait rien été, ce qui était encore pire.
Étrangement
son niveau d’angoisse avait nettement diminué, pourtant sa tenue était tout
aussi impudique que pendant la fessée. Ce n’était pas que la position qu’Audrey
lui avait fait prendre au coin, cachât ses attributs sexuels. Au contraire.
Bien qu’ils ne soient plus à la vue des deux femmes derrière lui, chacune savait
qu’ils étaient exhibés comme le reste et qu’il n’avait pas l’autorisation de
retrouver une tenue décente.
La
fessée avait changé son statut. Audrey avait maintenant autorité sur lui. Il en
était parfaitement conscient. C’est elle qui avait maintenant la responsabilité
de tout ce qui le concernait. Il se doutait que cela irait bien plus loin qu’il
le souhaitait.
Il
se serait senti rabaissé s’il avait tranquillement accepté de recevoir la fessée
de son plein gré. Là, elle lui avait été imposée. L’honneur était sauf. Audrey
pouvait le menacer, à tout moment, de recourir à une escouade de voisine pour
le contraindre à accepter les punitions qu’elle déciderait de lui infliger.
Il
ne doutait pas que la solidarité entre fesseuses jouerait automatiquement. Il y
avait la voisine et les deux dames du troisième ainsi que celle qui avait
raconté partout qu’elle avait donné une fessée sur le palier à l’une des filles
du troisième, et aussi celle qui avait renchérit en expliquant que c’était
plusieurs semaines auparavant que, chez elle, elle avait sévi, sans compter
toutes celles qui ne se gênaient pas pour approuver l’idée de corriger les
contrevenants… cela faisait un nombre considérable de personnes à qui faire
appel en cas de besoin. Même en cas d’absence de quelques-unes, il en resterait
assez pour le déculotter de force et le fesser. Il fallait être lucide. Le long
temps de réflexion au coin l’y aidait.
Il
n’avait donc plus le choix. Curieuse sensation. Il se sentait ramené à l’état
de petit garçon ce qui, à la fois, l’effrayait, mais le soulageait également.
Il y aurait des moments difficiles, les fessées par exemple. Il ne se doutait
pas, jusqu’à maintenant, qu’Audrey pouvait lui causer une telle douleur
uniquement avec sa main nue appliquée sur ses fesses. Mais il pouvait
maintenant s’abandonner entre les mains de sa femme. Il s’y sentait en sécurité,
sentiment qui le ramenait à sa petite enfance.
S’abandonner,
ce n’était certainement pas le terme qui convenait. Audrey pouvait dorénavant
lui imposer des règles drastiques et beaucoup plus de travail, notamment
domestique, que ce qu’il faisait jusqu’à maintenant. Mais le poids des
responsabilités qu’il sentait sur ses épaules depuis qu’il était majeur et que
son mariage avait encore alourdi, avait quasiment disparu.
La
vie serait bien plus simple puisque c’était à Audrey de prendre, dorénavant,
les responsabilités et les décisions. C’est elle, en particulier, qui décidera,
en baissant sa culotte, des lieux et des personnes devant qui, il sera
convenable d’exposer ses fesses et ses organes sexuels nus. Sa pudeur en
souffrira, bien sûr, mais bien moins que quand il fallait en décider lui-même,
y compris quand c’était dans l’intimité. L’obéissance avait des inconvénients,
mais elle avait aussi des avantages.
Audrey
portait un plateau quand elle revint dans le séjour où son mari patientait
toujours au coin.
« Je
vous en prie, prenez place. Là si vous le voulez ! »
Une
personne prit place dans un fauteuil.
« J’espère
que c’est bien la voisine, pensa le jeune homme qui se tenait au coin. C’est
bien assez pour aujourd’hui d’avoir dû lui montrer mes fesses à elle. Pourvu
qu’il n’y ait personne d’autre. »
La
voix le rassura.
« Je
vous remercie.
–
C’est moi qui vous remercie. Vous m’avez rendu un grand service. »
Il
y eut un bon moment d’échange de politesses et d’amabilités qui déboucha sur un
court silence.
« Croyez-vous
que je devrais le mettre au coin sur la palier, comme les deux
filles ? »
Dans
son coin, il faillit s’étrangler.
« Je
ne pense pas. Pas aujourd’hui. Vous allez être amenée à le fesser très souvent
à partir d’aujourd’hui. Je crois que vous ne devez rien lui passer, surtout
dans les premiers mois : aucune désobéissance, ni impolitesse ni
insolence, pas de négligence… tout doit se traduire en une fessée.
–
Rien lui passer, dites-vous ? Comme de refuser de me laisser le
déculotter ?
–
Bien entendu. C’est une désobéissance très grave.
–
Je dois donc lui donner une deuxième fessée, dès ce soir, pour avoir fait
obstacle à son déculottage.
–
Ce serait une bonne idée.
–
Nous sommes d’accord. Il aura donc une fessée après le dîner. Mais je vous ai
interrompue à propos de la mise au coin dans le couloir.
–
Oui, je disais donc que vous devrez le fesser très souvent.
–
Certainement !
–
Vous devez donc garder des réserves de sévérité.
–
Comment cela ?
–
La rigueur des fessées que vous lui donnerez devra être fonction de la gravité
des écarts qu’il commet : une désobéissance volontaire, une récidive, si
ses actes le mette en danger, lui ou quelqu’un d’autre… ce genre de choses.
–
Ah oui, je vois !
–
Vous devrez alors lui donner une fessée bien plus sévère qu’aujourd’hui. »
Il
n’en croyait pas ses oreilles. Bien plus sévère… était-ce possible ?
Certainement ! Que diable, pourquoi avait-il mis le pied sur cette
galère ?
« Vous
avez alors plusieurs possibilités, continua la voisine. Il y a bien sûr le
recours aux instruments punitifs. Vous avez, à coup sûr, une ceinture dans l’un
de vos placards. Tenez, celle qu’il y a là entre les passants de son pantalon
fera l’affaire. Mais vous devez également avoir une règle d’école, plate, en
bois ou encore une brosse au dos plat avec un manche solide. Tout cela fera
l’affaire !
–
Oui, bien sûr, il suffit d’y penser.
–
Vous pouvez acheter un martinet. Ne prenez pas ceux que l’on trouve dans le
commerce. Ils sont inefficaces pour des adultes. Teva, la sœur de Maeva qui est
au coin sur le palier a trouvé un cordonnier qui les fabrique sur commande.
Elle vous en donnera certainement l’adresse.
–
Je la lui demanderai.
–
Vous pouvez également envoyer votre garnement cueillir une badine dans l’arbre
qui est au milieu de la cour. C’est ce que j’ai fait avec les deux filles. Ça
fait une fessée qui laisse des marques pour plusieurs jours.
–
Je retiens cette idée. Elle est excellente ! »
S’il
en avait eu le droit, il en aurait hurlé. De quoi administrer des fessées bien
plus sévères, effectivement. Les corrections d’Audrey risquaient d’être bien
plus difficiles à absorber que prévu.
« Pour
ce qui est de la mise au coin, je vous la recommande systématiquement. Aller
réfléchir au coin après une bonne fessée, la culotte baissée, permet d’y
prendre de bonnes résolutions. En général, ils en reviennent prêts à demander
pardon, ce qui est indispensable. Par contre, gardez la mise en pénitence sur
le palier pour un écart plutôt important. C’est humiliant de montrer ses fesses
à tous les passants.
–
Vous avez raison, allons-y par étapes. »
Il
n’en croyait pas ses oreilles. Impossible qu’il finisse un jour au coin sur le
palier. Et pourtant… Qu’aurait-il fait si Audrey avait décidé de l’y mettre
aujourd’hui ? Risquer une autre fessée ? Avec l’un des instruments
dont la voisine avait fait l’éloge ?
« Quant
aux personnes devant qui vous le fesserez ou à qui vous demanderez de le corriger, ce n’est pas une question de sévérité.
–
Ah, j’aurais pourtant pensé…
–
Non, voyez-vous, cela dépend du moment et du lieu où son comportement laisse à
désirer et des personnes envers qui il se montre effronté. Vous pourrez
toujours choisir de ne le punir qu’en privé, mais cela oblige à différer la
punition. Ce n’est pas souhaitable. Une bonne fessée déculottée administrée sur
le moment, en présence des personnes qui ont été témoins de son écart, voire
donnée par la personne envers qui il a été désobligeant, je vous assure que
cela apprend à vivre.
–
J’imagine, en effet ! »
Il
avait, lui, du mal à imaginer. La fessée déculottée devant tout le monde ?
Donnée par une autre personne qu’Audrey ? Ce serait bien plus humiliant.
Audrey semblait s’être rangée à l’avis de la voisine. Il devait éviter cela à
tout prix.
« Si
j’osais, commença Audrey, je vous demanderai bien quelque chose.
–
Je vous en prie, faites !
–
C’est ce que vous avez dit, il y a quelques minutes, qui m’a troublée.
–
A quel sujet ?
–
Vous avez dit qu’il ne faut rien lui passer, surtout dans les premiers temps.
–
En effet, c’est bien ce que j’ai dit.
–
Oui, mais ce n’est pas ce que nous avons fait.
–
Que voulez-vous dire ?
–
Quand vous êtes entrée dans le séjour, je crois me rappeler que mon cher mari a
été tout, sauf poli avec vous. C’était de l’insolence, limite vulgaire.
–
Vous avez raison ! Vous êtes observatrice. Votre mari n’en sera que mieux
surveillé. Dans le feu de l’action, je ne l’avais pas relevé. J’étais surtout
préoccupée par la fessée que vous deviez lui donner.
–
Maintenant que cette première fessée a été administrée, ne serait-il pas tant
de revenir sur ce qui en nécessite une autre ?
–
Ah oui, bien sûr. Vous devez le punir pour cela aussi.
–
Si j’applique les principes que vous m’avez si généreusement exposés, ce n’est
pas moi qui dois le punir, mais vous.
–
Moi ? Mais… et bien oui, vous avez raison ! Vous pensez que je peux…
–
Non, je vous le demande. Voulez-vous bien donner à mon mari la fessée qu’il a
méritée en étant insolent avec vous ?
–
Et bien je ne vois pas comment je pourrais refuser. »
La
voisine marcha jusqu’au coin. Elle prit l’oreille du jeune homme qui s’y
trouvait et en tirant elle le sortit de là où il était.
« Non,
Audrey, non… pardon… je ne le ferai plus… Audrey, s'il te plait, pas
ça ! »
Cette
longue supplique n’avait pas interrompu la préparation de la voisine.
Maintenant que la fessée était décidée, plus rien ne pouvait l’arrêter. Elle
avait passé son bras autour de la taille du jeune homme et en pesant sur son
dos de son coude, elle l’obligea à se courber.
« Tu
es trop grand pour moi. Mets-toi à genoux ! »
Comme
il ne réagissait pas tout de suite, elle s’appuya sur son dos de tout son poids
et sa main vint frapper dans le pli, derrière les genoux. Il tomba sur ses
genoux, au pied de la voisine.
« Ecarte
un peu tes genoux ! »
Il
était hébété à la pensée de ce qui se préparait. Les mains de la voisine qui
s’était emparées de son corps le brûlaient à chaque fois qu’elles le
touchaient. C’étaient des mains étrangères qui s’immisçaient dans son intimité
et qui, contre sa volonté, se posaient partout où elles en avaient besoin pour
le préparer à recevoir une fessée. Il n’aurait jamais cru que cela pouvait lui
arriver. Il sentit un bras entourer son buste et une main se glisser sous son
ventre, à toucher sa toison pubienne, à quelques centimètre de sa verge, une
main qui appartenait à une personne à qui il avait à peine parlé pendant dix
minutes en deux ans.
Un
pied cherchait à se glisser entre ses jambes. Il les écarta un peu pour lui
laisser de la place dont le pied prit possession aussitôt. La voisine le plaqua
contre sa cuisse, puis elle releva la chemise qui était tombée sur ses fesses.
Son bras gauche était passé derrière le dos de la voisine, le droit était
libre, mais il avait compris qu’il ne devait pas s’en servir pour protéger ses
fesses.
La
main de la voisine frappa sa fesse gauche. Il tenta d’avancer pour éviter la
claque suivante, mais son bassin fut arrêté par la jambe de la voisine et il
dut rester en place, là où il reçut une deuxième claque sur les fesses, du côté
droit, tout aussi forte que la première. Il se rappela à temps de ne pas
interposer sa main libre, alors qu’il en avait la possibilité. C’était tentant,
mais interdit et les conséquences en étaient évidentes : une autre fessée.
Il devait se contrôler.
Il
serra les dents pour ne pas crier le temps que la voisine lui assène une bonne
dizaine de claques sur chaque fesse. Il avait envie de crier pour évacuer la
douleur qui se concentrait sur ses fesses, mais sa fierté le lui défendait. Stupide
orgueil masculin !
La
voisine sourit.
« Il
y viendra bien, pensait-elle ! Il suffit d’attendre. »
D’attendre
et d’accentuer la pression en accélérant le rythme de la fessée. Les claques se
firent plus rapprochées. Il y eut deux ou trois grognements retenus, puis un
étouffé au dernier moment quand la main de la voisine visa le haut de la
cuisse, légèrement à l’intérieur. Elle insista, au même endroit, deux, trois,
quatre fois et un cri franc résonna dans la pièce.
« Nous
y sommes, pensa la voisine ! »
Il
y eut un deuxième cri qui n’alla pas au bout, puis il éclata en sanglots qui ne
cessèrent pas jusqu’à la fin de la fessée. La voisine continua sans ralentir le
rythme ni économiser la force qu’elle y mettait. Cette première fessée qu’elle
lui donnait devait être mémorable. Les suivantes seraient plus simples. Il
saurait maintenant qu’il ne pouvait pas résister à une correction qu’elle
donnait. Cela faciliterait les prochaines et pour lui et pour elle.
Elle
lui donna une dernière série de claques, le plus fort qu’elle pouvait, bien
détachées l’une de l’autre pour finir. Elle le garda dans cette même position,
le temps qu’il retrouve ses esprits. Si l’on faisait abstraction de ses fesses
qui le brûlaient affreusement, il se sentait à sa place, là où il était, le
visage enfoui dans les plis de la robe de la voisine qui épongeait ses larmes.
La main qui l’avait fessé passait dans ses cheveux. Il aurait voulu que cela ne
s’arrêtât jamais. Ce ne fut pas le cas. Une sérieuse tape sur les fesses lui en
donna le signal.
« Allez,
debout et retourne au coin ! »
Il
se leva difficilement. Ses genoux dont les articulations s’étaient ankylosées,
le faisait souffrir. Rien de comparable avec ses fesses. De ce côté-là, c’était
une fournaise qui lui emportait le postérieur. Les premiers pas furent
difficiles, mais il tenait à montrer son obéissance. C’était son seul souhait à
ce moment-là. Il fallait que la voisine soit satisfaite de son comportement. Il
reprit sa place au coin, reprenant la même position que celle qu’il avait,
avant cette deuxième fessée.
Voyons, voyons, Maeva, Teva... ça me dit quelque chose
Eh bien oui ! Nous les avons déjà croisées. Rappelez-vous c'était dans le chapitre 93 d'Axel au supermarché que nous avons fait la connaissance de la jeune fille et, dans le chapitre 98, de sa sœur si sévère.Il faut suivre si l'on veut comprendre, donc avoir lu ce qui a précédé
Voici le début du récit : le chapitre 1
Mais, ce n'est pas fini
Y a-t-il une suite ? Bientôt, bientôt peut-être. Allez, je lâche le morceau : c'est sûr, mais il faut attendre la semaine prochaine.
Bravo très beau récit fesser par sa femme et la voisine et déculottée au coin huummm j'aimerai être à sa place
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