Ce mardi après-midi, elle conduit ses deux garçons chez la coiffeuse. Aucune surprise. La coupe classique, courte, raie de côté à gauche, cheveux plaqués et petite mèche.
Alors que la coiffeuse à déjà
coiffé Jérôme et en termine avec Laurent, Madame Lepand est au shampoing que
lui fait Sophie, la fille de la coiffeuse.
« Mais faites attentions enfin bougonne Madame Lepand ! »
La jeune apprentie vient de lui mettre de l’eau en plein
dans l’œil. Alertée par les blâmes de Madame
Lepand, la coiffeuse accoure.
« Petite sotte dit-elle en giflant à deux reprises la
jeune fille. »
Elle aide sa cliente à s’essuyer les yeux et se confond en
excuses. Elle attrape ensuite sa fille par l’oreille et la conduit vers un
fauteuil ou elle prend place. Elle ne choisit pas n’importe quelle place. Elle opte pour le fauteuil le plus central.
Là où tout le monde pourra assister à la sanction qu’elle réserve à Sophie.
Elle relève la jupe de la jeune fille qui laisse apparaitre
une culotte en coton blanc. Elle lui baisse la culotte jusqu’aux chevilles et
l’allonge sur ses genoux. Sophie ne fait rien pour échapper à la fessée qui
l’attend. Visiblement elle aussi est habituée à ce genre de traitement. Elle
sait que rien ne fera changer d’avis à sa maman. Elle se laisse punir juste en
pleurnichant un peu. Sa mère s’est saisie d’une de ses brosses à cheveux.
La commerçante prend d’abord le temps de lui chauffer les
fesses. Elle alterne une fesse puis l’autre sans donner son maximum. Sophie ne
montre pas de signe de douleur excessive. Elle accélère ensuite le rythme et
augmente la force des coups. Visiblement l’algie est nettement plus forte.
Sophie sursaute à chaque coup et vue la couleur de son fessier, il doit être
irradié. La sonorité est moins bruyante qu’avec main mais elle est bien plus
sèche. Tel un métronome la coiffeuse continue d’alterner les fesses. Il ne faut pas longtemps pour que le
postérieur de sa fille soit en feu. Elle ajuste encore quelques claques
toujours plus fortes. C’est maintenant de gros sanglots qui sortent de chez
Sophie.
Quand elle estime que cette première partie de la punition
est suffisante, elle envois sa fille présenter ses excuses à Madame Lepand.
Elle demande également à Martine Lepand de la corriger à son tour après son
brushing. Bien sur la proposition est acceptée. En attendant Sophie est mise au
piquet. Les mains dans le dos pour relever son pull et son chemisier elle doit
rester sans bouger en attendant que sa future correctrice soit disponible.
Quarante minutes plus tard, le moment est arrivé. Après
avoir réajusté sa robe et demandé à ses garçons de se tenir encore tranquille
quelques instants, Martine Lepand prend dans son sac le martinet qu’elle emmène
toujours avec elle quand elle sort avec Jérôme et donc Laurent.
« Viens par ici jeune fille. Il est temps de
t’apprendre à faire attention. Place-toi ici les mains sur la tête ! »
Elle a choisi le centre du salon de coiffure. Cette
correction va être administrée devant la maman de Sophie, Jérôme, Laurent et
deux autres clientes qui sont arrivées entre temps. Martine Lepand se fait
apporter une pince pour coincer les vêtements de la punie. Ainsi la culotte aux
chevilles et les habits relevés, le bas est parfaitement dégagé. Même si le
rouge de la fessée de sa maman s’est légèrement estompé, il reste bien présent.
Comme elle en l’habitude, Madame Lepand démarre la fessée sans ménagement. Les
coups sont donnés vigoureusement et n’épargne aucun millimètre de peau allant
du postérieur aux mollets.
Sophie n’est guère habituée à ce traitement. Habituellement
sa maman n’utilise pas le martinet. Les cuisantes morsures des lanières
paraissent insupportables pour la jeune fille. Elle redouble de larmes et
pousse même quelques cris et supplication.
« Il fallait faire attention et travailler avec concentration
lui répond Madame Lepand en redoublant encore de force dans l’administration de
la punition. »
Après une quarantaine de coups, Madame Lepand range son
martinet tandis que penaude et en pleure, Sophie, présente encore ses plates
excuses tout en pleurant. Sa mère la renvois au piquet pour réfléchir encore.
Après la punition à laquelle ils viennent d’assister, les
garçons n’osent surtout pas contredire ou fâcher Madame Lepand. Après le repas
de midi et le brossage des dents, Martine Lepand apprête les enfants pour les
corvées de l’après-midi. Jérôme doit mettre sa blouse bleu roi tandis que
Laurent est affublé d’une blouse blanche plus longue et qui vient légèrement
couvrir ses cuisses dénudées. Jérôme doit s’occuper de la salle de bain tandis
que Laurent est préposé à la cuisine
« J’exige un travail impeccable. La moindre trace de
saleté, la moindre carence, le moindre oubli et vous serez sévèrement châtié.
Suis-je claire ?
– Oui ma tante. Oui maman répondent en cœur les deux garçons !
– Mettez-vous au travail maintenant. Je dois recevoir ma
stagiaire.
Deux minutes plus tard, Zoé la stagiaire de Madame Lepand
sonne à la porte.
« Bonjour Zoé suis-moi dans mon bureau !
A l’évidence, Martine Lepand est furieuse contre sa jeune
stagiaire. Elle la précède d’un bon pas.
– C’est toi l’auteure de ce torchon la gronde t’elle en lui
lançant un dossier au visage ?
Connaissant sa patronne, Zoé n’ose pas répondre, elle tente
de balbutier quelques excuses mais se vite couper par Martine Lepand
« Silence idiote ! Je vais t’expliquer pourquoi
ces documents sont truffés de fautes et d’erreurs. C’est que tu as bâclé ton
travail car tu n’es qu’une petite paresseuse.
Et tu sais comment je traite les petites paresseuses ! J’en ai
parlé avec ta mère. Je vais t’apprendre à travailler avec soin et sérieux ! »
A ces mots, Madame Lepand se
saisit de sa fameuse règle et entreprend de déculotter sa stagiaire.
« Non, non, non ! Vous n’avez pas le droit, je ne
veux pas proteste la jeune fille.
– Je n’ai pas le droit ? Tu ne veux pas ? Mais je
me moque de ce que tu veux ou pas ! Sache que j’ai tous les droits et
l’accord de ta mère alors tu vas te laisser faire petite insolente ! »
Etant plus musclé que sa stagiaire, Elle n’aucun mal à lui
relever la jupe et à lui descendre sa petite culotte bien que Zoé tente de
l’empêcher en gigotant et en mettant ses mains en opposition.
Déterminée à lui flanquer la correction qu’elle estime
méritée, la patronne parvient à la courbée sous son bras. Sa lune ronde blanche
et potelée reçoit des coups de règles virulents qui se montrent efficaces. Le
fessier de la gamine devient vite bien rouge. Zoé tente de se protéger avec ses
mains mais étant habituée à ce genre de comportement, sa fesseuse lui frappe
énergiquement les mains avec le coté de la règle.
« Veux-tu te laisser faire, retires moi tes mains. Tu
viens de gagner une seconde correction pour avoir essayé de m’empêcher de te
punir comme tu le mérites. »
Zoé retire ses mains. Elle n’en peut plus mais Madame
Lepand redouble de force pour continuer à lui claquer les fesses sans oublier
les cuisses. Pendant cinq bonnes minutes, Zoé est soumise à un déluge de
claquement tous plus fort les uns que les autres. On peut dire que sa maîtresse
de stage de l’épargne pas.
Elle ne s’arrête que lorsque les fesses sont calcinées.
Cramoisies. Zoe suffoque, pleure. Les yeux embués par ses larmes, elle est
poussée au piquet par Madame Lepand.
« Ne t’avise pas de bouger. Je n’hésiterai pas à venir
te donner une fessée si je te vois remuer ou si je t’entends. Tu peux pleurer
mais en silence ! »
Une nouvelle claque sur les fesses vient la rappeler à
l’ordre sur le silence alors qu’elle pleure trop bruyamment.
Alors que Zoé médite au piquet, Tante Martine fonce sur Jérôme
qui se cache dans le coin de la porte. Attiré par les pleurs et les bruits de
la fessée, il est venu observer discrètement. Cela n’est pas du tout des gouts
de sa tutrice. Elle l’empoigne par l’oreille et le fait rentrer dans le bureau.
« C’est donc comme cela que tu récure la salle de
bain ! Je vais te passer l’envie de joue au petit voyeur moi ! »
Mettant ses paroles en actes, elle dégrafe la culotte
courte de son pupille et la fait descendre aux chevilles. Elle attrape ensuite
l’élastique de slip blanc et lui fait rejoindre la culotte. Elle reprend sa
règle et couche Jérôme sur ses genoux. A son tour, il reçoit une grêle de
claque avec la règle. Connaissant parfaitement ce qu’il doit faire quand il est
puni, Jérôme se montre nettement plus soumis que Zoé. Les mains sur la tête, il
endure sans tenter de se soumette, la punition que sa tutrice a décidé de lui
infliger. Après tout il a désobéi une fois de plus et elle ne fait que mettre
en pratique les règle qui régissent la maison.
Ne voulant pas paraître faible devant une jeune fille,
Jérôme serre les dents. Il ne veut pas pleurer ou crier et il tente de résister
à la robustesse de la correction que lui prescrit tante Martine. Cette dernière
ne faiblit pas. Au contraire si cela est encore possible elle augmente
l’intensité de la fessée ce qui oblige Jérôme à finir par lâcher sa pudeur en
laissant s’échapper des cris et des larmes. Satisfaite, comme elle la fait pour
Zoé, elle conduit son pupille dans le piquet opposé.
Madame Lepand quitte alors le bureau et revient une minute
plus tard en tenant son fils lui aussi par l’oreille.
« Alors puisque tu préfères me désobéir et utiliser
ton téléphone mobile que je t’ai interdit d’utiliser et que tu ne fais pas les
corvées que je t’impose toi aussi tu vas avoir le droit à une bonne fessée ! »
Culotte courte et slip aux bas
des pieds, blouse retroussée, Laurent est à son tour sévèrement puni. Lui aussi
a droit à une exigeante correction à la règle. Contrairement à Jérôme, Laurent
éclate vite en sanglots et ne retiens pas ses beuglements. Toutefois cela
n’apitoie pas sa mère qui lui administre à lui aussi le plus sévère des
châtiments. Fesses écarlates également, il se retrouve à son tour au piquet
Les trois jeunes gens en
pénitence, Madame Lepand en profite pour téléphoner à la maman de Zoé. Elle
l’informe de la situation de sa fille. Elle explique en détail comment elle a
dû la punir et comment elle va devoir encore la sanctionner pour son manque de
docilité. Personne dans la pièce n’ose
bouger. Même Zoé tient parfaitement sa position. La conversation se poursuit et
se termine par une liste de vêtement que la mère de la stagiaire doit apporter.
Comme si de rien n’était, Madame
Lepand travaille à son bureau pendant une quinzaine de minutes avant de faire
sortir ses trois punis de leurs coins de pénitences et prend la parole.
« Tenez-vous droit devant moi ! »
Jérôme et Laurent savent très bien comment ils doivent se
tenir. Zoé hésitante imite ses deux compagnons d’infortune.
« Zoé va venir habiter chez nous quelques temps. Elle
sera comme votre sœur. Zoé, j’ai eu ta maman au téléphone. Vu ton attitude
inadmissible que ce soit dans ton école, en stage ou chez tes parents, j’ai
convenu avec ta mère que tu allais vivre chez moi et selon mes règles pendant
quelques temps. Tu es insolente, tu manques de respect à tout le monde, tu es
paresseuse, oisive, négligente, malpropre et j’en passe. Crois-moi tout cela
est terminé. Je vais m’occuper de toi, je vais te dresser. »
Puis s’adressant aux garçons tout en les reculottant elle
les renvois à leurs corvées avant de s’occuper de nouveau de sa stagiaire et
donc nouvelle pupille.
« Zoé maintenant je t’ai promis une autre correction.
Tu as osé tenter de t’extraire d’une correction que j’avais décidée. Par
conséquent tu vas en recevoir une nouvelle. Et cette fois tu vas faire
connaissance à la ceinture. Je ne peux que te conseiller de te montrer
discipliné cette fois. »
Joignant le geste à la parole, elle pousse Zoé dans le
salon. Elle se dirige vers la cuisine pour prendre la ceinture et revient
devant une Zoé tremblante.
« Prends appui sur l’accoudoir de ce fauteuil Mademoiselle.
Ecarte les jambes. Mieux que ça. Laisse tes mains bien à plat sur l’accoudoir
et temps tes fesses ! »
Cette fois Zoé ne joue pas les rebelles. Elle se doute que
si elle se révolte la correction sera encore plus stricte et dure à endurer.
Tremblante elle suit les consignes de sa nouvelle tutrice et se montre anxieuse
à ce qui l’attend…
Vous n'avez pas lu les épisodes précédents ?
Eh bien voici le début : le chapitre 1
Et le chapitre 11 qui précède celui-ci
Une suite à cet épisode ?
Elle va venir, la semaine prochaine.
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