jeudi 7 novembre 2024

Le récit de Pierre - 1er épisode

Voici le début d'un échange de courriel qu'Huguette a eu, depuis quelques temps avec Pierre. Il y est, bien entendu, question des fessées qu'il a reçues étant adolescent et de ce qui en a suivi.

Aujourd'hui, ce n'est que la première partie. Il y en aura d'autres. Je ne peux vous dire combien, cet échange étant en cours. Comme vous pouvez le voir, les adresses internet ont été masquées, mais il est possible de réagit par commentaires et je me ferai un devoir de transmettre des courriels arrivés dans ma boite, mais qui seraient destinés à Pierre.

Envoyé: mardi 15 octobre 2024 17:31

De : "Pierre L********" <Pierre*****@hotmail.com>

A : "legall.josip35@laposte.net" <legall.josip35@laposte.net>

Objet : Tr: Je suis bien d'accord avec vous


Bonjour Huguette,

J'ai lu attentivement quelques récits de votre blog et, surtout, ceux dans lesquels vous expliquez pourquoi une "bonne fessée" est parfois nécessaire et qu'elle peut parfaitement être administrée à un adulte - sous réserve qu'il s'agisse bien d'une "punition" (et rien d'autre). Vos arguments m'ont fait réfléchir et m'ont incité à vous envoyer ce mail.

Je m'appelle Pierre, j'ai dépassé la soixantaine, mais je dois reconnaître que mes comportements ne sont pas toujours exemplaires. Je me fixe des objectifs que je ne tiens pas et j'impose volontiers des règles aux autres qu'il m'arrive de ne pas respecter. Par exemple, je suis sans pitié pour celles et ceux qui font des fautes d'orthographe, mais je dois reconnaître qu'il m'arrive d'en faire aussi.

Lorsque je constate des comportements inappropriés autour de moi, je me dis bien souvent qu'ils ou elles mériteraient "une bonne fessée", mais j'avoue qu'il m'arrive de rougir en pensant que moi aussi, j'en aurais parfois bien besoin.

Pour moi (comme pour vous), "la fessée" ne peut être qu'une punition. Il faut donc qu'elle soit à la fois humiliante et douloureuse. Je suis sûr que celles que vous administrez le sont.

Je suis d'une époque où les adultes n'hésitaient pas à y avoir recours pour punir celles et ceux qu'ils devaient "éduquer" (et ceci à tout âge). J'avoue que j'en ai reçu plusieurs et que j'en ai donné aussi parfois, plus tard… je n'en suis pas fier, mais j'ai la faiblesse de croire qu'elles étaient toutes bien méritées et d'une redoutable efficacité.

Aujourd'hui, je me sens à l'abri d'être puni de cette manière et je reconnais que c'est une erreur. Comme vous l'expliquez si bien, on peut être éduqué à tout âge.

Bien sûr, ce n'est pas facile de trouver celui ou celle qui sera capable de s'en charger et j'avoue que votre proposition me tente bien. Je rougis déjà de honte en écrivant ces lignes. Aurai-je le courage d'aller jusqu'au bout, je ne sais pas. Mais je sais, je sens que j'en ai besoin.

Pardon pour cette longue introduction. Je me tiens à votre disposition pour envisager la suite, si vous le jugez pertinent.

Pierre L********




De : hugette*****@laposte.net <hugette*****@laposte.net>

Envoyé : samedi 19 octobre 2024 16:56

À : Pierre*****@hotmail.com <Pierre*****@hotmail.com>

Objet : Tr: Je suis bien d'accord avec vous

Bonjour Pierre,

Avant d'aller plus loin, j'aurai besoin que vous vous présentiez un peu plus : comment êtes-vous physiquement ? Quelle taille, quel poids ? Dans quelle région habitez-vous ?

Avez-vous déjà reçu la fessée, étant enfant ? étant adulte ? Si oui, étaient-ce des fessées déculottées ? Qui vous les a données ? Pour quel motif ?

N'hésitez pas à me donner des détails.

J'attends votre réponse,

Huguette.



De : "Pierre L********" <Pierre*****@hotmail.com>

A : "hugette*****@laposte.net" <hugette*****@laposte.net>

Envoyé: dimanche 20 octobre 2024 15:39

Objet : Re: merci pour ce message


Bonjour Madame Huguette,

Un grand merci pour votre message. Je vais m'efforcer de répondre précisément à vos questions.

Je suis un homme au look assez classique, plutôt "bcbg" (comme on dit), assez grand (1,80 m) avec un peu d'embonpoint (que j'essaie de corriger chaque semaine à la salle de sports - en vain, je l'avoue). J'ai une formation d'ingénieur et j'ai travaillé une quarantaine d'années dans l'industrie. J'ai les cheveux blancs et les yeux bleus… et j'habite à S*******.

Comme je vous le disais dans mon dernier mail, j'ai reçu plusieurs fessées lorsque j'étais ado… et elles m'ont toutes été administrées par mon grand-père.

Tout a commencé lorsque mes parents ont décidé de m'envoyer passer une à deux semaines de mes vacances d'été chez lui, en Bretagne, juste après le décès de ma Mamie ; une mission que j'ai dû accomplir chaque année entre 13 à 17 ans.

Mon grand-père était un homme à la fois strict et sévère… qui (contrairement à ce que pensaient mes parents) se serait bien passé de mes visites estivales. Il n'a pas fallu attendre bien longtemps avant que je reçoive les premières fessées - toujours parfaitement méritées, je dois bien le reconnaitre. Elles m'ont été données sur mes culottes, dans un premier temps. Une bonne série de claques vigoureuses et bien sonores, qui pouvaient m'être administrées à tous moments et en tous lieux – à chaud, comme il se plaisait à le dire.

Mais ces corrections impromptues n'étaient rien par rapport au "rituel du bureau", que j'ai découvert avant la fin de mon premier séjour. Sans entrer dans le détail, cette punition plus solennelle a été décidée un jour où j'avais dû "pousser le bouchon un peu plus loin qu'à l'habitude". Et c'est là que j'ai reçu ma première "fessée déculottée" (selon un cérémonial sur lequel je pourrai revenir si vous le souhaitez).

Bien entendu, je ne m'en suis pas vanté auprès de mes parents et la conséquence a été que cette punition est devenue quasi systématique à chacun de mes séjours. Il ne s'est plus passé un seul été sans que je sois "convoqué" dans son bureau pour y recevoir la fameuse "fessée déculottée" (... et ceci jusqu'à mes 17 ans révolus),


Ces évènements m'ont marqué bien évidemment – d'autant plus qu'ils sont restés secrets pendant bien longtemps. Malgré la honte d'avoir été puni de cette façon, je n'en ai jamais voulu à mon grand-père. Avec le recul, je pense même que chacune de ces corrections étaient tout à fait méritées (je crois qu'on peut vraiment parler de "bonnes fessées" ... et c'est d'ailleurs comme ça qu'on les évoquait entre nous, après coup).

Mon grand-père est décédé peu de temps après ma majorité et j'ai souvent regretté qu'il ne fut plus là pour veiller à mon éducation et sanctionner mes écarts (même étant adulte). Ses fessées, humiliantes et douloureuses, m'ont bien souvent manqué sans que je puisse en parler à qui que ce soit.

En définitive, il m'a fallu attendre plus de 3 décennies avant de découvrir (grâce à Internet et à des blogs comme le vôtre) que je n'étais pas seul à connaitre ce manque. Bien qu'étant adulte, je suis convaincu de la mériter encore parfois (je ne peux m'empêcher de rougir en écrivant ces mots).

Voilà toute l'histoire. Peut-être pouvez-vous m'aider.

Merci d'avance pour votre retour.


Nota : je tiens à vous présenter mes excuses pour ces trois fautes d'orthographe, que Josip a su détecter dans mon dernier mail.

Je suis très souvent intransigeant sur ce point et je suis prêt à en assumer toutes les conséquences.

Respectueusement.

Pierre



De : hugette*****@laposte.net <hugette*****@laposte.net>

Envoyé : dimanche 20 octobre 2024 15:29

À : Pierre L******** <Pierre*****@hotmail.com>

Objet : Re: merci pour ce message


P‌ierre,

Il manque une indication par rapport à celles qui étaient demandées : quel poids faites-vous actuellement ?

Votre récit est clair. Il explique comment vous avez reçu la fessée déculottée entre 13 et 17 ans. Je voudrais évidemment savoir quel était le "rituel du bureau" qui vous amenait à recevoir cette correction, comme vous proposez de le raconter. Je comprends que vous n'en ayez jamais voulu à votre grand-père, à partir du moment où les fessées étaient méritées. C'est bien normal.

Vous n'expliquez pas où vous avez reçu ces fessées, mais vous sous-entendez que cela se soit déroulé devant témoins ou tout du moins dans un lieu public pour les premières. Est-ce le cas ? Racontez-moi celle qui a été, de ce côté, la plus vexante. En ce qui concerne les fessées déculottées, vous ont-elles toutes été administrées en privé, dans le bureau de votre grand-père ?

Vous n'évoquez pas de fessée reçue depuis votre adolescence, ni déculottée, ni autrement. N'y en a-t-il pas eu ? Plus de quarante ans sans fessée ? Est-ce bien votre réalité ?

En ce qui concerne les fautes d'orthographe, nous en rediscuterons si je vous accueille ici et nous y rajouterons celles d'aujourd'hui qui sont signalées ci-dessous et que Josip a repérées (cinq cette fois-ci). Pour quelqu'un qui se targue d'être intransigeant sur les fautes d'orthographe, cela en fait huit en deux courriels. C'est beaucoup, non ?

J'attends votre réponse.

Huguette



De : "Pierre L********" <Pierre*****@hotmail.com>

A : "hugette*****@laposte.net" <hugette*****@laposte.net>

Envoyé: lundi 21 Octobre 2024 22:08

Objet : Re: En effet, je me dois d'être plus précis …


Pardon Madame Huguette ...

J'avais éludé la question, mais je me doutais bien que ça ne passerait pas si facilement. J'ai honte ; mon pèse-personne est en panne, mais je crains d'avoir largement dépassé les 90 kg. Peut-être faudra-t-il les genoux d'un homme plus costaud pour me punir dans de bonnes conditions ? En tout cas, je me sens déjà plus léger d'avoir avoué la vérité.

Comme vous l'avez compris, mon premier séjour chez mon grand-père fut fort en émotions et m'a permis de découvrir ce mélange de sensations étranges provoquées par les fessées. Et, même si j'ai pu garder ma culotte, les premières n'ont pas été moins vexantes pour autant. Je me permets de vous raconter tout ça en détail, comme vous me le suggérez, en espérant ne pas vous lasser.

Sitôt arrivé chez lui, j'ai eu droit à un bon sermon établissant les règles de vie de mon séjour : mon grand-père m'a tout de suite expliqué qu'il n'était pas "mon larbin" (ce sont ses mots) et que j'allais devoir participer aux tâches ménagères. À 13 ans, j'écoutais ce discours d'une oreille un peu distraite, tant je l'entendais régulièrement à la maison sans pour autant en tenir compte.

Le lendemain, au petit-déjeuner, l'ambiance était plus calme. Grand-père m'a proposé de rejoindre les garçons du village qui s'entrainaient sur le terrain de foot tout proche. J'ai donc avalé mon chocolat, tout excité, et j'ai filé dans ma chambre pour m'habiller. J'étais sur le point de partir lorsqu'il m'a demandé de le rejoindre dans la cuisine. Et là - patatras - j'ai vu que mon bol était resté sur la table, entouré de miettes de pain et autres détritus.

J'ai tout de suite compris le message et je me suis précipité pour corriger mon erreur, mais un peu tard. J'ai entendu : "tu n'as pas écouté ce que je t'ai dit hier ; il faut peut-être que je te donne une fessée pour que tu t'en souviennes ?" ... "viens par ici"

Je me suis senti rougir jusqu'aux oreilles et j'ai réalisé que je ne pourrai pas échapper à cette punition parfaitement méritée. J'étais dans un état second lorsqu'il m'a emmené au milieu de la pièce et qu'il m'a pris fermement sous son bras gauche.

J'ai reçu la toute première fessée de toute ma vie.

L'humiliation de devoir être puni comme un petit garçon, la douleur piquante ressentie à chaque claque et cette chaleur persistante qui envahissait progressivement tout l'espace de ma culotte… cette avalanche de sensations m'a tétanisé. Si bien que je n'ai vraiment repris mes esprits que sur le chemin du stade avec mon ballon sous le bras. Cette première correction n'avait été ni longue ni sévère ; j'avais été puni, fessé... mais bizarrement, je me sentais presque apaisé. J'ai rejoint les garçons du village avec qui j'ai passé la matinée à jouer au football, les fesses en feu - craignant que cette douce chaleur qui diffusait jusqu'en haut de mes cuisses ne me trahisse et que quelques rougeurs au-dessous de ma culotte courte leur laissent deviner que j'avais reçu "une fessée". La honte totale !

J'étais déjà chamboulé par ce que je venais de vivre, mais je n'étais pas au bout de mes émotions. Quelques jours plus tard, lors d'une de nos promenades quotidiennes dans un parc voisin de son domicile, je me sentais d'humeur taquine avec mon grand-père. Je ne me souviens plus de l'enchainement exact de mes petites insolences lorsqu'il m'a menacé, soudainement, de me donner "la Fessée".

J'ai commencé à rire jaune lorsque je me suis rendu compte que, même s'il n'y avait pas foule, nous n'étions pas seuls dans ce parc. J'avais dû pourtant franchir la ligne rouge, car il m'a entrainé immédiatement derrière un bosquet pour procéder comme il l'avait fait la première fois. Mais cette fois-ci, j'étais surtout inquiet du bruit des claques vigoureuses et sonores qui m'étaient administrées et qui ne laissaient aucun doute sur ce qui m'arrivait. La punition n'a pas duré très longtemps, mais l'humiliation était maximale sur le chemin de retour vers la maison ; j'avais l'impression que tout le monde me regardait. J'étais mort de honte une fois encore.

Le seuil maximal des vexations ressenties pendant ce premier séjour n'était pourtant pas encore atteint. Les jours suivant se sont passé sans encombre ; il faut dire que ces deux premières expériences douloureuses avaient eu l'effet d'un vaccin : une vraie piqure dans les fesses (au sens propre comme au sens figuré).

Deux ou trois jours avant la fin de ces vacances particulières, des évènements fâcheux se sont enchainés. Peu avant le déjeuner, j'étais dans le jardin à discuter avec le voisin qui s'occupait de son potager. Soudain, mon grand-père est sorti de la maison, visiblement très en colère, déclarant qu'il me cherche et m'appelle depuis un quart d'heure. Arrivé à ma hauteur, il me saisit à l'oreille pour m'entrainer vers la maison. Il ne la lâchera que pour me flanquer de bonnes claques sur les fesses tout au long du trajet, sans se soucier du sourire moqueur du voisin. Une fois à l'intérieur, j'ai tenté de me justifier, ce qui m'a valu une gifle magistrale et d'entendre : "si tu continues, je vais devoir te donner la fessée déculottée ; tu es prévenu". Inutile de préciser que je n'ai rien ajouté, préférant la jouer profil bas en me contentant de baisser la tête en rougissant. Je ne savais pas encore que cette punition ultime allait m'être administrée avant la fin de la journée.

Après un déjeuner assez détendu, nous sommes sortis pour notre promenade habituelle dans le parc. Mon grand-père y a retrouvé plusieurs de ses amis et m'a autorisé à rejoindre les jeunes qui jouaient sur la plage un peu plus loin, en me rappelant que je devais être de retour à cet endroit avant 15h ; ça me laissait une petite heure, je suis parti le cœur léger.

Nous avons fait une balle au prisonnier, il faisait beau, c'était un bel après-midi. Je jetais un coup d'œil furtif sur ma montre de temps en temps pour m'éviter des problèmes. Le temps passait vite - trop vite - et je ne me suis pas rendu compte que ma montre (une montre mécanique bon marché) s'était arrêtée sur 14h40. Il était en réalité déjà 15h10 lorsque je m'en suis aperçu en demandant l'heure à un camarade.

Panique ! J'ai pris congé de mes amis en toute hâte et j'ai couru jusqu'au parc. Je savais que ça allait barder. Lorsque je suis arrivé, mon Grand-père était toujours avec ses amis. Dès qu'il me vit, il me lança : "tu as vu l'heure ?". J'ai à peine eu le temps de lui expliquer l'histoire de la montre qu'il s'est adressé aux deux hommes assis sur le banc face à lui en ces termes "Messieurs, je vais devoir donner la fessée à ce jeune homme, j'espère que vous n'y verrez aucun inconvénient".

Pour le comble de l'humiliation, l'un d'entre eux a cru bon répondre : "quand c'est mérité, il faut bien le faire ; et ça fait circuler le sang". Mon grand-père m'a attrapé comme les autres fois sous son bras gauche. Avant de commencer la fessée, il avait pris l'habitude de saisir la ceinture de mon bermuda et de la tirer vers le haut, ce qui avait pour effet de faire entrer la couture de la culotte entre mes fesses, les rendant plus visible aux observateurs, malgré mes vêtements - une petite humiliation supplémentaire dans cette situation. Les claques ont commencé à pleuvoir dans un rythme soutenu et régulier. L'humiliation d'être puni ainsi devant un public si proche ajoutait à mon calvaire. Mais le pire restait à venir.

Lorsque je pensais la punition enfin terminée, j'ai entendu Grand-père murmurer : "je t'ai promis quelque chose ce matin" et au même moment, j'ai senti ses deux mains se rejoindre sous mon ventre et commencer à déboutonner mon bermuda. Devant l'urgence de la situation je me suis débattu comme un beau diable en criant presque : "non Papy, pas ici, à la maison si tu veux, mais pas ici… » Heureusement, mes bretelles avaient maintenu ma culotte en place et j'ai vite fait de refermer ma braguette et le bouton qui protégeait ma pudeur d'adolescent.

Inutile de préciser que mon grand-père était très en colère. Après avoir salué ses amis, nous avons repris le chemin de la maison, en silence et au pas de course. À peine sur le pas de la porte, il m'ordonna de filer dans son bureau et de l'attendre debout, face au mur et avec les mains sur la tête.

Je ne le savais pas encore, mais ce qui s'est produit ensuite ce jour-là devait devenir un véritable "rituel", mainte fois répété au fil des années. J'allais recevoir ma toute première "fessée déculottée"... et ce ne sera pas la dernière.

Je me suis mis face au mur comme il me l'a demandé et j'ai attendu. Au bout d'un temps que je ne saurais estimer, je l'ai entendu entrer en silence. Il a placé une chaise au milieu de la pièce, s'est assis et m'a ordonné de venir me placer debout face à lui. Il a commencé à m'expliquer que ce n'était pas à moi de décider du moment et du lieu des punitions. Il a ajouté d'une voix ferme et sans appel : "je vais t'apprendre à obéir ; je vais te donner une fessée déculottée" et, en prononçant ces mots, il a commencé par déboutonner mon bermuda et cette fois, il a pris le temps de soulever légèrement mon pull pour défaire les pinces de mes bretelles ; d'abord devant, puis derrière en passant ses bras autour de ma taille. Moi, je ne le quittais pas des yeux, en silence, bien décidé à recevoir ma punition de la façon la plus digne possible.

Une fois la culotte descendue jusqu'aux chevilles, il s'est attaqué à mon pull et mon maillot de corps pour les retrousser méthodiquement et dévoiler mon ventre et le bas de mon dos. En prenant tout son temps, il a glissé ses doigts dans la ceinture de mon slip (à l'époque, je portais encore des slips à poche en coton blanc, mais d'une coupe élégante et joliment échancrée). Un instant plus tard, je me suis retrouvé à moitié nu, debout face à lui, sans même avoir le réflexe de dissimuler mon sexe et ma jolie touffe de poil sombre dont j'étais déjà très fier.


La suite, vous vous en doutez certainement : il m'a demandé de m'allonger sur ses genoux, mains au sol et jambes tendues, et il a commencé la fessée. Les claques appliquées sur les fesses nues n'avaient rien à voir avec celles des punitions précédentes. La brûlure de chaque impact m'arrachait des petits gémissements que je ne parvenais plus à retenir et qui se sont vite transformés en sanglots et en pleurs. C'était la première fois que les punitions infligées par mon grand-père m'obligeaient à pleurer pour de bon. J'ai compris qu'on avait franchi un nouveau cap et qu'on ne pourrait plus revenir en arrière. Mes larmes n'ont pas mis fin à la punition, bien au contraire. Les séries de claques étaient entrecoupées de pauses pendant lesquels Grand-père continuait à me sermonner. Lorsque la fessée reprenait, je hurlais de plus bel en promettant de ne plus recommencer et en demandant pardon à tue-tête.

Lorsque la punition a pris fin, je suis resté un long moment allongé sur les genoux de mon grand-père sans réagir. Puis il m'a aidé à me relever et m'a accompagné jusqu'au mur pour que je reprenne la position que j'avais au début (... mais avec les fesses nues cette fois-ci). J'ai dû conserver cette posture humiliante jusqu'à ce qu'il m'autorise "à me frotter les fesses et à remonter mes culottes" (selon ses propres termes). Malgré la honte de m'exhiber de la sorte, j'ai pris le temps de me masser frénétiquement les fesses en piétinant, finalement peu pressé de leur imposer le contact du tissu de mon sous-vêtement. Comble d'infortune : je ne m'étais pas rendu compte que la reprise de la circulation sanguine, favorisée par le massage, avait eu un effet imprévu (autant que gênant) sur une autre partie de mon anatomie. Je ne tardais donc pas à me reculotter lorsque j'en ai pris soudain conscience.

Voilà toute l'histoire. Pardon d'avoir été un si long, mais ce sont des choses dont on ne peut pas parler à moitié.

La même scène s'est reproduite quasiment chaque année, à peu près de la même manière. Dans les premiers temps, je redoutais ces deux petites semaines que j'allais passer en Bretagne. Sans en être sûr, je pressentais que j'aurais droit à nouveau à la fameuse fessée. L'avenir me donnait raison de façon systématique et j'ai fini par l'accepter, en considérant qu'à chaque fois, la punition était, finalement, bien méritée.

Tant est si bien que j'ai fini par regretter de ne plus en recevoir lorsque Grand-père nous a quittés.

Et en définitive, je n'en ai jamais fait le deuil. Il y a une quinzaine d'années, j'ai utilisé internet pour découvrir qu'il n'était pas trop tard (même à mon âge) pour être puni de cette manière lorsque c'était nécessaire. J'ai pris contact avec des hommes qui ont accepté de me donner des fessées (avec plus ou moins de conviction et quelques arrière-pensées parfois). J'ai aussi rencontré des garçons et des filles qui, comme moi à mon époque, étaient convaincus de la mériter également et je les ai punis (comme j'avais été puni autrefois). Et c'est bien dans cet état d'esprit que je m'adresse à vous, Madame Huguette.

Pardon encore pour ce très long mail (certainement trop long) ; merci d'avoir lu jusqu'ici.

Concernant les fautes d'orthographe dans mon dernier courriel, je vous demande humblement pardon ; j'ai honte ; j'aurais dû me relire plus attentivement. Merci à Josip d'avoir fait ce travail à ma place. Comme le disait mon instituteur de CM2, Monsieur Bernard : "5 fautes à la dictée, c'est un zéro et trois zéros de suite, c'est la fessée. » Et ce n'étaient pas des paroles en l'air, je pourrai vous en parler à l'occasion.

Huit fautes en deux courriels, c'est beaucoup en effet. J'ai bien conscience que je risque de regretter mon manque d'attention lorsque je vous rendrai visite - si vous acceptez de m'accueillir. D'ailleurs, puis-je vous demander où vous résidez (sans vouloir être trop indiscret).

Au plaisir de lire vos commentaires sur tout ça (j'espère que je n'ai pas laissé trop de fautes d'orthographe),

Et avec mes remerciements anticipés.

Respectueusement.

Pierre



A suivre...

Pierre n'est pas le seul à avoir reçu une bonne fessée déculottée

Là, c'est Lucas

        Ou encore Arno 

Et là, c'est Josip 



Des commentaires ?

L'expérience de Lucas, de Juliette de Josip avec Huguette ou de Marc avec sa femme ou encore de Pierre avec son grand-père vous inspire ? Vous inquiète ? Vous interroge ?

Vous avez vécu des situations analogues, soit en recevant ou en donnant la fessée à un autre adulte ? 

N'hésitez pas, les commentaires c'est fait pour ça ! 


2 commentaires:

  1. Merci à Pierre de nous faire partager son expérience. C’est vrai que lorsque nous étions gamins la discipline et l’obéissance ne se discutaient pas. Dès que les bornes étaient dépassées on nous corrigeait sévèrement. On n’hésitait pas quel que soit l’endroit à prendre un gamin mal élevé ou désobéissant sous le bras et à lui baisser la culotte pour le fesser. La fessée était une punition banale et fréquente. Et le martinet non plus ne chômait pas. Il y en avait un dans presque toutes les familles, chez moi en tout cas. Ah le martinet, j’aurais beaucoup de choses à dire à son sujet. Tu sais Pierre tu n’est pas le seul à avoir reçu la fessée, moi aussi je la recevait jusqu’à au moins dix-sept ans. Étant adulte, je me suis vite rendu compte que j’avais encore besoin d’autorité et que la fessée m’étais toujours nécessaire.

    RépondreSupprimer
    Réponses
    1. Bonsoir Pascal,
      merci pour tous tes commentaires. En effet, Madame Huguette a eu la gentillesse de publier mes mésaventures adolescentes. Lors d'échange de mails, je me suis laissé aller à évoquer ces séjours en Bretagne, chez mon Grand-Père. J'y ai découvert les vertus d'une bonne fessée. Je m'étonne encore aujourd'hui de dire ça ; mais c'est pourtant bien la réalité. Si je les ai redoutées au début, j'ai fini par comprendre qu'elles m'étaient utiles, sinon nécessaires. D'ailleurs, j'ai longtemps regretté de ne plus être fessé (notamment lorsque j'étais étudiant). Plusieurs décennies plus tard, je me suis décidé à la recevoir à nouveau, puis à la donner à des jeunes gens qui reconnaissent la mériter encore parfois, comme moi à leur âge. La boucle est bouclée.

      Supprimer

Un commentaire, une réaction, une proposition ? C'est ici. Une fois validé, le commentaire sera visible par tous les lecteurs du blog.
Si vous le souhaitez et pour des raisons de confidentialité, nous pouvons échanger par courriel. Seuls Huguette et moi verrons le message. Il vous suffit de cliquer dans le champ "pour nous contacter" en haut à droite de cette page.