LES BIENFAITS D'UNE STRICTE DISCIPLINE DOMESTIQUE
DEUXIEME TOURNEE DE FESSEES POUR DOUGLAS ET ARISTIDE
Pour mettre un
terme à l’épisode des dépenses outrancières de leurs maris respectifs dans
l'acquisition de chaussures sur mesure hors de prix, Clarisse et Régine
avaient estimé qu'une deuxième séance de fessées serait nécessaire. Il
s'agissait de bien marquer, à la fois les fesses et les esprits pour s'assurer
que la leçon serait bien retenue. Rendez-vous pris dès le lendemain, pour
profiter de postérieurs encore sensibles des fessées de la veille.
Avait proposé
Clarisse.
– « Comme
ça, on aura tout l'après-midi pour bien les corriger ! Et je pense
que nous devrions échanger
les paires de fesses. Ce sera amusant et très instructif pour leurs derrières
qui pourront ainsi comparer nos manières de fesser. »
Régine,
comme toutes ces épouses, toujours prêtes à adopter de nouvelles méthodes de
fessées pour les rendre plus efficaces et en renouveler le plaisir, avait approuvé l'initiative avec enthousiasme.
Par la suite, au téléphone, elle avait, suggéré à Clarisse d’inviter Bettina à assister à cette deuxième édition. Sa
présence, ses commentaires sarcastiques et ses exhortations permanentes à
toujours plus d'ardeur, contribuant, ainsi, à créer une stimulante atmosphère disciplinaire tout en
infligeant un supplément d'humiliation aux deux punis. La fervente adepte de
stricte discipline, amatrice de fessées jamais assez sévères à son goût, pour
elle –même, mais malheureusement aussi pour tous les autres, ne se l'était pas
fait demander deux fois. Elle avait évidemment accepté avec enthousiasme.
Clarisse
arriva pile à l'heure et pénétra dans le salon de Régine en tenant sans
ménagement, son mari par l'oreille. A voir sa mine déconfite et les traces
brillantes de larmes sur ses joues, il apparaissait clairement qu'il s'était
déjà pris une bonne petite déculottée avant de partir de la maison. Il
arrivait, grimaçant, les fesses en condition, probablement bien chauffées dans
son slip à fessées. Clarisse l'envoya directement au coin où séjournait déjà
Aristide, le pantalon aux chevilles. La rougeur de ses fesses nettement visible
à travers le nylon transparent de son slip, témoignait également d'une récente
séance d'échauffement. Clarisse se
débarrassa de son sac d'où dépassaient les lanières d'un martinet et s'assit dans le fauteuil en face de son
amie. Ses bas nylon crissèrent sur ses cuisses lorsqu'elle croisa les jambes .
Elle ironisa en contemplant la paire de fesses enluminées de rouge d'Aristide,
qui débordaient des élastiques de son slip. Elle commenta avec ironie . ;
– « Toi aussi tu lui as préparé le derrière. Tu as bien fait.
Il ne faut jamais faire attendre une paire de fesses en remettant à plus tard
une fessée qu'on peut administrer tout de suite ! »
Elle
ajoute en riant.
– « Ce
qui n'empêche pas d'en mettre une autre après ; »
Régine
rit et se leva en lissant sa courte jupe sur ses fesses.
– « Tu as tellement raison, que je propose
qu'on s'y mettre tout de suite. Chacun le sien pour commencer et on échange les
paires de fesses après.
– Comme
prévu... Allons-y ! Mais je suis étonnée de ne pas voir arriver Bettina.
Elle qui est toujours si friande d'assister à une séance de fessée, et plutôt
deux fois qu'une ...curieux qu'elle ne soit pas déjà là .
– Oh,
ça m'étonnerait
fort qu'elle ait oublié. A mon avis, elle ne devrait pas tarder à arriver. Tant
pis si elle rate le début. La correction va durer assez longtemps pour qu'elle
en profite quand même. Je propose de démarrer par la fessée au tabouret avant
de passer aux autres positions. ».
Un
échange d’œillade complice accompagné d'un petit sourire d'approbation, et les
deux femmes s'installent sur les sièges placés au milieu de la pièce en
ordonnant à leur mari respectif de venir présenter leur fesses.
– « Allons
messieurs, deuxième service ! On amène ses fesses pour la suite de sa
punition ! Vous avez eu le temps d'y réfléchir depuis hier»
S'exclame joyeusement
Clarisse en tapant dans ses mains comme pour annoncer une bonne nouvelle .
Régine retrousse sa jupe jusqu'en haut de ses cuisses, au renfort noir de ses
bas nylon et précise.
– « Doit on vous
rafraîchir la mémoire quant au motif de votre punition ? Oui, ça, au moins
ça ne vous fera pas de mal... Quand on
dilapide l'argent du ménage , sans autorisation, qui plus est, dans des achats
inutiles et coûteux... qu'est ce qui arrive ?
– La fessée,
évidemment ! »
Répond Clarisse à leur
place, en retroussant la manche de sa veste pour bien dégager sa main droite, celle qui va claquer. Elle poursuit.
–« La fessée !
Et ils le savent en plus ! Ce qui ne les empêche pas de recommencer à
chaque fois. Alors, nous aussi... On refesse ! »
Régine insiste .
– D'où l'évidence d'une
piqûre de rappel pour bien leur faire retenir la leçon. Aller messieurs, on se dépêche ! Plus vous nous faites
attendre vos fesses, plus les fessées seront longues et sévères ! »
Douglas et Aristide, se
gardent bien de répondre. Respectueux des consignes, ils restent au coin sans se retourner, immobiles et
silencieux. Ils n'ont pas le choix de toute façon et après quelques
hésitations, les joues légèrement rouges de honte, ils finissent par se
soumettre à l’autorité de leur femme, mais en traînant les pieds. La voix ferme
de Clarisse résonne aussitôt.
–Tes fesses, Douglas, plus vite que ça ! Ne m'oblige pas à aller te chercher, ou tu
vas prendre encore plus cher mon ami ! »
Sans attendre sa réaction elle se lève et, le saisissant par une
oreille, le traîne sans ménagement jusqu'au tabouret à fessée, au milieu de la
pièce. Il trottine à côté d’elle en se hissant sur la pointe des pieds pour
essayer de soulager son oreille douloureuse ;
– « Quand je te demande tes fesses, tu es prié de me les amener
tout de suite ! Tu devrais le savoir de puis le temps que je te
corrige ! »
Elle le lâche devant le tabouret. Il ne bouge pas. Il semble
tétanisé, reste immobile un instant, et, comme s’il venait seulement de prendre
conscience ce qui l’attendait, se met soudain à trépigner sur place en
suppliant.
– « Pitié Clarisse, pitié, pas encore la fessée ! Je ne
recommencerai plus!
Elle le regarda fixement avec un sourire ironique.
– « C’est trop tard mon ami, il fallait y penser plus tôt !
Vous étiez prévenus tous les deux. Une première correction pour avoir jeté
l'argent par les fenêtre en achetant ces maudites chaussures sans nous demander
notre avis... »
Régine enchaîne en le saisissant par le bras pour l'attirer à
elle.
– « Et une deuxième si vous n'arriviez pas à vous faire
rembourser. C'est donc de nouveau l'heure des fessées ! Et quand je dis,
fessées mes petits chéris, préparez-vous à de la déculottée soignée, du
première main ! »
Les deux hommes, jusque-là résignés, se lâchent soudain, et, dans
un ballet ridicule, se dandinent d’un pied sur l’autre en pleurnichant.
Aristide, les larmes aux yeux .
– « Oh non... Régine, pas la fessée ! Pas tout de suite! On a
les fesses qui chauffent encore des fessées d'hier !
– « Oui ! surenchérit Douglas en se tenant le derrière à
pleine main à travers son pantalon. Et surtout de celle de ce
matin ! »
Gladys avec son cynisme habituel.
– « Mais c'est normal mes chéris. Si on se donne la peine de
taper aussi fort c’est pour que l’effet des fessées dure longtemps. On est
ravies d’entendre qu’elles vous chauffent encore autant ! Vous n'en allez que
mieux sentir celles qu'on va vous flanquer maintenant ! »
Elle a placé Douglas,
debout entre ses cuisses écartées, sa jupe remontée jusqu'aux jarretelles.
Régine maintient aussi son époux devant elle, planté au garde à vous, le petit
doigt sur l'élastique du slip. Avec un parfait cynisme, elle l'interroge à son
tour, comme s'il avait un avis sur la manière dont il souhaitait se faire
corriger.
- « Alors Aristide, elles préfèrent quoi tes fesses ? Que je
commence par te les chauffer à travers ton slip ou que je démarre direct sur
une bonne fessée déculottée ? »
Debout, pétrifié en face d’elle, le malheureux, au supplice, ne
sait pas quoi répondre. Il bafouille comme un gamin, terrorisé par la menace d'
une correction annoncée par sa mère.
– « Je… je ne sais pas... Ré... Régine... De… De toute façon,
tu vas me fesser co… Comme tu veux !»
Transi d’appréhension, ses fesses n’étaient pas encore
complètement remises de la cuisante déculottée qu'elle lui avait mise en
matinée pour les préparer à la séance de l'après-midi . Il se dandinait
d’un pied sur l’autre en se les tenant à deux mains comme pour se les protéger
à l’avance de la nouvelle série qu’elle lui préparait.
L'épouse, un tantinet perverse, s'amuse à faire durer les
préliminaires et prend tout son temps pour savourer l’excitant exercice de
soumission, en prolongeant à plaisir, l’angoissante de l'attente de
l'inévitable fessée. Elle fait semblant de s’extasier.
– « Ah, c’est comme je veux ! Mais c’est qu’il devient docile
mon chéri! Il craint pour son gros derrière, et il a raison. Parce que c'est la
seule chose qui m’intéresse. De bien le lui faire reluire ! »
Clarisse se régale de la petite démonstration d'autorité.
– « Tu entends ça Douglas ? C‘est exactement ce que je
t'ai dit tout à l'heure en te déculottant ! Amusant non ? »
Poursuivant sur sa lancée, elle interpelle les
deux hommes avec le sourire d'une hôtesse d'accueil énumérant le programme des
festivités d'un parc d'attraction.
« Alors
messieurs... On commence par quoi ? Fessée à travers le slip ou fessée
déculottée directe, à la main, au battoir, au martinet ou à la ceinture ?
Ou on vous fait un lot promotionnel... Vous avez le choix ! »
Devant le mutisme des
deux hommes, trop humiliés pour réagir, Régine, décide de mettre un terme aux
tergiversations avec un cynisme écœurant.
– « On a encore
l'amabilité de leur demander leur avis sur la manière de leur flanquer leur
fessée et ils ne se donnent même pas la peine de répondre. On va faire comme
d'habitude. Fessée à travers le slip pour bien leur chauffer le derrière dans
le nylon et le préparer pour les fessées suivantes, déculottées. ! »
La voix haut perchée de
Bettina, que personne n'a entendu entrer, résonne soudain dans le salon.
– « Vous avez bien
raison Régine ! Moi, à votre place, je ne leur aurais même pas demander
leur avis. Ça serait, tout de suite à plat ventre sur les genoux, sans
discuter, déculotté et la fessée immédiatement... A fond !
– A vous voilà
Bettina ! On se demandait si vous
n'aviez pas oublié...
– Moi ! Oublier une
séance de fessées... Vous me connaissez mal, ça ne risque pas ! Je suis un peu en retard parce que j'étais
justement en train d'en prendre une par mon mari... D'ailleurs, vous voulez que
je vous montre mes fesses ?
--- Non ce n'est pas la
peine... On vous croit Bettina. »
Répond Régine qui sent
que la visiteuse, comme à son habitude, commence à partir dans ses petits
délires et à leur faire perdre du temps.
– Vous avez
raison !
Dit-elle en s'asseyant
sans qu'on l'y ait invitée.
– « Elles n'en
valent pas la peine... Elles ne sont pas très rouges, du moins pas assez à mon
goût. Ronald n'a pas la main
aujourd'hui. – Elle soupire avec un air dépité -- Il l'a de moins en moins
d'ailleurs. Il ne tape pas assez fort pour flanquer de vraies bonnes fessées
comme j'en ai besoin... C'est pas comme vous... Les vôtres, au moins,
sont sacrément sévères, vous fessez si bien !»
-
Clarisse sourit. Elle ne
refuse pas le compliment mais n'a rien à ajouter et décide de passer aussitôt à
l'action.
– « Aller Douglas, tourne-toi et
penche-toi en avant ! »
Bettina du coup, observe sans plus rien dire,
et d'un regard gourmand, observe le mari obéissant, qui s'exécute en pivotant
sur lui-même. Clarisse insiste.
– « Je veux voir
tes fesses bien présentées pendant que je te déculotte ! «
Ordonne-t-elle en lui
claquant le derrière à travers son pantalon. Elle le lui faisait porter très
serré pour avoir toujours sous la main une belle paire parfaitement moulées
dans le tissus qu‘elle aimait claquer, à la volée, dans l’escalier, entre deux
porte, quand l’envie lui prenait.
Elle passe ses bras par
derrière autour de sa taille, agrippe la ceinture de son pantalon, déboutonna la braguette et le descend
lentement sur ses chevilles. Ses grosse fesses rebondies, débordant de son slip
à fessées très serré, apparaissent toute frémissantes, à trente centimètre de
son visage. Elles dégagent encore la délicieuse odeur de cuisson de la fessée
précédente. Elle le fait se retourner et le bascule avec autorité en travers de
ses genoux. Elle sent son ventre glisser sur ses bas nylon et sait qu'il appuie
douloureusement sur les boucles métalliques de ses jarretelles, tendues sur ses
cuisses. L'irritation due au frottement en va et vient au rythme de la fessée
va s'amplifier au fur et à mesure.
De son côté Régine a
déjà allongé Aristide, à plat ventre sur ses genoux, sans avoir eu besoin de
descendre son pantalon puisqu'il était resté en slip après sa récente fessée.
Elle lui tapote et caresse le derrière avec gourmandise.
– « Te voilà en
bonne posture mon chéri, tu vas pouvoir te la prendre ta fessée. Et Je vais te
la mettre bien cuisante pour obtenir de belles fesses rouge écarlate comme je
les aime ! »
Les deux punis n'en pouvaient plus d‘attendre leur fessée et, les
fesses tremblantes d‘appréhension, ils gémissaient sourdement la tête au ras du
sol, s'y agrippant avec angoisse pour se maintenir en position.
Ces Dames décidèrent enfin qu‘il était temps de mettre en route la
machine à fesser et avec un sourire féroce, empoignant leur victime d’une main
et levant l’autre bien haut, elle se mirent immédiatement à claquer à toutes
volées les paires de fesses solidement culottées bien arrondies sur leur
genoux. Dures, sévères, les fessées démarraient
très fort et les malheureux qui ne s’attendaient pas à une première tournée
aussi cuisante se mirent tout de suite à mouiller de leurs larmes les bas nylon
de leurs fesseuse. A chaque claque
retentissante, comme mû par la douleur, ils se soulevait sur la pointe des
pieds tandis que leurs fesses rondes et charnues rebondissaient en cadence au
rythme des claquées.
Placées l'une en face de
l'autre, au milieu du salon, leur croupe plantureuse bien calées sur leur
tabouret, les épouses remplissent leur devoir disciplinaire avec toute la
sévérité requise par cette deuxième séance, consécutive à celle de la veille.
Elles se régalent sans
vergogne, à faire monter à l’écarlate les deux fessiers masculins et à les voir
se contorsionner sous les claques avec frénésie. A déguster aussi, le concert
de vocalises et de supplications poussées par ces messieurs, quand ils sont
soumis à un traitement fessées aussi sévère.
Et la punition se
poursuit dans une ambiance surchauffée, alimentée par les deux derrières soumis
au feu roulant des fessées encore culottées mais cependant bien retentissantes
sous la puissance des claques. Au bout d'une bonne dizaine de minutes,
Clarisse, satisfaite de la couleur et de
la cuisson des fesses de son puni, propose une première interruption de séance
pour préparer la suivante.
– « Maintenant qu'on
leur a bien chauffé le derrière, on peut peut être commencer les fessées déculottées
... »
Régine est du même avis.
– « C'est ce que je
me disais aussi, les derrières de nos petit chéris sont à point. Il est temps
de passer au vraies fessées...
– Et d'échanger les
paires de fesses !»
– Ouiiiii ! Excellente idée ! »
Applaudit la voisine.
Aussitôt dit, aussitôt mis en œuvre. Les deux punis sont relevés et envoyés au
coin en attente de la suite, leurs fesses cuites bien en évidence, pendant que
ces Dames prennent position, toujours l'une en face de l'autre, mais chacune à
une extrémité de la pièce. Obligation de changer de main après chaque fessée.
Le pantalon sur les chevilles, le slip en travers des cuisses, ils doivent
traverser tout le salon, en se croisant au milieu, pour aller chercher la
fessée suivante sur les genoux de l'autre correctrice.
Bettina,
toujours à l'affût de nouvelles méthodes d'humiliation pour agrémenter les
corrections, en avait eu l'initiative qui avait cette fois, fait l'unanimité, hormis
les maris, bien entendu. Contrairement à leurs épouses, ils n' avaient pas
trouvé l'idée si amusante que ça. Ils n'eurent pas le
temps d'essayer de négocier quoi que ce soit . Les fesseuses en place,
annoncèrent joyeusement la reprise de la séance. Douglas sur les genoux de Régine et Aristide
sur ceux de Clarisse, pour commencer. Elles échangeraient les paires de fesses
après chaque séquence de cinq minutes environs. Le temps nécessaire et
suffisant d'en flanquer une bonne à chaque fois.
Résignées à subir leur châtiment
jusqu’au bout, les maris punis vinrent d'eux même se positionner sans que leurs
femmes aient besoin de le leur ordonner. Un signe d'un doigt autoritaire avait suffi
pour leur indiquer l'emplacement de leurs fesses sur leurs genoux, les reins bien cambrés, le derrière
parfaitement tendu, présenté arrondi pour un déculottage en règle. ,
Sourire aux lèvres,
elles regardent leur victime s'installer, satisfaite de les voir se soumettre
avec autant de docilité. Le bras négligemment ballant le long du corps,
Clarisse attend tranquillement qu' Aristide ait fini de caler ses fesses en
bonne position, Elle en profite pour exécuter quelques petits exercices
d’assouplissement du poignet pour redonner de la vigueur à sa main droite.
Celle qui va fesser ! Et il faut une main très ferme pour bien corriger un fessier
aussi solide que celui qui est en train de s'étaler sur ses cuisses.
La séance est un
véritable succès, et se révèle d'une redoutable efficacité. Les deux, épouses,
s'amusent beaucoup à voir les fesses de leur mari rougir de plus en plus, au fur
et à mesure des humiliants allers et retours. Elles se régalent même à les
regarder se croiser au milieu de la pièce en sanglotant pour aller, à chaque
fois, se positionner sur leurs cuisses et recevoir une nouvelle fessée.
Les commentaires
ironiques, bien humiliants accompagnent les voyages et les déculottages
successifs.
– « Et bien je ne pensais pas que les
fesses de ton mari étaient aussi fermes. Quelle endurance ! Un vrai cul à
fessées, tu ne dois pas t'ennuyer avec ça sous la main !
– Le tiens les tortille
bien ! Plus on tape fort plus elles rebondissent. C'est vraiment un
plaisir de les claquer ! ».
Pendant ce temps les
maris soumis, encaissent en pleurant, puis se relèvent pour aller docilement se
repositionner sur l'autre paire de cuisses et recevoir sa fessée suivante.
Comme un ballet bien
réglé, ces Dames euphoriques, s’échangent les derrières dans un joyeux va et
vient. Les fesses cuisantes de Douglas, aussitôt reculotté, quittent à peine
les genoux de Régine, que celles d’Aristide, tout aussi cuites, viennent y
reprendre leur place après la dernière fessée tout juste terminée sur les
cuisses de Clarisse. Au bout de trois allers et retours, à plein régime, les
belles fesses rebondies, gonflées de claques et systématiquement reculottées après
chaque dérouillée, explosaient littéralement dans les slips. Le nylon
transparent en laissait voir la splendide rougeur écarlate.
Après un bon quart heure
de claquage intensif, il fut décidé d'une nouvelle pause ; pas tant pour
ménager les derrières des Messieurs, mais plutôt pour que ces Dames se
détendent un peu la main. Bettina, comme d’habitude, éprouvait une
satisfaction sans scrupule à voir ainsi ses deux voisins recevoir leur raclée.
–
« Ah mesdames... quelle raclée ! ! Ça c'est de la fessée !
De la vraie, cuisante claquante bien comme il faut. Mais ce n'est pas
suffisant, il faut leur en mettre encore ! Leur fesses sont faites pour
ça ! »
Libérés
par leur fesseuse respective, Douglas et Aristide se dirigèrent chacun
machinalement vers leur femme sans pouvoir cesser de pleurer bruyamment à chaudes larmes.
Tête baissée, ils se massaient douloureusement le postérieur, le regardant d’un
air désolé par-dessus leur épaule. Les deux plantureux derrières étaient
maintenant d’un rouge vif aussi éclatant l’un que l’autre. Il semblait que la
série de magistrales fessées reçues avait augmenté le volume et le poids des
fesses déjà si rebondies et si charnues. La blancheur des mains qui se
promenaient sur les globes fessiers contrastaient avec leur couleur vermillon
et paraissait en faire ressortir la ronde plénitude.
Douglas
un peu étourdi par la dernière déculotté administrée par Régine, semblait chercher dans quel
coin il serait mis en pénitence mais Clarisse, coupa court à ses hésitations.
La punition n'était toujours pas terminée.
– « Douglas
sur mes genoux immédiatement ! »
Sans la
moindre protestation, au demeurant inutile, il obéit aussitôt en hoquetant et
s’installa, à plat ventre, dans la même position fessée que précédemment … Mais
cette fois sur les cuisses de son épouse, encore tièdes de la raclée précédente
administrée à Aristide. Celui-ci avait reçu le même ordre de sa femme.
– “ Allez
mon ami, toi aussi... Tout de suite ! En position sur mes genoux !! »
Mais,
le malheureux qui, il n’y a pas si longtemps ne semblait pas trop se rendre
compte de la cuisante réalité de cette fessée commune, manifesta sa peur en se
mettant à genoux devant elle, joignant les mains comme pour une prière de
supplication.
– « Ooooh
nooon, chérie plus la fessée ! J'ai compris, je serai bien obéissant ,
je ferais tout ce que tu veux, mais pas encore la fessée ! Oooh non
...pardon ! je ne le ferai plus . »
Et
réalisant l’inanité de sa demande.
– « On
a déjà été fessés hier … et maintenant ! Pas encore la fessée...Pas tout
de suite... s'il te plaît, ça va faire la cinquième de la journée ! »
Mais il
n’est pas question pour Régine comme pour Clarisse de faire preuve de
faiblesse. Elles ont décidé ensemble de cette deuxième punition, et elles n’ont pas pour habitude de faire preuve de clémence. Une séance
de fessées doit durer aussi longtemps que prévu et aller toujours à son terme.
C'est la règle. Elle leva une main menaçante, prête à gifler le visage
dégoulinant de larmes levé vers elle.
– « Tu
veux que je me fasse la main sur tes joues avant de la faire claquer sur tes
fesses mon ami ? »
Apeuré,
Aristide obéit, lui aussi, en redoublant de pleurs, et présente du mieux qu’il peut à sa femme son fessier provocant que
Clarisse avait déjà rendue parfaitement écarlate en lui administrant la
dernière fessée de la série.
Pendant
ce temps, Douglas recevait de nouveau la sienne, de la main de sa femme cette
fois, et s’était de nouveau mis à pleurer comme un petit garçon sévèrement
fessé par sa mère. Sous les encouragements incessants de Bettina en état
d'excitation avancée, les deux derrières
étaient plus malmenés que jamais. Tantôt les fesses écartées au maximum sans
ménagement, tantôt le ventre soulevé d’une main inquisitrice, tantôt attirées à
droite , à gauche, vers le haut pour dégager les cuisses. Tout cela accompagné
de claques administrées à toute volée, de toutes leurs forces, dont le volume
sonore, ajouté à celui des cris et des pleurs, emplissait toute la pièce et se
répandait jusque dehors par la fenêtre grande ouverte.
Le
claquement retentissant de la double fessée, les hurlements suppliants des
punis, à quoi s'ajoutaient les exhortations hystériques de Bettina, produisaient un
tel vacarme qu'on devait l'entendre dans tout le quartier. Pour autant,
quand même, pas jusqu'à la boutique de Madame Delaniaires situé plusieurs rues
plus loin, où Rodolphe planté devant la porte hésitait à rentrer. La gorge sèche, le ventre noué, bien que
fidèle au rendez-vous, que Géraldine lui avait fixé, il ne se décidait pas rentrer.
Il savait ce qui l'attendait à l'intérieur...
Et hop, une nouvelle saison ! C'est déjà la troisième !
Nous retrouvons des protagonistes dont nous avons déjà fait la connaissance précédemment, mais nous allons également découvrir de nouveaux personnages pour lesquels la fessée est à l'ordre du jour.
Que s'est-il passé dans le dernier épisode ? Un trou de mémoire ? Ce n'est pas grave voici là où a commencé la saison, le chapitre 1, et le précédent, c'est le chapitre 40
Pour ceux qui n'auraient pas lu le tout début de la série, la voici : le chapitre 1 de la saison 1
Pour ceux qui n'auraient pas lu le tout début de la série, la voici : le chapitre 1 de la saison 1
Il y a une suite, oui, mais il faudra attendre la semaine prochaine.
Ramina est l'auteur de nombreux récits et commentaires sur ce blog.
Juste retour des choses il attend les vôtres. Ecrivez vos appréciations, vos retours, vos questions ... dans le cadre ci-dessous. Ramina vous répondra.
Bonjour Ramina,
RépondreSupprimerOn corrige les "devoirs de vacances" pour Doug' et Aris'. Comme à l'accoutumée, leurs terrrribles et bienveillantes épouses mettent un soin tout particulier à leur inculquer les valeurs de l'économie domestique. Ils passent à la caisse. "Le salaire de la peur" en somme. (Rires).
Ne manque plus que Mam'e Bellebourge pour compléter ce carré de Dames.
Qand à Rod', la situation se corse.... A suivre.
Amicalement. Peter.
Bonjour Peter,
RépondreSupprimerToujours plaisants ces petits commentaires illustrés. Marrantes les abréviations de prénoms qui rendent les personnages familiers. Ils deviennent des punis presque sympathiques à force de les fréquenter et de les voir, chaque semaine, passer sur entre les mains claqueuses de leurs femmes.
Mam'e Bellebourge satisfaite de la méthode Patricia continue à la faire venir pour donner des leçon d'anglais à son Gérôme qui ne progresse que très lentement et, comme tu dis, ça se corse pour l'ami Rod'... retour chez les Delaniaires... ça va encore chauffeeeer!
Amicalement
Ramina
Bonjour Ramina.
RépondreSupprimerJe suis d'accord avec Peter, les deux maris en voient de toutes les couleurs avec leurs nouvelles chaussures. Surtout qu'en ce moment, la mode serait aux claquettes havaianas... Plus confortables et moins onéreuses.
Cela dit, la fessée est bonne pour la circulation sanguine. De quoi avoir de belles fesses.
Je vois que dans votre texte également, il y a une spectatrice assez excitée par le spectacle auquel elle assiste. Bettina doit être aux anges.
Nous attendons la suite avec Rodolphe et Géraldine, chez notre chère Mme DELANIAIRES. Moi, qui aime les textes aux fessées aux instruments, je pense que je vais être comblée !
Amitiés.
Elena.