Elle n’admet pas plus que je tente d’éviter les claques qu’elle m’administre sur les fesses quand elle décide de souligner son propos, sans, pour autant, aller jusqu’à la fessée. Bien souvent, quand elle me fait une remarque, elle accompagne celle-ci de quelques coups de sa main sur mes fesses. Quand je porte mon pantalon, c’est assez symbolique. Je sens sa main, mais en aucun cas la cuisson sur mes fesses n’augmente. C’est normal, avec toute les couches de vêtements qui protègent mon épiderme. Mais dans ces situations, ma compagne ne veut pas m’administrer une fessée. C’est juste le signal que je dois faire attention à ce qu’elle vient de me dire. Autrement, je sais qu’elle n’en aurait pas pour longtemps à me baisser la culotte et à me corriger très efficacement.
Elle ne change pas ses manières de faire quand elle me donne ma douche, me met aux toilettes ou quand elle m’habille et me déshabille. Le seul problème, c’est qu’à ces moments-là, je n’ai plus mon pantalon pour absorber le choc de sa main. Quand ma culotte est encore haute, cela va encore. Quand ma compagne l’a déjà baissée, ou qu’elle ma l’a ôtée, la main provoque une réelle cuisson qui, quand il s’agit de plusieurs claques sur mes fesses ou le haut de mes cuisses nues, l’échauffement est bien réel.
Et hier soir, alors qu’elle me déshabillait dans la chambre avant de me conduire à la douche, elle trouva à redire sur mon comportement. J’avais adopté un ton ironique à chaque fois que je rétorquais à ce qu’elle me disait. C’était un résidu de ma façon de me comporter ces dernières semaines, j’avais pourtant pris une fessée pour cette raison le matin-même.
Elle avait déjà baissé mon pantalon et, m’ayant mis debout face à elle, elle s’apprêtait à me baisser la culotte. C’est une situation courante à laquelle je suis habitué. Ma pudeur d’adulte n’a plus cours dans ces moments-là et je me retrouve bien souvent les fesses nues devant elle, sans qu’elle envisage de me donner une fessée, exactement comme elle le ferait avec un petit garçon. Il en est ainsi dans notre relation et elle comme moi avons fini par trouver cela très naturel.
Cela n’a pourtant pas que des avantages pour moi. Je sais qu’alors, à la moindre raison que je lui donne, c’est sur ma peau nue que sa main atterrira. Mais ce qui est un inconvénient pour moi est d’une grande utilité pour elle. Mon attention est alors réelle dans ces situations et si ce n'est pas le cas, tant pis pour moi.
Je savais qu’elle n’était pas très contente de ma façon d’être et elle ne se privait pas de me le faire savoir. C’est alors que, je ne sais plus exactement suite à laquelle, je répondis à l’une de ces remarques sur mon comportement.
« Eh bien dis donc, ça alors ! »
Je m’aperçus tout de suite qu’elle n’avait pas goûté mon humour.
« Toi, je ne suis pas certaine que tu ais bien compris ce que je viens de te dire ! »
Sans autre commentaire, elle baissa ma culotte à mi-cuisses et sa main s’abattit sur mes fesses. Ce n’était pas une vraie fessée comme elle sait m’en donner : cinglante, cuisante. Mais ce n’était pas une caresse non plus. Elle me maintenait en place de sa main gauche en tenant mon coude gauche. Cela faisant, mes fesses étaient tournées légèrement vers elle, laissant tout le champ libre à sa main droite. Quatre, cinq… dix fois. Il ne fallut pas bien longtemps pour que la douleur commença à naître sur mes fesses. Elle voulait me faire comprendre que quand elle me faisait une réprimande, même si celle-ci n’entraînait pas une fessée immédiate, elle attendait de ma part une grande attention et l’ironie n’y avait pas sa place.
L’accumulation de claques ? Une plus forte que les autres ? Je ne sais pas ce qui le provoqua, mais j’interposais ma main droite sur le trajet de la sienne. Elle cessa la fessée.
« J’ai vraiment l’impression que tu ne veux pas comprendre ! »
Elle s’assit sur notre lit et me prenant par le bras, elle me coucha à plat ventre en travers de sa cuisse gauche. Je savais, par expérience, ce que cela voulait dire.
« Non, Maman, pas la fessée !
– Parce que c’est toi qui en décides, peut-être ? »
Ce commentaire n’appelait pas de réaction de ma part. Nous connaissions tous les deux la réponse à cette question. Je n’eus, de toute façon, pas le loisir de donner mon avis. Sa main claqua mes fesses, d’un côté puis de l’autre. Il ne s’agissait plus d’un avertissement, mais d’une fessée en bonne et due forme. Quand elle s’attardait quatre ou cinq fois au même endroit, je sentais la cuisson monter considérablement. Cela faisait longtemps que mes cris démontraient l’efficacité de la correction qu’elle m’infligeait.
« Je vais t’apprendre, mon garçon, à écouter ce que je te dis quand je te fais un reproche et que tes railleries n’y ont pas cours ! »
Elle ne suspendit la fessée pas plus d’une ou deux secondes pour m’informer sur le motif de cette punition. Sa main reprit alors sa danse sur mes fesses.
La position dans laquelle elle m’avait mis, ne me permettait pas d’utiliser mon bras gauche. Il était bloqué derrière son dos et il aurait fallu me lever pour qu’il puisse interférer. Je n’avais aucune envie de me lever. Cela m’était strictement interdit et je devais subir ma punition jusqu’au bout dont elle-seule déciderait quand le terme en serait arrivé.
Je reconnaissais la pertinence de la façon dont elle m’avait placé. Serré contre son flanc, mes fesses étaient à sa disposition et je ne voyais aucun intérêt à mettre ma main gauche en protection de mes fesses, malgré l’échauffement qu’elle y avait provoqué. Elle me maintenait dans cette position disciplinaire en m'ôtant une grande partie des tentations qui auraient pu me venir à l'esprit, d'autant plus facilement que j'avais appris, à mes dépens, qu'il était préférable de la laisser me punir aussi longtemps qu'elle le jugeait nécessaire quelle que soit la douleur qu'elle entretenait sur mes fesses.
Le dilemme restait entier pour ma main droite. Trente ou quarante secondes après le début de la punition, je glissais mon bras doit le long de mon flanc, juste sous le sien qui me maintenait en place malgré les mouvements de mes jambes. Mais je n’allais pas plus loin. Je recevais une fessée parce que je l’avais obligée à en interrompre une autre en couvrant mes fesses de ma main droite. Je n’allais pas persévérer dans cette voie interdite ! La perspective d’une fessée bien plus sévère suffisait à m’interdire ce geste.
Oh, ce ne fut pas une grosse fessée. Je ne sais pas combien de temps elle dura, mais elle suffit pour que s’installe une fournaise sur mon postérieur. Ma compagne avait atteint son but et je savais ce que je risquais à recommencer. Je n’en avais aucune envie.
Quand ma compagne jugea que la leçon m’avait profité, elle mit fin à la fessée. Elle m’aida à me relever et debout devant elle, elle m’ôta mon pantalon et ma culotte.
« Allez ! A la douche ! »
Une claque sur mes fesses accompagna cet ordre. Deux fessées dans la même journée, c'était bien assez.
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