QUI AIME BIEN, FESSE BIEN
LE RITUEL DES FESSEES A L'ESTRADE ;
Rodolphe, pouvait bien se vanter de l'endurance de sa solide paire de fesses, celles de Sébastien, régulièrement entretenues par sa mère et surtout sa sœur, Géraldine, l'étaient largement autant, avec de volumineuses rondeurs tout aussi performantes. Elles emplissaient avec bonheur, la large main de Madame Defraisses, qui ne manquait jamais d'arguments pédagogique pour justifier les tournées de fessées qu’elles distribuaient généreusement sur tous les postérieurs de la classes. A chaque début d'année, elle avait d'ailleurs un regard très sélectif sur le volume et la fermeté des fessiers de ses étudiants, qui devaient attester de leur capacité à suivre un enseignement basé sur une pratique intense de la fessée.
Respectueux des consignes, tout le monde se leva, au garde
à vous, quand Madame Defraisses, déambulant tranquillement entre les tables,
commença à ramasser les copies. Ils devaient rester debout, reins cambrés,
fesses à portée de sa main, bien arrondies dans les pantalons, disponibles en
cas de nécessité punitive pour un devoir non rendu. Les vraies grosses fessées
se déroulaient sur l'estrade, selon les barèmes indiqués sur le notice
accrochée au mur, .
Arrivée à la hauteur de Sébastien, elle le regarda avec un
petit sourire narquois et lui ordonna.
« Alors, monsieur Sébastien, votre copie ?
– Heu , Madame... moi ...heu ...j’ai pas eu...
– Votre copie, vous comprenez le français, ou non ?
– Euuh... Je n’ai pas eu le temps Madame ...parce que
…
– Comment ça, pas eu le temps ? Vous vous moquez de
moi ? »
Le malheureux transi de trouille, n'ose pas affronter le
regard impérieux de sa prof. Il sait
déjà qu'elle ne va pas manquer l'occasion de doubler la fessée, déjà programmée
après son ratage au tableau. Il bredouille un timide :
« Euuh ...C'est parce que ...parce queuuuh..
–
Oui Sébastien... parce que quoi ? »
Insiste
la maîtresse femme qui le tient déjà à sa merci et s'amuse ouvertement de son
désarroi. Il s'embrouille
à chercher des explications improbables... Il n'a pas fait son travail et n'a
aucune excuse à avancer, un point c'est tout.
Et même s'il en avait, ça ne changerait rien. L'occasion de sévir est
trop belle pour madame Defraisses qui n'attend que ça.
Il réfléchit à
toute vitesse en passant en revue des réponses plus ou moins plausibles. Non,
il ne peut pas dire ça...
il ne peut pas dire çà non plus …comment continuer sa phrase, alors
qu'elle l’a déjà saisi par le bras et le secoue ?
« Euuh, Madame...
C’est …Maman
qui ….
– Quoi maman ? C'est la meilleure ! Regardez-moi ce pauvre garçon ! Il ne peut pas
faire ses devoirs, parce que sa maman ne veut pas ! Elle l'empêche de travailler, bien
sûr ! Parce qu'elle lui fait faire
des études mais elle veut qu'il reste un incapable, un bon à
rien ! Allez hop, venez par ici ! »
Elle ordonne au reste de la classe de se rasseoir, le
saisit par l'oreille et le sort de sa place pour le mettre debout dans l'allée
devant sa table. La sentence tombe dans un silence de brouillard à couper au
couteau.
« Baissez votre pantalon ! »
Il s’empresse d'obéir sans discuter. Ce n'est pas le
moment. Elle le courbe au-dessus de sa table et le force à s'y allonger à plat ventre. Bras
tendus il s'agrippe aussitôt des deux mains au bord opposé pour lui offrir une
paire de fesses bien en place et à sa
main. Il y a vivement intérêt . Elle tape très fort et remet systématiquement
une fessée au moindre relâchement de position.
« Tendez bien vos fesses pour que tout le monde les
voit et les entende bien! »
Elle tire sur la ceinture élastique de son slip pour le lui
ajuster sur le derrière, jusqu'à ce que la couture placée au bon endroit,
s'enfonce dans la raie des fesses qui s'en trouvent sculptées avec une
provocante précision. Le nylon tendu à
craquer brille sur les volumineuses rondeurs charnues qui offrent une
provocante surface à claquer.
La fessée très sévère, est brève mais intense, et
terriblement retentissante dans le silence de la classe. Elle crépite sèchement,
à travers son slip, et lui incendie les fesses dont on peut voir la rougeur
montante sous la transparence du nylon.
« Eh bien voilà une excellente entrée en
matière !
Commente madame Defraisse en ponctuant sa phrase d'un
superbe aller et retour sur chaque fesse. Elle est manifestement enchantée de cette trépidante fessée
administrée à la volée sur une table, au milieu de la classe, parmi tous les
élèves.
«Relevez-vous maintenant, il est temps de passer aux choses sérieuses,»
Dans un silence
pesant, annonciateur de la sévérité de la correction qui va suivre,
Sébastien se retrouve propulsé vers
l'estrade surélevée, les fesses crépitantes sous la main ferme de Madame
Defraisses. Elle y installe la chaise à fessée et s'y assied face aux élèves et
ordonne à son puni de venir se positionner à genoux entre ses cuisses, les
fesses en l'air, orientées vers la classe. Sitôt installée, et sans avoir besoin de le demander, elle
obtient immédiatement, l'attention respectueuse de toute l'assistance. C'est dans une atmosphère lourde d'une
crainte palpable que le rituel préparatoire à la séance de fessées peut
commencer.
Menton levé, reins cambrés, poitrine en
avant, la forte femme, balaye, d'un regard impérieux l'ensemble de la classe,
pétrifiée. On entendrait une demi-mouche voler.
Pour bien montrer qu'elle en a déjà pris possession, elle a saisi entre
ses mains, le fessier de son puni, à genoux, prosterné entre ses talons
aiguilles. Sûre de son autorité, sereine et
détendue, elle savoure l'exaltante sensation de pouvoir qu'elle exerce
sur les viriles paires de fesses, soumises à sa cuisante autorité. C'est par la
menace permanente des fessées , qu'elle obtient d'aussi bons résultats. De sa
position haute sur l'estrade, elle entame alors un jeu de questions réponses,
qu'elle orchestre comme un humiliant rituel, à chaque correction. Et gare aux fesses de celui qui ne
participe pas. Il vient prendre la place du puni sitôt la raclée de celui-ci terminée.
«
Tout le monde est bien attentif... Est-ce que la fessée que je vais administrer
à Sébastien est méritée. ?
Dociles,
et obéissants, les élèves n'ont d'autre choix que de répondre à
l'unisson .
–
OUI MADAME DEFRAISSES, IL A MERITE SA FESSEE
–
Une cuisante fessée alors ?
–
OUI MADAME DEFRAISSES, UNE CUISANTE FESSEE !!
Elle
s'amuse à en rajouter pour augmenter la pression sur sa victime en attente
entre ses cuisses.
–
Une grosse fessée même ?
–
OUI MADAME DEFRAISSES ? UNE GROSSE FESSEE !!
–
Est ce que Monsieur Sébastien présente bien ses fesses pour la recevoir ?
–
OUI MADAME DEFRAISSES IL PRESENTE BIEN SES FESSES !
–
Très bien ! Nous allons pouvoir commencer dans de bonnes conditions!
Sébastien va nous rappeler le tarif pour un devoir non rendu.
Une
voix larmoyante remonte du sol d'entre les cuisses de la terrible femme.
–
C'est... c'est deux fessées Madame …
–
Oui, et deux fessées comment jeune homme ? »
D'un
mouvement autoritaire du menton elle invite toute la classe à répondre avec le
puni.
Dix-neuf
voix ânonnent en même temps que lui.
« DES FESSEES DECULOTTEES MADAME
DEFRAISSE !!
–
C'est bien ! Je vois que tout le monde a lu mon panneau d'information.
Vous savez maintenant ce qui attend vos fesses ! Pour vous Sébastien, la petite claquée que je
viens de vous mettre ne compte pas, c'était juste histoire de me faire la
main ;
Avec
Madame Defraisses, pas de préparation du derrière, ni de préchauffage, ni de
montée en puissance progressive. Sitôt, surélevé le fessier en pénitence,
orienté face à la classe, le slip descendu au milieu des cuisses pour bien
dégager la surface à corriger, la fessée démarre immédiatement. Elle est dure, cuisante, à
plein régime. Immédiatement réactif, le
postérieur du puni se met aussitôt en mouvement et se tortille en cadence sous
les rafales de claques qui s'abattent sans pitié.
Indifférentes
aux sanglots, hurlements et supplications de son puni, Madame Defraisses, en
démonstration, fesse avec une spectaculaire énergie, devant une classe
statufiée. Chacun sait, qu'à un moment ou une autre, et peut être même avant la
fin de la journée, il risque de se retrouver déculotté à la place de Sébastien,
soumis à la même humiliante correction. Le claquement de la fessée est si
fort que madame doit hausser la voix
pour faire entendre distinctement ses harangues. Elle reprend l'avilissant
dialogue.
–
« Est ce que tout le monde voit bien rougir les fesses de monsieur
Sébastien ? »
Toute la classe, bien dressée, répond en
cœur.
–«
OH OUI MADAME DEFRAISSES, ON LES VOIT BIEN ROUGIR !!
–
Bien ! Et on entend bien ma main claquer sur ses fesses' ?
–
OH OUI MADAME DEFRAISSES ON L'ENTEND BIEN CLAQUER SUR SES FESSES !!
–
A la bonheur ! Notre ami à un derrière si retentissant !On ne se
lasse pas de l'entendre claquer ! J'ai bien envie de continuer cette
fessée plus longtemps pour faire durer le plaisir ! Est-ce que tout le
monde est d'accord ? »
Chacun
s'imaginant à la place de Sébastien, la réponse, moins tranchante, arrive après
une seconde d'hésitation, dans un grondement de murmures embarrassés
«
Oui madame Defraisses...
–
Je n'ai pas bien entendu dit celle-ci, avec de l'impatience dans la
voix. »
Ce
qui n'est pas étonnant puisqu'elle tape de plus en plus fort , arrachant à
sa victime, des pleurs et des hurlements désespérés .
« OUI
MADAME DEFRAISSES !! »
Hurle
cette fois l'assistance impressionnée par l'ampleur de la correction à laquelle
la terrible femme les contraint d'assister. Elle s'offre le luxe d'ironiser.
« Vos
fesses font l'unanimité, mon cher ! Rien de tel qu'une longue fessée bien
cuisante pour mettre un derrière en valeur. Le vôtre mérite amplement de jouer
les prolongations » ;
«
Oh non … non !! Roooahhhh non pas ça !!! Vous tapez tellement
fort !!! S'écrie le malheureux en tapant des mains sur l'estrade. Pitié
non !! »
Sa
voix émerge, caverneuse de dessous le tabouret, sur lequel rebondit le lourd
fessier de madame Defraisses, au rythme des claques qu'elle lui abat sur les
fesses.
«
S'il... s'il vous plaîîîîîît … madame Defraiiiiisse !! »
Pour toute réponse, c'est une averse de claques, semblables
à des coups de battoir qui lui font furieusement sauter le derrière. Ses genoux
rebondissent douloureusement sur l'estrade.
Madame Defraisses, friande de bonnes sensations aime fesser à la main. Elle l'a si ferme, que
la cuisson de ses fessées est semblable à celles administrées avec une palette
en cuir. Sébastien, plus ou moins consciemment, ne peut s'empêcher de comparer
avec les fessées de sa mère.
Contrairement à la
manière de Margaret, madame Defraisses fesse toujours au même endroit, en plein
milieu des deux fesses à la fois, toujours au même rythme rageur, sans
pause ni ralentissement. La cuisson qu'il ressentait était celle de
claques puissantes, répétées à la même cadence, comme si elle voulait lui faire
rebondir le derrière comme un ballon. Il était d'une telle souplesse qu'il
semblait renvoyer la main en l'air pour lui redonner de l'élan et claquer, à
chaque fois, plus fort en retombant. .
Sa honte décuplée, d'être ainsi sévèrement corrigé devant
ses copains par une représentante du sexe, soi-disant, faible, il hurlait et
sanglotait sans retenue !
Brusquement, elle le lâcha et le fit tomber de
l’estrade au pied de laquelle il se retrouva à quatre pattes, le slip tendu
entre les cuisses, le pantalon en accordéon
sur les chevilles.
« Levez-vous et au coin ! S'écrie-t-elle. Puisque vous ne
daignez pas rendre vos devoirs vous n' aurez pas besoin de savoir quelle note je vais mettre
aux autres quand je vais rendre les copies du travail précédent! Je ne vais pas
raccourcir la durée de mon cours pour un jeune homme dans votre genre ! Mais ne vous tracassez pas,
vous allez rester ici pendant la pause et je vais avoir tout le temps de
m’occuper à nouveau de vos fesses ! Ne croyez pa s vous en tirer comme çà. Il y a une deuxième tournée qui
vous attend ! Et vous allez vous en souvenir, je vous le garantis ! Je
vais vous apprendre moi, ce qu'il en coûte de ne pas rendre ses devoirs
!!! »
C’est
dans une quasi-terreur que Sébastien attendit la
fin du cours ... Il l'avait mise d’une humeur massacrante ! Elle sermonnait
tout le monde en passant toutes les copies au peigne fin …trouvant des reproches à
faire, même aux bons élèves habituels. Rodolphe qui n'en faisait pas partie,
essayait de rétrécir pour passer le plus inaperçu possible, mais c'était
difficile au premier rang. Abonné aux mauvaises notes, il s’entendit gratifier
d’un ironique .
« Tiens !!!! qu’est-ce qui vous arrive ?
Presque la moyenne !!!! Vous vouliez sans doute écrire le contraire de vos
réponses ...l'interpelle madame Defraisse d'une ton sarcastique. Elle s'assied
sur le bord de sa table en y écrasant son imposant fessier, qu'elle étale
délibérément sur sa copie, à quelques centimètres de lui. Il entend crisser ses
bas nylon sur ses cuisses qu'elle exhibe sous son nez, haut croisées jusqu'aux
jarretelles. Les effluves de son capiteux parfum trouble l'atmosphère autour
d'eux. Elle se penche vers lui, son opulente poitrine en avant, et plonge un
regard moqueur dans ses yeux, troublés par la vue imprenable sur son décolleté.
« Vous vous êtes trompé et vous êtes tombé
juste ? C’est ça …ou alors ? Ah je
comprends : Monsieur a fait son devoir à coups de martinet sur les
fesses !... Évidemment, il n'y a rien de mieux qu'une bonne fessée pour
stimuler les paresseux, ça aide ! Et maman sait y faire, hein mon garçon
? »
Rodolphe a un mouvement de recul et lève
instinctivement son bras en protection de son visage, s'attendant à se prendre
une gifle qui n'arrive pas. Madame pratique exclusivement la fessée, plus
efficace, plus spectaculaire, et plus jouissive.
L'angoisse de Sébastien s’accroissait à mesure
que le temps passait . Le cours allait finir. Il devinait la terrifiante créature, allant et venant
derrière lui, en faisant claquer ses talons aiguille. Elle l'avait fait asseoir,
les fesses douloureuses débordantes de sa chaise, qu'elle reluquait d’un air
féroce. Elle allait les lui cuire un maximum, c’était sûr !!!
La porte
refermée sur le dernier élève sorti, son supplice recommença, sans
fioriture. Sans un mot, elle le fit
remonter sur l'estrade, s'installa de nouveau sur la chaise à fessées, et
retroussa sa jupe en haut de ses cuisses gainées de nylon. Les boucles
métalliques de ses jarretelles brillaient sous la lumière des néons de la
classe. Il n'eut guère le temps de s'en émouvoir, elle le repris sur ses genoux
pour lui flanquer sa deuxième fessée. La troisième en réalité, puisqu'elle
avait décidé que la première ne comptait pas. Elle se fendit d'un compliment
perfide avant de commencer.
«
Sébastien, je me dois de vous féliciter pour l'excellente tenue de vos fesses.
C'est très stimulant de constater à quel point elles encaissent bien les
fessées ! s'exclame-t-elle en lui appuyant sur les
reins pour obtenir un plein arrondi du derrière et l'avoir bien ferme sous la
main. Et comme tout le monde le sait, j'aime en mettre des
cuisantes. On voit tout de suite
que ce sont des fesses habituées à s'en prendre des sévères à la maison...
Sébastien émet un gémissement de désolation, la
tête relevée par-dessus son épaule.
– « Just... Justement madame... pas...pas
trop fort s'il vous plaît. Ma mère m'avait déjà flanqué une fessée ce matin
avant de partir. Il renifle ses larmes. Avec ma sœur, ça... ça n'arrête pas... à.… à la moindre occasion...
– Elles ont bien raison ! Résultat, une
magnifique paire de fesses à toutes épreuves. Sans compter que ce rouge
écarlate leur va à merveille ! »
– Ooooh ? Madame... s'il vous pl...
Elle ne lui laisse pas le temps de finir.
– « C'est moi qui décide jeune
homme ! »
Des claques , des claques et des claques
toujours au même endroit , de toutes ses forces avec sa main-battoir. Elle le
jeta dehors, toujours déculotté, les fesses fumantes et cramoisies, cinq
minutes avant la fin de la deuxième pause, pour qu'il rejoigne ses camarades au
cours suivant . Il traversa la cour en se reculottant , les yeux brouillés de
larmes . Rodolphe pour une fois, compatissant, l’avait attendu et lui souffla
sur un ton dégoûté, méprisant.
« Pfff !!!!! elle sait même pas donner la
fessée, elle se contente de taper comme une malade, sans doser !
–
C'est toi qui es malade ! On
dirait que tu n'es jamais passé sur ses genoux ! Quand ça va t'arriver tu
verras si elle ne sait pas fesser. Tu dis n'importe quoi !
Sébastien n'a pas plus envie de discuter. Il se
détourne de la conversation, davantage préoccupé par sa difficulté à marcher,
avec l’impression que ses fesses étaient complètement incandescentes. Il
préférait ne pas anticiper sur le moment où il devrait s'asseoir. Mais son souci
principal était surtout, que cette fessée reçue allait lui en valoir une
seconde le soir à la maison, çà c’était acquis. Et puisqu’il lui faudrait obligatoirement
rapporter le lendemain, le '' compte-rendu de punition'' signé par sa mère, il y avait beaucoup de
risques pour qu'elle y ajoute une troisième fessée, dès le matin, juste avant
d’aller à l’école. Elle le faisait lever une demi-heure à l’avance, pour avoir le
temps de lui en mettre une longue et bien sévère. Bon mais c’était trop tard pour éviter quoi
que soit.
Juste
avant le départ du car les ramenant en ville , une surveillante lui tendit
une enveloppe en lui disant
laconiquement.
«
De la part de madame Defraisse, à rapporter ,signé , demain matin …et avec un
sourire goguenard, sinon vous savez ce
qui vous attend... »
Le
car démarra. Sébastien savait ce qu’il y avait dans l’enveloppe mais il voulut
vérifier, , le motif de la punition. Sa gorge se serra de nouveau. Madame
Defraisses, ne faisait aucune concession sur le respect des règles de travail
et la discipline. Elle avait donc écrit avec la plus grande rigueur.
– Sébastien n’a pas jugé utile de faire le
devoir que tous ses camarades m’ont remis sans difficulté. Il a prétendu que sa
mère l’avait empêché de le faire par manque de temps suffisant pour cela . Ceci
ne peut ,évidemment , n’être qu’un mensonge éhonté dont d’ailleurs il est
coutumier. Le comportement de cet élève est inadmissible et pose un
sérieux problème . Nous vous connaissons assez pour être convaincue que les
allégations dont il est question sont totalement dénuées de tout fondement
crédible . Vous saurez j’en suis certaine agir en conséquence pour redresser
cette situation déplorable –
Effondré, Sébastien montra le '' billet''
à Rodolphe. Il explosa.
« Oh la garce de prof ! T’as pas dit tout ça !!!!! Moi, je vais aller lui dire à ta
mère que t’as pas dit ce qu’elle dit que t’as dit ! »
Echaudé
par les précédentes interventions de Rodolphe et sceptique quant au résultat
sur sa mère, Sébastien déclina l’offre. Il se renfrogna et ayant réfléchi deux
secondes il finit par reconnaître.
« De toutes façons , il faut que rentre
directement à la maison ….sinon …ma mère...ou presque pire, ma sœur … oh là
là !»
Et après la saison 3... vient la saison 4!
Nous retrouvons des protagonistes dont nous avons déjà fait la connaissance, mais nous allons également découvrir de nouveaux personnages pour lesquels la fessée est à l'ordre du jour.
Bonjour Ramina,
RépondreSupprimerC'est "Poigne de fer et séduction" !
-"Prenez votre stylo rouge et recopier les bonnes réponses.
Gérome, cessez de bavarder avec Robin. Et vous, Peter, arrêtez de griffonner vos petits dessins. Soyez tous attentifs ! Sinon ce sera double correction pour chacun !". Fayots par contrainte !
Ca risque de chauffer pour Gérome si Maman Térèze est convoquée chez la Directrice.
"il devinait la terrifiante créature, allant et venant derrière lui, en faisant claquer ses mâch... euh... ses talons aiguille...."
Quel suspense insoutenable ! "Vade retro, créature des ténèbres !
Vite, une gousse d'ail ! Rires. Excellent !
Amicalement. Peter.
Amis de la poésie et de la fessée punitive en mode diesel, bonsoir !
RépondreSupprimerLe Rodolphe qui n'a pas son devoir, à cause de Maman... Et bien voilà une excuse bidon qui vaut bien une fessée carabinée devant un parterre d'élèves bien élevés, en mode chorale où l'ensemble est harmonieux, tout comme le bruit des claques sur la peau tendue du punie, un peu comme un tambour. Rien à voir avec l'enfant au au tambour, mais on s'en approcherait.
Avec Mme DEFRAISSE qui tape toujours sur deux fesses, tout comme lors de l'apéro, il y a toujours une seconde tournée, pour la plus grande joie des camarades du puni. Dommage qu'il n'y ait pas de jeunes femmes. Elles ne demanderaient pas mieux que de regarder cet excitant spectacle...
Les élèves sont pris entre deux sensations, la première la panique de la voir leur faire des reproches et le second le bonheur d'avoir sa poitrine juste sous leur nez... De quoi créer l'émoi chez ces jeunes hommes.
Amitiés.
Elena.
Bonjour Peter
RépondreSupprimerJolie la parodie des Mâchoires à la place des talons aiguille ! Bien vu, l'allusion à "Poigne de fer et séduction" tout à fait pertinent concernant le personnage de la sulfureuse madame Defraisses.
C'est toujours savoureux de découvrir l'inventivité des tes commentaires par rapport à mes propres récits. Encore du petit délire Peteresque, sorti tout droit d'un imaginaire foldingue à la Gotlib, cette fois par le texte.
Quant à l'ami Gérôme, ses fesses sont pour le moment en RTT! Mais Il est fort probable qu'elles finissent par reprendre du service.
Amicalement
Ramina
Bonsoir Ramina et vous tous...
SupprimerEn effet, Gérome ne devrait pas tarder à reprendre du service.
Ce devoir désastreux se soldera pour lui par un RV avec Madame Defraisses et Mam'e Bellebourge. Et ça risque de chauffeeer ! Ah les fameuses réunions Parents Professeurs, après les cours. Où l'on ne voyait que les "bons" élèves aux dires de nos enseignants.
Votre remarque sur mes parallèles filmiques me rappelle un camarade de Collège qui avait fait une liste dans laquelle chaque moment de la vie scolaire était souligné par un titre de film dont en particulier le bulletin trimestriel dénommé "le salaire de la peur" et d'autres qui m'ont échappé. C'était plutôt pépère comme blague, au final. L'insouciance de la jeunesse. Belle époque. (Oncle Peter a terminé sa minute de nostalgie. rires).
Amicalement. Peter.
Bonjour Elena,
RépondreSupprimerDans le genre démarrage de fessée à froid, l'allusion au diesel est plutôt bien vue. Analyse,synthèse,conclusion, tout y est dans ce commentaire bien ficelé.
Les références filmiques de Peter se répandent comme un virus (je ne vois pas le rapport avec une certaine actualité )"L'enfant au tambour" illustre assez bien l'effet de la main de Madame Defraisses sur les fesses de son puni. D'autant mieux que l'enfant en question dans le film met à hurler en tambourinant.
Remarque pertinente sur l'absence de jeunes femmes dans les classes de l'institut. Ce doit être à une époque avant la mixité, où les écoles de filles ressemblaient à des couvents, et celles des garçon à des casernes!! (rire) On ne mélangeait pas les petites culottes avec les caleçons!
Amicalement
Ramina
Hello Peter,
RépondreSupprimerTiens tu me vouvoies maintenant !
Glups!
Ramina
Hello Ramina,
SupprimerC'est juste. Emporté par mon verbiage, je ne m'en suis même pas rendu compte !!! Das ist ein Kolossale Katastrofe !! Mein Gott !!! Ich bin confus ! Ach !
Amicalement. Peter