samedi 10 décembre 2016

Fabien - chapitre 10

Durant toute cette année, la qualité du travail que je pouvais fournir a été une préoccupation de beaucoup de personnes. L’école supérieure de commerce où j’étudiais faisait une sélection impitoyable. Ceux qui n’avaient pas d’assez bons résultats étaient écartés. Nombre de mes camarades en firent les frais. Appelés dans le bureau de la directrice de l’école, il leur était simplement expliqué qu’au vu de leurs notes, ils ne pouvaient continuer à suivre les cours. Du jour au lendemain, ils disparaissaient de l’école. Les deux premiers mois, nous vîmes ainsi fondre les effectifs.
Mes résultats des premières semaines furent médiocres. Les fessées que Madame Leblanc m’administrait, me permirent de me maintenir juste au niveau requis, puis d’intégrer le groupe de ceux qui tenaient la tête de la classe, dès les premières semaines après les vacances de Noël. Mes résultats d’anglais passant de médiocres à moyens grâce à la sévérité de Carole, je n’ai eu que très peu de soucis de niveau scolaire pendant la seconde partie de cette première année d’études à l’ESC.
Toutefois, l’année ne se passa pas sans difficultés. Elles se concentrèrent, dès le début de l’année, sur le cours d’économie que dispensait Madame Bruno.

J’avais utilisé le cours d’économie comme un prétexte pour tenter d’éviter une punition. Madame Bruno, visiblement au courant des méthodes employées par Madame Leblanc, m’avait menacé de la fessée. Je m’aperçus qu’à cette occasion, j’avais attiré son attention. C’était une erreur que je n’ai pas cessé de regretter tout au long de l’année. Je me rappelle parfaitement la première fois où la démonstration m’en fût faite.
C’était un cours qui se déroulait en fin de matinée, juste avant la pause méridienne. Je ne sais plus de quoi nous parlait Madame Bruno, mais je sais que cela ne m’intéressait pas beaucoup. Nous étions lancés, avec mon voisin dans une conversation à voix basse à chaque fois que le professeur se tournait pour noter un point important sur le tableau. Ce manège durait depuis un petit moment quand je fus interpellé :
- »Fabien, s’il vous plait, si vous voulez parler à ma place, ne vous gêner pas. Venez ici et faites le cours. »
Je baissais le nez sur mon cahier, subitement absorbé par ce que j’y avais écrit auparavant.
- »Je compte ne plus vous entendre d’ici la fin du cours. Dites le également à votre voisin. Cela m’évitera d’avoir à sévir ! »
Je ne sais pas ce que pouvaient signifier ces derniers mots pour mes voisins. Pour moi, ils recelaient une ambiguïté que je ne tenais pas à éclaircir. Je gardais, en effet, en mémoire ses paroles quelques jours plus tôt :  » je me chargerais moi-même de vous administrer une fessée déculottée, » m’avait-elle promis. Je n’étais pas sûr qu’elle ose passer à l’acte, mais la prudence s’imposait. Je décidais de faire profil bas durant le reste du cours.
J’avais presque réussi à passer l’épreuve quand, tout à la fin du cours, par maladresse je fis tomber un livre de mon pupitre. Cela aurait pu passer inaperçu si un peu de bruit avait occupé l’espace sonore à ce moment là. Malheureusement pour moi, c’était à un moment où nous avions été priés de réfléchir à une question que Madame Leblanc avait jugée pertinente. Un silence religieux régnait dans la sale de classe. Mon livre, en heurtant le sol fit l’effet d’un coup de tonnerre qui fit sursauter toute la classe, déclenchant des commentaires amusés de mes camarades et quelques rires vite réprimés d’un simple regard de notre professeur.
- »Fabien, je vois que vous n’avez pas renoncé à amuser vos camarades. Je dois avouer que je goûte modérément la plaisanterie ! »
- »Mais non, Madame, je ne l’ai pas fait exprès. »
- »Bien entendu, votre livre est tombé tout seul, juste au moment où le silence était complet. »
- »Oui Madame », cette réponse maladroite déclencha un rire qui se propagea dans toute la classe.
- »Euh, non Madame, » m’empressais-je de rectifier.
- »Je crois que cela suffit pour aujourd’hui ! » répliqua Madame Bruno en élevant la voix. Le rire collectif fût stoppé net.
- »Fabien, vous passerez me voir à la fin de l’heure, nous aurons à parler. »
Il n’y avait pas plus de cinq minutes à attendre mais je les passais fort mal à l’aise en me demandant ce qui allait se passer lors de mon entretien avec le professeur. Allait-elle me signifier mon renvoi ? Allais-je avoir une mauvaise note signifiant une punition dès mon retour à la maison ? Allait-elle se contenter de renouveler ses menaces ? Ce serait encore l’hypothèse la moins catastrophique ! Je m’efforçais de me persuader que mettre ses menaces à exécution était exclu. Même à l’école primaire, cela ne se pratiquait plus. A 18 ans, j’étais bien trop grand pour être puni de cette façon, quoique chez madame Leblanc, cet argument n’ait pas cours.
J’en étais là dans mes pensées quand retentit la sonnerie annonçant la fin du cours. Tous mes condisciples se hâtèrent de sortir de la classe, me laissant seul avec Madame Bruno. Je me levais et je m’approchais du bureau où elle remplissait un imprimé. Je me tenais debout devant elle, ne sachant quelle contenance adopter.
- »Vous avez dit que vous vouliez me voir ? » interrogeais-je au bout d’un petit moment.
- »Je n’ai pas le temps de m’occuper de vous pour l’instant. Allez donc vous mettre au coin ! »
Elle me désignait de son doigt pointé l’angle de la pièce le plus proche de son bureau. Je regardais l’endroit qui m’était indiqué, incertain sur ce que je devais faire. « Au coin ! » C’était une punition pour petit enfant ! Elle n’avait quand même pas l’intention de me l’infliger.
- »N’avez-vous pas entendu ? Faut-il que ce soit moi qui vous y conduise ? » Ses yeux s’étaient assombris devant clairement menaçants. En une seconde, j’imaginais les conséquences d’une désobéissance : renvoi de l’ESC, punition à la maison, … Il était préférable de céder quoi que cela puisse coûter à ma fierté.
- »Euh, non, non, j’y vais ! »
Je marchais lentement vers le lieu de ma punition. En y arrivant je marquais une hésitation.
- »Allons, le nez dans le coin, les bras croisés dans le dos. Je ne veux plus ni vous voir, ni vous entendre ! »
Je me tournais face à l’angle de la pièce, y coinçais mon visage. Puis je croisais mes bras dans mon dos et je me mis à attendre. Je priais pour que personne n’entre dans la pièce. Ma position n’aurait pas manqué de provoquer des commentaires railleurs. Tourné comme je l’étais, je ne pouvais pas observer ce qui se passait dans la pièce. Seuls quelques bruits que provoquait Madame Bruno me renseignaient sur ce qui se déroulait dans mon entourage immédiat. Si qui que ce soit entrait dans la pièce, je ne pouvais pas m’en apercevoir et prendre une position plus adaptée à mon âge, avant qu’on se rende compte que j’étais puni au coin.
Au bout d’un long moment, j’entendis Madame Bruno se lever et un bruit de chaise qu’on soulève et qu’on repose un peu plus loin.
- »Venez ici, Fabien ! »
Je me tournais et je marchais vers mon professeur. Elle avait placé la chaise au milieu de l’estrade, dans un endroit dégagé et s’y était assise, attendant que je m’approche. Je me plaçais devant elle, me sachant trop quoi faire de mes mains que je laissais finalement pendre de chaque coté.
- »Jeune homme, je n’ai pas l’intention de faire les frais de vos plaisanteries douteuses durant toute l’année. »
- »Mais Madame … » Je tentais de prouver ma bonne foie.
- »Silence ! Je vous conseille de vous taire et d’écouter. Je ne vous ai pas autorisé à parler, encore moins à m’interrompre ! Je vous promets que c’est la dernière fois que vous faites le pitre dans mon cours. Je vais vous ôter toute envie de recommencer. Je vois que vous n’avez pas pris mon avertissement de la dernière fois au sérieux. Vous avez eu tort. Vous aller recevoir une fessée magistrale ! »
A cette annonce, j’eus l’impression que mon estomac se liquéfiait. Je devins blême. Recevoir la fessée à l’école et à 18 ans me semblait relever du cauchemar. Il restait, bien sûr, l’option de résister, mais je savais que Madame Bruno avait des contacts avec Madame Leblanc à laquelle elle irait probablement se plaindre.
De plus, étais-je si certain de pouvoir, par la force, éviter de recevoir la fessée ? La dernière fois que je m’y étais essayé avec Madame Leblanc, cela n’avait pas été convainquant, si on se place de mon point de vue, cela s’entend.
Pouvais-je prendre le risque de prendre une fessée ici alors que n’importe qui pouvait entrer et assister à ma punition ou en entendre le bruit en passant simplement dans le couloir ? Quelle contenance prendre quand toute l’école serait au courant de la nature de la punition que j’avais reçue ?
Madame Bruno prit la décision à ma place. Elle m’attira au pied de la chaise où elle siégeait et défit ma ceinture avant que je ne me décide à protester. Elle s’attaqua au bouton de mon pantalon quand, par réflexe, j’interposais mes mains.
- »Enlève tes mains de là tout de suite ! »
Son ton était ferme, ma résolution ne l’était pas, j’ôtais mes mains, lui laissant le champ libre pour déboutonner mon pantalon et le faire glisser le long de mes jambes. Elle saisit alors l’élastique de ma culotte et le tira vers le bas.
Mes mains saisirent les siennes et je suppliais :
- »Non, pardon, s’il vous plait, pas la culotte baissée ! »
- »Fabien cela suffit ! Tu as mérité une fessée et je t’avais prévenu qu’elle serait déculottée. C’est trop tard pour pleurnicher. Il fallait y penser avant. Tu me laisses faire ou alors je te descends dans la cour et je te l’administre devant tout le monde. »
Vaincu, j’écartais mes mains et je me retrouvais en un instant cul nu, la culotte chiffonnée à hauteur des genoux. Madame Bruno m’attrapa par le bras et me fit approcher de son coté droit. Poursuivant son geste, elle m’amena encore plus prêt d’elle. Je dus me courber. En perdant l’équilibre, je tombais à plat ventre sur ses genoux, disposé pour recevoir la fessée qu’elle avait décidé de m’administrer. Elle me prit le bras droit et le replia sur mon dos. J’étais immobilisé, prêt à subir sa colère. Etre déculotté sur les genoux de son professeur était une situation humiliante dont je crus ne pas me remettre. Avant même que la fessée ne commence, des larmes coulaient silencieusement sur mes joues.
Sans rajouter un mot, elle leva sa main et la fit tomber sur mon postérieur. Le bruit de sa main claquant mes fesses résonna dans le silence de la classe. L’écho qu’il provoqua n’était pas encore amorti qu’une deuxième fois, sa main vint heurter mes fesses, puis une autre, et encore une autre, … Il me fallu une bonne trentaine de seconde pour me rendre compte que la douleur qui embrasait mes fesses devenait insupportable, tant mon attention était concentrée sur l’incongruité de ma position : recevoir une fessée déculottée par mon professeur.
Puis, Madame Bruno entreprit de diffuser à toute la surface de mes fesses l’inflammation qui gagnait mon postérieur. Ses claques tombaient sans logique précise, mais en fin de compte, n’oubliaient pas le moindre centimètre carré de peau.
Il me semblait que le bruit était entendu de toute l’école, d’autant plus qu’il fût assez vite augmenté de mes pleurs qui, loin d’être silencieux, exprimaient maintenant ouvertement et bruyamment la douleur qui embrasait mes fesses. Comme pendant chaque fessée sérieuse que j’ai reçue, ma préoccupation unique fût bientôt que cesse cette punition. Je ne pouvais, hélas, rien faire pour la raccourcir. Je dus la subir jusqu’à ce que mon professeur estime que j’avais été suffisamment puni.
Quand on vient de recevoir une telle correction, la volonté la plus prégnante est d’éviter une nouvelle fessée. Le désir de désobéir est inexistant. Aussi, quand la main de Madame Bruno cessa de meurtrir mes fesses, je restais sagement allongé sans chercher à m’éloigner du lieu où j’avais été puni.
- »Lève-toi, Fabien, » me dit-elle
Je me redressais, insensible au spectacle de mes fesses et de mon sexe exposés aux regards de la femme qui se tenait devant moi. Mes mains se plaquèrent sur mes fesses pour tenter d’atténuer la douleur qui les parcourait.
- »Retourne au coin, les bras croisées dans le dos ! »
Je me hâtais vers le coin que j’avais abandonné quelques instants plus tôt et je repris la position du petit garçon puni, attendant que la peau de mes fesses daigne refroidir.
Mes sanglots retentirent plusieurs minutes dans le silence de la salle de classe désertée. Sur une remarque de Madame Bruno, apparemment irritée, je baissais d’un ton. Je restais dans cet accoutrement jusqu’à ce qu’il fût l’heure d’aller prendre mon déjeuner. Je reçus l’autorisation de me reculotter et, non sans une promesse de nouvelles fessées, je quittais la pièce sans demander mon reste.
Le lendemain, j’entrais de nouveau dans la classe où Madame Bruno officiait. Bien que mes craintes fussent vives qu’elle fasse allusion publiquement à la punition que j’avais reçue la veille, elle n’en parla pas. Quand elle m’adressa la parole pour m’interroger pendant le cours, son ton ne marqua aucune différence avec les autres élèves.
Je restais sur mes gardes durant toute l’heure de cours, attentif à ce que proposait le professeur, prompt à participer. Je fus irréprochable dans ma conduite : pas le plus petit bavardage, pas ma moindre distraction, … Nous étions presque à la fin du cours quand je remarquais que, pour la deuxième fois, elle grondait Virginie et finissait par ces mots : « vous viendrez me voir à la fin du cours. Nous avons à parler. »
Effectivement, à la fin de l’heure, Virginie adopta la même tactique que moi : traîner pour ranger ses affaires, attendre que tout le monde soit sorti pour se lever et se diriger vers le bureau de Madame Bruno, baisser la tête afin de ne pas affronter le regard de ses camarades. Un examen attentif me révéla la pâleur de son visage.
Etait-il possible qu’elle reçoive également la fessée ? Je n’osais pas m’attarder pour écouter derrière la porte si les injonctions de Madame Bruno et les cris de Virginie confirmaient mon hypothèse. En début d’après-midi, son visage était fermé, ses traits tirés. Ce qui c’était passé n’avait pas dû être particulièrement agréable.
La scène se reproduisit à de nombreuses reprises. Un élève qui avait été particulièrement dissipé était invité à rester après le cours pour « discuter ». Bertrand en fût la victime suivante, puis Guillaume, Agnès fut la suivante.
Le jour où Sandrine fût appelée à rester à la fin du cours, je décidais d’en avoir le cœur net. Sortant de la classe, je me dirigeais vers les toilettes toutes proches où je m’enfermais, attendant que le flot des élèves sortant du cours s’écoule. Prudemment, j’entrebâillais la porte et j’attirais mon nez dans le couloir. Personne en vue, je pouvais faire quelques pas afin d’entendre ce qui se disait derrière la porte close.
- »… inadmissible, je ne tolèrerais pas que vous continuiez sur cette voie. Il est temps que j’intervienne afin de vous montrer ce que vous méritez comme punition ! Venez ici ! » Il y eut une courte pause et Madame Bruno reprit :
- »Baissez moi votre culotte! » Les pleurs de Sandrine commencèrent à devenir audibles même derrière la porte.
- »Allons, sur mes genoux ! »
Quelques secondes et la fessée commença. Le bruit des claques était très net et caractéristique, donnant plus d’ampleur aux sanglots de Sandrine.
La fessée durait depuis plusieurs minutes déjà, quand je sentis une main me saisir fermement le bras. Mon cœur s’emballa.
- »Que faites-vous ici ? »
C’était une surveillante. Elle était en troisième année et assistait l’administration de l’école dans ses tâches administratives et de contrôle des élèves des premières et deuxièmes années. J’avais eu l’occasion de la rencontrer quelques jours auparavant et de discuter librement avec elle. Son prénom me revint à l’esprit.
- »Ah, c’est toi, Aude ! Tu m’as fait peur. J’ai oublié un livre dans la salle de classe et je m’apprêtais à aller le rechercher. Mais j’ai entendu du bruit et j’hésite à frapper à la porte. »
Aude me dévisagea et sous l’intensité de son regard, je rougis jusqu’à la racine de mes cheveux. Je n’avais jamais été très habile pour mentir. Elle prit une moue exprimant son doute et colla son oreille à la porte.
- »Je vois ce que c’est, dit-elle, nous allons vérifier tout cela. »
Avant que je puisse émettre une protestation, elle frappa à la porte.
- »Entrez, » lui fût-il répondu.
M’entraînant dans son sillage, Aude pénétra dans la salle de classe. Sandrine était allongée sur les genoux de Madame Bruno, le pantalon baissé et la culotte en dessous des genoux. La peau de ses fesses était toute rouge. Elle pleurait. Madame Bruno asséna ne dernière fessée puis s’interrompit pour se renseigner sur ce qui avait justifié cette interruption.
- »Fabien prétend qu’il a oublié un livre et qu’il venait le rechercher. Je l’ai surpris, l’oreille collée à la porte, écoutant ce qui se passait à l’intérieur. »
- »Voyons cela, Fabien. Quel livre as-tu oublié ? »
Dans la précipitation, je n’avais pas préparé ma réponse. Je répliquais avec ce qui me passa par la tête.
- »Euh, mon livre de … de … d’économie. »
- »Ton livre d’économie ! Va donc voir si il est à ta place ! »
Je me dirigeais vers le pupitre que j’avais occupé pendant l’heure précédente. Sandrine était toujours dans la même position, gémissant ouvertement.
- »Il n’est pas là ! » dis-je d’un air navré en me retournant vers Madame Bruno, guettant son approbation.
- »Aude, je vous prie, pouvez-vous vérifier que le livre n’est pas dans le cartable de ce jeune homme. »
Le premier ouvrage qu’elle prit en main était le livre d’économie.
- »Comment expliques-tu cela Fabien ? »
- »Et bien, …, en fait, … il y a, … »
- »Je pense que tu devrais t’en tenir là avant d’inventer un nouveau mensonge. Je crois que tu t’es mis dans une position délicate. Il me semble que tu as menti à Aude, puis à moi. De plus, tu étais à écouter derrière la porte pendant que Sandrine recevait la fessée. Ai-je raison ? »
Je ne voyais pas comment me sortir de cette situation sans m’enferrer dans une situation encore plus scabreuse. Mon silence, à juste titre, fût pris pour un aveu.
- »Aude, s’il vous plait, pouvez-vous baisser la culotte de ce jeune homme et lui administrer une fessée pendant que je termine la conversation que j’ai avec Sandrine ? »
- »Bien sûr, Madame, » répondit la jeune fille.
La situation évoluait bien trop vite pour que je puisse tenter de la maîtriser. Aude me défit le pantalon et le baissa, comme si c’était la chose la plus naturelle du monde. Puis, entourant ma taille de son bras gauche, elle pesa sur mon dos, me courbant, mettant mon postérieur en position pour la fessée qui allait suivre. Vaguement, j’entendis les claques s’abattre sur les fesses de Sandrine à quelques mètres de moi. La jeune fille reprit son concert de pleurs et de supplications.
Aude resserra sa prise et baissa ma culotte. Je savais qu’il était inutile de résister, je me laissais faire. Il était préférable d’en finir au plus vite. Les deux femmes nous fessèrent en rythme. Une claque qui résonnait sur mon postérieur recevait son contrepoint sur celui de Sandrine. Puis, le rythme changeait. Deux fessées étaient administrées en même temps sur nos postérieurs. Un percussionniste y aurait sans doute trouvé son bonheur si l’harmonie n’avait été gâchée par les cris de Sandrine, bientôt rejoints par mes pleurs et mes demandes de pardon.
Au bout de longues minutes de ce traitement, les deux femmes nous jugèrent suffisamment humiliés et punis pour nous relâcher. Remis sur nos pieds, il nous fallut aller occuper chacun un coin de la pièce, le nez contre le mur, afin de leur offrir le spectacle de nos fondements écarlates.
Elles se prirent à discuter de leur manière d’administrer la fessée. Madame Bruno, forte de son expérience conseilla utilement la jeune fille, puis s’excusant, elle déclara :
- »Il faut que je punisse Fabien d’avoir espionné pendant que Sandrine recevait la fessée. Je vais vous montrer comment je m’y prends. Fabien, viens ici ! »
Gardant les bras croisés dans le dos, je me rendis à la convocation de mon professeur d’économie. Ma démarche hésitante, due à ma culotte et mon pantalon qui m’entravaient, fit encore grandir mon sentiment de honte. Ma verge rendue toute molle suite à la fessée reçue d’Aude, recommençait à se dresser tout en se balançant, inutile et exposée, entre mes jambes.
Couché sur les genoux de Madame Bruno, je reçus une correction à laquelle assistait Aude. Sandrine, depuis le coin où elle patentait, en était également une auditrice quoique bien involontaire. Mon professeur continua la fessée longtemps après que j’eusse éclaté en sanglots. Renvoyé au coin, j’attendis que Madame Bruno nous ordonne de nous reculotter et de sortir de la salle de classe.
Sandrine et moi n’osions pas nous regarder. Une gêne évidente nous empêchait de continuer les rapports amicaux que nous avions avant : elle m’avait vu culotte baissée recevoir la fessée et moi de même en ce qui la concerne. Chacun était interrogatif sur l’attitude à venir de l’autre. Nous descendîmes un étage avec ces interrogations muettes dans la tête, puis, Sandrine se décida :
- »Tu ne diras rien aux autres n’est-ce pas ? »
Elle venait de toucher du doigt ce qui me tourmentait : que se passerait-il si l’autre décidait de rendre publique la situation que nous avions vécue ?
- »Toi non plus ? » répliquais-je
- »Non, non, ne crains rien, j’aurais bien trop peur que tu te venges en racontant ce qui m’est arrivé. »
Nous échangeâmes un sourire malgré nos yeux encore brouillés par les larmes, tout à la découverte de notre nouvelle complicité.
Cette scène fût le prélude à de nouvelles fessées, Aude se sentant autorisés à me punir. J’en fis les frais à deux reprises.
La première fois, j’étais arrivé en retard au cours du début de l’après-midi. Le professeur de français, considérant que mon retard était inexcusable, refusa de m’admettre dans la classe. A l’ESC, la règle voulait alors, qu’il nous donne un bon d’exclusion que nous devions aller porter au surveillant chargé de la permanence où nous devions attendre le début du cours suivant. C’était Aude qui m’attendait dans une salle déserte. J’entrais et je lui tendis le billet que m’avait remis mon professeur.
- »Tiens donc, Fabien ! Que fais-tu là ? » Elle lu les quelques mots que le professeur avait inscrit sur le billet.
- »Peux-tu m’expliquer comment se fait-il que tu sois arrivé en retard ? »
- »Je n’ai pas fait attention à l’heure. »
- »Je vais t’apprendre à faire attention à l’heure. » Sans autre forme de procès, elle entreprit de défaire la ceinture de mon pantalon. Je reculais hors de sa portée.
- »Fabien, me dit-elle, je te conseille de revenir ici tout de suite. Si tu m’y obliges, je vais faire savoir, à toute l’école, ce qui t’est arrivé la dernière fois que nous nous sommes rencontrés. »
- »Oh non, je t’en prie ! » Je fis un pas en avant me remettant à sa disposition. Lentement, elle reprit mon déculottage en me regardant droit dans les yeux. Je baissais le regard, me soumettant à sa volonté. Ma passivité lui facilita les choses pour baisser ma culotte. Je ne protestais pas plus quand elle m’allongea en travers de ses genoux. La fessée fût rude, sèche, sa main ferme claquait mes fesses régulièrement, m’obligeant à me dandiner sur ses genoux et à laisser éclater ma douleur et ma honte.
Rhabillé, elle m’ordonna d’aller m’asseoir à l’un des pupitres.
- »Maintenant, tu me copies 100 fois : je ne serai plus en retard en cours. »
Assis sur ma chaise, je me mis à écrire, mes larmes coulant sur la feuille où je rédigeais ma punition.
Suite à cette nouvelle correction, il devint évident que je n’avais plus d’autre solution que de me soumettre aux fessées qu’Aude déciderait de m’administrer. Sa menace était efficace et ne faisait qu’augmenter au fur et à mesure des passages à l’acte. J’y fus soumis une deuxième fois quelques temps plus tard.
Les événements n’avaient pas tournés à mon avantage. Cela avait mal commencé dès le début du cours d’histoire où une de mes questions avait été prise pour une insolence caractérisée. Je fus invité, si on peut dire, à attendre la fin du cours de l’autre coté de la porte.
J’étais à attendre le bon vouloir du professeur quand Aude arriva.
- »Fabien, que fais-tu là ? »
Sachant les risques que j’encourrais depuis l’arrivée d’Aude, je ne trouvais rien d’intelligent à répondre.
- »Tu as été mis à la porte ? »
Je ne pus que hocher la tête, conscient de ce qui m’attendait.
- »Qu’as-tu fait ? »
Je dus raconter mes exploits.
- »Bien, je vais te corriger. Si tu penses que faire le pitre est approprié en cours d’histoire, je considère, moi, que la fessée en est la juste punition. Baisse ta culotte ! »
Il n’y avait pas d’échappatoire, je connaissais déjà les risques que je prenais à m’opposer à ses ordres. Je baissais mon pantalon, puis ma culotte.
- »Bon, fit-elle apparemment satisfaite, nous n’allons pas déranger les autres qui travaillent. Avance ! »
Elle me donna une claque sur mes fesses nues et me désigna la porte qui séparait le couloir du pallier. A peine arrivée de l’autre coté, elle me courba sous son bras et la fessée commença. J’en vins vite à supplier, promettant de ne pas recommencer, puis, les larmes débordèrent et ne s’arrêtèrent plus. Fort heureusement, la porte fermée étouffait le bruit de la fessée et de mes plaintes.
Elle arrêta de me claquer les fesses, mais en regardant entre mes jambes, je la vis ôter ma ceinture de ses passants. Bientôt, le cuir fut appliqué sur ma peau nue, renforçant la douleur. Je me mordais les doigts pour ne pas crier et alerter ainsi tous mes condisciples. Malgré la douleur persistante, la fin de cette correction fût une bénédiction. Aude remonta ma culotte et réajusta mon pantalon.
- »Tu te mets au coin en attendant la fin du cours. Je dois m’en aller, mais je vais revenir. Si tu n’es plus en position, je recommence la fessée. »
Me le tenant pour dit, je pris la position, le nez contre le mur.
Je la quittais in extremis, juste quand mes premiers camarades sortirent de la sale de classe. J’y entrais pour récupérer mes affaires et pour éviter qu’un retour d’Aude ne me mette dans une situation embarrassante. Mes fesses me brûlaient encore. La ceinture avait fait son effet.
- »Fabien, j’aurais à vous parler. » C’était Madame Lefèvre, le professeur d’histoire qui n’avait pas encore digéré mon trait d’esprit.
Nous nous retrouvions seuls dans la classe.
- »Je crois que vous demeurez chez Madame Leblanc, n’est-ce pas ? »
- »Oui, Madame. » D’une seule phrase, elle avait réussi à réveiller mon inquiétude.
- »Je vais lui écrire une lettre que vous me ramènerez signée pour le prochain cours. J’ai l’intention de lui expliquer votre comportement et je ne doute pas qu’elle saura y mettre bon ordre. »
Je pâlis. Que pouvait-il m’arriver de pire ?
- »Madame, je vous en supplie, je ne recommencerai pas, mais n’écrivez pas à Madame Leblanc. »
- »Jeune homme, il va falloir apprendre à assumer les conséquences de vos actes. Vous avez cru bon de distraire tous vos camarades avec vos pitreries, il est juste que vous en soyez puni. Vous absoudre maintenant reviendrait à encourager vos penchants. »
- »Madame, s’il vous plait, je mérite d’être puni, mais ne faites pas de courrier pour Madame Leblanc. »
- »Et qui pourrait alors vous punir, jeune homme si ce n’est Madame Leblanc ? »
- »Vous pourriez me donner une punition vous même; »
- »Bien, j’accède à votre requête. Pour cette fois, j’accepte de vous punir sans informer Madame Leblanc de vos turpitudes. La prochaine fois, vous n’y couperez pas. »
- »Oh merci, Madame. »
- »Ne me remerciez pas trop vite. Il reste à déterminer la punition que je dois vous donner. Quelle doit-elle être selon vous ? »
- »Euh, … je ne sais pas, … vous pourriez me donner un devoir supplémentaire. »
- »Je pense qu’il faudrait quelque chose de plus important, dont vous pourriez vous souvenir la prochaine fois qu’il vous viendra à l’idée de perturber le cours. Voyons, quelle punition vous aurait donnée Madame Leblanc ? »
- »… je ne sais pas exactement, … » La conversation s’orientait dans un sens que je n’avait pas prévu et qui commençait à m’inquiéter. Mes fesses étaient encore très douloureuses suite à la punition qu’Aude m’avait donnée.
- »Ne rajoutez pas le mensonge aux précédents motifs de punition ! Beaucoup de professeurs disent que, dans un cas semblable, Madame Leblanc vous aurait donné une fessée. Est-ce exact ? »
- »Oui, Madame. »
- »Dites-moi précisément quelle fessée auriez-vous reçu ? »
Je ne savais pas jusqu’où Madame Lefèvre était au courant des traitements qui nous étaient réservés. Si je mentais et qu’elle s’en apercevait, elle écrirait à Madame Leblanc et je recevrai une très grosse fessée. Il valait mieux s’approcher le plus possible de la vérité. En baissant les yeux, et d’une petite voix je répondis :
- »Elle m’aurait couché sur ses genoux et j’aurais eu une grosse fessée. »
- »Et cette fessée vous aurait été administrée sur le fond de votre pantalon ? »
- »Non Madame, elle aurait baissé le pantalon avant. »
- »Est-ce tout ? »
Elle était de plus en plus agacée de m’arracher des aveux mot par mot. Je dus m’approcher encore plus près de la réalité.
- »Et puis, elle aurait baissé la culotte, » avouais-je dans un souffle.
- »Nous y voilà. C’est donc une fessée déculottée que vous méritez. Puisque nous avons décidé que c’est moi qui vous punirai, je vais donc vous donner une fessée, mais auparavant, vous allez baisser votre pantalon, puis votre culotte. »
Elle m’avait emmené là où elle le souhaitait. Je m’étais enferré dans le piège qu’elle m’avait tendu. Soit je désobéissais ouvertement avec toutes les conséquences dès mon retour à la maison, soit je me préparais pour recevoir une nouvelle fessée. J’avais toutes les chances que la fessée de Madame Lefèvre soit plus supportable que celle de Madame Leblanc. Ici, elle ne disposait certainement pas d’un martinet ou d’une baguette. Je résolus de me soumettre à la fessée que mon professeur avait décidé de me donner.
Je débouclais la ceinture de mon pantalon et je le baissais juste en dessous de mes fesses.
- »Baissez ce pantalon jusqu’en dessous des genoux ! »
La consigne était claire. Je me courbais et je fis glisser le vêtement jusque sur mes chevilles. Je fis un pas en avant, pour me placer en position disciplinaire mais je fus arrêté par la voix de Madame Lefèvre.
- »Vous oubliez la culotte, jeune homme. Baissez la donc jusqu’à vos genoux. Je tiens à voir vos fesses bien dégagées. »
Je m’exécutais, offrant la vision de ma verge, et de mes fesses encore rouges et marquées des longues traces sombres que la ceinture m’avait laissées. Madame Lefèvre me fit pivoter, exposant mes fesses à la lumière du jour.
- »Comment se fait-il que vos fesses sont déjà toutes marquées, comme si vous aviez déjà reçu une fessée ? »
- »C’est Aude qui m’a donné une fessée tout à l’heure dans le couloir. »
- »Ce n’est pas avec sa main que la surveillante vous a rougi les fesses à ce point ? »
- »Non Madame, elle m’a donné la fessée avec ma ceinture. »
- »Voilà qui est une bonne idée. Comme je suppose que vos fesses sont encore douloureuses, je ne vous punirais qu’avec ma main. Je pense que cela suffira pour aujourd’hui. Venez plus près ! »
Elle me ceintura et sa main claqua mes fesses, bien au milieu, juste au centre de mes deux globes fessiers. Appliquée sur les traces de la ceinture, cette claque me fit ruer sous son coude. Je décollais les deux pieds du sol et je poussais un cri. Madame Lefèvre me remit en place et recommença. C’est alors une succession rapide de coups qui fût appliquée sur mon postérieur dénudé, qui raviva instantanément la douleur. Maintenu en position, il ne me restait plus qu’à laisser couler mes larmes et à extérioriser ma douleur par des cris qui devaient s’entendre dans le couloir.
Quand elle me relâcha, sans cesser de pleurer, je portais mes mains à mes fesses, et toute pudeur oubliée, je me dandinais d’un pied sur l’autre en me massant le postérieur.
- »Rhabillez-vous, Fabien, il va être temps de vous rendre à votre prochain cours. Vous aviez raison, il est préférable que je sévisse moi-même. La prochaine fois que j’aurais à me plaindre de vous, je pense qu’une bonne fessée déculottée sera de nouveau au programme. »
Je sortis de la pièce, les yeux remplis de larmes et les fesses en feu, le frottement de ma culotte sur ma peau prolongeait la double fessée que je venais de recevoir.
Cette succession de fessées me fit comprendre que, dans cette école, mes impertinences seraient durement châtiées. Cela faisait plusieurs années que j’avais pris l’habitude de répondre aux professeurs que j’avais côtoyés depuis que leurs menaces ne me faisaient plus peur.
Il s’agissait, ici, de changer de comportement. Les menaces se traduisaient effectivement en punitions dont la rigueur me dissuada de tenir mon rôle d’amuseur public. Je me promis de me surveiller, et, bien qu’étant souvent sur le point de me laisser aller à mes anciens penchants, je réussis à tenir bon. Je ne reçus plus de fessée pour une conduite inappropriée.
Cette résolution ne me tint pas à l’abri de la fessée. Madame Bruno changea de tactique. Les premières semaines, quand elle convoquait un élève, c’était toujours pour des raisons de discipline : bavardage, bruit pendant le cours, livre oublié, insolence, …
Ma courte, mais cuisante expérience m’avait convaincu que chacun d’entre eux avait reçu la fessée, bien que je n’ai pas essayé d’aller le constater de visu une nouvelle fois. Lorsque ceux qui ayant été invités à rester après le cours, rejoignaient la classe, leur mime renfrognée et leur regard fuyant me rappelaient trop mon propre état d’esprit après les corrections qu’elle m’avait administrées, pour qu’il me restât le moindre doute.
Une rapide estimation me laissa supposer que presque les deux tiers de la classe avaient été soumis à ce traitement au moins une fois. Grâce à cette méthode, Madame Bruno obtint un silence religieux durant ses cours. Très vite, elle n’eut plus à intervenir pour rétablir la discipline. Ceux qui avaient été soumis à la fessée ne tenaient pas à renouveler l’expérience, les autres, officiellement non avertis, avaient compris qu’être convoqué à la fin du cours, n’avait rien d’une expérience enrichissante, bien que le mot « fessée » n’ait pas été prononcé une seule fois en public.
Les choses changèrent quand, un matin, Madame Bruno nous annonça qu’à compter du lendemain, à chaque début de cours, nous aurions une courte interrogation sur le cours précédent. Ces compositions seraient notées et seraient prises en compte pour établir le classement.
Au début du cours suivant, nous dûmes répondre, par écrit, à des questions prouvant que nous avions correctement appris nos leçons. Cette épreuve ne dura pas plus d’un quart d’heure. Madame Bruno releva les copies et nous promis les résultats pour le prochain cours. Je n’étais pas très satisfait de mes réponses. Je n’avais pas su répondre à deux des questions et mes réponses m’avaient semblé approximatives pour deux autres. J’avais récité mes leçons la veille au soir sous le contrôle de Madame Leblanc, mais pas de cette manière.
Le lendemain, au début du cours, une nouvelle interrogation nous attendait. J’avais appris mes leçons et je répondis aux questions bien plus facilement. Le cours se passa comme à l’accoutumée. C’est quelques minutes avant la fin de l’heure que Madame Bruno nous rendit notre composition de la veille. Chacun rentra en possession de son bien. J’avais un 4, confirmant mes craintes. Ce soir, je recevrai la fessée de la part de Madame Leblanc
- »Certains d’entre vous n’ont visiblement pas appris leur leçon. Ils ont tous eu en dessous de dix. Que ceux qui ont eu en dessous de la moyenne se lèvent ! »
Nous fûmes six à nous mettre debout à coté de notre pupitre.
- »Je vous conseille, tous les six, de travailler plus sérieusement. Je ne garderai pas dans ma classe des élèves qui ne font pas d’effort. De plus, parmi vous, il y en a qui ont eu une note inférieure à cinq. Que les autres s’assoient ! »
Eve et moi, nous fûmes les seuls vers qui convergèrent tous les regards, signalant ainsi notre très médiocre résultat.
- »N’avoir obtenu qu’une note aussi mauvaise est un scandale. Vous n’avez pas dû jeter le moindre coup d’œil à vos cours. Je souhaite vous parler à la fin du cours. »
Tout le monde avait compris. La fessée nous attendait. Il ne restait que quelques minutes avant la fin du cours, mais je les passais dans un brouillard très dense. Je pris machinalement note des devoirs et des leçons pour la prochaine fois. Si l’on m’avait demandé ce que je venais d’écrire, je crois que j’aurais été incapable de répondre. Les autres élèves rangèrent leurs affaires de classe, et sortirent. Eve et moi restions à notre place, selon le rituel bien établi, des punis de fin de cours. Plusieurs élèves nous jetèrent un regard, parfois moqueur, parfois compatissant.
- »Venez ici tous les deux ! »
Quelques pas suffirent pour nous retrouver debout devant le bureau de Madame Bruno.
- »Bien, vous savez ce qui vous attend. Désormais, après chaque interrogation, je donnerai la fessée à ceux qui auront des notes trop mauvaises. J’espère que cela vous servira de leçon. Baissez votre pantalon ! »
Eve n’avait pas encore reçu de fessée. Elle jeta un œil de mon coté et, constatant que je m’exécutais, elle déboutonna son pantalon et le fit tomber sur ses chevilles. Nous n’osions pas nous regarder, honteux de devoir nous tenir dans cette tenue si peu conforme à l’âge que nous avions.
Madame Bruno s’approcha de moi et saisissant l’élastique de ma culotte, elle le tira vers le bas. Puis, s’emparant de celui d’Eve, elle exécuta la même manœuvre.
Côte à côte, culotte baissée, nous attendions notre punition maintenant imminente. Recevoir la fessée était une chose, mais devoir patienter, la culotte aux genoux, mon sexe à demi érigé sous le regard d’une camarade était une punition bien plus terrible. Le fait qu’elle soit, elle aussi, déculottée ne me consolait que modérément.
Eve fût désignée pour être la première. Au commandement de Madame Bruno, elle s’allongea sur les genoux du professeur et la fessée commença. Elle laissa éclater ses sanglots après avoir reçu deux ou trois claques. Elle maintenait ses jambes serrées, tentant de conserver un semblant de pudeur, comme si cela était possible dans la position qu’elle occupait. Au bout d’une ou deux minutes, ses pieds commencèrent à remuer, puis elle ne put s’empêcher de plier ses genoux, enfin elle écarta légèrement les jambes, puis, toute idée de pudeur envolée, elle gigota sur les genoux du professeur pour atténuer l’effet de la fessée. Elle livrait sa touffe vaginale à nos regards.
Relevée, elle exécuta une danse dont j’avais l’habitude et au cours de laquelle, elle ne tenta pas de dissimuler son intimité ni à Madame Bruno, ni à moi.
C’était mon tour. Comme à l’accoutumée, Madame Bruno m’administra une correction magistrale. Couché sur ses genoux, je ne retins ni mes cris, ni mes pleurs, ni mes gesticulations désordonnées. Je connaissais l’inutilité d’une telle tentative. Comme à l’accoutumée, j’oubliais rapidement le spectacle que j’offrais à Eve, pour me concentrer sur la douleur qui embrasait mes fesses. Comme à l’accoutumée, la fessée parut durer une éternité.
Quand elle me relâcha, je me dandinais plusieurs minutes durant, devant les deux femmes. Qu’elles puissent voir mon sexe recroquevillé entre mes jambes et tressautant pour accompagner les bonds que j’exécutais au pied de l’estrade, me laissait totalement indifférent. Seule la cuisson de mes fesses monopolisait mon attention.
Eve et moi étions au pied de l’estrade, devant Madame Bruno, satisfaite de son ouvrage. Nous pleurions tout en nous massant les fesses.
- »Allez donc au coin, jusqu’à la fin de la récréation. Laissez vos fesses tranquilles, je tiens à vérifier que la punition a été suffisante. Si quelqu’un entre dans la salle, je veux qu’il puisse voir les effets de la correction. »
Lorsque la sonnerie annonçant la fin de l’interclasse retentit, nous dûmes venir nous reculotter sous le regard de Madame Bruno qui nous promis une nouvelle fessée pour toute note inférieure à dix.
A midi, je m’éloignais de mes camarades habituels, ne tenant pas à être questionné sur ce qui s’était passé. Mes dénégations n’auraient servi à rien, toute la classe savait quelles avaient été les conséquences de ma note. Je me dirigeais à l’écart derrière une haie où je pouvais me dissimuler aux regards trop curieux. La place était déjà occupée. Eve s’y tenait.
- »Ah, c’est toi, » fit elle. Comme je faisais mine de tourner les talons, elle rajouta :
- »Oh, tu peux rester, ce sont les autres que je préfère ne pas voir. »
Je m’assis à quelque distance d’elle.
- »As-tu encore mal ? » me demanda-t-elle après un silence de quelques minutes.
- »Oui, un peu; et toi ? »
- »Oh oui, j’ai encore les fesses en feu. » Elle reprit après un petit silence. « Madame Bruno t’avait déjà donné la fessée ? »
- »Deux fois ! Je suis presque un habitué. Je crois que c’est moi qu’elle a fessé le plus souvent dans la classe. Toi c’était la première fois. Je sais que c’est difficile d’être déculotté à notre âge pour recevoir la fessée, surtout quand on en n’a pas l’habitude. »
- »Oh, détrompe-toi, à la maison, Maman et Papa me donnent souvent la fessée. » Elle m’expliqua alors, que les châtiments corporels étaient de rigueur dans sa famille et que souvent, elle recevait la fessée déculottée plusieurs fois par semaine.
Nos confidences allèrent dans ce sens. Je lui racontais comment Madame Leblanc me corrigeait. Chacun allant de son anecdote la pause arriva rapidement à son terme. Nous nous reprîmes le chemin des cours de l’après-midi en nous jurant mutuellement le secret.

25 commentaires:

  1. pendant un moment de mon passe j'ai vécu punitions humiliations semblable ( piquet fesses ) aujourd huit elle me manque

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    1. Moi je reçois encore la fessée

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    2. Il n’y a pas d’âge pour ça et c’est très efficace surtout la fessée déculottée...

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    3. Moi aussi j’ai besoin d’être recadré par la fessée comme un gamin.

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  2. Je n'ai jamais reçu de fessée, mais la lecture de cette histoire me donne des réactions au niveau de mon sexe. Je vais peut-être en parler à l'un de mes amis qui m'a avoué aimer recevoir des fessées. Je pourrais lui donner et recevoir de mon côté ce genre d'expérience.

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    1. Moi aussi j’ai un ami auquel j’ai avoué que j’avais besoin d’être corrigé et de recevoir la fessée déculottée punitive. J’étais un peu honteux de lui faire cet aveux mais je me sentais prêt à le faire. C’est vrai que j’avais souvent reçu la fessée étant gamin et ado jusqu’à dix-huit ans au moins. Et bien tu sais lui aussi m’a avoué qu’il avait toujours souhaité recevoir la fessée sans l’avouer a personne . Un jour que nous faisions une balade en forêt et sans me prévenir il l’a donné deux claques sur fond du short. Tu vois deux bonnes claques bien senties. Il s’est mis à courir. Je l’ai poursuivi et lui ai claqué les fesses. Ça nous a fait rire. Il portait un petit short en nylon très court et moi un short en jean très très court. Ça c’est terminé par une fessée déculottée chacun. On est reparti les fesses et les cuisses rouges . Je crois qu’on va le refaire.

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    2. Oui et bien on a recommencé et plusieurs fois. On part souvent en balade en campagne lorsqu’il fait beau, on est tous les deux en petit short nylon très court et teeshirt. Au cours de la balade on chahute un peu on se poursuit en courant, ça se termine par des claques sur les fesses. Chacun poursuit l’autre et le claque sur le petit short. Ça nous fait bien rire. Et puis mon copain m’attrape, me ceinture et me ployant sous son bras il baisse mon short et mon slip et me donne la fessée cul nu en me grondant.
      Une bonne fessée bien cuisante, fesses et cuisses bien rouges jusqu’à ce que je pleure... Mon copain n’est pas en reste, lui aussi à hâte d’être puni. A peine suis-je reculotté qu’il a déjà mis ses fesses à l’air. Je le ploie sous mon bras et je le fesse comme il le mérite en le grondant. Et nous repartons pour notre balade les fesses rougies dans nos petits shorts, et la trace de la fessée marque bien sûr nos cuisses.

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    3. Tu sais j’aime bien partir en rando avec mon copain. Tous les deux en petit short court. J’attends avec impatience le moment où il va me claquer les fesses avant de me déculotter et de me fesser en travers de ses genoux. J’aime aussi le gronder et lui donner la fessee cul nu. Il attend ça lui aussi.

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    4. Il me tarde de refaire une rando en campagne avec mon copain Frédéric. Il fait beau alors je crois qu’on va en faire une bientôt. Hier mon ami est venu me voir et on a dit qu’on le ferait certainement la semaine prochaine. On a finalement fixé la date, ce se sera mercredi, s’il fait beau bien sûr. Frédo n’habite pas très loin de chez moi, il est venu à pied. Il faisait très chaud. Il avait mis un teeshirt, un petit short taillé dans un vieux jean, un petit sac à dos. J’ai trouvé ce petit short très sympa. Je lui ai demandé s’il l’avait acheté. Il m’a dit que c’était lui qui l’avait taillé dans un vieux jean usagé. Ça m’a fait rire. Je lui ai dit que j'aimerais bien avoir le même. « Tu sais c’est facile, tu prends un vieux jean et tu coupes… » Je vais le faire pour mercredi. Après que mon copain soit parti je me suis mis à la recherche un vieux jean. Ça tombe bien j’en ai plusieurs. Muni d’une paire de ciseaux je me suis mis à l’ouvrage et j’ai taillé. J’ai fait plusieurs tentatives suivies d’essais. Je me suis arrêté juste au dessus des poches arrières, parce que je voulais un short très court comme celui de Frédo. Maintenant c’est fait je vais pourvoir le mettre. J’aurais le choix entre mes shorts en nylon, et j’en ai plusieurs et de différentes couleurs, ou celui-ci.

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    5. Dès que mon copain Frédéric est partie, j’avais hâte de me confectionner un petit short en jean. Trouver un vieux jean usagé cela n’a pas été difficile. Autre chose était de le tailler sans l’abîmer. Frédo m’avait dit que c’était facile, mais j’avais un doute. Certes j’avais une paire de ciseaux à ma disposition mais je jugeais que ces ciseaux était trop petits et ne coupaient pas bien. Je ne voulais prendre aucun risque. Tout excité, je me suis précité à la supérette voisine et j’ai réussi sans difficulté à trouver une paire de ciseaux beaucoup plus adaptée. Avec cela ce serait certainement plus facile. Arrivé chez moi, je me suis mis aussitôt à l’ouvrage. Ne voulant prendre aucun risque, j’ai commencé par tailler le jean a mis cuisses ou un peu plus haut peut-être être et j’ai essayé. Cela faisait en fait une sorte de bermuda. Il me fallait poursuivre pour arriver à ce que je voulais. En prenant bien soin de couper les deux côtés de la même manière, j’ai raccourci d’un centimètre. Par petites touches j’allais bien y arriver sans compromettre le résultat final. Nouvel essai. C'était un peu mieux, mais on était encore loin du compte. Je voulais le même short que Frédéric. Je m’y suis repris à plusieurs reprise raccourcissant chaque fois d’un demi centimètre. Chaque coupe donnait lieu à un nouvel essai et c’était de mieux en mieux. C’était rassurant. Je me suis arrêté un peu au dessous des poches arrières, de sorte que le lisière tombe juste en dessous des fesses. C’était parfait, exactement ce que je voulais. J’ai retaillé un peu pour uniformiser. 5 cm à l’entrejambe c’était juste ce qu’il fallait. J’ai essayé plusieurs fois et j’étais assez satisfait du résultat. Il manquait cependant quelque chose, mais je ne savais pas quoi… ah oui il fallait franger un peu la lisière, ce serait plus sympa. J’ai essayé de tirer un peu les fils mais c’était insuffisant. J’ai pris une râpe métallique pour frotter le bord du tissu mais je voyais bien que je risquais de l’abimer. J’ai décidé de procéder autrement. J’ai retourné le short à l’envers et j’ai recommencé à frotter énergiquement avec la râpe. C’était beaucoup mieux cette fois. J’arrivais à arracher des fils et à les faire ressortir sans abimer l’endroit. Je dois dire que ça a pris un bon moment parce qu’il fallait faire le tour des deux côtés, centimètre par centimètre, et frotter énergiquement, s’y reprendre même à plusieurs fois. Lorsque j’ai considéré que c’était suffisant j’ai retourné le short à l’endroit et j’ai encore tiré quelques fils. C’était pas mal du tout et j’étais assez fier de moi. Nouvel essai. Wouaou…c’était exactement ce que je voulais. J’étais fier de moi. Frédéric allait être bluffé…

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    6. Dés les beaux jours, les week-ends, pendant les vacances et à la maison, fini le pantalon, c’est le petit short qui prend le relais. J’aime beaucoup être en short et mon copain aussi.

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    7. Ce short en jean je le porte de plus en plus souvent et il me plaît beaucoup. Mais je ne néglige pas les autres en nylon pour autant, cela me permet seulement de changer. Je crois que je vais me tailler un autre short dans un vieux jean. J’en ai très envie maintenant que je sais comment faire. Des vieux jeans j’en ai plusieurs et c’est facile de les trouver. Je voudrais que ce short soit juste un peu plus échancré et un peu plus court que le précédent, un centimètre de moins environ. Non, pas cul nu bien sûr… En fait comme un short d’athlétisme. Avec la lisière un peu au dessus du pli fessier et un petit croissant des fesses apparent. Je crois que ce serait bien pour faire du jogging.

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    8. Ça y est c’est fait je me suis confectionné un autre petit short en jean. Une sorte de short d’athlétisme comme je voulais. En fait c’est le même que le premier que je m’étais taillé sur les conseils de Frédéric, mais juste un peu plus échancré et un peu court. Oh un centimètre de moins, pas plus. Il faut s’y reprendre à plusieurs fois, tailler, retailler, faire des essais successifs… jusqu’à arriver à la bonne longueur. Il ne faut rien rater. Et après il faut effilocher les lisières et ça c’est pas facile. Maintenant je peux dire que je sais faire… Ce petit short est bien moulant et la lisière est juste à la bonne hauteur, laissant apparaître un petit croissant des fesses. C’est exactement ce que je voulais… Pour faire du jogging ce sera parfait…

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    9. En plus de mes deux petits shorts en jean que j’aime beaucoup porter et qui s’ajoutent aux shorts en nylon j’ai également confectionné un autre jean long que j’ai adopté à mon goût. Bien que déjà usagé, je l’ai bien grâté avec une brosse métallique pour lui donner un aspect encore plus usé. J’ai ensuite fait une large entaille pour mettre les genoux a l’air et j’ai tiré les fils blancs en brossant très fort. Au niveau de la fesse gauche juste au-dessous de la poche j’ai fait une nouvelle entaille au niveau du pli fessier et j’ai brossé pour tirer les fils. On voit juste un peu le slip et c’est exactement ce que voulais. Non pas la fesse… Je pourrais aussi le porter, mais pas question d’être cul nu, juste un peu sexy. C’est sympa, non… Enfin moi je trouve. Et puis ça me plaît alors je l’ai fait…

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  3. Nous n’avons pas pu faire notre balade avec Fredo mercredi dernier car il faisait mauvais. Il m’a tel ce matin pour me demander si je voulais passer le voir cet aprèm. Je lui ai dit que je viendrai. J’ai mis mon petit short en jean et je suis parti tout content.

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  4. J’étais tout content d’aller chez mon copain Fredo. J’ai enfilé un teeshirt, mon nouveau petit short en jean et une paire de baskets. J’avais a peine un quart d’heure de marche a pied. Mon copain est venu m’attendre à la porte de l’immeuble et nous sommes montés dans son petit appartement. Fredo avait lui aussi mis son petit short en jean, celui qu’il avait mis lorsqu’il était venu me voir. Il s’est tout de suite aperçu que j’avais suivi son conseil. «Tu vois c’était facile de te faire un petit short en jean. Il suffit d’avoir un vieux jean et une bonne paire de ciseaux… »
    «Ouais tu as raison, c’était fastoche…et puis tu vois il est très court comme je voulais. »
    «Comme moi c’est génial… » En effet dans certaines positions le slip dépassait un peu la lisière de mon short un peu frangé. On a décidé une nouvelle date pour une nouvelle rando.

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  5. La rando c’est pour demain. Il doit faire très beau, ce sera sympa. Je prépare mes affaires, surtout mon petit sac a dos. Je vais aller faire des courses tout à l’heure avec Frédo pour le pique-nique. On doit se retrouver devant la supérette, je me prépare. Finalement je vais mettre aujourd’hui pour sortir un teeshirt jaune et un petit short en nylon vert et des tennis.
    .

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  6. En dehors du petit short en jean que je viens de me confectionner et dont je ne suis pas peu fier, j’ai plein d’autres petits shorts en nylon tous à peu près de même facture, seule change la couleur, vert, rouge, blanc, noir et bleu marine. En fait c’est la rouge et le vert que je préfère. C’est d’ailleurs celui que j’ai mis pour aller voir Fredo. Fredo était en mini short en jean et m’a demandé pourquoi je n’avais pas mis le mien. Je lui ai dit que j’aimais bien changer. Je lui ai promis de mettre le short en jean pour notre rando. Et nous avons fait nos achats…

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  7. Le jour convenu pour la randonnée je me suis réveillé de bonne heure. Nous avions rendez-vous avec mon copain à huit heures devant chez lui. Dès sept heures du matin je commençais à préparer mon sac. J’étais vraiment content de la journée qui se préparait, car il faisait très beau et cette rando nous la préparions depuis longtemps. Dès la toilette terminée j’ai enfilé un teeshirt et mon petit short en jean dont j’étais très fier. C’était la première fois que je le portais en rando. Mon petit-déjeuner avalé je me précipite dans la rue. La sac a dos ne me pèse pas beaucoup et j’ai vite fait d’avaler les cinq ou six cents mètres qui me sépare de l’appartement de Frédo. Il m’attend devant la porte et me propose d’aller prendre un café chez lui, ce que j’accepte aussitôt. Nous montons dans son appartement et il se dirige vers la petite cuisine. Je l’attends assis sur une chaise. Frédo à l’air tout guilleret et je constate que lui aussi à mis son petit short en jean. Nous avons l’air de deux ados. Le café avalé, nous partons sans plus tarder. Le trajet, nous l’avons déterminé ensemble. Nous voici dans des petits sentiers. Frédo commence à chahuter en me tirant par le fond du teeshirt et me traite de « feignasse » parce que je traine un peu. Ça nous fait rire. Je lui échappe en courant, il me poursuit et m’expédie une claque sur les fesses. Je me retourne et lui expédie ma main sur ses fesses, juste à la lisière de son short. Nous poursuivons ce petit jeu pendant un bon moment. Ça nous amuse et on rit de bon cœur. Nous continuons notre marche et tout à coup, Frédo me gronde et me dit que je ne fais que des bêtises, que je suis un gamin. Je reconnais que c’est vrai et lui répond, sans plus réfléchir : « Oui tu as raison, et je mérite la fessée… »
    « La fessée, oui tu la mérites, et une bonne je t’assure… »
    « Et tu me la donnais… »
    « Oui bien sur, et tout de suite tu vas voir… Mais alors tu sais moi aussi je suis un vrai polisson, un sale gosse qui mérite d’être corrigé…alors la fessée, tu me la donneras toi aussi, d’accord… »
    « D’accord si tu veux, tu seras fessé toi aussi…mais moi d’abord. 
    Frédo prend une voix sévère que je lui connais parfois et me gronde comme le ferait un père de famille ou un prof. Il me prend par une oreille et m’attire vers lui. En un instant il dégrafe mon petit short et le baisse au ras des fesses, le slip suit la même direction. Me voici entièrement déculotté ployé sous le bras de Frédo qui continue à me gronder. Et sa main très haut levée claque vigoureusement mes fesses l’une après l’autre. Les cuisses sont aussi rougies. Ça fait mal, mais je ne dis rien, je sais que cette fessée je la mérite. Ça me fait tout drôle d’être ainsi cul nu à la merci de mon copain qui me corrige, mais je trouve ça normal. Ma seule inquiétude c’est que quelqu’un vienne à passer sur le chemin pendant que je suis puni. La fessée dure longtemps. J’ai presque les larmes aux yeux. Je me relève et remonte mon short en sanglotant. Il me semble que Frédo de son côté a hâte de recevoir sa correction. J’ai tout juste commencé à la gronder que déjà il s’est déculotté tout seul. Son petit short et son slip sont descendus aux chevilles. Je m’approche de lui et le courbe sous mon bras, ses deux joues fessières encore toutes blanches s’offrent à moi, prêtes pour la fessée. Et ma main part à toute vitesse et claque à toute volée les pauvres fesses et les cuisses. Lorsque la fessée est terminée Frédo se relève, les yeux rouges. « Oui cette fessée tu sais je l’avais bien méritée… »
    « Moi aussi Frédo ça c’est sur… »
    « Tu sais tous les deux qu’on en a besoin, alors tu me redonneras la fessée… »
    « Oui bien sur…et toi aussi alors… »
    « T’inquiète…c’est promis »
    Et nous voilà repartis pour poursuivre notre rando avec nos fesses brûlantes dans nos petits shorts et nos cuisses nues marquées des traces de doigts encore bien visibles. Ça nous faire rire.

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  8. Dimanche dernier nous sommes allés faire un jogging avec Frédo. C’est lui qui m’avait appelé la veille et j’ai accepté tout de suite. J’aime beaucoup faire du jogging et j’en fais toutes les semaines. Lorsque Frédo est disponible nous y allons ensemble c’est plus sympa et ça lui plaît aussi. Frédo est vraiment un bon copain. On s’était donné rendez-vous le lendemain matin chez moi. Dimanche matin je m’étais réveillé de bonne heure pour être prêt à l’heure. Il allait faire très beau. J’ai choisi un petit teeshirt orange avec devant une inscription UCLA et un chiffre dans le dos. J’ai davantage hésité sur le choix du short. J’ai un nouveau short en jean que j’ai taillé dans un vieux jean usagé. J’aime beaucoup le porter. C’est Frédo qui m’a donné l’idée parce qu’il en avait déjà confectionné un et m’a montré comment faire. C’est vraiment génial et facile. C’est ce short que j’avais porté lors de notre dernière rando le mois dernier. Finalement j’ai décidé de prendre un petit short en nylon rouge. J’aime aussi beaucoup porter ces petits shorts en nylon. J’en ai toute un collection, tous identiques et de couleurs différentes, noir, blanc, bleu marine, rouge et vert. Le lendemain à l’heure prévue Frédo était chez moi. Il avait l’air très en forme. Je l’ai invité à prendre un café avant de partir et nous avons bavardé quelques instants puis nous sommes partis à petite foulée. Frédo avait un teeshirt bleu marine, un short d’athlétisme de couleur noire et un petit sac à dos. Nous courions côte à côte. Chemin faisant nous bavardions aussi un peu. Frédo m’a demandé pourquoi je n’avais pas mis mon short en jean. Je lui ai répondu que j’avais envie de changer. Je lui ai aussitôt retourné la même question. Il me dit que le short d’athlétisme c’était aussi très bien aussi pour faire un jogging. C’est vrai, il avait raison. Son petit short en effet très court et très échancré était très agréable pour courir et laissait apparaître nu un petit croissant des fesses. Mon short était aussi très court et sa lisière s’arrêtait juste au dessus du pli fessier. Ce short rouge me plaisait beaucoup, c’est avec le vert celui que je préférais. Nous avons couru pendant une bonne partie de la matinée. Vers midi nous nous sommes arrêtés sur une petite aire de pique-nique. Nous étions en nage. Assis sur un petit banc, inutile de dire que nos sandwiches ont été vite dévorés. Frédo a alors commencé à chahuter me tirant par le teeshirt. Il m’a demandé si j’avais été sage pendant la semaine et si j’avais bien travaillé. Je savais que ce n’était pas le cas et je le lui ai dit. De son côté il était bien obligé de reconnaître un paresse dont il était coutumier. Il m’a alors vertement grondé et m’a attrapé par l’oreille, pour m’attirer vers lui. « Tu sais ce que tu mérites… »
    « Oui je le sais, une bonne déculottée… »
    « C’est ça tu vas être fessé comme un gamin… »
    « et moi aussi tu me fesseras cul nu…promis. »
    «D’accord….mais à moi d’abord… »
    J’avais honte à l’idée de me prendre une fessée déculottée sur cette aire où tout me monde pouvait passer. Heureusement il n’y avait personne. Nous avons été fessés tous les deux l’un après l’autre et nous savions que c’était mérité. Nous sommes repartis larmoyants. Les traces de doigts sur nos cuisses laissaient peu de doutes sur la nature de le correction que nous venions de recevoir…

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    1. Recevoir la fessée ce n’était pas bien grave, j’y étais habitué, et de toute façon nous savions que c’était mérité. Mais en extérieur, sur cette aire de pique-nique, le risque était d’être vu pas des passants. L’idée d’être surpris déculotté sur les genoux de mon copain recevant une avalanche de claques sur mes petites fessée, me tétanisait. Et puis lorsque les claques ont commencé à tomber je n’y pensais plus du tout. Après tout recevoir une fessée ce n’était pas bien grave surtout si elle était méritée. Mon copain lui n’avait pas les mêmes craintes que moi et ça ne l’inquiétait pas d’être déculotté et fessé sur cette aire. Il avait même hâte de recevoir sa correction, c’était toujours comme ça avec lui. Je devais me monter sévère et c’est vrai qu’il était souvent insupportable. Je dois dire que lorsqu’il me punissait lui non plus il n’y allait pas de main morte… cette autorité m’était nécessaire.

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  9. Je savais que ce jogging allait se terminer par une correction, en fait, la fessée magistrale. Je connais bien mon copain. Nous nous connaissons depuis pleurs années. C’est lui qui le premier a commencé à me claquer les fesses et les cuisses, sur le petit short d’abord. Cela à commencé tout simplement lors de randos que nous faisions ensemble. Il prenait prétexte du fait que je trainais et me traitait de « feignasse » et j’avais droit à une claque sur les fesses. Je le lui ai rendu après avoir reçu deux ou trois claquées bien senties. Ça nous faisait bien rire. Moi, beaucoup plus timide je n’aurais pas osé et j’étais plutôt soulagé de savoir que c’est lui qui avait commencé. Je ne faisait rien pour éviter les claquées sur le fond du short et je me faisais un plaisir de lui rendre la pareille. Et puis très vite c’est le short et le slip qui ont été baissés pour la vraie fessée. C’est moi qui ai été fessé le premier et quelle fessée déculottée en travers de ses genoux. Wouaou… je me suis relevé les larmes aux yeux. Et aussitôt après mon copain qui avait hâte d’être puni s’était mis cul nu, short et slip aux chevilles. J’ai compris que je devais le corriger et ma timidité a vite disparu. Je l’ai mis en travers de mes genoux et lui ai administré une fessée magistrale. Je lui ai mis les fesses bien rouges. Les miennes était cramoisies et me chauffaient encore beaucoup. C’était notre premier contact avec le fessée entre copains. Moi qui étais timide, j’avais franchi le pas, je n’hésitais plus recevoir la fessée comme lorsque l’étais gamin et aussi à la donner… pan pan cul cul.

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  10. Ce matin je suis allé chez mon copain Frédéric. J’avais mis mon petit short en jean et un teeshirt. Lorsque je suis arrivé chez lui il était en survêt. On se voit d’ailleurs toutes les semaines. Dimanche prochain on a décidé de faire une rando. Il aime beaucoup ça et moi aussi. On se retrouvera samedi ensemble pour faire des courses. En attendant et comme nous avions du temps ce matin on est partis tous les deux faire un jogging. Avant de partir mon copain est allé se changer et a mis un short d’athlétisme et un teeshirt. Comme je rêvassais il m’a expédié deux claques sur le fond du short et nous sommes partis. Je savais que Fredo allait faire des imbécilités. Je l’ai menacé de lui donner la fessée mais ça n’avait pas l’air de le troubler. De mon côté depuis notre départ, j’avais vraiment envie de lui claquer les fesses. Je crois qu’il faisait tout pour ça.

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  11. Frédo, je l’ai revu ce matin. Il était allé faire un jogging et s’est arrêté chez moi. Il m’avait demandé si j’étais là et je lui ai répondu que oui. Étant occupé pendant la matinée je devais rentrer vers midi. Je l’attendais avec impatience car il est arrivé très tard vers 13h 30. Ça ne fait rien et j’avais vraiment envie de le voir. Il avait l’air très en forme. Je lui ai proposé de s’asseoir et de prendre un coca ce qu’il a accepté. Il était en nage et n’avait pas l’air pressé du tout. Nous avons décidé en faire une balade ensemble dimanche prochain, s’il fait beau. Frédo avait un teeshirt orange et un mini short rouge. Moi en rentrant pour être plus a l’aise, j’avais mis un teeshirt et pantalon de survêt. Pour dimanche c’était d’accord et on en était contents tous les deux. On a décidé de nous voir samedi aprem pour faire des courses à la supérette comme d’habitude. Ensuite il m’a dit : « Ça prendra assez peu de temps. On ira faire un jogging après si tu veux… » «Oui je suis d’accord, ce serait sympa… »
    «Alors tu mettras ton petit short en jean, tu sais le dernier que tu as fait… »
    J’étais content qu’il m’en parle et je me suis empressé de lui dire oui.
    «Et toi… »
    « Moi je sais pas encore….peut-être le même short qu’aujourd’hui ou le vert. »
    «Ok c’est toi qui voit mon garçon… »
    «En tout cas il faudra que tu me dises si tu as fait des bêtises au cours de la semaine…. »
    « Oui je sais, mais toi aussi… »
    « D’accord bien sûr, je compte bien le faire. Et aussi recevoir la fessée que je mérite….»
    «Tu peux y compter, mais tu me fesseras toi aussi…. »
    «Oui et la grosse fessée pour toi… Tu sais on devrait acheter un martinet pour les grosses bêtises…»
    «Un martinet… ouais…. »
    En fait j’y pensais depuis longtemps, mais étant plus timide, je n’osais pas en parler le premier et j’étais content que ce soit Frédo qui aborde le sujet.

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  12. Depuis que mon copain Frédéric m’a parlé d’acheter un martinet, j’y pense sans arrêt. C’était une idée que j’avais en tête depuis longtemps mais je n’aurais jamais osé en parler le premier. Il se trouve que Frédo est moins timide et plus déluré que moi. C’est une chance et puis s’il l’a décidé je suis sûr que ça va se faire. En plus c’est vraiment un bon copain et nous parlons de tout en confiance. Le problème est que je ne sais vraiment pas où trouver un bon martinet a l’ancienne avec un bon manche en bois et une bonne dizaine de lanières en cuir. On n’en a pas encore parlé avec Frédo puisqu’il a juste évoqué l’idée d’acheter un martinet. On va sûrement en parler samedi en faisant notre jogging. Lorsque j’étais ado, des martinets, on en trouvait des grappes suspendues dans les bazars ou dans les quincailleries. Je le sais d’autant mieux que chez moi comme dans beaucoup de familles il y avait un martinet suspendu à un clou dans l’entrée. Et je peux dire qu’il a beaucoup servi. Aujourd’hui je ne sais plus trop où trouver un vrai martinet a l’ancienne. Je suis sûr que Frédo a dû y penser et qu’il aura une idée. Je lui fais confiance. Il me tarde vraiment d’en parler avec lui samedi.

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