QUI AIME BIEN, FESSE BIEN
LE BILLET DE FESSEE
Dans le car qui le ramenait, Sébastien avait du mal à faire bonne figure. Assis près de Rodolphe, il s’était tourné vers la fenêtre pour ne pas s’appuyer totalement sur son fessier en pleine cuisson. Il venait de passer une rude journée, durant laquelle il avait dû assumer l’oubli, peu excusable, d’un devoir à faire, et surtout affronter l'implacable sévérité des fessées de madame Defraisses . Autant il culpabilisait de n’avoir pas fait ce devoir, autant il ressentait comme une injustice, la manière abusive dont la vicieuse créature avait détourné le sens de son propos, sans lui laisser la possibilité de s'expliquer. Tout cela pour trouver prétexte à lui flanquer une bonne fessée
En
effet, c’est tout à fait déstabilisé par l’attitude de la prof en réaction à
son oubli qu'il avait évoqué sa mère, mais sans avoir l’intention de la mettre
en cause et encore moins de faire porter sur elle la responsabilité de son
absence de travail. Totalement à court du moindre argument de défense, il
n'avait eu le temps que de bredouiller un – ''C'est maman...'' – Sans savoir ce qu'il allait pouvoir inventer ensuite. Mais sa sœur, et
surtout sa mère, risquaient fort de le
croire. Comment se défendre ? Il en arrivait presque à ne rien trouver de
mieux que la phrase de Rodolphe qui revenait lui trotter dans la tête
...l’occupait ...et l’empêchait de réfléchir à autre chose.
– «
C’est pas vrai , Maman, que j’ai dit ce qu’elle a dit que j’avais dit ...parce
que …je
l’ai pas dit ! »
Vouais,
tu parles d’une excuse ! Il se sentait ridicule, jamais elle le croirait.
Sortant du car dont l’arrêt était en centre-ville, il descendait une des rues principales
pour aller chez lui et se regardait dans certaines vitrines ...C’est vrai qu'il
avait une bonne paire de fesses bien rebondies. Son pantalon, que sa mère lui
faisait porter très serré, les moulait au plus près. La couture du milieu
rentrée dans raie, sculptaient les volumineuses rondeurs avec une provocante
précision, lui mettant le derrière bien en valeur, prêt à la punition !
Il eut été très “contre-productif de tenter d'en atténuer l'arrondi. Non ! Il
fallait, au contraire qu'il se présente
en démontrant qu'il était prêt à recevoir “ la bonne fessée déculotté “ qu'il
avait méritée pour n’avoir pas fait son devoir. Il allait la recevoir
cette fessée en rentrant c’était sûr …De sa sœur ou de sa mère, des deux peut
être, et l’idée de passer à côté n’était même pas envisageable.
C'était
inévitable, automatique : un '' billet de fessée'' de l'institut, à faire signer, signifiait une autre fessée à
la maison, main et martinet ,bien sûr. Et comme cela n'était,
généralement, pas jugé suffisant pour servir de leçon, il était à peu près
certain d’en recevoir une autre le lendemain matin avant de partir, pour
arriver les fesses bien rouges à l’heure du départ du car. Il pouvait toujours
se consoler en pensant que ses copains, Robin, Gérôme comme le cousin Rodolphe
s'en prenaient largement autant que lui.
Tout en
ralentissant sa marche, il réfléchissait à la vitesse d'un moustique fondant en
piqué sur un performeur de la sieste. Il fallait qu'il anticipe le plus
possible le ''bon moment '' pour rentrer. Sa mère, n'étant probablement pas
encore revenue de son shopping, c'est à coup sûr Géraldine, sa sœur, qui en
profiterait pour lui flanquer sa fessée dès son arrivée à la maison. Tant
qu'à s'en prendre une il préférait que ce soit de la main de Géraldine. Elle
fessait dur, mais Margaret tapait encore plus fort.
Son
cerveau en ébullition, fumait par les oreilles, lui faisant momentanément
oublier la cuisson de ses fesses. Il fallait qu'il prévoie un bon quart
d’heure, avec le déculottage, la mise en
position, la réprimande avant et après la fessée …une demi-heure quoi ! Il aurait eu sa correction par
Géraldine, avant le retour de sa mère en espérant qu'elle ne lui en remette pas
une autre.
Toujours
est-il qu’il fallait calculer au mieux son arrivée. Pas de retard anormal par
rapport à l’heure à laquelle le car le déposait, le risque était bien trop
grand pour que le temps restant consacré à la fessée soit jugé insuffisant. Il
ne lui fallait pas rentrer trop tôt non plus, pour éviter un trop long temps de
fessée.
Ça turbinait
fort dans sa tête, genre tempête sous un crâne à la Jean Valjean, dans les
''Misérables'' ! Il lui restait un
quart d’heure à peine jusqu'à la maison. Margaret revenait d'en ville vers
vingt heures, en général. A dix-neuf heures il serait entre les mains de sa sœur en pleine fessée, le derrière déjà bien
claqué au rouge vif ; en train de chialer … Sa fessée serait donc terminée
avant l’arrivée probable de sa mère vers vingt heures. Il pouvait toujours l’espérer. Il marchait donc
à pas comptés vers la maison, visant du mieux possible l’heure d’arrivée la
plus adéquate à sa situation du moment, ralentissant machinalement , les
fesses crispées de façon prémonitoire, au fur et à mesure que la distance
diminuait .
Son “timing” fut perturbé quand il aperçut sa sœur et Bettina en discussion à la fenêtre
de la cuisine donnant sur le jardin vers la rue. Géraldine était penchée par
cette fenêtre et paraissait raconter des tas de choses à la voisine. Sans
doute, encore cette histoire avec Andrew, qui d'ailleurs n'était toujours pas
terminée. Tout en discutant, elle se passait en permanence les mains sur ses
grosses fesses, dont la jupe plissée en tissu léger laissait deviner les
copieuses rondeurs . Il se dit que les fessées reçues dans la journée au magasin
de sa tante Astrid avaient dû lui laisser un cuisant témoignage dans la
culotte. Ce qui n’était pas vraiment de
très bon augure pour son propre postérieur. Du coup, il ne pensait pas que les
quelques minutes gagnées sur l’horaire suffisent à compenser ce désavantage.
A les
entendre en pleine conversation, il avait l’impression qu’elles
s’interrogeaient, donnaient leur opinion respective, en hochant la tête, d’un
air convaincu ou, au contraire, dubitatif mais pas d’un air léger…Ces dames semblaient être dans une phase
de fessées qu’elles paraissaient
redouter, malgré leur assentiment pour la méthode appliquée.
Sébastien
entra dans la maison. Géraldine offrait à sa vue son glorieux postérieur dont
la jupe trop courte et la position à la fenêtre révélait encore une couleur
rouge dont l'intensité le surprit. Elle
avait dû s'en prendre un maximum au magasin. La moitié des fesses qui était
dévoilées entre le bas de la jupe et le slip, opportunément baissé à cause de
la cuisson, semblait témoigner d’une fessée bien claquée, reçue peu de temps
auparavant. Tante Astrid avait dû lui en mettre encore des sévères au cours de
ses fameuses démonstrations de martinets devant ses clientes. Il ne la
plaignait pas, dans la mesure où elle trouvait excitant de se faire chauffer le
derrière, ce qui la rendait d'autant plus redoutable quand elle fessait. Elle
ne se rendait pas compte que les fessées ne faisaient pas forcément le même
effet à tout le monde.
Son
arrivée causa la fin de la conversation. Bettina se préparant à partir, lança à
Géraldine.
– « Oh
la, la...il est temps que j'y aille, j'ai ma fessée qui m'attend ! Depuis l'histoire avec Andrew, Walter m'en
met une tous les soirs en attendant la séance avec toi samedi prochain ! Ça m'entraîne bien le derrière je peux te le
dire. Elle rit de son petit rire
enfantin . Et toi tu t'en prends aussi ? »
Géraldine
se contente de hausser les épaules, d’un air un peu suffisant, et répond l'œil égrillard, comme pour se vanter.
– « Naturellement,
et des sévères même ! Beaucoup chez ma tante et plusieurs fois par jour,
main et martinet. Souvent avec le manche
dans le derrière, tu devrais essayer, tu ne peux pas savoir comme c'est
jouissif. Encore mieux que le gingembre... A la maison, ça dépend de
l' humeur de maman ! »
C'est
alors qu'elle se tourne vers son frère qui attendait sagement au milieu du
salon. Rajustant sa jupe que sa position
à la fenêtre avait fait remonter bien au-dessus de ses jarretelles, elle esquisse un
sourire qui s’efface rapidement.
– «
Et bien Sébastien ... Qu’est-ce qu’il y a ? Tu en as une tête ! ça ressemble à celle que tu fais quand
tu as quelque chose à te reprocher.
Sébastien
a soudain des convulsions postérieures au fond de son slip.
– « Ben ...heu …j’ai un billet de la part de madame
Defraisses, ma prof d’économie…à faire signer par maman...
– Aahhh …il y avait longtemps …qu’est-ce que tu as fait encore ?
– Ben …justement …c'est parce que j’ai rien fait ...j’ai
oublié de faire un devoir et...
– De quoi
?... c’est nouveau çà !!!! Donne-moi ça ! »
Il lui
tend le billet de fessée, qu'elle lui arrache de la main. Dans un discret
mouvement réflexe, il fait un pas en arrière, comme s'il voulait éviter une
gifle et mettre ses fesses hors de portée. Elle lit d'abord rapidement, l'air surpris, puis, anticipant sur
l'inévitable punition à venir, le regarde avec un petit sourire ironique,
– « Alors
là mon ami, tu peux préparer tes fesses ! Tu ne nous l'avais encore jamais
faite celle-là ! Quand maman va voir ça – les sourcils levés, elle
s'en réjouit rien que d'y penser – Je te raconte pas la fessée qu'elle va
te mettre ! »
– Ben tu n'es
pas obligée de lui dire... s'il te plaît... Ose Sébastien, sans se rendre
compte de l'incongruité de sa proposition. Il s'enfonce un peu plus. Tu
pourrais signer à sa place... »
Géraldine le
regarde, d'abord stupéfaite, puis hilare.
– «
Et bien toi, mon petit bonhomme tu ne manques pas d'air ! Ou alors tu es
complètement inconscient.
– Et
ben... quoi ?
– Et il
s'étonne en plus ! Tu vois... là, j'ai bien envie de te mettre la fessée
que tu mérites, rien que pour avoir essayé de m'entraîner dans tes petites
combines et dissimuler tes tricheries à maman.
– Ah,
mais non, je disais ça comme ça ...
– Bien
sûr ! Alors que tu t'es déjà pris une raclée hier pour avoir imité sa
signature... Tiens, amène-moi tes fesses ! Maman va être contente que je les
lui prépare...»
Il n'a
pas le temps de protester et Géraldine de mettre sa menace à exécution que la
porte d'entrée s'ouvre en grand sur Margaret qui la referme d'un coup de talon
aiguille. Elle a les mains prises par plusieurs sacs, marqués aux enseignes des
boutiques qu'elle a faites pendant son après-midi de Shopping.
– Ah
vous êtes là ! Dit-elle en se débarrassant. Je suis fourbue, j'ai cavalé toute la
journée ! »
Elle
enlève ses gants en regardant Sébastien qui a débouclé sa ceinture et s'apprête
à baisser son pantalon.
– Qu'est-ce qu'il fabrique lui ? Elle
s'adresse à Géraldine. C'est toi qui lui as demandé de se déculotter ? Qu'est-ce qu'il a encore fait l'animal ?
Géraldine,
avec un grand sourire, lui tend le billet de fessée de madame Defraisses.
– Tiens
regarde , tu vas comprendre tout de suite ! J'allais commencer à lui
chauffer un peu les fesses pour te les préparer.
Margaret
saisit le mot et le lit interloquée. Le rouge envahit ses joues au fur et à
mesure qu'elle en prend connaissance...elle relit …blêmit cette fois, redevient encore plus
rouge et relève la tête pour foudroyer son fils du regard.
–« Mais
qu’est-ce que ça veut dire ça ? Alors comme ça, c'est moi qui
t'empêche de travailler maintenant ! »
Elle se
précipite vers le martinet , l’arrache presque du mur où il est accroché
et hurle.
– «
Viens ici !!!!! qu’est-ce que tu as dit ? Hein ? Qu’est-ce que tu as été raconter encore!!!!
– Rien
Maman ! j’ai rien dit !
– Tu te
fiches de moi en plus ! »
– Non maman je te jure...
Les
craintes de Sébastien furent immédiatement confirmées par la colère avec
laquelle sa mère accueillit les explications qu'il essayait sans succès de lui
donner …En
moins de temps qu’il ne faut pour le réaliser, il se retrouve plié en deux sur
une cuisses, largement déculotté, pantalon et slip bien baissés, sous l’œil
goguenard de sa sœur. A défaut d'avoir eu le temps de lui flanquer une fessée,
elle ironise sur son sort.
– Tu
vois ce
que je t'avais dit ! Se moque t- elle en ricanant. Tu n'as plus qu’à bien
présenter tes fesses ! »
Il n'a guère le choix de toute façon, sachant
très bien que ce n’était pas le moment de se montrer récalcitrant et de ne pas
présenter son postérieur dans la “bonne position” requise pour une fessée. Il
expose donc son volumineux fessier sans protestation, afin d’être
corrigée le plus efficacement possible.
Sans
trop savoir pourquoi, il se regarde machinalement dans la glace et constate qu'il offre une belle paire de fesses, bien
développées et parfaitement sphériques , capables de satisfaire l’exigence de
la fesseuse la plus sévère et la plus experte ! Rodolphe, l'imbécile, avait bêtement décrété que “Madame Defraisses
fessait n'importe comment, mais, en revanche, il était bien placé pour
savoir que sa mère, elle, administrait
de vraies bonnes fessées.
Il en a
immédiatement la démonstration par une dégelée de claques sèches et sonores ,
bien appliquées, qui enflamment aussitôt son fessier sans protection ! Il
essaye vainement de plaider sa cause.
– « C’est
pas de ma faute, maman ! ...aie ! ouille !
– Ah
oui ! c’est de la mienne …c’est
ça ? C’est bien ce que tu as dit !
– Non,
maman, j’ai pas dit ça ...ouille ouille ouille !
– Et
menteur en plus ! Fainéant et menteur ! Et même pas le courage de le
reconnaître Tiens ! tiens ! tiens ! je vais t’apprendre, moi, ce que c’est que
la fessée sur un gros derrière de garnement de ton âge … un garnement de vingt
et un ans ! Présente bien tes fesses ! mieux que ça !tu vas voir, après, ce que ça va faire
le martinet !! »
Comme
elle sait le faire, Margaret claque
vigoureusement chaque fesse en alternance, puis procède à un tour général de
son postérieur en n’épargnant aucun endroit, du bas des reins au haut des
cuisses , des flancs des fesses jusqu’à la raie. Sébastien connaît la manière
de fesser de sa mère et s'attend à la suite. Les changements de rythme des
claquées, la répétition de celles-ci sur une partie précise de son
postérieur endolori, avant de passer à une autre, ou de refaire un tour
général, jusqu’à ce qu'il éclate en sanglots sonores, irrépressibles, maté,
incapable de faire autre chose que de recevoir sa fessée.
Pour Margaret, c’est seulement à ce moment, et pas
avant, que débute réellement la correction et qu’elle juge de la durée
nécessaire de la claquante déculottée.
Alors, la fessée prend une sorte de cadence régulière, fesse droite ,
fesse gauche , fesse droite, fesse gauche, avec des pauses et des reprises. Le
derrière tout rouge du puni n’est plus que destiné à recevoir la fessée méritée
de la façon qu’elle décide, plus vite , moins vite , plus fort ici , plus fort
là. Sa main bien ferme, s’attarde parfois sur la peau cuisante...ou repart à
toute volée. C’est la fessée...la vraie bonne fessée déculottée, aussi longue
et sévère que jugée utile.
C'est
au tour de Géraldine de se régaler sans vergogne. Elle harangue son frère qui
bave de douleur sous la terrible correction.
– « Alors,
tu sens comme elle est bonne ta fessée, hein ? Tu entends comme elle
claque bien sur tes fesses! Je t'avais prévenu que maman allait t'en
mettre une sévère ! Et bien tu l'as !
– Pour
ça oui, et il la mérite amplement le petit chameau ! Ajoute Margaret dont la colère ne faiblit
pas. Je vais t'apprendre à accuser ta mère pour cacher ta
fainéantise !! Tes fesses vont me
payer ça mon bonhomme ! »
Au
moment où
elle profère sa menace, sa main au lieu de s’abattre sur son derrière brûlant,
se tend vers le guéridon placé près de la chaise à fessées, où ils sont
installés. Il n’avait pas eu le temps d'y remarquer le gros tube de Dolpic,
habituellement rangé dans un tiroir de la salle de bains. Voyant que sa mère n'a pas le bras assez long
pour l'attraper, Géraldine, perfide, s'empresse de lui venir en aide.
– « Attends
maman je vais te le passer ! Une deuxième fessée au Dolpic par-dessus celle-là, ça va lui faire le plus grand
bien !
Sébastien
serre les dents et enrage de l'empressement de sa garce de sœur à voir sa
correction prolongée dans la douleur. Il va se faire frictionner le fessier
avec cette terrible pommade chauffante, ce qui, pour lui, présente beaucoup
plus d’inconvénients que d’avantages. Éviter les marques sur le derrière n’est
pas sa priorité... sa priorité ce serait
plutôt d’éviter ce qui provoque ces marques. Il n’y coupe pas . De sa main
droite enduite de crème Margaret lui barbouille les fesses en les frottant
énergiquement.
– « Tu
vas voir çà mon garçon …je
vais te le faire chauffer,
moi,
ton gros derrière de sale menteur ! Tu vas voir comme elle va te cuire ta
fessée ! ' »
Géraldine
que les fessées au Dolpic n'impressionnent pas plus que ça, au contraire,
prodigue ses conseils avisés.
– « Mets
lui en une bonne giclée dans la raie, maman, c'est encore meilleur quand ça
chauffe bien entre les fesses ! »
Effectivement,
Sébastien redouble de pleurs. Il a l’impression d’avoir les fesses recouvertes
de braises. Les claques qui tombent à nouveau sont une pluie de feu qui lui
incendie le postérieur. Mais alors qu'il désespère, sa mère arrête brusquement
la fessée. Cela va être le martinet, sans doute …non ! Elle lui ordonne de se relever. Il
ne se le fait pas dire deux fois. Géraldine n'est pas de cet avis.
– « Ooooh
maman, c'est déjà fini ! Ça n'a pas duré longtemps. »
Elle
commençait à
ressentir d'agréables sensations entre les cuisses en se régalant à voir les
grosses fesses écarlates de son frère tressauter sous les claques. Fortement
déçue de n'avoir pas eu le temps d'aller au bout de son plaisir, elle retire la
main de dessous sa jupe.
Sébastien,
en larmes, debout près de sa mère, attend ses ordres en frottant ses fesses
douloureuses. Elle lui ordonne , les joues encore rouges de colère.
– «
File dans ta chambre ! Je ne veux plus te voir avant que je t’appelle …mais je n'en ai pas encore fini avec tes
fesses ...tu verras le martinet après dîner !! »
Il
monte l’escalier le plus vite possible, tenant, d'une main, son slip sous ses
fesses cramoisies, son pantalon de l’autre…et se jette à plat ventre sur son lit en
sanglotant.
Et après la saison 3... vient la saison 4!
Nous retrouvons des protagonistes dont nous avons déjà fait la connaissance, mais nous allons également découvrir de nouveaux personnages pour lesquels la fessée est à l'ordre du jour.
Bonjour Ramina,
RépondreSupprimer"Il faut tourner sept fois sa langue dans sa bouche avant de parler".
Séb' aurait du faire sien ce dicton. Mais bon...
Vicieuse, sa "grande sœur". Ces deux "Cerbère en jarretelles" ne lui épargnent rien. Sa mère semblerait presque indulgente, en comparaison de Géraldine, sa fille. Une bonne Maman sait toujours "doser " sa colère. Sévère mais juste(comme l'était ma bonne Maman. Merciiii Ma-Maan !). Gérome aurait il preuve d'une pareille audace ? Mystère...
Amicalement. Peter.
Amis de la poésie et de la fessée dolpiquienne, bonsoir !
RépondreSupprimerJe suis en accord avec Peter, vicieuses la bande de meufs ! Pas une pour racheter l'autre. Elles ne valent pas mieux que les dames de Ste CROIX. N'y aurait-il pas eu une vie antérieure passée à Ste CROIX, pour être aussi retors que ça ?
Le mot signé par la Géraldine... Quelle proposition indécente, on en pariait un billet ( à fessée ) que celle-ci allait dire non, préférant administrer elle-même la première couche avant que Maman ne passe la seconde, mais son arrivée fait échouer le plan de Géraldine. Bref, le grain de sable dans la machination diabolique.
Certains font tout pour y échapper alors que Bettina l'attend avec délectation, à n'en pas douter. Elle a même peur d'être en retard.
Amitiés.
Elena.
Bonjour Peter,
RépondreSupprimerBen voui, Géraldine si mignonne inoncente et ingénue... plutôt
libertine, ne cache pas son jeu. Ah la fougue de la jeunesse! N'empêche, un peu vicieuse la gueuse! Mais entre sa amère et sa tante qui ne sont pas des gazelles non plus, difficile d'échapper à son éducation. Sébastien le frangin aura bien sa petite revanche par personne interposée. Chez les Delaniaires, la vengeance est un plat qui se mange chaud sur les fesses !!Ouille, ouille, ouille !
Amicalement
Ramina
Bonjour Elena,
RépondreSupprimerET ben oui, toutes les petites pétasses ne sont pas qu'à St croix, qui reste tout de même un nid de pervers, lubriques, obsédés de la fessée en nu intégral devant tout le monde aussi vicieux. Dans CDAMF, on reste un peu plus couvert, mais pas à l'abri d'un massage des fesses au Dolpic, d'une fessée avec un rondin de gingembre ou un manche de martinet dans le derrière... Dans le genre pervers sur les bords, on les a aussi large et on ne fait pas mieux qu'à Ste Croix.
Jésus, Marie, Joseph, pardonnez nos coquineries, comme nous pardonnons à ceux qui nous ont fessé... Euh, pas sûr, faut pas exagérer quand même, ça fait mal!
Amicalement.
Ramina... Au fait , ces derniers temps, n'a plus de réponse d'Eléna au courrier des Rebelles. Comment t'est ce que ça se fait-il donc ?
Bonjour Ramina.
SupprimerAh la la ! Pardonnez également à ceux qui ont péchés ( non pas pêchés ) de ne pas avoir répondu. Je n'ai pas vu les réponses. Je m'en vais de ce pas, pêcher ( non pas pécher ) les commentaires des rebelles...
Amitiés.
Elena.
Hier, j'ai mis un commentaire dans les rebelles que je ne vois pas...
SupprimerBonjour Elena,
SupprimerJe n'ai pas de commentaire en attente. Hier je n'ai reçu que celui que vous avez posté pour "ces dames aux mains fermes".
Je ne vois pas d'autre solution que vous me le renvoyez de nouveau.
Au plaisir de vous lire,
JLG.