Les normes d'hygiène pratiquées par Louisa étaient très
pointilleuses. Non seulement elle considérait qu'elle devait, elle même, les
respecter, mais, de plus, elle se mit en tête de me les imposer. Sans que cela
fût explicite, elle fit monter son niveau d'exigence à mon encontre.
La première fois qu'elle me fit comprendre que cette
nouvelle règle entrait en vigueur, j'avais pris la liberté de m'installer à
table avec des mains dont la propreté n'était pas irréprochable. Cela n'échappa
pas à son regard exercé.
- Montre-moi
tes mains, Daniel !
Retrouvant des gestes de petit garçon, je tendis mes bras
vers elle, offrant mes mains à son inspection, le dessus en premier, puis les
retournant, les paumes ouvertes.
- Veux-tu
aller les laver tout de suite !
Je revins bientôt avec les mains aussi propres qu'il était
possible. En marquant ainsi ma bonne volonté, j'espérais passer au travers des
conséquences de mon oubli. C'était au début de ma co-habitation avec Louisa, je
me faisais encore beaucoup d'illusion sur ma possibilité d'échapper aux effets
prévisibles lorsque je manquais aux règles en vigueur à la maison.
- Viens
me montrer tes mains ici !
Je me rapprochais de Louisa avec réticence. Etre dans sa
proximité après avoir été pris en faute augmentait la probabilité de recevoir
le châtiment qui, selon elle, s'imposait pour me signifier clairement que
j'avais commis une faute.
Toutefois, il était hors de propos de refuser d'obéir à un
ordre énoncé si explicitement. Il n'y aurait, alors, pas de doute quant à la
nature des conséquences. Je m'approchais donc, mon estomac commençant à se
nouer un peu plus à chaque pas que je faisais.
Louisa examina mes mains, d'un coté puis de l'autre.
- Je
t'ai déjà expliqué, Daniel, que je veux que tu te laves les mains avant de
venir à table.
Tout en me sermonnant sur la nécessité d'être attentif à mon
hygiène et sur l'importance de ne pas oublier les règles qui régissaient ma
vie, Louisa me défit le pantalon. Elle l'accompagna jusqu'à mes chevilles, puis
fit subir le même sort à ma culotte.
- Je
vais te donner la fessée pour que tu sois plus attentif à ce que je te demande,
Daniel !
D'un signe, elle m'indiqua qu'il était temps que je prenne
position, allongé en travers de ses genoux. Pour m'ouvrir l'appétit, ce jour
là, je fus fessé. La correction fût relativement supportable. Louisa savait
reconnaître immanquablement les signes de repentir à mon comportement sur ses
genoux. Sans doute à la rougeur de mes fesses, sans doute à l'intensité des
plaintes que j'émettais, peut-être lorsque mes cris commencèrent à se briser en
sanglots, elle jugea bientôt que, compte tenu que c'était la première fois,
j'avais été suffisamment puni.
Remis sur mes pieds, je reçus l'autorisation de couvrir ma
nudité déplacée à l'heure de passer à table. Puis elle m'indiqua de prendre
place sur ma chaise, face à elle. Bien que sachant que tout soupçon de bouderie
me ferait reprendre le chemin des genoux de Louisa, je n'arrivais pas à relever
mon regard de mon assiette.
Je n'avais pas dû aller m'exposer au piquet, Louisa ne
l'avait pas jugé utile. Je n'avais donc pas pu bénéficier de ce temps qui,
certes, était humiliant, mais me permettait de me recomposer une attitude avant
de me retrouver face à face avec ma correctrice. La fessée n'avait pas été
assez sévère pour que j'oublie toutes les conventions qui, habituellement,
lient les jeunes gens de nos âges, et pour que je me permette de me consacrer
intégralement à la douleur de mon arrière train sans prendre garde au spectacle
que j'offrais à Louisa
Assis de l'autre coté de la table, Louisa souriait
discrètement.
- Allez,
ça suffit, Daniel. Tu ne vas pas faire tout un plat pour avoir reçu une toute
petite fessée.
Comprenant qu'il était urgent de croiser son regard afin de
montrer ma bonne volonté, je relevais la tête. Mes joues devinrent écarlates et
mes yeux fuirent les siens. Une seule image emplissait tout mon cerveau, celle
d'un jeune homme, culotte baissée, qui me ressemblait bigrement, allongé sur
les genoux de la jeune fille qui me faisait face.
Louisa prit à sa charge la conversation à laquelle il me
fallut participer suffisamment pour ne pas prendre le risque d'être taxé de
mauvaise humeur.
C'est ainsi que j'appris que les dents se lavaient après
chaque repas, qu'il fallait avoir des ongles au dessus de tout soupçon, que
cela ne se faisait pas d'être mal peigné, qu'il ne pouvait pas manquer un
bouton à une chemise, que les tâches n'étaient pas seyantes sur les vêtements,
... bien que la liste soit longue, mon apprentissage fut rapide. Dans la même
veine, se doucher était un rite quotidien, le matin en se levant et parfois le
soir quand mon activité diurne l'avait rendu nécessaire.
Ce fut l'occasion que Louisa saisit pour franchir une étape
dans le contrôle toujours plus grand qu'elle exerçait sur toutes mes actions.
Il faut dire que face à cet avalanche de consignes et d'interdictions, mes
velléités d'indépendance se faisaient discrètes tant elles étaient sévèrement
réprimées sur le champ. Je prenais une revanche intérieure à chaque fois que
j'arrivais à enfreindre les règles sans me faire prendre. J'allais sur ce
terrain avec un luxe de précautions motivées par les conséquences évidentes si
je me faisais attraper.
Le bain du samedi matin me procura une opportunité que je
m'empressais de saisir. En effet, Louisa pratiquait son sport favori durant
cette première matinée de week-end : elle passait une bonne heure au club
de judo. Elle avait un atteint un niveau qui lui avait permis, lorsqu'elle
était plus jeune, de se sortir honorablement de compétitions régionales. Elle
en avait conservé de beaux restes, ce qui lui permettait, entre autres, de
m'immobiliser quand elle le souhait et d'utiliser sa bonne condition physique
pour me chauffer les fesses autant qu'elle le pensait mérité. Par ailleurs,
elle utilisait une partie de son temps libre pour transmettre sa passion qu'elle
enseignait à des jeunes femmes.
Elle me laissait une liste de consignes que je devais
exécuter à la lettre : prendre mon bain et m'habiller. Elle comptait,
lorsqu'elle revenait, me trouver occupé à mon travail estudiantin.
Et c'est bien ce qui se passait. A chaque fois qu'elle
revenait, elle venait vérifier ce que je faisais. Elle me trouvait penché sur
mes livres et mes cahiers, absorbé par mon activité.
En fait, c'est dans l'intervalle de temps que les choses ne
se passaient pas comme elle se l'imaginait.
Dès qu'elle avait fermé la porte derrière elle, je disposais
d'un espace de liberté dont j'entendais bien profiter.
Je fonçais alors dans le séjour et je m'offrais une séance
de télévision, ce qui m'était formellement interdit. Le temps consacré à la
transgression était court, au bout d'une demi-heure, il me fallait compléter me
mise en scène afin d'être prêt pour le retour de Louisa. Dans la salle de bain,
je faisais couler de l'eau sur les parois de la baignoire tout en prenant bien
soin d'éclabousser le carrelage qui l'entourait. Il ne fallait pas oublier de
mouiller le savon et de déranger subtilement la serviette pour bien montrer
qu'elle avait servi. Il me restait alors à m'habiller, puis à m'installer
devant mes devoirs où Louisa me trouvait lorsqu'elle revenait.
A chaque fois que Louisa s'absentait, le rituel se répétait.
Cela aurait pu durer longtemps si un samedi matin, Louisa
n'était rentrée plus tôt qu'à l'accoutumée.
J'étais vautré sur le canapé, devant la télévision, quand je
reconnus sa voix. Un coup d'œil par la fenêtre et je la vis en grande
conversation avec la jeune femme qui habitait l'appartement voisin du notre. Il
ne me restait pas plus d'une minute ou deux pour m'habiller et m'installer à
mon bureau devant mes devoirs.
Quand elle pénétra dans ma chambre, j'étais à ma place.
- J'ai
eu chaud, pensais-je, j'ai eu de la chance, si je ne l'avais pas entendu, elle
m'aurait surpris sur le canapé.
Rétrospectivement, je frissonnais en pensant aux
conséquences d'une telle situation. Je pensais m'en être tiré quand, peut-être
un quart d'heure plus tard, Louisa revint dans ma chambre.
- Dis-moi,
Daniel, as-tu pris ton bain ?
Il me fallait trouver une réponse. La seule qui me vint à
l'esprit provoqua ma perte.
- Oui,
bien sûr !
- Suis-moi,
s'il te plait !
Louisa se dirigea vers la salle de bain.
- Peux-tu
m'expliquer comment il se fait que la baignoire est sèche ? Ton savon n'a
pas servi et ta serviette de bain n'a pas été touchée.
Evidemment, je n'avais pas eu le temps de ma mise en scène
habituelle. Que pouvais-je répondre ? Le silence me parut bien préférable
à m'enfoncer plus avant dans un mensonge quelconque. Je baissais la tête,
fixant attentivement le bout de mes pieds. Ce faisant, mon attitude avait tout
de celle d'un coupable. Face à mon silence, Louisa en tira les conséquences qui
s'imposaient.
- Je
vois ce que c'est, dit-elle.
Elle commença à me déshabiller immédiatement. Mon pantalon
fut la première pièce de mes vêtements à laquelle elle s'attaqua. Elle me l'ôta
complètement. Puis ma culotte suivit. Je me retrouvais alors le derrière nu ce
qui permit à Louisa de m'asséner trois ou quatre claques sur les fesses lorsque
je fis mine de m'écarter d'elle. Elle acheva alors de me dénuder, puis elle me
fit grimper dans la
baignoire. Elle entreprit alors de faire couler l'eau. Aucun
doute n'était plus permis : elle avait décidé de me laver elle même.
- Tourne-toi !
Mets-toi à genoux !
Elle ponctua chacun de ses ordres d'une claque sur mes
fesses ou sur le haut de mes cuisses. Aucune des parties de mon anatomie
n'échappa à son attention. Je fus récuré sans ménagement du bout des cheveux à
l'extrémité du petit orteil. Elle lava mes fesses et mon sexe sans paraître le
moins du monde troublée par le coté équivoque de la situation. Elle agissait
comme une baby-sitter qui s'occupait d'un petit garçon incapable de prendre
lui-même soin de son hygiène mais qui aurait fait un caprice en refusant de se
laver, ce qui justifiait que sa main rougisse la peau de mes fesses. Mon
attitude confirmait cette impression. Je m'empressais d'exécuter ses ordres,
sans tenter d'éviter la main qui me châtiait et en me soumettant passivement à
la toilette. Je me contentais d'un "aïe" sonore à chaque fois que je
recevais une fessée.
Une fois shampouiné, savonné, rincé, elle me fit sortir de
la baignoire et elle me sécha en frottant vigoureusement toute la surface de ma
peau de telle sorte que, quand j'émergeais de la serviette dans laquelle elle
m'avait enserré, j'étais d'une couleur proche de celle d'un homard, ce qui
harmonisait la couleur de la totalité de ma peau avec celle de mes fesses.
Sans me laisser le temps de souffler, elle me courba sous
son bras et la punition que je savais inévitable, commença. Elle me fessa à
main nue, tout en me semonçant :
- Je
vais t'apprendre, ..., à désobéir, ..., de la sorte, ... Quand, ..., je vais,
..., en avoir, ..., fini avec toi, ..., tu sauras, ..., ce que, ..., ça coûte,
..., de me mentir.
Sa diction prenait un rythme saccadé car elle marquait une
petite pause à chaque fois que sa main venait heurter mon postérieur. Son
sermon dura ainsi quelques minutes mais je n'en compris que le contenu des
premières. Assez vite, j'accompagnais son admonestation de mes plaintes qui
suivaient chacune des claques que je recevais. Comme à son habitude, Louisa
poursuivit le traitement qu'elle m'infligeait jusqu'à me transformer en un
petit garçon sanglotant, gigotant sous son coude, sans toutefois chercher à me
soustraire au châtiment que je savais mérité et inéluctable. Enfin, elle me
relâcha.
- Va
t'habiller et viens me voir dans la cuisine !
Je ne demandais pas mon reste tout étonné que la punition ne
soit pas plus sévère. Et, c'est presque en courant, que je pris mes vêtements
et que je les enfilais aussi vite que je le pus. La peau de mes fesses était
suffisamment irritée pour que le contact de ma culotte intensifie encore plus
la douleur qui irradiait tout mon arrière train. Je me dépêchais, ensuite, de
me présenter à la porte de la cuisine.
- Amène-moi
le martinet !
Elle positionna une chaise de cuisine au centre de la pièce,
là où il y avait un peu de place. Louisa s'y assit. Je m'avançais pas à pas
vers le lieu de mon supplice prochain en sachant parfaitement que j'allais
avoir le droit à une raclée mémorable.
- Baisse
ton pantalon !
Quelques secondes plus tard, je n'avais plus que ma culotte
comme protection dérisoire et temporaire. Louisa la fit glisser jusqu'en bas de
mes cuisses, dégageant ainsi le terrain qu'elle avait l'intention de
s'approprier dans les minutes qui allaient suivre. Elle écarta les cuisses et
me guida vers la position adéquate : à plat ventre sur ses genoux afin que
mes fesses occupent la position dominante. Ma tête touchait presque le sol et à
travers les pieds de la chaise je voyais mes chevilles entourées de mon
pantalon chiffonné, ma culotte couronnant mes genoux. Mes pieds effleuraient le
sol.
- Il
n'est pas question que tu recommences une seule fois à désobéir comme tu l'as
fait ce matin. Je pense, de plus que ce n'est pas la première fois que tu
profitais de mon absence pour te dispenser de douche. Cela devait durer depuis
longtemps ! Je suis très fâchée avec toi. Tu as fait une grosse bêtise, tu
vas être puni en conséquence.
La position dans laquelle elle m'avait mis était loin d'être
confortable. Je soulageais le poids de mon buste qui dépassait largement des
cuisses de Louisa en posant mes deux mains sur le sol.
- Tu
vas recevoir une très grosse fessée puis tu iras finir la matinée à genoux dans
le coin de la cuisine jusqu'à l'heure du déjeuner !
Louisa tenait toujours ce genre de promesses. J'eus beau
disposer, pour me préparer, de la petite minute durant laquelle elle m'expliqua
pourquoi il était important que je fusse puni, la réalité de la fessée dépassa
en sévérité tout ce que j'avais emmagasiné dans mon souvenir de jeune homme
fessé.
Armée du martinet, elle m'administra l'une des plus fortes
fessées que je reçus de toute ma vie. Elle disposait de toute la surface
nécessaire pour exprimer sa colère. Elle abattait le martinet si violemment sur
mes fesses que les lanières sifflaient dans l'air avant de toucher ma peau. Dès
la première fois, je ruais sur ses genoux, effectuant un petit saut, puis
retombant à la même place, disposé pour recevoir la suite de mon châtiment. Les
hurlements que je poussais s'abîmèrent en sanglots. Mi pleurant, mi criant, je
parcourus ainsi l'océan de douleur dans lequel je baignais. Je me débattais
tellement que Louisa fut obligée d'affermir sa prise sur mes reins pour ma
maintenir en place. Il me semblait qu'elle trouvait à chaque fois un petit coin
de peau encore vierge de châtiment. Elle s'appliquait alors à réparer cette
lacune.
Cette fessée dura une éternité. Je ne m'aperçus pas tout de
suite quand les lanières du martinet cessèrent de cingler mes fesses. Cela
demanda quelques secondes. Mes cris s'espacèrent alors pour laisser place à une
longue plainte continue rythmée par les sanglots qui montaient de ma gorge. Ce
n'est que quand j'en reçus l'autorisation que je glissais le long des genoux de
Louisa pour tomber à genoux à ses pieds. Mes mains se portèrent sur la peau
enflammée que j'effleurais précautionneusement. Je n'avais pas la force de me
lever. Louisa posa alors sa main sur ma nuque et courbant le front je posais
mon visage sur ses cuisses. Je restais à sangloter dans cette position durant
plusieurs minutes, totalement insouciant de l'impudeur de mon accoutrement. Il
est vrai que, d'une part, seule Louisa pouvait contempler mes fesses exposées
et qu'elle en avait largement eu l'occasion dans les minutes précédentes. Enfin,
c'était le moindre de mes soucis.
Louisa attendit que je fusse un peu calmé en jouant avec les
mèches de mes cheveux. Elle m'aida à me relever.
- Va
au coin maintenant ! Je ne veux plus t'entendre !
Je pris la position requise dans le coin de la cuisine, là
où j'avais déjà eu l'occasion, à plusieurs reprises durant de longues minutes,
d'exhiber mes fesses portant les traces encore fraîches d'une correction. A genoux,
le visage collé dans le coin, les bras croisés dans le dos, je ne mis pas plus
d'une minute pour étouffer mes sanglots.
Louisa me laissa dans cette position jusqu'à l'heure du
déjeuner.
Suite à cet épisode, de temps en temps, elle se livrait à
une inspection. Elle surgissait alors dans ma chambre lorsque je me dévêtais.
La première fois, sa présence interrompit mon déshabillage. J'avais déjà ôté ma
chemise et mon pantalon, je me trouvais donc vêtu de mes seuls sous-vêtements.
Mon hésitation ne dura pas.
- Dépêche-toi
de finir de te déshabiller !
Elle agitait sa main, paume ouverte, à hauteur de son
visage, en un geste de menace qui évoquait la fessée prochaine si je ne
m'exécutais pas. Mon tee-shirt passa par dessus ma tête et je m'assis sur mon
lit pour enlever mes chaussettes. Je tentais de gagner du temps, espérant
qu'elle me laissât ôter ma culotte dans l'intimité. Peine perdue.
- Faut-il
que ce soit moi qui t'enlève la culotte ?
Je me décidais aussitôt, me tournant légèrement de trois
quart afin de dissimuler partiellement mon sexe.
- Donne-moi
ta culotte !
Elle en examina le fond, fronça les sourcils, puis porta le
sous-vêtement à son nez, en respirant l'odeur qu'elle n'eut pas l'air de
trouver à son gré.
- Viens
me voir ici !
Je me levais, dévoilant les charmes que j'avais tenté de
soustraire à son attention. Elle n'y prêta pas la moindre attention. Elle me
courba son bras gauche et elle prit ma place sur mon lit. Entraîné dans le
mouvement, je m'allongeais sur ses genoux, mes jambes placées entre les deux
siennes. Elle m'immobilisa contre son flanc. Son bras gauche me ceintura les
reins et sa main droite chercha s'insinuer entre mes jambes.
J'eus un réflexe malheureux. Au lieu de laisser faire
Louisa, je resserrais mes cuisses, l'empêchant ainsi d'accomplir le geste
qu'elle avait projeté.
- Vas-tu
me laisser faire ou faut-il que je me fâche ?
Elle m'administra une dizaine de claques très sèches et très
rapprochées sur mes fesses qui étaient idéalement disposées pour ce faire. Cela
suffit pour que j'émette quelques cris de douleur et promesses d'obéissance.
Quand elle présenta de nouveau sa main entre mes cuisses,
j'écartais de moi-même les jambes. Elle glissa sa main sous mon ventre,
écartant au passage, comme quantité négligeable ma verge qui, il est vrai, avait
perdu de son volume sous l'effet de la fessée. Enfin, en me soulevant, elle me
remonta plus haut sur ses genoux afin de rapprocher mes fesses de son visage.
De ses deux mains, elle tenta d'écarter mes deux globes fessiers que je serrais
en une contraction réflexe contre l'intrusion.
- Est-ce
que tu veux une autre fessée ?
Sa deuxième tentative fut la bonne. Je la laissais séparer
les deux parties de mes fesses, mettant à jour mon anus sur lequel je sentis
son haleine lorsqu'elle se pencha pour l'examiner de plus prêt.
- Oh !
Ce n'est pas très propre par ici ! Nous allons rectifier cela !
Elle accompagna sa question d'une seule tape sur mes fesses,
ce qui se révéla efficace. Elle plaça de nouveau un bras autour de ma taille et
l'autre, passant entre mes jambes soulevait mon ventre. Sans effort notable,
elle se mit debout, soulevant mon poids en me tenant dans ses bras. Ma tête et
mes bras d'un coté, mes jambes de l'autre, pendaient dans le vide. Lorsqu'elle
fit pencher mon buste, rapprochant mon crâne du sol que je craignis d'embrasser
violemment, je bâtis des bras en des moulinets pathétiques, n'ayant aucune
prise à ma portée. C'est dans cette posture qu'elle me porta jusque dans la
salle de bain.
Près du lavabo, elle posa son pied sur un tabouret bas
positionnant ainsi sa cuisse à l'horizontal. Elle y déposa mon buste, laissant
mes pieds reprendre contact avec le sol. J'esquissais le geste de me relever.
- Tu
restes là, sage !
Elle n'eut besoin que de poser sa main sur mon dos pour que
j'obéisse. J'avais peur de comprendre ce qu'elle projetait. Je ne voyais pas ce
qu'elle faisait, mais je l'entendis prendre un gant de toilette, le mouiller
son le jet d'eau, le savonner. Je n'avais plus aucun doute quand, sur mes
fesses, elle posa sa main entourée du gant. Elle me lava chacun des globes
fessiers, puis elle les écarta pour nettoyer la raie qui avait été l'objet de
son attention il y a quelques minutes.
- Ecarte
les jambes !
La peau située à la jonction entre mes fesses et mes cuisses
fut savonnée, puis elle passa au devant passant énergiquement le gant de
toilette sur l'aine, le pubis et ma verge. Bien sûr, ce n'était pas douloureux.
Cela s'approchait plus d'une caresse que d'une fessée. Cependant, l'humiliation
était complète. Etait-il possible de me faire comprendre plus clairement que je
n'étais qu'un petit enfant incapable de s'occuper correctement de lui-même et
qu'elle avait toute autorité pour décider ce qui était bien pour moi sans me
demander mon avis ?
Estimant que la propreté qu'elle avait obtenue était satisfaisante,
elle rinça le gant, puis le passa une nouvelle fois sur toute la surface de
peau qu'elle avait savonnée.
A chaque fois que cette situation se produisait, Louisa
concluait ma toilette par une fessée qui, fort heureusement, m'était
administrée à main nue. Dans la salle de bain, à chaque fois que sa main
claquait mes fesses, un léger écho semblait doubler la fessée que je recevais,
la rendant phonétiquement très impressionnante. Enfin, fidèle à ses habitudes,
elle attendait les premiers sanglots pour cesser la correction. Généralement ,
ce genre de fessée m'était administré au moment du coucher, et la faute était
considéré comme relativement mineure, plus une négligence de petit garçon
qu'une désobéissance flagrante. J'étais donc dispensé de piquet et je n'avais
plus qu'à passer mon pyjama et me glisser sous mes draps.
Assez vite, je pris l'habitude d'une hygiène méticuleuse,
espaçant ainsi les punitions pour ce motif. Cela devint un automatisme de me
tenir dans une propreté irréprochable, ce qui perdure aujourd'hui encore sans
que, maintenant, Louisa y soit pour quelque chose.
Bonjour
RépondreSupprimerJe m'appelle jean michel et je suis très intéressé pour faire un stage chez vous.
J'habite en vendée, 47 ans 1m77 75 kg
Vous pouvez me joindre au 0698172166 ou sur mon mail : jm85@laposte.net
Merci et à bientôt.
Jean Michel.
Bonjour Jean Michel,
SupprimerJ'espère que vous n'allez pas être assailli d'appels téléphoniques indésirables.
Dès que la possibilité d'un stage se concrétise, je vous le fais savoir. Rien en préparation pour l'instant.
JLG