Tout a commencé dès mon plus jeune âge et en
particulier au centre aéré de ma localité de l'époque. À croire que les
moniteurs et monitrices étaient obsédés par cette pratique surtout au moment de
la sieste. Effectivement, les moniteurs faisaient une ronde toutes les cinq
minutes autour de notre vingtaine de lit de camp et relevaient le 1er qui
ouvrait les yeux pour lui administrer une magistrale fessée déculottée. Autant
vous dire que la sieste n'était pas mon fort et que sur les deux mois d'été
passés chaque année là-bas je devais en recevoir une bonne vingtaine. Je me
suis même surpris à la chercher quand la belle monitrice Marylou était de
service. Ses fessées étaient douces et j'adorais passer entre ses mains.
Depuis, les années ont passé. J'ai aujourd'hui
50 ans. et ce plaisir de la fessée restait malgré tout en moi.
J'ai bien essayé de convertir quelques
partenaires mais rien à faire, je ne retrouvais pas ce souvenir de bonheur
ressenti à mon plus jeune âge. C’est ainsi que je me suis décidé à chercher sur
la toile une praticienne.
Je ne mis pas longtemps pour tomber sur votre
blog et lire quelques témoignages sur le professionnalisme de Madame Anne Sophie.
Sans à peine y réfléchir, je lui envoya un SMS lui demandant si elle pratiquait
toujours ainsi que ses conditions.
Sa réponse ne tarda pas et me demanda de
l'appeler dans les cinq minutes.
Whaou, je ne m'attendais pas à un contact
aussi rapide. Je pris une grande bouffée d'air et l'appelai.
Immédiatement, Madame Anne Sophie eut le don
de me mettre à l'aise. Une voix chaleureuse et bienveillante. Au bout d'une
dizaine de minutes le rendez vous était pris pour le dimanche suivant à 11h.
J'avais tout juste une semaine pour me préparer à cette rencontre et je peux
vous affirmer que la fessée était omniprésente dans mon esprit. Je visionnais
des dizaines de vidéos sur le thème et cherchais tous les témoignages
disponibles.
Un doute et une angoisse me vient alors. Je
voulais bien être fessé mais pas subire une séance de torture. Ma compagne ne
doit en aucun cas se rendre compte de ce que j'allais faire. Ni une ni deux
j'envoie un SMS à Madame Anne Sophie lui précisant que je désirais une version
soft et sans instrument. Sa réponse fut très rapide et me demanda de lui
téléphoner. Le contact établi, elle me rassura et me certifia que j'aurais une
version light. Me voilà rassuré
Vendredi est arrivé et mince pour moi, ma
compagne changeait son emploi du temps et je devais trouver une bonne excuse
pour m'éclipser ce dimanche arrivant. À moins d'avancer le rendez vous !
Je contacte Anne Sophie et finalement me donne
rendez-vous pour le lendemain à 20h.
Nous y sommes. J'ai à peu près un peu plus de
deux heures trente de route et je pars un peu en avance, histoire de rouler
tranquillement. Pendant le trajet je passe par plusieurs phases entre
excitation et inquiétude, puis je reçois un SMS d'Anne Sophie me mentionnant
d'être à l'heure précise. Gloups, je sens la pression monter et lui en fait
part. Immédiatement elle me rassure et une heure plus tard, je reçois un autre
SMS me précisant que son portillon était ouvert et que si j'arrivais en avance
je pouvais venir aussitôt.
J'arrive à 19h45 devant chez elle. Je prends
une grande bouffée d'air et sonne à sa porte.
Je découvre Anne Sophie qui ressemble à peu
près à ce que j'avais imaginé. Le feeling passe tout de suite. Elle me demande
de m'asseoir sur son canapé et m'offre un café. Pendant une dizaine de minutes,
elle m'explique comment elle procède et me rassure encore sur la version light
que je lui ai demandée. Elle allait pouvoir commencer.
Elle s'éclipsa un instant puis sur un ton plus
rude me demanda quelles bêtises j'avais faites. Je lui repondis que je ne
rangeais pas mes affaires. Elle se mit à me sermonner puis me tira l'oreille.
D'un geste précis elle me passa sous son bras en m'administrant une bonne
vingtaine de claques sur mon short. Jusque là tout allait bien et je trouvais
ça plutôt agréable. Ni une ni deux, elle me demanda de m'appuyer avant bras sur
la table afin de bien positionner mon postérieur en arrière. Le short tomba sur
mes chevilles et les claques commençaient à tomber sèches, fermes mais sans
brutalité. Le caleçon tomba à son tour et la série continuait au même rythme
pendant deux ou trois minutes.
Tout en me grondant elle me mis au coin le
caleçon baissé à mi-cuisses.
Je ressentais la chaleur sur mon postérieur et
j'éprouvais une sensation agréable. J'attendais qu'elle recommence, c'est
évident !
Au bout de trois minutes, elle me demanda de
venir près de son canapé. À genoux sur un coussin et courbé sur sa cuisse une
autre série un peu plus appuyée commençait à pleuvoir sur mon postérieur nu. Et
j'y prenais du plaisir. Difficile à comprendre, chaque coup accompagné par sa
sonorité m'apportait un bien être tellement inexplicable. Je ne manquais pas
d'en informer Anne Sophie sur le plaisir ressenti.
Le ton avais bien changé, Anne Sophie ne me
grondait plus, nous échangions sur ce plaisir tellement particulier. Entre
chaque série sa main carresait mes fesses comme pour dissiper la chaleur
emmagasinée. Un vrai bonheur.
J'allais finir la séance allongé, toujours sur
sa cuisse mais sur le lit dans sa chambre pour que je puisse l'observer à me
fesser. Mes fesses étaient rouges à souhait. Nous échangions encore sur le
plaisir de la fessée. Il n'était plus question d'une femme d'autorité qui fesse
un garnement mais de deux adultes qui partagent avec passion cet art si
particulier. Du coup acceptant quelques marques je lui demandais de m'en
administrer une plus virile. Là je sentais que ça commençait à piquer mais le
plaisir était toujours là. C'est maintenant une certitude j'adore être fessé et
mon fessier est tout à fait pré destiné à l'être. Fesses joliment rebondies que
Madame Anne Sophie ne manqua pas de souligner.
La séance est terminée me dit elle. Zut déjà !
Elle m'offris un coca et me demanda comment je trouvais ses fessées. Elle
connaissais déjà ma réponse. Cependant je lui mentionnais que les instruments
m'auraient sûrement iradiqué ce plaisir.
Elle se leva et alla chercher ses objets pour
me les présenter.
“Tu ne veux pas mourir idiot ! me dit elle.”
Tout en me rassurant que ces objets pouvaient
également apporter du plaisir.
“Viens !”
Je me levai et fit tomber mon short et mon
caleçon et repris la position cambrée sur la table. Elle me fit découvrir le
martinet alternée par une série somptueuse de fessées à la main. Puis la
cravache son instrument préféré. Huit coups. Ail ! ça pique un peu mais grâce
au contrôle de Madame Anne Sophie j'arrivais encore à y prendre plaisir. Cette
fois c'était fini. Quelle formidable expérience ! Sur le retour je sentais mes
fesses chauffer mais me sentais tellement bien.
Arrivé à la maison je m'empressais d'appliquer
une crème réparatrice sur mon postérieur endolori et ce matin, pratiquement
aucune trace ! Merci encore Madame Anne Sophie. Vous êtes une femme
extraordinaire. On se reverra sûrement.
Des témoignages relatant des visites chez Madame Anne-Sophie
Un récit d'une visite chez Madame Anne-Sophie accompagné de quelques commentaires, et là celle de Georges, ici celle de Paul et enfin celle de J. Puis ce fut le tour de Pierre, pour finir par le premier passage de Vincent, son deuxième, son troisième et son quatrième, et celui de Marc, pur continuer par celui de John et un ode écrit par Nicolas et également un texte enflammé par Emile, la deuxième visite de Nicolas et la deuxième d'Emile. Et puis, celui de JLG. Ce fut alors le tour de François
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N'oubliez pas, quand vous la contacterez, de la saluer de ma part. Je vous conseille de le faire respectueusement. Après un passage chez elle, laissez un commentaire ou proposez un récit pour partager vos impressions.
Bonjour C'est bien dommage que j'habite si loin d'Anne-Sophie, car au vu de votre poste, je me proposerais bien à lui rendre visite pour un moment bien sévère, aussi avec instruments martinet et canne anglaise,
RépondreSupprimerpeu être que si un jour Anne-Sophie s'approcheraie de l'Alsace.
c'est un moment que je souhaiterais vivre intensément
Cordialement