LES BIENFAITS D'UNE STRICTE DISCIPLINE DOMESTIQUE
LA BARAQUE A FRITES 2 : LA PUNITION.
La remarque menaçante de Clarisse ne laissait planer aucun
doute sur la suite des événements. Il était évident pour Gérôme et Rodolphe,
qu'ils allaient recevoir une raclée mémorable devant tous les témoins présents,
passablement excités. Extirpés sans ménagement de leur placard-abri, par
les cheveux , ils commencèrent l’un et l’autre à recevoir une série de
paires de gifles à toute volée pendant qu'ils se faisaient copieusement
admonester. Par leurs mères absolument furieuses, mais aussi par les femmes de
cuisine et, bien sûr, la pauvre vendeuse de frites qui revenait de la
pharmacie, un pansement sur sa cheville pommadée pour atténuer la brûlure. Une
cuisson d'un autre genre attendait les fesses des deux malappris.
– « Mais Rodolphe, qu'est-ce qui vous est passé par la
tête? Vous êtes complètement cinglés ! Vous venez de démolir
l'instrument de travail de cette pauvre dame ! Sa seule source de
revenus ! »
Hurlait Clarisse en
secouant son fils qu'elle tenait d'une main par le col de sa veste, de l'autre
le giflant à plusieurs reprises. Elle le dominait tellement du haut de ses
quinze centimètres de talons aiguilles, qu'il ne touchait pratiquement plus le
sol. Rodolphe n'était ni très grand ni très lourd et ne faisait pas le poids
entre les mains de sa mère. La forte femme n'éprouvait aucune difficulté à le
manipuler à sa guise pour lui flanquer ses fessées dans n'importe quelle
position et prenait beaucoup de plaisir en l'obligeant à lui présenter ses
fesses dans les posture les plus humiliantes possible. Elle le bousculait
tellement, qu'il ne parvenait pas à prononcer un mot correctement et ne faisait
que bredouiller lamentablement .
– « Mais...ais... ais... ma...
aa...man...an... On... On...!
Thérez, dans un premier temps, stupéfaites devant l'étendue
des dégâts, s'était vite reprise et ne ménageait pas mon plus Gérôme qu'elle
secouait comme un arbre fruitier... Dans
ce cas-là c'est souvent un prunier... Elle ne crie pas, se contentant d'élever
la voix.
– « C’est même à se demander si seulement vous vous
rendez compte de ce que vous avez fait ! »
Gérôme, essayait d'en placer une, en se protégeant la
figure de son bras replié. Mais, moins habile que son ami à embrouiller ses
interlocuteurs, il ne faisait qu'aggraver son cas avec des arguments plus
fantaisistes les uns que les autres.
– « Si ma... man ! Si ! Ouiiile ! On... On
s'est bien rendu compte... Aiiie !
Ça faisait tellement de bruit ! »
Thérez pour le coup, finit par se mettre en colère, et, au
moment où il baisse son bras pour regarder par-dessus son coude, elle trouve
une ouverture pour lui flanquer une claque retentissante.
– Ah oui... Et celle-là... Elle fait du bruit sur ta joue celle-là
?
– Aiiiie, Ah ça oui maman ! Ouille ! S'il te
plaît, pas sur la tête !... Mais... mais le toit c'est pas nous... Il est
… Il est tombé tout seul !
– La bonne blague ! Evidemment, vous avez démoli à
coups de pieds tout ce qu'il y avait en dessous pour le soutenir !
Continue comme ça, Gérôme, et tu vas voir, si ce qui va te tomber sur les
fesses va arriver tout seul ! »
Clarisse, le regard brillant d'une colère froide, lance un
coup d'œil éclair à sa voisine, avec un sourire carnassier.
– « Vous voyez bien qu'ils se fichent de nous, Thérez.
Et vous avez raison, il est grand temps de sévir pour de bon. C'est l'occasion
ou jamais. Une bonne fessée déculottée devant tout le monde, il n'y a rien de
mieux pour leur remettre les idées en place ! En attendant, bien sûr, celle qu'on va leur
flanquer une fois rentrés à la maison ! Il ne comprenne que les fesses
écarlates !
– Tout à fait... C'est bien le moins qu'ils méritent !
»
En moins de deux, Rodolphe se retrouve dans une humiliante
position, soulevé de terre, la tête coincée entre les fortes cuisses de sa
mère. Le maintenant solidement dans l'étau charnu, elle lui monte le fessier à
la bonne hauteur, délibérément orienté vers les spectateurs pour le déculotter
devant un public frémissant d'impatience.
Avec un sens particulier de la mise en scène en prélude à
l'administration de la fessée, elle s'offre le plaisir pervers d'un excitant
déculottage.
Un murmure d'enthousiasme,
parcoure les témoins de la scène lorsque, après un savoureux glissement de
nylon sur les courbes opulentes du derrière, elle s'amuse à tendre au maximum
l'élastique du slip de chaque côté des cuisses et la lâche d'un coup pour la
faire bruyamment claquer sur la peau. Les mains nouées autour du buste de sa
proie, ses épaules reposant sur ses genoux, elle la fait sautiller plusieurs
fois dans ses bras pour assurer sa prise et le caler, fesses en l'air,
maintenant déculottées, largement épanouies vers l'assistance. Le fessier est
prêt à claquer... tendu vers la main qui doit le corriger. Tel qu'il est
positionné, personne ne doit manquer une seule claque de l'humiliante
fessée, qui s'annonce spectaculaire et
parfaitement avilissante pour le jeune homme. Après ce qui s'est passé, il ne
plane aucun doute sur la légitimité de la punition qui doit être exemplaire.
.
Gérôme, n'est pas vraiment en meilleure posture. Calé sous
le bras maternel, le slip descendu au milieu des cuisses, il doit exhiber sa
grosse paire de fesses aux regards impatients d'un public maintenant
hilare.
Et les claques, tonitruantes, se mettent aussitôt à tomber
à un rythme immédiatement insoutenable, sur les deux paires de fesses bien
charnues et rebondies. Motivées par la volonté d'infliger à leur garçon une
magistrale correction, les deux mamans avaient une force décuplée par la
colère ! De plus, elles étaient évidemment encouragées à la sévérité
par toutes les femmes réunies autour d’elles qui ne manquaient pas de se moquer
des punis en commentant l’effet visible de la fessée sur leur gros
derrière tressautant.
Malgré leur entraînement à recevoir de fréquentes et
solides fessées, en réaction à celle-ci particulièrement sévère, Rodolphe et
Gérôme n'avaient pu s'empêcher de se mettre à pleurer dès les premières
claques. Des claques monumentale à vous faire éclater un slip sur le
derrière ! Ce que Clarisse, au meilleur de sa forme, réussissait à faire
sur les fesses de son fils. Et pour exploser le nylon d'un slip à fessée sur un
postérieur en ne laissant que les élastique, et à la main, il faut taper
vraiment très fort et longtemps.
La fessée en cours était d'autant plus cuisante pour les
deux jeunes gens que, chacun de leur côté, ils avaient déjà reçu une magistrale
déculottée maternelle la veille au soir pour des raisons autres, et que leurs
postérieurs n’en étaient pas complètement remis … Mais une succession de
fessées n’étaient ni pour Rodolphe, ni pour Gérôme un événement exceptionnel .
Toutefois, pleurant à chaudes larmes comme des gamins, en trémoussant leur
derrière rougissant devant toutes ces femmes qui se moquaient d'eux, ils
étaient honteux, à la fois de leur méchanceté, de leur bêtise, et surtout de la
fessée déculottée administrée en public. Ça claquait de concert, sec et serré,
si fort, qu'on devait entendre retentir les deux fessiers jusque dans le
restaurant.
Fortes de leur légitimité à les corriger, et tout en
fessant avec une constante efficacité,
leurs mères les sermonnaient sans arrêt pour renforcer la portée de la
punition. Clarisse criant presque pour couvrir les hurlements de son rejeton et
le formidable claquement de ses fesses qu'elle faisait sauter entre ses
cuisses.
– « Alors, mon chéri, tu es fier de toi et de tes
bêtises ? Tu l'as, maintenant, ta fessée, et bien méritée encore !
Sens tu comme la main de maman se régale sur tes grosses fesses !
Garde les bien tendues, bien présentées, pour montrer comment tu sais
recevoir tes fessées déculottées devant tout le monde ! »
Thérez admoneste son fils qui trépigne sous les claquées.
Elle exige que tous les deux présentent des excuses en règle à leur victime.
– « On dirait que tes fesses commencent à bien
chauffer... Ça vaut bien ça pour avoir insulté et outragé cette pauvre
femme ! Vous allez promettre d'aller lui demander pardon, à genoux,
déculotté les fesses rouges bien en vues, sur la place et devant la baraque à
frites... Ou ce qu'il en reste ! »
Clarisse suspend un bref instant sa frappe pour
repositionner son puni qu'elle sent progressivement s'affaisser vers le sol
sous la puissance des claques. Devant les témoins ravis du spectacle, elle
passe les bras sous son ventre et tout en resserrant l'étau de ses cuisses
autour sa tête, le soulève afin de l'obliger à mieux arrondir le derrière.
Satisfaite, elle reprend aussitôt la fessée qui claque de plus belle sur un
fessier de nouveau parfaitement présenté.
Les joues, du malheureux, soumises, en rythme, au frottement continue
des bas nylon, sont presque aussi rouges que ses fesses. Ayant perdu tout
sens de la dignité dès le début de sa fessée, il se laisse complètement aller.
Il pleure sans retenue en couinant de douleur et bavant ses larmes, tout en
prenant garde toutefois à ne pas mouiller les bas de sa mère sous peine de se
prendre une deuxième fessée sur le champ.
– « Tu peux pleurer et crier tant que tu veux, mon
petit chéri, tu régales tout le monde. Gardes les fesses bien tendues, il faut
que ça claque ! Et je te garantis que cette fessée n’est pas près de
s’arrêter... Et tu vas même t'en prendre tous les jours, matin et soir pendant
toute la semaine, comme ton beau-père ! On va bien s'amuser à la
maison ! »
Thérez n'est pas en reste et annonce, elle aussi, un suivi
de punitions fessières à la maison tout aussi rigoureuses.
– « Puisque apparemment les fessées de Patricia
pendant tes cours d'Anglais ne suffisent pas, je vais compléter le
traitement en augmentant les doses ! »
Le public essentiellement féminin applaudit presque, sans
couvrir pour autant le formidable claquement des deux magnifiques fessées en
simultané. Evidemment , aucune des fesseuses
ne voulant se montrer moins sévère que l’autre... les deux jeunes gens furent incapables
de savoir combien de temps dura cette séance.
Il leur fallut après retraverser une partie de la place, le
pantalon sur les chevilles, le slip baissé en dessous de leurs fesses écarlates
et, comme promis, demander pardon à genoux devant la ''vieille ''. De
plus, elle fut invitée par les mamans, décidément impitoyables, à les prendre
elle-même sous le bras et de leur flanquer une nouvelle fessée déculottée à l’un
et à l’autre, sur le lieu de leur forfait. Heureusement pour eux, elle tapait
moins fort que leur mère et surtout se contenta d’une cinquantaine de claques
sur chaque fesse. Étant donné la durée et l'intensité de la fessée précédente,
ça chauffait tout de même très dur quand elle les relâcha, les laissant
trépigner sur place sous le regard goguenard de leurs mères. .
Les main sur
les hanches, bien campée sur ses talons aiguille, Clarisse, ironisa en les
voyant danser tous les deux d'un pied sur l'autre, exécutant un ballet
désordonné .
– « Si
vous voulez une autre tournée sur les fesses tout de suite, il vous suffit de
finir le travail... Il reste des morceaux de la baraque encore
debout ! »
Seul
Rodolphe, en larmes, eu le courage de répondre en murmurant entre deux hoquets
de sanglots.
– « Oh
non, maman... J'ai trop mal aux fesses ! Tu... Tu as encore tapé fort...
On a compris, ça suffit... On ne recommencera pas... ».
Ils durent
subir la nouvelle humiliation de devoir plonger, la tête en avant, coincée
entre les cuisses de leur mère, pour se faire reculotter sans ménagement,
fesses en l'air, bien arrondies pour faciliter la remontée du slip. Elles
s'appliquèrent à le leur ajuster très serré, les élastiques tendues, coincées
dans la raie des fesses, afin d'en offrir les volumineuses rondeurs cramoisies,
gonflées de claques, au regard de l'assistance qui applaudit, ravie du
spectacle. D'aussi belles paires de fesses aussi sévèrement claquées méritaient
bien ce vibrant hommage.
Le pantalon à
la main, fermement tenus par une oreille, Rodolphe et Gérôme, entamèrent une
marche chaotique, trottinant comme des gamins à côté de leur mère qui
marchaient d'un pas alerte. Leurs chemins se séparèrent chacun regagnant son
domicile. Mais au bout de quelques dizaines de mètres, Clarisse fit rentrer Rodolphe
avec elle chez une fleuriste qu'elle connaissait, pour lui emprunter une sorte
de lien de raphia et une baguette d’osier.
– « Ne
te fais aucune illusion mon petit chéri, je suis loin d'en avoir terminé avec
tes fesses ! Crois-moi, tu vas t'en
souvenir longtemps de la baraque à frites, c'est moi qui te le dis !
Aller, marche devant et tiens bien ton slip dans la raie des
fesses! »
Rodolphe ne
dit pas un mot ; Ce n'était pas le moment de discuter. Elle se plaça derrière
lui, à la distance adéquate pour lui cingler les fesses en continu avec la
baguette d’osier. Ils traversèrent ainsi une partie de la ville, lui pleurant
et elle lui fouettant les fesses toutes rouges,
– « Rien
de tel pour entretenir la cuisson, avant la nouvelle fessée qui t'attend en
rentrant ! »
Elle allait
lui faire payer très cher, ses petits délires de démolisseur et son attitude
insultante vis à vis de la pauvre dames de la baraque à frites. Ils arrivèrent
à la maison où l'inévitable fessée déculotté lui était garantie. Une déculottée
d'autant plus évidente que Clarisse estimait que le terme '' fessée
déculottée'' relevait tout simplement du pléonasme !
A peine entrés, sa mère lui commanda d’aller ouvrir la
fenêtre en grand afin que sa fessée s’entende bien à l’extérieur, notamment de
l'amie Bettina, et qu’il n’y ait aucun doute sur la nature de la fessée et
l’identité de celui qui allait la recevoir. Il y courut et, docile, s’apprêtait
à se mettre en “bonne position” pour bien présenter ses fesses, lorsqu’il
les aperçut dans la glace. Débordantes des élastiques de son slip englouti dans
la raie, elles reluisaient déjà d’un beau rouge flamboyant, strié par des
traînées plus foncées, tracées par la baguette d’osier qui lui avait cinglé le
derrière pendant pratiquement tout le trajet. Il n’eut même pas le temps de
prendre la position habituelle, Clarisse l'avait repris par l'oreille,
traîné vers la chaise à fessée, et déjà basculé sur ses genoux. Après une
énergique descente de slip, il se retrouva
le nez au ras du sol, le postérieur entièrement déculotté un mètre plus haut,
les pieds battant déjà l’air.
La fessée recommença tout de suite, cuisante, claquante,
violente. Il voyait, dans la glace, le visage sévère de sa mère, sourcils
froncés, le regard fixé sur son fessier écarlate qui se trémoussait en tous
sens. Il se me mit à pleurer comme un sale gosse, qu'il était encore sans nul
doute malgré ses vingt ans passés, sans même oser demander pardon. Il savait
pertinemment que c’était parfaitement inutile. Elle claquait de toutes ses
forces , furieuse , faisant littéralement bondir ses fesses sur lesquelles il
n’avait plus aucun contrôle pour tenter de maîtriser leur agitation
désordonnée. Dressé à bien présenter son derrière pour faciliter l'administration
de ses corrections, il s’efforçait seulement, par réflexe conditionné, de le
maintenir dans la position exigée, sachant que le moindre relâchement serait
considéré comme une désobéissance. La nouvelle fessée qui suivrait aussitôt,
n’en serait que plus sévère et plus longue.
C'est, peut-être, au bout d'un quart d’heure environ, que
Bettina, rayonnante, vint du dehors, s’accouder à la fenêtre après avoir
traversé le jardin. Malgré le claquement retentissant de sa fessée, Rodolphe
l'entendit, avec sa voix, évidemment, toute réjouie.
– « Et bien dites donc, quelle déculottée !
Encore une sévère ! On entend claquer ses fesses jusqu'au trottoir d'en
face ! Qu’est-ce qu’il vous a
encore inventé ce grand garçon, pour en mériter une si bonne? »
Totalement concentrée sur l'administration de la fessée et
appliquée à bien ajuster les claques sur le gros fessier qu'elle faisait
rebondir sur ses cuisses avec entrain, Clarisse ne répondit pas tout de suite.
Rodolphe quant à lui, n’essayait même pas d'apercevoir l'incontournable
voisine. Il savait qu’elle n’en perdrait pas une miette et devinait son visage
mauvais. Mais au bout du compte il s'en fichait. Ce qui lui importait, la seule
chose qui comptait, c’était son postérieur en feu et les claques qui retentissaient
dessus avec la régularité d'un
métronome .
Tout en continuant à
lui claquer vigoureusement le derrière, et sans perdre la cadence, Clarisse
raconta à Bettina, l’épisode épique de la baraque à frite. Comment il l'avait
pratiquement démolie avec la complicité de son cousin Gérôme, la fessée qu’elle
lui avait déjà administrée en ville sur la place, en compagnie de Thérez, et
celles qu'il allait encore recevoir chaque jour pendant toute la semaine.
Fidèle à elle-même,
Bettina, exagérant son indignation en rajoutait tant qu’elle pouvait.
– « Incroyables,
ces jeunes gens. Ils se croient tout permis ! C'est pourtant pas faute de
les corriger, et ils s'en prennent des fessées... A leur âge ! Et bien pas
encore assez ! C'est qu'ils auraient pu la tuer la pauvre Dame ! Moi, pour tout dire... J'appelle ça une
tentative d’assassinat... ! »
Rodolphe se fichait
de tout ça. Son seul problème c’était l’immédiat. La terrible cuisson de son
derrière qu’il devait maintenir en l’air, bien tendu, bien arrondi ...et la
fessée qu'il était en train de recevoir. Le reste, on verrait bien...
Brusquement, il se
retrouva projeté par terre et tomba sur les genoux, empêtré dans son slip,
tendu en travers de ses cuisses, presque aussi brûlantes que ses fesses. Pour
que ses corrections soient bien efficaces, Clarisse se plaisait à élargir la
surface à claquer en faisant quelques allers et retours bien cuisants sur le
haut des cuisses, Elle lui cria.
– « File au coin
et attends ! Tu vas voir petit voyou ! Ta raclée n'est toujours pas
terminée !».
Maintenant terrorisé,
il se précipita au coin en se frottant les fesses et s'agenouilla nez au mur,
fessier bien en vue. Malgré l’interdiction de se retourner, il vit sa mère
aller chercher le fameux Dolpic, et s'en enduire généreusement la main droite.
Elle ne lui laissa donc pas le temps de
récupérer au piquet.
– « Aller,
ramène encore tes fesses par ici, il leur manque une petite finition au
Dolpic !''
Elle l’attrapa par une oreille et l’entraina
vers la fameuse chaise à fessée où
il dû, de nouveau s’installer en bonne position. La jupe retroussée sur ses
hanches pour fesser à l'aise, toutes jarretelles dehors, elle posa son talon
aiguille sur le siège. Il sentit aussitôt une poigne ferme le soulever comme
une plume, et il se retrouva littéralement plié en deux, fesses en l'air sur sa
cuisse, le ventre frottant douloureusement sur sa jarretelle. Tendues par la
position ses grosses fesses rouges et cuisantes s'épanouirent d'elles même au-dessus
du slip, développant leur volumineuses rondeurs charnues, entièrement offertes
à la nouvelle fessée. Il entendit Bettina stimuler sa mère avec un enthousiasme
pervers.
« Allez-y Clarisse, allez ,
allez ! Ne vous laissez surtout pas attendrir ! Tapez fort ; très
fort ! Son gros derrière est solide, il peut en encaisser ! Une
belle ! Bien cuisante, qu'on entende claquer ses fesses jusque dans la
rue ! »
Clarisse n'avait pas besoin d'encouragement et
démarra la fessée au Dolpic à toutes volées, sur un fessier extrêmement
sensible, car bien échauffé par les fessées précédentes. Elle savait, par
expérience, qu'il fallait en général plusieurs fessées successives et un
postérieur alors en pleine cuisson, pour obtenir son meilleur rendement sonore.
En clair, selon la sévère épouse et mère, plus les fesses sont rouges et
cuisantes mieux elles claquent. C'était le cas de celles de Rodolphe et surtout
celles de Douglas, qu'elle entretenait régulièrement depuis longtemps et dont
elle savait profiter des retentissantes performances.
Sévèrement fessé pour la troisième fois de la
journée, Rodolphe criait et pleurait assez fort pour que, par la fenêtre grande
ouverte, les voisins entendent que c’était bien lui et pas son beau-père qui
recevait cette fessée magistrale. Il y avait, en tout cas, un témoin attentif
et qui participait à sa manière à sa punition : c’était Bettina la voisine,
toujours aussi excitée par le spectacle de sa belle paire de fesses bien rouges
en train de se tortiller sur les genoux de sa mère sous les vigoureuses
claquées qu'elle alternait avec les frictions au Dolpic.
Il gigotait tellement sous la puissance des
claques, qu’elle devait le repositionner régulièrement pour lui maintenir le
derrière bien calé sur sa cuisse, rendue glissante par le nylon de ses
bas. Elle décida donc de le mettre, à
nouveau, à plat ventre sur ses genoux et il dû reprendre la position
réglementaire : derrière en l’air, bien tendu et tête en bas. Elle
recommença alors à lui frotter vigoureusement les fesses de sa main enduite de
Dolpic. La terrible pommade diffusait
une chaleur intense, piquante, qui lui enflammait tout le postérieur. Lorsqu'il fut entièrement incandescent, elle
recommença à le fesser vigoureusement, de la même main, sous les encouragements
pervers de Bettina, l'incitant à taper toujours plus fort.
– « Allez
Clarisse, corrigez-le comme il le mérite, ce dangereux petit voyou ! Il
faut qu'il s'en souvienne de cette fessée ! Claquez bien ses grosses fesses... Une paire
comme celle-là, ça en encaisse des cuisantes ! »
Tout en exhortant à toujours plus de sévérité,
elle s’efforçait de repérer les endroits du fessier où la couleur pourpre était
moins intense, incitant Clarisse à insister sur ces parties, pourtant déjà bien
servies. Au plus fort de son hystérie disciplinaire, la vicieuse créature
commençait à sentir une chaleur humide lui inonder le slip qui lui collait aux
fesses comme une seconde peau. Le feu du brasier infernal qui incendiait le
fessier de Rodolphe atteignait son apogée, lorsque sa mère ralentit la cadence
et mit fin à son calvaire d'un monumental aller et retour sur chaque fesse qui
rebondirent de plus belle sur sa cuisse.
Le malheureux, épuisé, vaincu, resta prostré,
en larmes sur la cuisse de sa mère, bras et jambes ballant dans le vide. Ses
fesses incandescentes irradiaient le salon et dégageaient une intense chaleur
qui semblaient envahir toute la pièce. Il eut presque du mal à réaliser que la
fessée était enfin finie quand Clarisse décida de le reposer par terre. Mais
elle égrena immédiatement les sanctions qu’elle avait décidées : Une bonne
fessée chaque matin avant d’être envoyé avec Gérôme, remettre en état la baraque à frites de la
malheureuse femme, privée de son gagne-pain. Annonce de correction immédiate,
s'il s'offrait le luxe d'y mettre de la mauvaise volonté, et, si elle le
jugeait utile, et il y avait de grande chance pour que ce soit le cas, nouvelle
fessée déculottée le soir pour bien terminer la journée... Dans l’immédiat ,
une heure de coin, slip aux cuisses... le dîner et au lit !
Cela faisait longtemps que Rodolphe n'avait pas
obéi aussi vite en faisant preuve d'autant de soumission. Pour un peu il aurait
rampé pour aller se mettre au coin. Il faut dire que, bien qu'il s'en prenne
régulièrement, des longues et toujours bien claquées, il venait de se ramasser
une magistrale série de fessées, particulièrement éprouvantes. Il se promettait
d'appeler Gérôme pour savoir à quel traitement il avait été soumis, lui
aussi.
Le pire,
c'est que, dès le lendemain, il avait rendez-vous avec Géraldine au magasin de
sa tante pour recevoir la fessée déculottée annoncée en guise de gage pour
avoir perdu aux fléchettes à l'Olympic.
Il devait d'ailleurs y retrouver son frère Sébastien pour la même
raison. Vu l'humeur particulièrement fessante de la jeune femme, il valait
mieux éviter de lui poser un lapin, sous peine de s'en prendre deux au
lieu d'une ; Elle ne devait pas avoir besoin de prétexte pour augmenter le
tarif...
Et hop, une nouvelle saison ! C'est déjà la troisième !
Nous retrouvons des protagonistes dont nous avons déjà fait la connaissance précédemment, mais nous allons également découvrir de nouveaux personnages pour lesquels la fessée est à l'ordre du jour.
Que s'est-il passé dans le dernier épisode ? Un trou de mémoire ? Ce n'est pas grave voici là où a commencé la saison, le chapitre 1, et le précédent, c'est le chapitre 39
Pour ceux qui n'auraient pas lu le tout début de la série, la voici : le chapitre 1 de la saison 1
Pour ceux qui n'auraient pas lu le tout début de la série, la voici : le chapitre 1 de la saison 1
Il y a une suite, oui, mais il faudra attendre la semaine prochaine.
Ramina est l'auteur de nombreux récits et commentaires sur ce blog.
Juste retour des choses il attend les vôtres. Ecrivez vos appréciations, vos retours, vos questions ... dans le cadre ci-dessous. Ramina vous répondra.
Bonjour Ramina,
RépondreSupprimerVoilà un épisode qui restera inscrit dans les annales !! J'ai bien rigolé.
Un vrai "One-Spanking-Show " !!! Public féminin ravi ! Prestation parfaite, Vraies fessées et larmes sincères ! Tout y est. Bravo au metteur en scène.
J'ai terminé hier soir ma version de la baraque remise à neuf. Et toujours des maladresses...
Amicalement. Peter.
Bonjour Ramina,
RépondreSupprimerNos deux garnements s'en prennent des sévères, aussi sévères que mes personnages, ce qui n'est pas peu dire... Est-ce des fessées à la mode belge ? Car la baraque à frites ayant souffert, au moins, les femmes présentes se seront régalées d'une autre façon, celles de voir punir nos deux énergumènes.
Rentrer les fesses à l'air et la fenêtre ouverte une fois rentrés est une bonne entame pour que l'entourage écoute le brame de nos mâles. De quoi les calmer, quoi que !
Superbe récit.
Amitiés.
Elena.
Bonjour Peter
RépondreSupprimerEffectivement les larmes sont aussi sincères que les fessées sont sévères... Que veux tu... Avec des oiseaux pareils, aussi perturbants, pas étonnant qu'ils y laissent des plumes !
J'attends avec curiosité la remise en état de la baraque. Tu as une belle capacité d'anticipation car elle n'est même pas encore écrite!
Amicalement
Ramina
Bonjour Eléna,
RépondreSupprimerJ'apprécie votre réactivIté et la réciprocité de vos commentaires, ce qui révèle, à mon avis, un sens de l'équité et du devoir de rendre les manifestation d'attention.
Je ne sais pas si les fessées ont une identité selon la nationalité mais le rapprochement, avec la belgitude de la frite est assez pertinent.
Moi qui suis parfois impressionné par l'extrême rigueur des corrections infligées à vos personnages, je dois reconnaître que, même sans instruments de discipline, les corrections dans CDAMF n'en sont pas moins vigoureuses... Mais quel plaisir, n'est ce pas ?
L'allusion aux mâles ( en rut ) bramant sous les fessées, ne sous entendrait elle pas la persistance d'un amusant contentieux avec la gens masculine ? ... N'est il pas ?
Amicalement
Ramina
Bonjour Ramina,
SupprimerPour donner de bonnes fessées, il faut avoir la frite, sinon, elles sont molles et inefficaces ! j'dis ça, j'dis rien...
Les fessées avec instruments sont plus démonstratives, en tout cas, à mon sens, car elles rapprochent plus de ce que subissaient les suppliciés d'autrefois, lorsqu'ils étaient corrigés en place publique, souvent dans le plus simple appareil. Et vous aviez 2 corrections en une. La punition par elle-même et l'humiliation de la personne punie face à tout tout le monde. C'est une conception toute personnelle qui est omniprésente dans mes fictions.
Pour l'allusion, en effet, nous les filles souffrons toujours de notre infériorité. Et ce ne sont pas les maigres tentatives des uns et des autres qui y changeront grand chose. Les inégalités sont là et les réflexions désobligeantes avec, lorsque ça ne va pas plus loin.
Pour une fois que le gente féminine prend le dessus, ne nous plaignons pas. J'adore.
Amitiés.
Elena.