LES BIENFAITS D'UNE STRICTE DISCIPLINE DOMESTIQUE
BATTOIR CASSE, C'EST LA FESSEE !
Madame Delaniaires jette un regard furieux en direction de son
mari et le fustige d'un ton menaçant.
– « Attends un peu que j'en termine avec les fesses de
Sébastien, et je te garantis que les tiennes vont payer cher le prix de ta
négligence ! »
Tonne-t-elle, tout en recalant le derrière de son neveux sur ses
cuisses pour reprendre sa fessée. Le malheureux, n'a pas profité longtemps de
la brève interruption, mais, pas de
chance, c'est lui qui trinque sur le coup. Manifestement très contrariée, sa
tante passe sa colère sur ses fesses en tapant de plus en plus fort. A côté
d’eux sur l'autre tabouret à fessée, Géraldine, imperturbable, la main bien
ferme sur un nouveau battoir tout neuf, qu’elle abat à toute volée, continue à travailler les fesses rebondissantes de Rodolphe, à grande claques
sonores.
Madame Delaniaires se
débarrasse rapidement
de Sébastien et l'expédie
au coin cuver sa fessée, en le propulsant rageusement d'une formidable claque
aux fesses. Les rondeurs en pleine cuisson tressautent encore au-dessus de l'élastique de son slip lorsqu'il arrive, en larmes, à
destination. Il pleurniche en se pliant en deux comme pour atténuer la cuisson.
– « Ooooh ma tante... Vous... Vous tapez fort ! Je... je ne sens plus mes
fesses !
– Après ce que je viens de te mettre, ça m'étonnerait ! Si ça ne te suffit pas, je peux t'en remettre
une autre tout de suite, pour que tu les sentes mieux chauffer ! »
Le jeune homme, pris de panique,
saute d'une pied sur l'autre en se tenant le derrière à pleines mains,
et comme elles ont encore augmenté de volume sous les claques, il en a vraiment
plein les mains. Il trépigne sur place, exactement comme le ferait un petit
garçon.
– « Non, non ma tante, non, pitié ! Ça y est... Je les
sens mes fesses, je les sens bien ! Oh oui, ça chauffe, ça cuit !... Pas
d'autre fessée vous plaît ! »
Géraldine, sans lever la tête, concentrant toute son énergie sur
les fesses de sa victime, ne rate
cependant pas l'occasion d'en rajouter une couche.
– « Mais si ma tante, allez-y !
Mettez-lui-en une autre, ça lui fera du bien et ça lui apprendra à faire le
malin au bistrot avec ses copains, qui ne valent pas mieux que lui . N'est-ce pas Rodolphe ? »
Elle ponctue sa phrase en claquées de battoir de plus en plus
retentissantes. Rodolphe hulule de douleur. Il hurle si fort, qu'on n'entend
même plus, du haut de son grand chêne, coucouter le hibou dans la forêt
lointaine !
L'atmosphère, dans la boutique, est aussi tendue que les derrières
et s'emplit, progressivement, d'une
exaltante odeur de cuir brûlant et de fesses chaudes, caractéristique d'une
séance de sévères corrections.
Tandis que Géraldine continue
de s'affairer sur les fesses de son puni,
Astrid s'amuse un moment, des gesticulations craintives de son neveu,
puis, se désintéresse de ses fesses pour reporter son attention sur celles de son mari.
– « A nous deux, maintenant, mon chéri ! Nous avons un
gros compte à régler. Il me semble nécessaire d'avoir une petite conversation
avec tes fesses, histoire de te montrer combien il va t’en cuire chaque fois que tu feras mal ton travail ! »
Norbert ne bronche pas,
tout juste un petit tremblement du derrière qu'il maintient en position haute tant qu'il n'a pas l'autorisation de se relever. Il est habitué aux
terribles coups de colère de sa femme, et il sait que ce n'est surtout pas le moment de la contrarier. Il a d'autant plus intérêt à se
montrer docile, qu'il ne peut réfuter son niveau de responsabilité concernant
le défaut de fabrication du battoir de Géraldine. Il sent un frisson lui
parcourir le postérieur, et ses fesses se contracter au-dessus de son slip, tendu sur le haut de ses cuisses. Malgré sa position
courbé en deux, il sent une goutte de sueur s'insinuer dans la raie et
commencer à dégouliner tout du long. La menace d'une nouvelle fessée se
précisait d’autant plus qu'Astrid, délaissant le ton calme qu’elle avait adopté
jusqu’à présent, élevait maintenant la voix.
–« Il serait temps, mon ami, que tu comprennes une
bonne fois pour toutes, qu’ici c’est moi qui commande et que j’en ai assez de
devoir rattraper tes bêtises auprès des clientes. Il suffit de lire le
commentaire de notre amie Elena qui en connaît un rayon en matière
d'instruments de discipline. Si on ne peut plus se fier au '' fabriqué en
France'' … Où va-t-on ?
L'image de fiabilité de la maison exige une production irréprochable. Je
ne sais pas ce qui t'arrive, mon cher, mais c'est loin d'être le cas depuis un
certain temps. Tu te laisses aller Norbert... Je vais devoir sévir davantage,
les fessées vont claquer... je te le garantis !
– Ooooh, Astrid... S'il te plaît...
– Justement oui, ça me plaît. Puisque tu n'es efficace que
les fesses rouges, je vais te les chauffer plus souvent, fais-moi confiance !
– Mais... chérie, c'était juste un petit défaut sur le manche
du battoir... Une bande de cuir qui...
– S'il n'y avait que ça... Dernièrement Béatrice
Klakerspank, du salon de coiffure, une de nos premières clientes, s'est plainte
d'un martinet qui venait de perdre deux lanières au bout de trois fessées
consécutives ... seulement. Robin le fils de Gladys, a réussi à saboter son martinet. Il y a
trois jours, sa mère m’a ramené un battoir qu'elle a fendu en deux sur les fesses
d'Edouard, comme chacun sait...son mari qu'elle doit corriger régulièrement.
Alors ? Ça te suffit ?
– « Oui chérie... mais... mais... elles tapent toutes
tellement fort... et elles fessent tous les jours et même plusieurs fois par
jour !!
– Non mais Norbert !... C'est ça ton arguments ! On est censé vendre des
instruments de discipline solides, à usage intense...
in-des-truc-tibles. C'est notre principal argument publicitaire. Aucune paire de
fesses ne doit pouvoir y résister. ».
Géraldine, qui a entamé une nouvelle fessée, à la main
cette fois, ne trouve rien de mieux que d'ironiser, en rythmant sa phrase à
grandes claques retentissantes sur les fesses de Rodolphe qui n'en peut plus.
Elle chantonne.
– « Les battoirs – Delaniaires – c'est pour – les gros
– derrières ! »
– Exactement ma chérie ! Et c'est ce qui fait la
réputation de la maison !
L'accusé, à l'anxiété grandissante, répond timidement.
– Oui, bien sûr ma chérie, c'est ce que je m'applique
à faire... »
Malgré la menace d'une nouvelle correction, la deuxième de
la journée, Norbert essayait tant bien que mal, d'atténuer les charges qui
pesaient contre lui . En vain, Astrid n'était pas du genre à manquer
l'occasion de lui flanquer une fessée, quitte à en provoquer une quand cela ne
se présentait pas et qu'elle avait tout simplement envie de lui claquer le
derrière. Là ce n'était pas le cas, il la méritait amplement.
–« Non Norbert... Non, il y a trop de négligence dans
ton travail. Alors, si tu ne te mets pas
ça dans le crâne, je vais te l'imprimer
en rouge sur les fesses ! Tant que je dirige cette maison, et il n'y a pas
de raison pour que cela change, tu dois faire comme je te dis et respecter mon
cahier des charges. Sinon, à chaque relâchement, ça sera la fessée ...tu as
compris... La fessée !!! Et pas pour rire ...La fessée déculotté, devant tout
le monde, à chaque fois qu'il le faudra. De préférence en présence de Géraldine
et les clientes, pour qu'elles voient bien comment on doit corriger un mari
paresseux. Moi cela ne me dérange pas, j’ai de bonnes mains fermes pour bien
claquer tes fesses comme il faut! »
Norbert n'en était plus au stade de la discussion. Il
savait, que dans très peu de temps, il allait devoir, présenter ses fesses à sa
sévère épouse pour recevoir sa raclée. La seule chose censée qu'il pouvait
faire c'était de se soumettre à son autorité en mettant humblement son derrière
à sa disposition. Il en devient servile, même si cela n'avait aucune chance
d'influer sur le déroulement de sa punition.
– « Oui Astrid, je sais bien …Tu sais me claquer les fesses comme je
le mérite …et
c’est si souvent... Je te demande pardon, ma chérie …j’essaierai d’être bien obéissant et de
m'appliquer au travail en respectant tes consignes. »
Il était maintenant planté debout devant sa femme, tête
baissée, les mains croisées dans le dos, le bout de ses doigts effleurant
ses fesses qu'il sent agitées de frémissements nerveux. Solidement campée sur
ses quinze centimètres de talons aiguille,
les bras croisés soulevant sa volumineuse poitrine en plein débordement
de décolleté, Astrid le dépasse carrément d'une tête. Forte de son autorité, elle
le toise un moment du regard et, se tourne vers sa nièce, qui a enfin cessé de
faire reluire fesses de Rodolphe, écroulé sur ses genoux.
– « C’est valable pour toi aussi Géraldine... »
Elle poursuit en haussant le ton avec assurance.
« Je ne te le répéterai pas trente-six fois. Je ne veux pas te voir ici en
dilettante, ni t'entendre discuter avec quelqu'un en pénitence au coin. Tu m'
obéis autant qu'à ta mère et tu fais ce que je te demande de faire, sans
rechigner. Tu es là pour contribuer à la bonne tenue du magasin.
– Mais c'est ce que je fais ma tante...Je vous prête même
mes fesses pour les démonstrations !
– Je sais Géraldine, je sais... Elles sont même très endurantes et parfaites pour
les tests
de martinets notamment ; ... Tes fessées plaisent beaucoup au clientes.
Mais je préfère te prévenir. »
Géraldine, toujours à la limite de l'insolence.
– Ce n'est pas la peine ma tante, je sais très bien ce que
je dois faire !
– Tant mieux ! En tous cas, tu dois aussi veiller au
comportement de ton oncle au travail quand je ne suis pas là pour m'occuper de
ses fesses.
– Oui ma tante, bien
sûr...
– Autrement dit, quand il mérite une fessée c’est à toi de
la lui donner … Et pas des semblants de fessée ! Tu as une bonne frappe et lui
une belle paire... et tu aimes ça, claquer une belle paire de fesses...
Alors n'hésite pas, toujours déculotté ! Main et martinet ...et en public de
préférence !!! »
Géraldine savoure. Elle n'en espérait pas tant. La fessée
enfin terminée, elle a poussé Rodolphe sur le sol et l'a fait mettre dans une
position bien humiliante. A genoux, prosterné entre ses cuisses, les fesses
écarlates et cuisantes, projetées vers le plafond. Il couine de douleur en
trépignant pendant qu'elle s'applique à le reculotter avec fermeté, en lui
ajustant son slip bien serré sur le derrière. La mine réjouie, elle s'amuse à
faire bruyamment claquer l'élastique, en lançant un regard de gratitude à sa
tante.
– « Avec plaisir ma tante, je vais si bien m'occuper
de ses fesses, qu'il ne sentira même pas la différence quand c'est vous qui le
corrigez. ! ''
Imperturbable, Astrid la reprend.
– « Oui mais je te préviens Géraldine, si j’apprends
qu’il a mérité une bonne fessée et que tu ne lui as pas donnée …ou même si tu as tardé à la lui
donner... C'est moi qui te la flanquerai et je doublerai au moins la ration, crois-moi ! »
Cela n'a pas l'air d'impressionner outre mesure la jeune
femme qui esquisse un petit sourire provocant. Elle fanfaronne.
– « Je n'en doute pas une seconde Tantine... Et, vous
savez, ça ne me déplaît pas sentir votre belle main ferme claquer sur mes
fesses...
– Oui, et bien ma chère nièce, peut-être pas autant que tu le penses figure toi.
Parce que dorénavant tu risques de recevoir encore davantage de fessées que tu
le crois, fais-moi confiance ! Et pas qu'à la main ! Les battoirs
et martinets ici ça ne manque pas... des bien sévères, comme tu sais et parfaitement
adaptés à tes fesses ! Il n'y a que l'embarras du choix. »
Sur
ces bonnes paroles, Astrid Delaniaires empoigne son mari par le col de sa
chemise pour le relever et, le tenant
debout devant elle, lui ordonne de se reculotter. Géraldine qui venait d'envoyer Rodolphe cuver
sa fessée au coin, fit semblant de s'en étonner. Elle aimait bien jouer la comédie
de l'ingénue, ce qui la rendait encore plus perverse.
« Mais
tantine, pourquoi vous l'obligez de se reculotter, alors que vous allez lui
flanquer sa fessée. Une vraie fessée c'est toujours déculotté non ?
–
Voyons Géraldine, tu ne voudrais tout de même pas que je me prive du plaisir de
déculotter cette magnifique paire de fesses... Quoi de plus excitant qu’une
bonne descente de slip pour bien préparer une fessée !
–
Vous avez raison ma tante. J'avoue que, moi aussi, j'adore déculotter un
derrière avant de le corriger. Surtout lorsqu'il se présente déjà bien rouge
d'une fessée précédente...»
Sans
perdre de temps, Astrid a repris place sur le tabouret de discipline. Elle a
retroussé à nouveau sa jupe jusqu'au-dessus de ses jarretelles pour bien dégager l’emplacement où Norbert va devoir venir arrondir ses fesses. L'administration de
fessées constituent son activité physique favorite. Le bras fort, la main infatigable,
elle aime les enchaîner, à l'occasion, en variant les plaisirs d'un derrière à
un autre, suivant leur différence de
sonorité et de fermeté.
Tout
en basculant, sans ménagement, son mari sur ses cuisses, elle a envoyé
Sébastien ranger son martinet en allant
l'accrocher à sa place habituelle. Elle veut faire profiter du spectacle de son postérieur éclatant qu'il doit prendre soin de bien exposer à la vue de tout
le monde. Pour cela il doit se dresser sur la pointe des pieds et se cambrant
et tendant bien les fesses pour passer l’attache dans le crochet. Il s'exécute
avec docilité sous le regard sévère de la maîtresse femme qui esquisse, tout de même un sourire de satisfaction, à voir les
élastiques de son slip, tendues par le mouvement lui rentrer dans la raie, dégageant deux belles fesses entièrement
rougies par la fessée qu'elle vient de lui mettre.
--«
Je mesure, avec plaisir, le niveau élevé de cuisson nécessaire à ton gros
derrière pour obtenir cette parfaite obéissance... Maintenant tourne toi. Pour compléter la leçon, je veux que tu
assistes à la fessée de ton oncle. Il est important que tu réalises ce qui
attend tes fesses quand elles seront aussi
endurantes que les siennes. ! »
Elle
appuie sur la tête de sa victime pour l'obliger à se pencher plus en avant et
lui remonter le postérieur à sa main.
–
« Tend tes fesses Norbert... Mieux que ça s'il te plaît. Prends appui sur
tes mains et pousse dessus ! Un derrière bien tendu est un derrière bien ferme
qui donne du claquant ! »
La fessée commença d’un coup, à la main d'abord, rapide, cinglante et cuisante. Astrid faisait
pleuvoir les claques, s’appliquant à recouvrir les fesses de son puni d’un
magnifique rouge écarlate uniformément réparti sur toute la surface. Une fois les fesses bien rouges, cuites à
point, satisfaite de sa prestation, elle empoigna un des battoirs habituellement
destiné à augmenter la sévérité des fessées.
Il ressemblait en tous points à celui qu’employait à ce moment Géraldine
sur les fesses de Rodolphe, sauf que l'épouse attentionnée, l'avait fait
fabriquer par son mari, lui-même, au format de ses propres fesses pour le
rendre plus efficace à l’ouvrage. Le cuir parfaitement souple et cinglant du
cuisant instrument de discipline commença à claquer sur les fesses écarlates du
pauvre Norbert qui se mit rapidement à couiner et pleurer sur les genoux de sa
femme. Son ventre le brûlait, ne cessant de frotter contre les bas nylon de ses
cuisses serrées, tandis que son fessier tout entier, en montée de cuisson
continue, dépassait brillamment son record de température établi lors de la
dernière tournée de fessées.
Très attentives à la couleur et la cuisson des derrières qu’elles
corrigeaient, les deux fesseuses se regardèrent avec une moue de satisfaction.
Le moment était venu de marquer une pause pour que les fesses gonflées de
claques de ces Messieurs reprennent de la souplesse en vue d’une éventuelle
prochaine séance. D’un commun accord, elles décidèrent de suspendre
provisoirement les fessées. Ce qui leur donnait aussi l’occasion de se
raffermir la main et retrouver une meilleure frappe pour des fessées à venir.
La boutique résonnait encore du claquement de ces dernières. Les
trois hommes furent de nouveau envoyés au coin, nez au mur, déculottés mains
sur la tête, pour évaluation de l'efficacité des corrections à la couleur et au
niveau de cuisson des postérieurs.
Madame Delaniaires en
gourmande, savoure le spectacle et soupèse, d'un regard enveloppant, les
volumineuses paires de fesses, écarlates et fumantes .
– « Voilà une bonne chose de faites ! On leurs en a mis
une bonne dose... De là à supposer que ça leur serve de leçon, c'est une autre
paire de claques !!
– Pour ça, rien n'est
moins sûr... »
Répond Géraldine,
pensive, en rajustant ses jarretelles détendues pendant la fessée. Elle se lève
du tabouret et lisse sa jupe sur ses cuisses. Encore sous le coup de
l'émotion, elle ne demanderait pas mieux
que de prolonger la séance.
– « C'est tellement
excitant de claquer d'aussi solides fessiers. Je crois que j'en ai encore
mouillé mon slip ! C'est pourtant du nylon... On dirait qu'il a
rétréci. »
Astrid, pour une fois,
laisse échapper un sourire indulgent. Elle hoche la tête d'un air faussement
navré. Cette petite impertinente ne manque décidément pas de caractère, ni
d'audace.
– « C'est vrai
tantine – poursuit l'ingénue – Il est tellement serré que les élastiques me
rentrent dans la raie ! »
Elle
rit, insouciante, insolente et sans gêne, du haut de ses vingt ans à peine
passés. Elle rit, d'un petit rire enfantin troublant, presque dérangeant. Les
joues rosissantes de plaisir, de la cuisante fessée qu'elle vient
d'administrer.
Madame
Delaniaires, redevenue commerçante, soucieuse de remettre de l'ordre dans le
magasin, ordonna aux garçon de ranger les instruments de discipline, jeter les
débris du battoir cassé et remettre les tabourets à leur place. Ils durent
s'exécuter sans obtenir l'autorisation de se reculotter, en exhibant leurs
derrières endoloris que la sensation de chaleur
intense ne quittait plus.
Evidemment, Norbert s’empressait de dire comme sa femme, s'efforçant de se
montrer obéissant et soumis, comme à chaque fois qu’il était puni et après
chaque fessée, attentif à faire tout ce qu'elle lui demandait et même à aller au-devant de ses désirs .
Pour Géraldine, la perspective de flanquer souvent des fessées à
son oncle, ne lui posait aucun problème
! Bien au contraire, il était certain qu’elle ne se priverait pas de ce
plaisir. Tranquillement assise sur le tabouret à fessées, elle enroulait et
déroulait distraitement une mèche de cheveux autour de son index en le
regardant papillonner avec empressement autour de son épouse. Un petit sourire goguenard sur les lèvres,
elle suivait les yeux emplis de convoitise, les rebondissements suggestifs de
son derrière déculotté, dont la rougeur intense irradiait la pièce. Elle en
disposerait bientôt à sa guise pour le claquer à volonté sur les vives
recommandations de sa tante.
C'était lundi, jour de la leçon d'anglais de Gérôme
Bellebourges . Un calvaire pour ses fesses, mais la confirmation de
l'efficacité des procédures d'apprentissage de Patricia, sa préceptrice du
moment. A cour particuliers, méthode particulière. La jeune femme, ne lésinait
pas sur la fréquence et la durée des fessées qu'elle considérait comme le
parfait stimulant, adapté à l'indifférence chronique de son élève vis à vis des
études. Quitte à dépasser l'heure de
cours, elle ne quittait jamais sa chambre sans le laisser pantelant, écroulé
sur sa chaise, les fesses en feu, rouges cramoisies, mais il avait appris par
cœur la leçon du jour.
– « Entrez Patricia , entrez... Je vous en prie, dit Thérez Bellebourges en s'effaçant devant la porte ouverte
pour l'inviter à passer. Gérôme est dans sa chambre. Je ne dirais pas qu'il
vous attend avec impatience... Du moins... pas ses fesses... c'est
sûr ! »
Elle eut un petit rire mutin inhabituel.
La jeune femme entra d'un pas décidé,
faisant claquer ses talons aiguille sur le carrelage. Sa jupe plissée ultra
courte révélait ses fortes cuisses gainées de bas nylon noir. L'enfer pour les
joues de Gérôme lorsque, pour bien l'humilier, elle s'amusait à le fesser la
tête coincée entre ses cuisses,
–« Je m'en doute ! Répond-elle avec un sourire édifiant sur ses intentions. Ça veut bien dire
que ma méthode est efficace. La fessée Thérez, la fessée ! Il n'y a rien
de meilleur pour dresser les vilains jeune gens paresseux et
indisciplinés ! Je ne vous apprends rien.
– Vous prêchez une convaincue ma chère... D'ailleurs il s'en est
récemment pris des sévères !
Patricia a posé son sac sur la commode de l'entrée et se dirige
déjà vers l'escalier. Elle se retourne.
– « Eh bien ça ne m'étonne pas ! Qu'est-ce qu'il a encore fait, votre incorrigible garçon ?
– Ah, en ce moment il est infernal... Il m'épuise ! Lui et
son cousin Rodolphe... de vrais adolescents attardés … On dirait qu'ils ne
grandiront jamais. Vous ne savez pas ce qu'ils ont fait ces deux abrutis ?
– Non Thérez... Dites-moi …
– Ils n'ont rien trouvé de mieux à faire que de démolir à coup de
pieds, la cabane à frites de madame Lecornet... la pauvre !
– Et bien, c'est du propre ! Ils s’en sont pris une bonne j'espère !
– Pour ça oui, avec ma sœur Clarisse on s'est relayées sur leurs
fesses... Je vous dis pas dans quel état on les leur a mises ! En hiver on aurait pu chauffer notre salon
avec ! »
Patricia, impatiente de monter s'occuper de celles de Gérôme, fait
tout de même la conversation, par courtoisie avec Thérez.
– « En plus ils en ont de belles paires, solides avec ça, à
force d'en recevoir. ... Ça leur fait du bien ! Vous de votre
côté pendant la semaine, et moi en supplément de programme tous les
lundis ! »
Thérez regarde son interlocutrice avec un petit ait mystérieux.
– « Euh, je ne crois pas Patricia... Du moins pas pour les
lundis à venir.
– Ah bon ? Pourquoi
donc ? Vous n'êtes plus satisfaite
de mes sévices ?
– Oh si bien sûr ! Mais nous allons devoir suspendre
provisoirement notre histoire...
Patricia, intriguée, revient vers Ma'am Bellebourge, le sourcil
froncé, l'air interrogateur.
– « Comment ça suspendre ? … je ne comprends pas...
– Et bien, pour tout dire... C'est Monsieur Ramina... Il a besoin
d'une petite pause d'écriture... Qu'il dit... Il sera en vacances au mois
d'août... Voilà... Donc nous aussi par la même occasion... Mais il a tout de
même l'intention de poursuivre ses petits commentaires.
Patricia, songeuse, se sent un peu frustrée. Elle cherche un
argument comme si elle devait convaincre l'auteur de continuer.
– « Oui, je vois... Et bien...
Mais... mais... Ce sont les lecteurs ...Et monsieur Josip... Qu'est-ce qu'ils
vont penser ?
– Oh ils vont comprendre... Monsieur
Ramina les remercie d'ailleurs, surtout ceux qui lui écrivent. Elena, Gladys,
François Fabien, Caroline, JLG, justement... et les autres, Anonymes... Mais
surtout, monsieur Peter Pan. Mon père en
quelque sorte.
– Ah Peter, oui bien sûr. Mais ça ne va
pas l'empêcher de continuer à dessiner... Il dessine toujours. Non ?
– Heureusement... dit Thérez un peu
émue... sinon on n'existerait plus. »
Elle ne peut retenir une petite larme,
qui creuse un sillon discret le long de sa joue poudrée. On a beau flanquer de terribles fessées, on
n'en est pas moins sensible.
Patricia, semble se réveiller en sursaut
d'un vilain rêve et réagit avec fermeté.
– « Bon en attendant, j'ai encore
une leçon à donner à Gérôme, et il a intérêt à bien préparer ses fesses... je
vous garantis que ça chauffer ! »
Elle s'élance dans l'escalier qu'elle
grimpe avec détermination. Sa jupe plissée virevolte sur le haut de ses
cuisses, révélant la lisière noire de ses bas nylon et les boucles de ses
jarretelles. Thérez Bellebourge, la
stimule d'en bas en la regardant monter.
–
« Allez y Patricia ! Les verbes irréguliers avec une bonne séance de
fessées... Qu'il s'en souvienne jusqu'à la rentrée !
– Faites-moi confiance Thérez, vous
allez entendre claquer ses fesses jusque dans la cuisine ! »
Elle pénètre dans la chambre de Gérôme
en claquant la porte derrière elle. Il ne faut pas plus d'une minute pour qu'on
entende claquer ses fesses à leur tour. Comme le dit la chanson, c'est la
dernière séance... de l'été. Mais ce n'est pas du cinéma.
Et hop, une nouvelle saison ! C'est déjà la troisième !
Nous retrouvons des protagonistes dont nous avons déjà fait la connaissance précédemment, mais nous allons également découvrir de nouveaux personnages pour lesquels la fessée est à l'ordre du jour.
Que s'est-il passé dans le dernier épisode ? Un trou de mémoire ? Ce n'est pas grave voici là où a commencé la saison, le chapitre 1, et le précédent, c'est le chapitre 42
Pour ceux qui n'auraient pas lu le tout début de la série, la voici : le chapitre 1 de la saison 1
Pour ceux qui n'auraient pas lu le tout début de la série, la voici : le chapitre 1 de la saison 1
Il y a une suite, oui, mais il faudra attendre la semaine prochaine.
Ramina est l'auteur de nombreux récits et commentaires sur ce blog.
Juste retour des choses il attend les vôtres. Ecrivez vos appréciations, vos retours, vos questions ... dans le cadre ci-dessous. Ramina vous répondra.
Bonjour Ramina,
RépondreSupprimerRécit toujours aussi direct. Ces dames jubilent. Leurs épouses sont de véritables "mégères déchaînées" (?) .
Excellente la transition finale. Une belle manière pour annoncer une petite pause estivale des auteurs respectifs.
Ca me fait penser à un effet semblable vu dans un dessin animé dans lequel les personnages dialoguaient avec le dessinateur en sortant des cases. Bel effet de comique de situation. Je ne l'aurais pas imaginé. Les auteurs s'incarnent dans le récit. Bravo !
Alors mon ami, bonnes vacances et... bon vent ! Kenavo !
Amicalement. Peter.
Bonne vacances et à bientot
RépondreSupprimerBonjour Ramina,
RépondreSupprimerComme d'habitude, une recherche dans les scenario et dans les dessins de représentation. La gente masculine n'a qu'à bien se tenir, sous peine de représailles gratinées. Et Géraldine qui y prend gout... Le tout couronné par Mme DELANIERES qui joue la chef d'orchestre et gère tout ce petit monde.
Une mention particulière pour la fin du texte. C'est original et inattendu. On ne l'a pas vu arriver, cette pause.
Amitiés.
Elena.
Chers amis, Peter, Elena, Gladys et les autres... Bonjour!
RépondreSupprimerL'écriture prend du temps... beaucoup de temps et si on y ajoute des illustrations... encore plus! J'avais besoin d'une pause...Je me suis bien amusé à imaginer cette fin de saison... (Peter fait peut être allusion aux dessins animés de Tex Avery)
En commençant cette 3è saison, je ne savais pas que j'irai jusqu'à 43 chapitres! Avec "Ces Dames Aux Mains Fermes" comme Clarisse, Géraldine ou madame Delaniaires, lorsque les fessées commencent à claquer on ne sait jamais quand ça va s'arrêter. Merci de les avoir suivies dans leurs cuisants délires disciplinaires.
Il paraît qu'il n'y a plus de saison ma pov' dame... Qui sait... il y en aura peut être une quatrième... ( perso je l'ignore encore)
Amicalement
Ramina
Bonjour Ramina,
RépondreSupprimerBonnes vacances bien méritées et nous attendons votre retour prochain, requinqué et prêt à déplacer des montagnes !
Amitiés.
Elena.
Bonjour Ramina,
RépondreSupprimerEh oui, c'est l'aventure en BD: on défriche le terrain, on affronte mille dangers mais on ne sait jamais sur quoi on va tomber ("la vie, c'est comme une boîte de chocolats: on sait jamais sur lequel on va tomber" (dixit : Forrest Gump).
Pour les DA, c'est à Tex Avery que je pensais avec le Squirrel un peu farçeur et déjanté.
Pour le moment, profites du tems qui passe (et repasse). Qu'est ce qu'il doit faire frais sur la côte !!!!
Amicalement. Peter.