QUI AIME BIEN, FESSE BIEN
FESSEES EN DOUBLE, POUR LECON DE BONNES MANIERES
L'idée, lancée par Margaret de corriger en même temps Andrew et Gérôme, est accueillie avec enthousiasme par les visiteuses, chauffées à blanc devant le spectacles des précédentes fessées. Il faut bien le dire aussi à cause d'une tendresse particulière pour le douze ans d'âge apporté par l'étudiant anglais.
L'idée de les faire communiquer entre
eux pendant leur raclée, relevait davantage d'un de ces prétextes pour
justifier une l'irrésistible envie de
claquer un derrière, plutôt d'une réelle possibilité d'échange linguistique. Vu
leur niveau respectif, l'un en français, l'autre en anglais malgré un régime
fessées assez conséquent, le projet éducatif risquait vite de tourner court. Elle
les fesserait donc en se réjouissant à l'avance, d'un abondant échange de
larmes, de cris de douleurs et de supplications, sans distinction de
langue. Elles se chargeait de leur
donner un rythme d'expression, bien cadencé sur les fesses !
C'est
au bénéfice de la maturité et de l'expérience, qu'il revient naturellement à
Gladys le plaisir d'administrer à Andrew sa troisième fessée de bienvenue, au
grand dépit de Patricia, qui y voyait déjà une belle occasion de lui faire la
démonstration de ses talents de fesseuse. Sa mère n'apprécie pas sa mine
boudeuse.
–
Patricia enfin ! Tu ne vas tout de même pas nous faire un caprice pour une
fessée ! Des fessées tu en mets presque tous les jours ! Rien que
demain, tu auras les fesses de Gérôme pour toi toute seule pendant son cours
d'anglais. Et pour la bonne cause en plus ! Et lui, pour le moment c'est à
Margaret qu'il doit rendre des comptes.
Géraldine,
qui a déjà testé le derrière du nouvel arrivant, et adore attiser les conflits,
fait remarquer avec cette petite moue de gamine perverse.
–
Moi je comprends Patricia. Avec Andrew... c'est pas pareil ! Il a de si
belles fesses qu'on a forcément envie de les essayer ! Des fesses d'une
souplesse... je ne vous dis que ça !
–
Géraldine, ça suffit ! lui lance sa mère. Inutile de jeter de l'huile sur
le feu ! Ou le feu je te le mets aux fesses tout de suite après celles de
Gérôme. Pétrifié sur ses genoux, en attente de sa fessée, le malheureux a du
mal à retenir un petit gémissement de trouille.
L'attente
de la fessée en double se prolonge, sans que Margaret et Gladys manifestent une quelconque impatience. Elles savent prendre le temps de régler les différends,
fortes de leur légitime autorité, si ce n'est par le compromis, c'est par la
fessée qu'elles débloquent les situations.
Vexée de s'être fait doubler par sa mère, si
près d'une raclée initiatique sur un
nouveau derrière, Patricia ne lâche pas l'affaire et tente une riposte un peu
perfide.
–
Mais maman, je t'ai toujours entendu dire que pendant une séance de plusieurs
fessées consécutive, il était préférable de laisser un petit temps de
récupération aux derrières pour les
retrouver en bonne forme à chaque reprise.
Gladys, se lève du canapé avec un sourire condescendant.
– Et bien ma fille tu n'es pas bien maline sur ce coup-là. Je t'ai connue plus pertinente. C'est
vrai que je dis souvent ça et alors... Et je ne vois pas le rapport ? Que
ce soit toi ou moi qui lui flanque une nouvelle fessée ça ne lui ménagera pas
le derrière. Alors autant que ce soit moi. Jusqu'à preuve du contraire, même si
tu fesses bien, mes fessées sont, pour le moment, encore plus efficaces que les
tiennes... ma petite ! Je pourrai t'en faire la démonstration à la maison
si tu veux. Où même ici, tiens, ça serait amusant !
Patricia, qui vient de se prendre un revers croisé le long
de la couture de ses bas nylon, ne dit plus rien et, vexée, s'enfonce dans son
fauteuil en croisant rageusement les jambes.
L'atmosphère dans le salon, qui était déjà à peu près aussi
tendue que le derrière d'Andrew sous les fessées précédentes, s'alourdit un peu
plus. La pression n'est évidemment pas ressentie de la même façon par celles
qui administrent les fessées que par ceux qui les reçoivent.
Pendant que Patricia disputait à sa mère l'opportunité de
s'occuper du derrière d'Andrew, Margaret, continuait à préparer tranquillement
la fessée de Gérôme effondré en travers de ses larges cuisses accueillantes.
Elle ironise.
– Alors mesdames on s'est décidé. Quand je vois trépigner
notre ami Andrew, au coin, je me demande si c'est d'impatience de savoir qui va
lui administrer sa troisième fessée ou à cause de la cuisson de ses fesses.
Géraldine, maintenant spectatrice, s'amuse de la petite
rivalité entre la mère et la fille.
– C'est tout vu maman, je crois que Gladys vient de prendre
la main !
Andrew inquiet, n'en même pas large. Avec les deux
corrections que ces dames viennent de lui mettre, elles n'ont pas mis longtemps à venir à bout d'un soi-disant flegme britannique qui vient d'en
prendre un coup sur la théière. Il s'attendait à devoir se plier à une
discipline assez stricte, somme toute comme chez lui en Angleterre, mais
certainement pas à devoir se ramasser trois fessées consécutives dès son
arrivée sur le sol français. Tout ça, parce qu'il n'a pas su trouver la bonne
formule de politesse vis à vis de Margaret. De toute évidence, la sévère
préceptrice a sauté d'autorité sur l'occasion. Géraldine, la fille, n'y est pas
allé de main morte non plus. Elle fesse aussi dur et pire, par plaisir. Quant à
leur amie Gladys pour la fessée suivante qu'elle lui prépare, elle n'a pas
l'air la moins dangereuse des trois. Heureusement, pour ses fesses, Patricia,
l'autre furieuse de la déculottée, ne semble pas au programme des festivités.
Toujours ça de gagné, même si c'est certainement partie remise.
Gérôme de son côté, pourtant habitué à en recevoir des
cuisantes, redoutait la poigne de Margaret. Un frisson nerveux lui parcoure
l'échine lorsqu'il sent sa large main lui patiner le derrière à travers son
slip, puis s'insérer sous l'élastique et le lui caresser d'une paume insistante
dans le nylon. Il se raidit un peu lorsqu'un index furtif, à tête chercheuse,
s'insère avec autorité entre ses fesses, pour opérer un glissant aller et
retour sur toute la longueur de la raie et s'enfoncer plus loin pour lui titiller joyeusement le trou de balle
avant de remonter à la surface. Il a craint le pire. Cette femme est décidément
diabolique
Sa voix
grave le pétrifie de trouille, alors qu'elle continue à lui pétrir
voluptueusement les deux fesses sous le nylon pour bien lui montrer qu'elle en
a pris possession et compte en faire ce
qu'elle veut.
– Mais c'est qu'il en a une sacrée bonne paire l'ami
Gérôme. Voilà un slip comme je les aime, bien rempli, plein à craquer, d'un bon
gros fessier bien ferme, fait pour se prendre de belles fessées bien claquantes
! Pardi, ça ne m'étonne pas que tu t'en ramasses autant ! Je
comprends Patricia, et Ma'am Thérez, comme les cousines, qui ne doivent pas
s'ennuyer à la maison avec un pareil derrière sous la main !
Gérome se tortille en gémissant sous les caresses qui se
font de plus en plus pressantes sur son postérieur. Il sent, avec angoisse, que
la fessée ne va pas tarder à démarrer et s'attend au pire. Margaret l'a
littéralement plié en deux sur ses cuisses, le buste presque à la
verticale, pour l'obliger à arrondir ses
fesses au maximum. Il est tellement
penché en avant que son crâne touche presque le sol. Sa voix larmoyante
résonne sur le carrelage .
–
Ooh Ma'am Margaret... S'il... s'il vous
plaît...
–
Tu ne peux pas savoir comme ça me plaît mon ami d'avoir un si copieux
derrière sous la main ! Ironise la maîtresse femme, je vais lui mettre une de ces
fessées... Tu m'en diras des nouvelles...
Elle
se tourne vers Gladys qui vient de s'installer à côté d'elle sur le deuxième
tabouret à fessées prévu pour les duo en public.
– Vous êtes prête Gladys ? On n'attend
plus que les fesses d'Andrew soient en position pour commencer !
Les
deux femmes, s’étaient mises d’accord sur le
déroulement de la correction.
– Je pense qu'une séance en deux temps avec une séquence
martinet leur ferait énormément de bien, avait proposé Margaret dans son rôle
de maîtresses des lieux et de cérémonie. Géraldine se mêle encore de la
conversation pour faire de la publicité.
– Surtout à Andrew
qui goûterait ainsi à sa premières fessée avec un martinet Delaniaires, pur
produit français, fabriqué maison. On n'exporte pas encore en Angleterre mais
ça pourrait venir …
Patricia, quant à elle, sort de son bref mutisme, et donne, comme d'habitude dans la surenchère.
– Vous pourriez aussi échanger les paires de fesses entre
deux, pour rendre les fessées plus attrayantes et en varier les effets.
Les deux jeunes femmes, à défaut de participer activement,
multiplient les propositions pour
prendre part à la séance qui se prépare.
Géraldine, un brin perverse dans le rôle de conseillère en
fessée ne fait pas de détail.
– Oui, c'est ça ! Pas de fessée en même temps pour les
deux punis. Pendant que Gérôme, slip aux cuisses, recevrait sa fessée par
maman, Andrew se prendrait une nouvelle
fessée déculottée à la main par ta mère
pour lui préparer le derrière au martinet.
– Voilà , c'est
ça ! Et une magistrale fessée ! précise Patricia, comme si
c'était elle qui allait l'administrer !
– Mais c'est qu'elles fesseraient bien à notre
place si on les laissait faire, ces péronnelles !
S'exclame
Gladys en tirant Andrew par l'oreille,
du coin où il ruminait les fesses à l'air
depuis cinq minutes. Elle le ramène au tabouret à fessées près de
Margaret déjà installée sur le sien, avec Gérôme sur ses genoux ; .
Les deux femmes sont positionnées au milieu du salon, devant leurs filles,
excitées comme des demoiselles enfilant leur première paire de bas nylon. Elles
comptent bien ne pas perdre une miette de la croustillante séance de fessées en
préparation.
Gladys tenant Andrew par le bras l’attira vers
le siège, mais celui-ci, effrayé à la perspective
de recevoir une troisième fessée, commença à résister en reculant. Il se
mit à supplier, des sanglots dans la
voix.
– Please Madaame... please !! Owwww, Plus
la spanking... la...la fessée, s'il vous
please !!
Elle le lâcha, mais pour lui mettre une paire
de gifles qu’il reçut, les larmes aux yeux.
– Qu'est-ce que ça veut dire ça mon
ami ! On fait la forte tête ! On refuse de prendre sa fessée,
hein ? J'adore dresser les vilains garçons comme vous ! Et vous
n'avez pas idée de ce qui attend vos fesses !
Ceci fait en guise de mise en condition, elle
le fit attendre debout près d'elle, le temps de retrousser sa courte jupe sur
ses cuisses gainées de nylon, et le bascula en travers de ses genoux le ventre
et le sexe plaqués sur ses jarretelles.
Simultanément Margaret entreprit de déculotter
entièrement Gérôme et saisit l'élastique de son slip. Le nylon, tendu à craquer
glissa avec quelques difficultés sur les volumineuses rondeurs du gros
postérieur mais ce fut l’affaire de
quelques secondes. Gérôme, pétrit de honte, offrit malgré lui aux deux filles
bien énervées, sa magnifique paire de fesses bien rondes, qui portaient encore
un peu de la rougeur d'une précédente fessée, sans doute reçue à la maison.
En gourmande, Margaret fit bruyamment claquer
l'élastique du slip sur ses cuisses et commenta d'un ton ironique.
– Alors
, mon petit Gérôme, tu n'es pas bien là sur les genoux de madame
Margaret ? Tu les sens bien à l’air tes grosses fesses à claques,
déculottées, bien tendues ? Je vais t’apprendre moi à reluquer le derrière
de ma fille et de mentir en plus !
Tu sais ce qui va leur arriver maintenant à tes fesses ?
– Ooooh oui Madame... Oui je
sais ce qui attend mes fesses !
– Et
c’est quoi qui attend tes fesses mon ami
?
– La fessée madame... la... la
fessée ! ...une bonne fessée ....
une bonne fessée sur mon gros derrière déculotté !
– Et tu
n’as pas honte de recevoir une bonne fessée déculottée devant Géraldine et
Patricia ?
Gérôme est habitué à subir ce genre de sermon
avant chaque correction. Il répond machinalement comme il le fait sur les
genoux de sa mère lorsqu'il se trouve dans cette position.
– Oh si
Madame, si, j'ai honte! Mais... je l’ai méritée ...et les fessées c’est
toujours déculottées qu'on les administre,
sans cela ça ne serait pas de vraie bonnes fessées “
– Et
pourquoi l’as-tu méritée ta fessée ?
– Parce que j'ai été malpoli avec votre fille
et que j'ai menti après.... Alors... euuuh,
c’est la fessée … sévère et bien claquée.
Margaret, constate avec satisfaction la
docilité du garçon et en profite sans vergogne .
– Parfait, je vois que maman Thérez t'as bien
dressé et que tu as retenu ses leçons !
Eh bien maintenant tu vas mieux exposer tes grosses fesses de jeune homme
insolent, que je puisse te fesser très
sévèrement et que ta fessée soit parfaitement claquante...
Gérôme,
entièrement soumis à l'autorité de sa correctrice, ne pense pas une
seconde à émettre la moindre supplication ou une simple demande d'indulgence.
Il obéit instantanément.
– Oui Madame. ! Oui ! Il se cambre
immédiatement en arrondissant sa croupe au maximum, fesses rebondies ...comme
çà ? Demande-t-il en poussant à fond sur
le derrière ?
Margaret s'amuse de son empressement à
satisfaire ses exigences. D'autant plus qu'elle sait que cela n'atténuera pas pour autant, la
sévérité de la déculottée qu'elle a l'intention de lui administrer. Elle
continue à l'humilier devant Géraldine et Patricia qui se régalent de la séance
de dressage.
– Mieux
que çà Gérôme , mieux que ça ! Fais le bien ressortir ton gros
fessier de petit vicieux, voyeur, qui va recevoir une longue, très longue
et cuisante fessée devant ces demoiselles ... alors exhibe bien tes fesses au
maximum pour qu'elles les voient bien cuire et rougir sous ma main !
– Oui
Madame Margaret... je vous obéis … je vous
obéis ...
– C'est bien Gérôme mais ça ne suffit
pas ! Sais-tu ce qu'on doit dire à chaque
fois, avant de recevoir une correction ?
Moi, je veux t'entendre demander à Patricia et Géraldine si tes fesses
sont bien présentées pour qu'elles les voient bien, et que la fessée que tu vas
recevoir soit la plus claquante possible
Il répète docilement en s'efforçant de bien cambrer les reins pour
arrondir son derrière, tendu au maximum. Dans le même temps, il baisse lui-même son slip un peu plus bas
sur ses cuisses pour bien dégager toute la surface de son derrière à corriger
et le présenter prêt à claquer, entièrement soumis à la fessée. Mais à peine a-t-il fini de le positionner
qu’une première claque d’une sonorité éclatante retentit sur ses fesses que
Margaret a cueillies à la volée en pleine montée...,
– Bon initiative mon ami, tiens bien ton slip
baissé pour éviter qu'il ne remonte pendant que je te secoue les fesses !
– Et aussitôt ce n’est pas une mais des dizaines
de claques qui tombent sur son fessier tressautant qui rougit à toute vitesse.
La fessée est tellement cuisante qu'Il se met presque immédiatement à pleurer
et à supplier en tortillant frénétiquement du derrière .
– Plus la fessée Madame, plus la fessée, Pitié,
vous tapez trop fort !! !
On a vraiment l’impression d’entendre un sale
gamin corrigé en public .... Il gémit.
– Roooahhh
mes fesses ! Mes fesses ! Paaa...rdon Maaadame ! Pardon à votre fille ! Je ne
recommencerai plus... plus... à lui manquer de respect ! Plus la fessée,
s’il vous plait ! Pardon” Ouaiiiie, votre main Madame, votre
main !... elle claque dur !
–
Mais j'espère bien qu'elle claque dur ma main ! C'est une main sévère
comme celle-là qu'il faut pour bien corriger tes grosses fesses, mon ami.
D'ailleurs elles en mettent plein la main, tes belles joufflues... de vraies
fesses à claques... que du bonheur !
Gladys, tout à côté, n'est pas en reste. Elle a couché
Andrew sur ses genoux et lui passe sa
main sous le ventre pour le soulever. Il est, reins cambrés, croupe en l’air,
son ventre reposant à peine sur ses
cuisses, son sexe frôlant le revers noir de ses bas nylon.
– Aller, Mister Andrew, montrez-moi comment, en Angleterre, on apprend à présenter ses fesses, pour bien recevoir
ses fessées ! Vous allez voir, ici
en France on les adore les gros derrières bien claquants !
Gladys, se régale. Elle n’a plus rien d'autre sous les yeux
qu’un volumineux fessier, encore reluisant des deux fessées précédentes,
qu’elle claque alors à la volée. Tout en fessant, elle lui tire la tête en
arrière par les cheveux, pour lui faire tenir sa position cambrée et déployer,
au maximum, son volumineux postérieur bien tendu à sa main. Elle le fesse avec
ardeur ce gros derrière cuisant, sans s’arrêter une seconde, ne laissant pas la
moindre surface de peau sans la claquer sévèrement. La main haut levée au-dessus de sa tête pour prendre le plus d'élan
possible, elle fait le tour du gros postérieur en tapant de plus en plus fort !
Le malheureux, cette fois en grande souffrance, ne se
retient plus. Il crie, supplie, promet
de travailler sérieusement, dans un
français plus qu'approximatif encombré d'expressions anglaises. Cela contrarie
profondément Gladys et surtout Margaret, qui mesure l'étendue du travail à
accomplir pour le faire progresser. Elle traduit son agacement sur les fesses
en feu de Gérôme, qui commencent à battre des records de saut en hauteur sur
ses cuisses. Les fessées sont tellement fortes qu'elle a eu raison d'abandonner
l'idée de les faire communiquer entre eux tant ils ne peuvent s'exprimer
autrement que par des pleurs des cris et des râles de souffrance, dont le
vacarme est encore amplifié par le formidable claquement de leurs fesses.
C'est donc, chacun de leur côté, que les deux jeunes gens,
dans un langage différent et pas pour les mêmes raisons, implorent le pardon,
jurent de ne plus recommencer, d’être sage , soumis, obéissants, polis,
promettent tout ce qu’elles veulent et même plus… mais les puissantes fessées, continuent
sans répit à cadence régulière.
Assez rapidement Gérôme comme Andrew, qui lui aussi a
compris que leurs supplications ne faisaient qu'attiser la sévérité des deux femmes,
n’essaient plus de dire quoi que ce soit.
Sous la menace permanente de l'inévitable fessée supplémentaire, ils
s'échinent à maintenir leurs fesses en bonne position et se contentent de pleurer bruyamment, à
chaudes larmes , en sanglotant en permanence. Gladys et Margaret, rompues à l'exercice, l’œil sévère fixé sur les postérieurs en feu,
paraissent infatigables et continuent implacablement à administrer à leur puni
une sévère correction…l es
fessées durent de longues, longues
minutes, qui semblent interminables aux deux garçons. ....
Pas pour Géraldine et Patricia, au bord de la pâmoison, qui
se délectent ouvertement, devant le
spectacle des deux paires de fesses écarlates, rebondissant sur les genoux de
leur mère respective. Elles n'en peuvent plus de tremper leur slip de nylon,
dont le seul inconvénient est de ne rien absorber.
– Ah je n'en peux plus, exulte Géraldine qui n'en finit pas
de tortiller du derrière sur sa chaise. Il n'y a pas à dire, elles sont en
forme les maters ! Pour fesser, ça fesse dur !
– Tu as raison,
répond Patricia, le souffle court. Qu'est-ce qu'elles leur mettent sur les fesses,
et comment elles encaissent bien ! En
tout cas ils ne l’ont pas volé !
Les mains plaquées entre ses cuisses elle se dandine
d'avant en arrière en suivant les contorsions du gros fessier de Gérôme, sont
préféré après celui de son frère, que la main ferme de Margaret fait tressauter
sans pitié. De temps en temps elle voit le sexe tendu du jeune homme ripper sur
le revers de ses bas nylon et rebondir
en cadence contre ses jarretelles.
Elle le fait remarquer à Géraldine qui éclate de
rire .
– Oui, j'ai vu, moi aussi , je me demande combien de temps
il va tenir. Surtout que je connais ma mère, quand elle a trouvé son rythme de
croisière elle a du mal à
s'arrêter.
– Pareil avec la mienne. L'anglais au pair est dans tous
ses états aussi !
– Ouais ! S'ils n'arrivent pas à se retenir, et qu'ils
leurs pollue les bas nylon, je ne te raconte pas ce qu'elles vont leur mettre à
la suite. Ça va être encore pire.
Les fessées claquaient en cadence sur les fessiers bien
tendus. Les deux filles, énervées comme
des jouvencelles avant de se faire sauter la capsule, continuaient de papoter
en se tripatouillant joyeusement l'entrejambe. Soudainement on entend, par la
fenêtre grande ouverte, une voiture s’arrêter juste devant la maison. Le
carillon de l'entrée retentit . Margaret, pour qui, il était inconcevable
d'interrompre une fessée en cours, montre son agacement en ponctuant chaque
syllabe d'énormes claques sur les fesses
du pauvre Gérôme.
– En-trez !! La – porte - est- ou-verte ! ” .
Rodolphe apparaît, en larmes, à l'entrée du salon, poussé
par Clarisse sa mère, à grandes claques
sonores sur les fesses. Elle tient un martinet à la main. Lui retient son
pantalon baissé et, son slip descendu au milieu des cuisses, laisse voir un
rutilant fessier rebondi, lui aussi, écarlate. On sent que maman a déjà sévi et
a bien l'intention de continuer en public . .
– Tiens, tiens... Encore une nouvelle paire de
fesses ! , s'exclame Géraldine en sortant la main de son entre cuisses. Il
ne manquait plus que le gros derrière de l'ami Rodolphe pour compléter le
tableau. Aujourd'hui, c'est soirée fessées chez les Delaniaires !
Et après la saison 3... vient la saison 4!
Nous retrouvons des protagonistes dont nous avons déjà fait la connaissance, mais nous allons également découvrir de nouveaux personnages pour lesquels la fessée est à l'ordre du jour.
Bonjour Ramina,
RépondreSupprimerWahou ! C'est le derby ! Grand Chelem !
Essais réussis sur toute la ligne. L'Entente Cordiale tourne à la... Bérézina ! Qu'est ce qu'ils prennent Abott et Costello !!!
J'aimerai pas être à leur place ! Pour Gérome, les claques de tante Liza, à côté, c'est de la tisane à la camomille !!! Andrew va vite progresser avec les fessées irrégulières : " To spank - spanked - spanked". Gérome va devoir réviser sa leçon pour le lendemain. Avec Professor Pat', ça va chauffeeeer ! Ces demoiselles sont comme les Harpies de la mythologie grecque (cf. le film : "Jason et les Argonautes" de 1962) : elle harcèlent leurs pauvres victimes sans défense pour mieux les tourmenter ! Bonnes illustrations à propos.
Amicalement. Peter.
Bonjour Peter
RépondreSupprimerTes commentaires bourrés de références cinématographiques ou de vielles série télévisées sont des pépites d'anthologies franchement drôles et, elles aussi, pour certaines, d'un temps jadis!
"Abott et Costello" : duo burlesque des années 50, comme "Jason et les Argonautes"... il faut remonter loin pour aller les chercher ceux là!
Eh oui, les "fessées irrégulières" comme les verbes du même nom, difficiles à supporter mais à l'exercice, quand même sur un rythme régulier. Les passionarias de la déculottée ne donnent pas dans la dentelle et ne font pas les choses à moitié. C'est la marque de fabrique des "Dames aux Mains Fermes" qui ont à coeur de confirmer leur réputation à chaque fois que l'occasion se présente. Et comme tu l'as finement remarqué, quand il ne s'en présente pas, elles en trouvent... Les harpies! Quand on aime, ( la fessée) on ne compte pas!
Amicalement
Ramina
Amis de la poésie et de la fessée en Franglais, Bonsoir Ramina,
RépondreSupprimerGlad et Pat se lancent dans une joute oratoire sur qui de l'une ou de l'autre aura le privilège d'administrer la fessée ! Telle mère, telle fille, dirait-on !
Le coup du titillement du trou est du meilleur effet en terme de préliminaire, histoire de préparer le puni à ce qui va suivre. De ce fait, il pourrait savourer avant de déguster... ou le contraire, on ne sait plus où on en est, avec ces femmes qui tournent telles des vautours autour de pauvres petits hommes sans défense, surtout avec le futur usage sans modération des martinets made in Delaniaires.
On sent Gérôme, totalement soumis à sa fesseuse. Il a fauté, il doit en payer le prix. A son âge, vouloir reluquer les fesses d'une dame, ça parait normal, cela dit, ça n'en reste pas moins très indélicat.
On aimerait être à la place de Géraldine et Patricia et assister à cette sévère fessée, tout en se caressant devant ces belles fesses rouges.
Mais lorsqu'il n'y en a plus, il y en a encore en la personne de Rodolphe, qui mérite lui-aussi, une petit remontage de bretelles descendues au niveau des chevilles...
Amitiés.
Elena.
Chère Elena, bonjour.
RépondreSupprimerQue voila encore une analyse bien tournée et scrupuleusement observée. Vous donnez là une belle réplique à mes propres commentaires et j'avoue beaucoup apprécier la pugnacité de votre écriture .
Eh oui, "pauvres petits hommes sans défense" soumis à la rigueur disciplinaire de Ces Dames aux main si fermes et si cuisantes! Ils sont représentatifs de ces "mâles arrogants" que vous appelez parfois, fort justement,à recadrer dans quelques unes de vos réponses aux commentaires.
Et bien vous voilà écoutée, ces Dames sévères, s'en chargent volontiers avec enthousiasme, rigueur et savoir faire. Conjugaison des plaisirs de la fessées, humiliation et aussi auto satisfaction devant cette exposition de "belles fesses bien rouges". Avec de pareilles paires sous la main elles auraient tort de s'en priver... N'est-il pas ? (rire)
Quant à l'invitation au voyage au centre de l'hémisphère, une fois mis le doigt dans l'engrenage, c'est la porte arrière ouverte à toutes les fantaisies exploratoires. Géraldine en a bien profité dans les chapitres 29 et 34 de la saison 3... Ces Dames ont le sens du partage,
et comptent bien élargir le cercle d'autres de leurs amis, punis ... (re-rires)
Amicalement
Ramina