–
Pas exactement, Madame Marianne. Vous lui aviez déjà donnée sa deuxième fessée,
quand elle a goûté à votre règle pour la première fois. Je ne suis arrivée
qu’après. Elle était déjà sortie du coin. »
Elles
s’étaient, toutes deux, installées sur la table de la cuisine pour prendre un
café. Elles jetaient un œil distrait sur Aurélie et Philippe, toujours le nez
dans le coin. Ce flash-back était empreint d’un peu de nostalgie.
« Ah
oui, je me rappelle la réaction d’Aurélie quand j’ai appliqué la règle sur ses
fesses au lieu de ma main. Quelle surprise pour elle, mais quelle efficacité.
Je ne crois pas qu’elle ait abusé de la boisson depuis, tout du moins pas en ma
présence. La leçon a été comprise.
–
Y a pas à dire, c’est un moyen diablement efficace. Ça lui a ôté l’envie de
recommencer.
–
Je n’ai aucun doute là-dessus. Et elle sait que si j’apprends qu’elle récidive,
la fessée qui en découlerait serait magistrale. »
Aurélie,
dans son coin frissonna. Elle savait que ce n’était pas une promesses en l’air.
Plus jamais elle n’avait abusé de la boisson jusqu’à l’ivresse. Même quand elle
était à Paris, elle faisait attention à sa consommation d’alcool, de peur que
sa mère ne soit mise au courant par des voies qu’elle ne pouvait pas imaginer.
Il fallait donc être prudente.
Je comprenais mieux la tempérance d’Aurélie en matière de boisson. Je ne me
l’étais, jusqu’à aujourd’hui, jamais vraiment expliquée. Sa réticence à
consommer de l’alcool était en décalage avec son tempérament plutôt insouciant
des conséquences de ses actes.
« Je
croyais me souvenir, continua Madame Marianne, que c’était pourtant ce jour-là
où vous lui aviez donné la fessée pour la première fois.
–
Vous avez raison, mais c’était un peu plus tard. Quand je suis arrivée… »
Bernadette
était arrivée dans la cuisine à son heure habituelle. Dix heures trente,
c’était largement assez tôt pour préparer le déjeuner. Elle avait à peine eu le
temps de sortir les premiers ingrédients qu’Aurélie avait fait son entrée dans
la cuisine.
« Tiens,
mais tu es debout, toi ! Que t’est-il arrivé ? Tu es tombée du
lit ? »
Aurélie
n’avait pas souri. L’ironie de Madame Bernadette ne l’agaçait, mais il fallait
rester discrète sur ce qui venait de lui arriver. La deuxième fessée que lui
avait donné sa mère avait été très douloureuse. Elle n’était pas prête à
l’oublier. Elle avait passé le reste du temps au coin dans le bureau maternel,
laissant admirer ses fesses qui devaient encore porter des marques rouges.
« Maman
m’a dit de venir vous aider à préparer le repas.
–
Voilà qui est nouveau, ou plutôt qui renoue avec de vieilles habitudes. Cela
fait quelques mois que je ne te vois plus. Ces derniers temps, à cette
heure-là, tu es encore au lit. Que t’est-il arrivé pour que tu te lèves si
tôt ? Madame Marianne a dû être très persuasive ! »
Pour
ce qui était d’être persuasive, se dit Aurélie, elle l‘avait été. Elle ne retint
pas complètement une grimace au moment où ses fesses entrèrent en contact avec
la chaise.
« Tu
t’es fait mal, ma chérie ? »
Aurélie
ne répondit pas. Elle ne tenait pas à ce que les nouvelles règles
disciplinaires concoctées par sa mère et leurs conséquences sur son anatomie,
s’ébruitent.
« Eh
bien dis donc, tu t’es levée tôt, mais pas du bon pied ! J’aimerai bien
que tu sois un peu plus avenante quand tu viens travailler avec moi. Je ne
tiens pas à avoir dans ma cuisine une jeune fille qui fait la
tête ! »
C’est
à ce moment-là que Marianne était arrivée.
« Qui
fait la tête ? Ce n’est quand même pas toi, Aurélie ? Tu sais comment
je vais te faire passer l’envie d’être désagréable avec les gens, surtout avec
Bernadette ! »
Marianne
avait alors expliqué à Bernadette les résolutions prises depuis la veille au
soir. Elle avait raconté en détail les deux fessées qu’Aurélie avait reçues.
Celle-ci baissait la tête sur son travail et rougissait de honte. Il était déjà
bien assez difficile de recevoir la fessée déculottée à dix-huit ans, sans que
sa mère en fît état à la première personne qu’elle rencontrait.
Aurélie
fulminait, mais elle faisait bien attention à ce que sa mère ne s’en aperçût
pas. Elle se doutait que la présence de Bernadette n’empêcherait pas sa mère de
la déculotter une nouvelle fois et de lui administrer, séance tenante, une
nouvelle correction.
« Je
n’y survivrais pas, se dit Aurélie ! Pourquoi faut-il qu’elle aille le
raconter à Madame Bernadette ? Cela pouvait rester entre nous deux !
Combien de personnes vont en entendre parler ? »
Le
moral d’Aurélie tomba au plus bas. Sa mère racontait ses déboires comme si
c’était une chose banale. Si elle l’avait osé, elle serait partie en claquant
la porte, mais cela faisait partie des habitudes qu’elle devait perdre en
présence de sa mère.
« Je
compte sur vous, Bernadette, pour administrer le même traitement à cette
péronnelle quand elle l’aura mérité : une bonne fessée
déculottée ! »
Aurélie
n’en croyait pas ses oreilles. Une fessée de la main de Bernadette ?
Impossible !
« Moi ?
Lui donner la fessée ?
–
Evidemment, Bernadette. Ma petite fille se croit tout permis depuis qu’elle a
dix-huit ans. Elle a besoin de personne autour d’elle qui la remettent à sa
place. Vous êtes tout indiquée pour ça. Je suis certaine que ces dernières
semaines, vous avez eu à subir les sautes d’humeur que ma petit chérie,
n’est-ce pas ?
–
Oui, c’est vrai que la charmante jeune fille qu’elle était il y a encore trois
ou quatre mois, a complètement disparu. Elle a des comportements inadmissibles.
Figurez-vous que pas plus tard qu’hier, elle s’est permis de me faire
remarquer, sur un ton méprisant, que le déjeuner ne serait pas prêt
suffisamment tôt pour elle. »
Aurélie
rentra sa tête dans ses épaules. Elle se souvenait de l’échange vif qu’elle
avait eu avec la cuisinière. Rétrospectivement, elle admettait qu’elle avait
franchi la limite de ce qui était acceptable. Vu avec les yeux d’aujourd’hui,
cela pourrait être taxé d’insolence et d’impolitesse.
« Que
va dire Maman ? Voudrait-elle revenir sur ce comportement inadmissible et
le sanctionner ? »
Marianne
regarda sa fille. Son regard était noir.
« Je
suis désolée, Bernadette, que ma fille ait été, avec vous, aussi insolente. Il
est un peu tard pour l’en punir. C’est typiquement le genre de situation où je
souhaiterais que vous le fessiez immédiatement. Insolence, impolitesse,
caprice, colère, désobéissance, négligence, tout cela doit cesser. Au lieu, en
grandissant, de devenir de plus en plus raisonnable, ma grande fille fait le
chemin inverse. »
Bernadette
hocha la tête vigoureusement pour approuver ce que venait de dire Marianne.
« Il
faut qu’elle trouve en face d’elle des personnes qui n’hésiteront pas à lui
baisser la culotte et à lui rougir les fesses. Voyez-vous, si nous nous y mettons
à plusieurs, nous devrions pouvoir éradiquer rapidement ces comportements
inacceptables. Vous, comme moi, nous sommes les deux personnes les plus à même
de lui rendre ce service. Ce serait dommage que vous y renonciez.
–
Vu come ça, j’aurais mauvaise grâce à refuser ! Et puis, je la connais
depuis qu’elle est toute petite. Je l’ai toujours considéré un peu comme ma
fille. Il est normal que je prenne ma part de ces moments où elle a besoin de
sentir une autorité. C’est donc d’accord !
–
Merci, Bernadette, je vous en serai éternellement reconnaissante, et vous
verrez qu’Aurélie aussi. Je la laisse sous votre surveillance. Je vous donne
carte blanche. Si elle vous fait des difficultés, venez me chercher ! »
Marianne
avait laissé les deux femmes en tête à tête.
Aurélie
était indignée. Elle ne se remettait de ce qu’elle venait d’entendre. Que sa
mère ait autorisé la cuisinière à la fesser dépassait l’entendement.
« Il
est hors de question que je me laisse faire, décida-t-elle »
Forte
de cette résolution, elle continua à éplucher les pommes de terre. Elle était
tendue, attendant la confrontation qui ne manquerait de venir.
« Fais
donc un peu attention à ce que tu fais ! Regarde-moi ces épluchures !
Deux fois trop épaisses ! »
Bernadette
avait raison. Tout à sa colère rentrée, Aurélie ne faisait plus attention à ce
qu’elle faisait. Mais ce fut la goutte d’eau qui fit déborder le vase.
« Je
fais ce que je veux ! Ce ne sont pas vos pommes de terre. La façon dont je
les épluche ne vous regarde pas !
–
Dis donc, petite insolente, je crois qu’il est temps que tu baisses d’un
ton ! Je pourrai bien mettre en pratique la discussion que je viens
d’avoir avec ta mère. Est-ce que c’est une fessée que tu veux ? »
La
menace ne fit pas fléchir Aurélie, bien au contraire. Elle jeta la pomme de
terre qu’elle tenait et l’épluche légume vola à travers la cuisine.
« Essayez
un peu pour voir ! »
Cela
ne fit pas reculer Bernadette. Deux pas et elle avait attrapé Aurélie avant que
cette dernière n’eût pu se lever. La cuisinière était une forte femme. Le poids
léger qu’était Aurélie ne pesait pas bien lourd entre ses mains. Une impulsion
sèche sur le bras et Aurélie fut contrainte de se lever, quasiment portée par
Bernadette sous le bras de laquelle elle se retrouva coincée.
C’est
alors seulement qu’elle réagit. Bien qu’elle ait été mise dans une position qui
annonçait une fessée imminente, elle rua si brusquement qu’elle réussit à se
dégager. Elle tomba à genoux aux pieds de Bernadette.
Ce
fut une question de vivacité. Aurélie s’était remise debout et elle démarrait
aussi vite qu’elle le pouvait vers la porte qui donnait dans le jardin quand
elle fut rattrapée par le col de son corsage. Elle tira, mais ni le col, ni la
main qui la retenait prisonnière, ne cédèrent. Elle fut ramenée en arrière et
Bernadette lui tordit le bras dans le dos, la forçant à se mettre sur la pointe
des pieds.
« Vas-tu
te tenir tranquille, petite peste ! Tu croyais réussir à échapper à la
fessée ? Tu en as gagné une plus grosse !
–
Non, laissez-moi ! Vous n’avez pas le droit !
–
Pas le droit ? Je vais me gêner ! »
Bernadette
fit une nouvelle tentative pour positionner Aurélie sous son bras. La jeune
femme gigotait tellement que ça lui fut impossible. A peine avait-elle gagné
quelques centimètres, qu’en se débattant Aurélie parvenait à desserrer la
prise. Bernadette était excédée au bout d’une petite minute. Elle remit Aurélie
sur ses pieds, sans toutefois la lâcher.
« De
toute façon, tu vas l’avoir cette fessée. Et je peux te promettre, compte tenu
de ta résistance, que ça ne va pas être une partie de plaisir. Es-tu décidée à
me laisser faire ?
–
Non, je ne veux pas ! Ce n’est pas parce que ma mère…
–
Justement, ta mère, parlons-en ! Faut-il que j’aille la chercher pour lui
demander son avis ? »
La
menace du recours à l’autorité maternelle fit hésiter Aurélie. Elle cessa de
résister un court instant et cela suffit pour que Bernadette la plaçât à sa
convenance encerclant la taille d’Aurélie de son bras et elle la serrant contre
sa hanche. Aurélie, sentant que sa correction était en bonne voie, déclencha
une nouvelle ruade, mais c’était sans grande conviction. Il y eut quelques
secondes de pause pendant lesquelles chacun resta sur ses positions.
Puis
Aurélie sentit une main qui, prenant le bas de sa jupe, remontait le long de
ses cuisses, entraînant avec elle le tissu qui recouvrait son postérieur.
« Non,
fit-elle en tentant de se retourner pour desserrer le bras qui la maintenait en
place !
–
Mais si, ma colombe ! Tu sais parfaitement que tu l’as méritée, cette
fessée et que tu en as besoin.
–
Non, pardon Madame Bernadette, pardon ! je ne le ferai plus !
–
J’espère bien que tu ne le feras plus. Mais pour en être sûre, je vais te
donner une bonne fessée. Je te promets que tu vas t’en souvenir, cela t’aidera
à ne pas recommencer ! »
Le
ton d’Aurélie avait changé. La jeune fille rebelle qui luttait pour empêcher
Bernadette de la placer en bonne position pour y recevoir une fessée, avait
fait place à une jeune fille suppliant qu’on l’épargnât, tout en sachant que le
processus enclenché irait à son terme. Madame Bernadette agissait sous couvert
de l’autorité de sa mère. Et cela incluait le droit de lui donner la fessée
déculottée. Elle le savait depuis le début, mais elle ne pouvait s’y résoudre
sans résister.
Elle
eut encore un brusque mouvement intempestif quand sa culotte fut descendue au
niveau de ses genoux. Elle ne tentait plus vraiment de s’échapper, mais elle ne
laissait pas le champ libre à Madame Bernadette non plus. La main qui s’abattit
sur ses fesses mit fin à son dilemme. Elle n’avait plus maintenant qu’une seule
préoccupation : jusqu’où irait la cuisson qui s’installait sur ses
fesses ?
Madame
Bernadette était une forte femme. Ses mains étaient proportionnées à sa taille.
Les travaux physiques en avaient endurci l’épiderme. Aurélie le sentit tout de
suite. La main qui claquait ses fesses couvrait, à chaque fois, la totalité
d’un hémisphère fessier. Comme, à chaque contact, elle en prenait la forme,
l’échauffement était uniformément réparti sur la totalité du postérieur.
Aurélie
en eut le souffle coupé. Elle avait cru, avec sa mère, atteindre les sommets de
ce que pouvait être une sévère fessée. Madame Bernadette lui démontrait
clairement qu’il n’en avait rien été. Bien que donnée à main nue, elle égalait
presque, question cuisson sur les fesses, celle que sa mère lui avait donnée avec
la règle.
Madame
Bernadette ne faiblissait pas. Son geste du bras était régulier et ne semblait
pas lui demander un effort conséquent. Elle tenait la distance et on ne pouvait
pas en dire autant d’Aurélie.
Cette
dernière gigotait toujours autant, mais ses gestes étaient sporadiques et ils
n’avaient plus l’ambition d’éviter la fessée. Il n’y avait plus la coordination
qui aurait pu lui permettre de quitter la position dans laquelle la maintenait
Madame Bernadette. C’étaient des réactions involontaires à la douleur
qu’infligeait la main là où elle tombait, comme si elle aurait pu éviter la
prochaine claque en se tortillant. Tout en sachant ses mouvements inutiles,
Aurélie ne pouvait les empêcher.
Elle
toussait, hoquetait, émettant des cris qui se transformaient en gémissements et
en grognements étouffés, quand Madame Bernadette la laissa se relever. La jupe
retomba, couvrant les fesses, mais la culotte apparaissait encore, tendue entre
les deux genoux.
« Ah,
vous êtes là ! Je ne vous avais pas entendue. »
Marianne
se tenait effectivement dans l’encadrement de la porte, appuyée contre le
chambranle.
« Bravo,
Bernadette. C’était une sacrée fessée ! Je vois que ma grande fille, avec
vous, est en de bonnes mains. Je ne crois pas que j’aurai pu faire mieux !
–
J’ai fait de mon mieux, Madame. Je ne peux pas laisser cette petite sotte
continuer dans la direction qu’elle a prise depuis ses dix-huit ans. Je suis
bien contente que vous ayez décidé de prendre les choses en mains. Cela fait
plusieurs semaines que ma main me démangeait.
–
Vous auriez dû m’en parler. De mon côté, je me demandais quoi faire. Un échange
avec vous aurait fait gagner du temps à cette petite écervelée.
–
Vous savez ce que c’est, on n’ose pas intervenir. On ne sait jamais comment
cela va être pris.
–
Oui, vous avez raison, c’est délicat. Mais nous y sommes tout de même
arrivées ! »
Bernadette
approuva. La surveillance dont Aurélie allait, désormais, être l’objet
permettrait de modifier son comportement.
« A
ce propos, ne pensez-vous pas qu’un long séjour au coin ?
–
J’allais vous le proposer ! Je m’en occupe ! »
Aurélie
n’avait pas bougé durant ce dialogue. Elle aurait volontiers disparu dans un
trou de souris, mais même cela lui était interdit.
« Aurélie,
tu ramasse la pomme de terre et le couteau et tu finis ton travail
d’épluchage. »
Aurélie
se baissa pour remonter sa culotte qui pendait à hauteur de ses mollets.
« Non,
non, non ! Inutile de remonter cette culotte. Tu en as pour cinq minutes,
puis tu iras au coin ! »
Ce
fut quand Aurélie retrouva l’angle de la pièce de la cuisine qui allait lui
devenir familier, que la suite du programme lui fut annoncé.
« Tu
restes là sans bouger. Dès que j’ai cinq minutes, nous allons reparler de la
colère que tu as faite quand je t’ai baissé la culotte. Tu peux préparer tes
fesses ! Attends-toi à une punition plus séreuse que celle que tu viens de
recevoir ! »
Quoi ? Il y en a encore qui n'ont pas lu les chapitres précédents !
Ah, là, là, là, là, là, là ! Bon, voici début : le chapitre 1
Et le précédent : le chapitre 8
Et le précédent : le chapitre 8
Oui, mais est-ce qu'il y a une suite ?
Voyons, voyons eh ben ce sera le chapitre 10 par exemple !
Allez, un commentaire !
Alors ? Qu'en dites-vous ? Abondance de commentaire ne nuit point.
Décidément le confinement d'Aurélie ne va pas en s'arrangeant. La pauvre..beau récit, Merci
RépondreSupprimerBonjour, les pauvres fesses d’Aurélie continuent de chauffer. Ce flash back est particulièrement intéressant, il nous permet de découvrir les premières corrections de la jeune demoiselle. Très bonne histoire, Poursuivez !
RépondreSupprimerCes récits de fessée sont très réalistes, on s'y croirait, effectivement les fesses d'Aurelie sont soumises à rude épreuve.
RépondreSupprimerSylvie
Bonjour,
RépondreSupprimerMerci pour ces appréciations. Elles incitent à écrire quelques chapitre de plus. C'était difficile de laisser passer cette période si particulière sans se saisir des opportunités de fessée qu'elle engendre.
Y a-t-il eu des situations réelles qui présentent des analogies avec ce que vivent Aurélie et Philippe ? Leur récit serait le bienvenu.
Au plaisir de vous lire,
JLG.