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dimanche 3 novembre 2024

Séjour d’éducation et de discipline chez papa et maman - le jeudi 11 juillet 2024

La suite du récit du denier séjour de Juliette à la maison

9 H

J’ai descendu l’escalier, maman et papa étaient déjà debout et en train de préparer le petit déjeuner.

« Bonjour Maman. »

« Tu as bien dormi ? » m’a demandé maman.

« Oui, très bien dormi, maman. »

« Bonjour papa. »

« Bonjour Juliette. »

« Tu prends toujours café au lait ? » m’a demandé papa.

« Oui, papa. »

Il y avait déjà des viennoiseries sur la table, il y avait aussi du jambon et des saucisses. C’était un petit déjeuner bien copieux.


10 H

J’ai aidé maman à faire un peu de ménage, le temps passait vite, maman m’a dit que nous allions faire une promenade au bord de la mer cet après-midi.


15 H

Après le déjeuner et une bonne sieste, nous sommes partis au bord de la mer. C’est moi qui conduisais, maman n’avait pas l’air très assurée.

Le temps n’était pas terrible, il faisait froid et humide, quand nous sommes arrivés, il y avait un peu de pluie. Heureusement, la pluie n’a pas duré très longtemps, j’ai admiré le paysage de la côte bretonne malgré le mauvais temps, mais c’était toujours agréable de faire une promenade avec papa et maman.

Maman a un talent d’être présentatrice, elle a fait des super gestes et des super paroles qui sont d’ailleurs drôles. J'ai fait plusieurs vidéos afin de graver ces bons moments.

Papa a acheté des huîtres toutes fraiches au bord de la mer et nous sommes rentrés.

Sur la route de retour, maman a surveillé ma vitesse en voiture.

« Juliette, tu roules trop vite ! »

« Maman, ça va, il n’y a personne ! »

« Juliette, n’oublie pas de mettre le clignotant ! »

« Oui, maman ! »

« Juliette, tu as dépassé la limitation de vitesse ! » Et tu vas recevoir une punition ! » m’a dit maman.


17 H45

Nous sommes rentrés à la maison sans tarder, ma punition a été déjà annoncée par maman.

« Tu vas écrire 1 page recto verso cette phrase : Je ne dois pas dépasser la limitation de vitesse quand je conduis. »

« Maman, je ne veux pas écrire 2 pages. »

« Ce n’est pas à toi qui décides. »

Maman a déjà sorti des feuilles blanches et un stylo : « Je vais promener les chiens et quand je rentre, tu as intérêt à avoir fini d’écrire ! »

Je n’avais vraiment pas envie d’écrire autant de fois la même phrase, du coup, j’ai décidé de tricher un peu.

Maman a dit une page, mais elle n’a pas dit la taille de mot, donc, j’ai écrit en grand, même très grand et j’ai laissé beaucoup d’espace entre les lignes. J’ai fini assez vite et j’étais contente de moi.

Papa était en train de préparer le dîner, il a vu ce que j’ai fait et il m’a dit :

« À mon avis, ça ne va pas plaire à maman. »

Après quelques minutes, maman est rentrée, elle a vu la feuille et elle a tout déchiré.

« Tu vas réécrire correctement maintenant ! »

« Mais, je ne veux pas écrire ! De plus, je n’ai pas dépassé beaucoup ! » J’ai fait un caprice.

Maman est allée chercher quelque chose en arrière-cuisine, elle est revenue avec le collier de chien qui est assez grand en cuir. Je n’avais pas compris en ce moment-là que ça sert à quoi. La conséquence est tombée aussitôt, maman s’est installée sur une chaise.

Elle m’a tiré vers elle, mon pantalon et ma culotte ont été aussitôt baissés, je me suis trouvée déjà à ventre plat sur ses genoux.

SLAC SLAC SLAC

Aïiïe! Aïiïe! Aïiïe!

Le collier a été transformé en ceinture et maman n’a pas hésité une seconde pour bien l’appliquer sur ma peau.

Juste trois coups, mes fesses ont déjà bien senti la douleur, maman a arrêté quelques secondes, SLAC, encore un coup, je me suis tortillée partout et j’ai crié : « Maman ! »

Maman m’a laissé à chaque fois quelques secondes pour que je puisse reprendre mon souffle. Je ne savais plus que dire, la douleur a envahi mon corps.

SLAC !

« Maman » J’ai poussé un cri presque en pleurant.

CLAC, CLAC, CLAC,

Maman a repris sa main, gauche, droite, gauche, droite, sa main était très ferme, bien appuyé sur mes fesses, mais pas trop vite, j’ai bien senti la douleur à chaque fois quand sa main est tombée.

Je ne savais pas combien de claques que j’ai encaissé, Maman m’a ordonné :

« Mets-toi debout »

J’ai eu un peu de mal à me lever, mais j’ai réussi quand même.

Je pensais que ma punition s’est arrêtée là, mais malheureusement maman m’a dit : « Penche-toi à l’avant ! »

Elle a passé son bras autour de ma taille, je me suis penché légèrement à l’avant, les jambes serrées, maman a commencé à me donner des bonnes claques.

Sauf que ces claques sont devenues de plus en plus fortes et de plus en plus vite, c’était comme une tempête de pluie, ça tombait si fort et si vite, je ne sentais plus rien à part de la chaleur sur mes fesses.

Maman a alterné sa main, mais la fessée n’arrêtait pas, j’ai serré mes dents et presque fermé mes yeux, la douleur m’a fait pencher de plus en plus vers l’avant, heureusement, il y avait une chaise devant moi et j’ai mis mes mains sur le dos de chaise pour me maintenir.


« Alors, tu vas m’obéir et écrire cette phrase ? » m’a demandé maman.

« Oui, maman ! » lui ai-je répondu avec une petite voix.

« Va au coin et boire un coup. » Maman m’a lâché en me demandant.

J’ai mis mes deux mains sur le dos de chaise, mon visage était contre mes mains, j’ai pris une grosse fessée et j’ai eu mal à reprendre mes souffles.

Mais je n’ai pas osé désobéir à maman, je me suis dirigée vers le coin, maman a mis une bouteille d’eau à mes pieds. J’ai pris deux gorgées d’eau et j’ai mis mes mains derrière mon dos.

Mes fesses étaient brûlantes, la chaleur et la douleur restaient sur mes fesses. Je n’ai pas osé de les toucher, car papa et maman étaient juste derrière moi.


Après, je ne savais pas combien de minutes, maman est venue derrière moi :

« Juliette, remets ta culotte et ton pantalon, tu vas finir à écrire ! »

« Oui, maman. »

Je me suis retournée à ma place, j’ai eu un peu mal à m’asseoir, mais je n’ai pas eu de choix.

J’ai copié la phrase sur toute la feuille recto verso en respectant bien la taille des mots et l’espace entre les lignes.

« Maman, j’ai fini », lui ai-je annoncé avec une petite voix.

Maman est venue me voir en vérifiant toutes les phrases que j’ai écrites.

Elle était contente que j’aie fini et que je lui ai obéi.

« Très bien, Juliette ! » « Tu vois que tu peux le faire, va te laver les mains et on ne va pas tarder à dîner. »

« Oui, maman. »


20 h

Papa a déjà tout préparé, les huîtres et la sauce.

J’ai eu un peu mal à m’asseoir et j’ai essayé de ne pas trop bouger mes fesses.

« Maman, tu m’as donné une grosse fessée », j’ai regardé maman en lui parlant.

« Non, c’est une moyenne fessée et tu l’as bien méritée ! » m’a répondu maman.

Les huîtres étaient excellentes et la salade du jardin était super bonne.

Nous avons discuté de l’activité pour demain, papa et maman ont toujours su comment accueillir leurs hôtes, l’ambiance était très chaleureuse.


21 h 20

Nous avons fini de manger, j’ai aidé à débarrasser de table. Je ne savais plus pour quelle raison le mot « merde » s’échappait de ma bouche.

« Pas de gros mot, Juliette ! »

« Ça va, maman, n’exagère pas », lui ai-je répondu pas très contente.

« Ah, oui, c’est moi qui exagère ? »

Je n’ai même pas eu le temps de me râler, maman a déjà baissé mon pantalon et ma culotte, je me suis retrouvée de nouveau à plat ventre sur ses genoux.

Les claques sont tombées très vite, mes fesses avaient encore mal de la fessée précédente, j’ai eu mal à supporter une nouvelle fessée ;

« Maman, maman, désolée ! »

Maman n’a pas eu l’air de s’arrêter, on entendait très bien le son de sa claque quand sa main a bien appuyé sur mes fesses.

Aïe ! Ouille !

Gauche, droite, gauche, droite…

Maman était infatigable à me donner une bonne leçon.

Je ne comptais plus ni le temps ni le nombre de claques encaissées, tout ce que je souhaitais était que la fessée s’est arrêtée.

Après quelques minutes, enfin, j’ai entendu cette phrase :

« Relève-toi et mets-toi au coin. »

« Oui, maman. »

Comme d’habitude, j’ai mes fesses en l’air toutes rouges et mes mains croisées dans le dos. Cette fois, la pénitence n’a pas été très longue, maman m’a libérée après quelques minutes.


22 H 30.

J’ai pris une bonne douche et j’ai regardé mes fesses dans le miroir, elles étaient encore un peu rouges. Je suis montée dans ma chambre et j’attendais le meilleur moment.

Maman est rentrée dans ma chambre avec la bouteille magique.

« Maman, tu m’as tapé fort aujourd'hui. »

« Qui a fait des bêtises ? » m’a demandé maman.

« Moi… »

« Et alors… »

Maman a mis la crème partout sur mes fesses et ça faisait du bien à mes fesses.

« Allez, tu vas faire un bon dodo. » Maman a caressé mon dos.

« Oui, maman, bonne nuit. »

« Bonne nuit Juliette ! » « Demain, ne te lève pas avant 9 h, d’accord ? »

« Oui, maman ! »


Malgré les sévères fessées que j’ai reçues aujourd’hui, j’étais très contente d’être encadrée et de passer un super moment avec papa et maman.

Merci papa !

Merci maman !


Le précédent récit


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L'expérience de Juliette de Josip avec Huguette ou de Marc avec sa femme vous inspire ? Vous inquiète ? Vous interroge ?

Vous avez vécu des situations analogues, soit en recevant ou en donnant la fessée à un autre adulte ? 

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