Quand la boulangère était venue la chercher, Louison s’était écroulée en larmes dans ses bras.
« Allons, n’en fait pas une affaire d’état. Après tout, ce n’est qu’une jeune femme qui a été punie comme elle le méritait. Pas de quoi en faire une montagne ! »
Bien qu’elle ne l’exprimât pas,
Louison n’était pas d’accord. Elle avait nettement entendu deux personnes
commenter sa situation alors qu’elle leur tournait le dos. Elle ne savait pas
qui c’était, ce qui en rajoutait à la difficulté de la situation. Il y avait au
moins deux personnes qui savaient qu’elle avait été déculottée et fessée, sans
qu’elle puisse savoir de qui il s’agissait. Elle pouvait les croiser dans la
rue. Ils la reconnaitraient probablement, mais elle, elle ne le pouvait pas.
« Cesse donc ce torrent de
larmes. Il est tout à fait injustifié et je n’ai pas l’intention d’admettre
dans ma boutique une jeune femme pour servir les clients avec une tête comme la
tienne. »
Les larmes de Louison furent
absorbées par le tissu qui recouvrait la poitrine de la boulangère. Serrée
contre le sein de sa patronne, Louison la laissa faire. Elle obéit sagement
quand elle fut mouchée, et ses dernières larmes essuyées sur ses joues.
« Allez, c’est fini !
Cesse de t’apitoyer sur ton sort. Tu avais grand besoin de cette fessée. Tu
l’avais méritée, tu l’as eue et il y en aura d’autres. Tout est donc normal. Je
ne veux pas te voir avec cette en présence des clients. Je te donne trois
minutes pour être présentable ! »
Les trois minutes suffirent
largement. Louison reprit son service dans la boutique. Il n’était pas question
pour elle d’être euphorique, mais elle arrivait à faire bonne figure. C’était
l’essentiel.
Le calme régna dans la boutique
le reste de la matinée. C’est du côté du fournil que vinrent des imprécations.
C’était le boulanger qui laissait éclater sa colère. Ce tintamarre attira la
boulangère qui vint voir ce qui provoquait le courroux de son époux.
« Incroyable ! Cela
fait au moins trois fois en une semaine qu’il laisse bruler quelque
chose ! Aujourd’hui, ce sont les tartes au citron ! Regarde, elles
sont invendables.
– Ah ça, c’est sûr ! Il
n’est pas question que des pâtisseries aussi roussies entrent dans ma boutique.
Il n’y a plus qu’à les jeter. »
François regardait avec
détachement le cirque qu’ils faisaient pour une dizaine de petites tartes. Ce
n’était pas si grave, il suffisait de recommencer.
« Il n’y a pas mort d’homme,
se disait-il ! »
Il signala son exaspération d’un
haussement prononcé des sourcils.
« Que de cinéma pour une
dizaine de petites pâtisseries. »
Ses patrons ne semblaient pas
remarquer qu’il trouvait leur réaction disproportionnée au regard de
l’insignifiance de ce qui l’avait provoquée. Il leva les yeux au plafond et il
souffla bruyamment. Il réussit enfin à attirer leur attention.
« J’espère qu’ils vont se
calmer, se dit-il. »
La boulangère le regardait,
incrédule.
« Mais il a l’air de s’en
foutre ! »
François était satisfait du
résultat qu’il avait obtenu. Elle au moins, avait compris que ce n’était pas si
grave et si ce n’était pas le cas, elle s’était rendu compte que, lui,
considérait que c’était un incident mineur.
« Pas de quoi en faire un
fromage, pensa-t-il. »
Sans trop savoir pourquoi le
rapprochement entre les gâteaux et le fromage le fit sourire.
« Et ça l’amuse, en
plus ! »
La boulangère semblait maintenant
vraiment furieuse.
« On ne peut pas laisser
passer ça sans réagir. Il faut que tu sévisses.
– Que je sévisse ? Mais
comment ?
– Eh bien, de la même façon que
nous avons puni Louison. Ce serait très équitable. Quand une bêtise est
commise, je ne vois pas pourquoi il n’y aurait qu’elle qui se prendrait une
fessée. François en a besoin tout autant qu’elle pour progresser dans son
travail.
– Une fessée, tu
crois ? »
Le mot était lâché. C’était une
nouvelle donne. François se fit plus attentif à la conversation de ses deux
patrons.
« Exactement, une bonne
fessée déculottée et un bon moment passé au coin. Comme pour
Louison ! »
François regarda la boulangère.
Visiblement, elle s’y voyait déjà. Il jugeait pourtant qu’il y avait encore un
fossé énorme avant qu’il soit puni de cette façon.
« A son âge, on peut le
faire ?
– L’âge n’a rien à voir
là-dedans ! Il se comporte comme un garçon irresponsable, incapable
d’accorder le sérieux nécessaire à son travail. Je t’entends plusieurs fois par
jour pester contre ses négligences, n’est-ce pas vrai ?
– Pour ce qui est de rouspéter,
c’est, en effet, plusieurs fois par jour, en pure perte. Ça ne change rien du
tout ! Mes coups de gueule n’ont aucun effet, ça rentre par une oreille,
ça sort par l’autre. Peut-être qu’une fessée… en effet. »
François trouvait humiliant qu’on
envisageât ouvertement, qui plus est en sa présence, de le déculotter et de le
fesser. Il fallait mettre fin à ce délire de ses patrons avant que cela n’aille
trop loin.
« Vous pouvez toujours
compter là-dessus ! Vous croyez peut-être que je vais vous laisser
faire ? D’abord, vous n’avez pas le droit !
– Si nous te considérons comme
notre employé, tu as raison. Mais si tu es une sorte de fils adopté, c’est
différent. De toute façon, tu n’as pas ton mot à dire. Crois-tu que nous allons
te demander l’autorisation ? Tu as le choix, soit je te mets à la porte
tout de suite pour ton incompétence et pour l’insolence dont tu fais preuve, et
je te promets que tu ne retrouveras pas de travail dans cette ville, soit c’est
la fessée. Alors ? »
François se rembrunit. Il savait
qu’elle disait vrai. Il ne pouvait pas se permettre de perdre son emploi. Ce
serait donner raison à son père qui l’avait toujours considéré comme un bon à
rien. Il ne voulait pas lui faire ce plaisir.
« Non, attendez, je vais
faire attention, maintenant. Pas la peine de…
– Oh que si, c’est la
peine ! Je vais compter jusque cinq. Quand j’y serai arrivée, si tu es
encore là, tu auras une fessée et je peux te promettre qu’elle va être sévère.
Un…
– Je vous promets…
– Deux !
– … qu’il n’y aura plus de
problème.
–Trois !
– Je vais bien travailler…
– Quatre !
– Vous n’aurez plus de remarques…
– Cinq !
– … à me faire ; Je vais…
– Bon, je constate que tu es
encore là. Tu as fait ton choix. C’est donc la fessée. »
La boulangère attrapa le cordon
qui tenait le pantalon de travail de François et elle tira dessus, défaisant le
nœud qui le retenait sur ses hanches. François prit la taille de son pantalon,
une main de chaque côté, pour l’empêcher de tomber.
« Mets-lui les mains en
arrière, s'il te plait, demanda la boulangère. »
Cela ne posa aucun souci au
boulanger qui était bien plus costaud que son employé. François sentit ses deux
mains prises dans l’étau de celles de son patron, ses bras furent
inexorablement ramenés dans son dos. Il dut lâcher prise. Il serra les cuisses,
mais c’était trop tard. Sa patronne lui avait descendu le pantalon sur ses
mollets.
« Non, attendez, vous ne
pouvez pas !
– Ne t’inquiète pas de ce que
nous pouvons faire on ne pas faire. »
Les mains de la boulangère se
dirigèrent vers l’élastique de sa culotte. François se tortillait dans tous les
sens pour essayer d’échapper aux mains qui ciblaient son sous-vêtement. Il se
plia en deux et releva un genou, coinçant sa culotte.
Le boulanger força sur ses bras,
l’obligeant à se redresser. La torsion sur ses épaules et ses poignets
l’obligea à se mettre sur la pointe des pieds.
« Non, je vous en
prie ! »
La boulangère ne tint pas compte
de la prière de son employé. Elle baissa la culotte, mettant les fesses et les
organes génitaux de François à l’air libre. A sa grande honte, il eut un début
d’érection. Elle était évidente, mais personne ne semblait en faire grand cas.
François tira sur ses bras en une
vaine tentative pour se libérer. Il réussit à se faire mal aux épaules et aux
bras, mais il ne bougea pas d’un pouce. Son patron le tenait sans grand effort.
« C’est à toi de le fesser.
Il était sous ta responsabilité quand il a été négligeant.
– Oui, c’est logique. »
Sans qu’il pût rien y faire,
François sentit le bras de son patron qui entourait sa taille tout en le
retournant. Il avait maintenant les bras libres, mais il était courbé sous le
coude du boulanger qui passa le bras gauche de François derrière son dos. Puis
il serra son étreinte et François se dit qu’il ne pourrait pas s’en libérer
quelle que soit la force qu’il y mettrait. Plus rien n’empêcherait la fessée
d’aller au bout.
François se rappelait les propos
de son père.
« Mon garçon, tu vas avoir
une fessée ! »
Il promettait souvent, mais il
n’était jamais passé à l’acte, même quand François le provoquait sciemment,
même quand il faisait les pires bêtises à l’école. Ses menaces n’étaient que du
vent. François avait continué ses provocations quand il était arrivé à la
boulangerie, perpétuant les habitudes qu’il avait prises dans son enfance. Il
n’y avait jamais été menacé d’une fessée, mais cela ne l’empêcherait pas de la
recevoir, à la différence de ce qu’il avait connu dans sa famille.
La main du boulanger s’abattit
sur ses fesses. C’était un véritable battoir. François hurla, indifférent à qui
pouvait l’entendre. Le boulanger eut le temps de le fesser une deuxième fois.
Les fesses de François étaient en feu. Il ne pourrait supporter une troisième
fessée. La main de François vint couvrir ses fesses, autant qu’il le pouvait.
Le boulanger suspendit son geste., puis, se ravisant, il administra une claque
sur le haut de la cuisse que François ne pouvait pas couvrir avec une seule
main.
« François, tu vas enlever
ta main. Tu as besoin de cette fessée, tu vas donc me laisser te
l’administrer. »
Le garçon ne bougea pas. Il ne
pouvait se passer de la relative protection que lui permettait sa main. Comment
imaginer laisser son patron continuer à lui embraser les fesses sans rien
faire ?
« Si tu n’enlèves pas ta
main, tu auras une deuxième fessée ce midi et tu passeras ta coupure au coin,
insista la boulangère.
– Non, s'il vous plait, j’ai
compris, je ne le ferai plus. Je vais faire attention.
– François, ta main !
– Non, ça fait trop mal.
– C’est exactement pour cela
qu’est prévue une fessée. »
Le boulanger ôta la main et il la
prit dans la sienne, celle qu’il avait placée sous le ventre de François pour
le maintenir en place. Le terrain était maintenant dégagé. La fessée pouvait
reprendre. Elle reprit et les échos en furent entendus dans toute la boutique.
La main du boulanger qui claquait
sur les fesses résonnait dans toute la pièce. Elles étaient suffisamment grandes
pour couvrir la presque totalité de la surface d’un fessier. L’effet sur la
peau de François en était remarquable, d’autant plus que le boulanger ne
ménageait pas sa peine. Il disposait
maintenant d’une méthode imparable pour châtier les insolences de son employé.
C’était ce qui lui pesait le
plus. Alors qu’il était prêt à transmettre tout ce qu’il savait, il avait eu en
face de lui un jeune homme indifférent qui ne cherchait pas à progresser. Il
craignait de ne former qu’un boulanger médiocre qui ferait du pain comme il
ferait autre chose. Faire du pain était un art qui demandait qu’on s’y
investît.
Il avait bien souvent pensé que
si e jeune homme avait été plus jeune de quelques années et s’il avait été son
fils, une bonne fessée paternelle l’aurait remis dans le droit chemin. Il ne
l’aurait jamais fait de son propre chef. Les punitions que Louison avait reçues
la veille, et en particulier celle qu’il lui avait donnée, l’avait conforté
dans la certitude que c’était également ce dont François avait besoin.
Il n’avait donc pas été
nécessaire que sa femme insistât beaucoup pour qu’il passât à l’acte à la
première occasion. Les promesses d’amendement, les supplications et maintenant
les cris de son ouvrier lui confirmaient qu’ils étaient tous les deux sur la
bonne voie.
François s’était visiblement
résigné à l’inévitable. Il recevait la correction paternelle qui lui avait été
si souvent promise par son propre père, mais jamais donnée. Finalement ses
provocations avaient abouti à ce qu’il cherchait inconsciemment. Il n’aurait
jamais pensé que cela ferait si mal. Il aurait volontiers fui cette situation,
mais son patron ne lui en laissait pas la possibilité.
Le bras passé autour de sa taille
le maintenait en place et le pantalon autour de ses chevilles limitait ses
mouvements. Il ne pouvait s’empêcher de se tortiller, mais il n’y avait que son
bassin qui avait un peu de liberté, mais pas suffisamment pour éviter de se
trouver sur le chemin de la main qui s’abattait sur ses fesses, y laissant une
fournaise qui ne cessait de croître.
Il ne s’occupait pas de savoir
qui pourrait entendre les cris qu’il poussait. La sévérité de la fessée ne lui
en laissait pas la possibilité. La porte du fournil ouverte ne facilitait pas
la discrétion. Ses plaintes étaient entendues jusque dans la boutique et une
cliente que Louison servait voulut s’en assurer.
« N’est-ce pas le bruit
d’une fessée qu’on entend là ?
– Oui Madame, répondit la jeune
femme tout en rougissant. C’est bien ça.
– Eh bien, je n’aimerais pas être
à la place de la personne qui la reçoit. Rien qu’aux bruits, j’ai l’impression
qu’il s’agit d’une sérieuse correction. »
La cliente ne semblait pas
trouver étonnant qu’une fessée soit en cours dans la boulangerie.
Qu’imaginait-elle ? Qui croyait-elle qui était la personne qui recevait
une correction ?
« Moi non plus, je
n’aimerais pas être à sa place, se dit Louison, mais il y a de fortes chances
que cela m’arrive quand même. »
François avait été envoyé au coin
le temps de récupérer un peu de la fessée. Il s’y était réfugié aussi vite
qu’il l’avait pu. Que sa la culotte soit baissée ne lui paraissait plus un
problème. Le plus important était que, pour l’instant, la fessée fût terminée
et que le feu qui emportait ses fesses, diminue peu à peu.
Il y avait en arrière-fond
l’humiliation d’avoir été déculotté, qui plus est en présence d’une personne de
sexe féminin, de n’avoir pu retenir ni ses cris, ni ses larmes et le sentiment
d’avoir été puni d’une façon qui laissait supposer qu’il n’était qu’un garçon
irresponsable, imperméable à la raison. François devait admettre que ce n’était
pas entièrement faux. C’était même plutôt vrai.
Par-dessus tout, restait la
douleur de la fessée et la certitude qu’il n’en voulait pas une autre… mais
qu’il y en aurait d’autres. L’exemple de Louison était édifiant. Une fois
l’habitude prise de donner la fessée et de la recevoir, il n’y avait plus de
retour en arrière possible.
Il avait été promis une deuxième
correction à François pour avoir tenté de s’opposer à sa correction. Quand et où
se déroulerait-elle ? Et surtout en présence de qui ? Serait-ce
encore le boulanger qui le punirait ? François, compte tenu de la douleur
qui irradiait encore ses fesses, ne savait pas s’il le souhaitait. Mais si ce
n’était pas lui, qui alors ? La boulangère ? Elle avait semblé donner
la fessée à Louison de façon tout à fait efficace. Serait-ce une bonne
idée ? François se résigna. Il y avait fort peu de chance qu’on lui
demandât son avis.
Une vague de douleur parcourut
ses fesses.
« Quand est-ce que ça va
s’arrêter ? »
François avait recommencé la
fabrication des tartelettes. Sous la menace d’une nouvelle fessée, il les avait
parfaitement réussies. Il travaillait sous la surveillance étroite du
boulanger, mais il ne songeait pas à s’en plaindre. Il ravalait toutes les
protestations qu’il aurait émises habituellement, se doutant qu’elles auraient
été sanctionnées par une fessée. Le boulanger était à l’affut de la moindre
bévue, ce n’était pas le moment de se laisser aller. François se découvrit une
capacité de concentration sur son travail qu’il ne se connaissait pas.
Il jugea miraculeux d’arriver au
déjeuner sans avoir été de nouveau fessé. Cela lui avait demandé une attention
constante. Le boulanger le félicita pour la qualité de son travail lors de la deuxième
partie de la matinée. François en conçut une fierté nouvelle. Cela devait être
la première fois que son patron lui disait qu’il était content de ce qu’il
avait fait.
« Ce que tu as fait en fin
de matinée, c’est bien, mais cela ne fait pas oublier le début de la journée.
Tu dois recevoir une fessée. Il n’y a aucune raison que tu y échappes. »
La remarque de la boulangère
refroidit l’atmosphère. Dans la satisfaction du moment, François l’avait presque
oubliée. La boulangère, elle n’avait pas perdu de vue que l’attitude de son
employé pendant la correction qu’il avait reçue, nécessitait une deuxième
fessée. Il lui sembla que ce rappel redonnait une nouvelle vigueur à la cuisson
sur ses fesses qui n’était pourtant quasiment plus perceptible quelques minutes
auparavant.
Bien que personne ne fît de
nouveau allusion à cette fessée à venir, elle fut suspendue dans l’air durant
tout le repas. Louison se demandait si elle pourrait y assister, afin de rendre
la pareille à son collègue. François se demandait comment elle se déroulerait
et s’il pourrait la subir stoïquement. Le dessert avalé, les deux jeunes gens
reçurent l’ordre de ranger la table et de remettre de l’ordre dans
l’arrière-boutique. Alors qu’habituellement ils traînaient des pieds pour le
faire, il n’y eut aucun geste de mauvaise humeur. La boulangère y vit les
effets induits des fessées qui avaient été généreusement distribuées depuis la
veille. Décidément, c’était un vrai miracle. Elle regrettait de ne pas y avoir
eu recours plus tôt.
« C’est l’heure, François,
viens ici. »
La boulangère n’avait pas bougé
de sa chaise. Elle y convoqua son employé. Sans attendre, ni donner plus
d’explication, elle tira sur la cordelette qui retenait le pantalon.
« C’est donc ici que cela va
se dérouler, se dit François. Devant tout le monde ! »
Il était au centre de l’attention.
Le boulanger regardait d’un œil distrait tout en lisant son journal. Il devait
certainement vérifier que sa femme n’avait pas besoin de son aide, ce qui avait
l’air d’être le cas. Louison attendait qu’apparût le sexe de François. C’était
l’occasion de voir quelle allure il avait. Elle n’avait pas souvent eu
l’occasion de voir les fesses nues d’un garçon de son âge et encore moins des
organes génitaux masculins d’un adulte. Et puis, ce n’était qu’un juste retour
des choses. La veille, il ne s’était pas privé de reluquer ses fesses.
Il y a une suite ?
Oui, bien sûr, ça va venir. En attendant, si vous avez loupé l'épisode précédent : chapitre 4. Et pour ceux qui voudraient reprendre au début : le premier chapitre
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