vendredi 15 novembre 2024

Le récit de Pierre - 5ème épisode

Et voici la cinquième partie des échanges.

De : hugette*****@laposte.net <hugette*****@laposte.net>

Envoyé : vendredi 1 novembre 2024 15:42

À : Pierre L******** <Pierre*****@hotmail.com>

Objet : Re: Raconter les choses comme je les ai vécues…

P‌ierre,

Tout d'abord, je pense que je vais envisager de demander à Josip de publier votre récit puisque vous m'y autorisez. Je crois qu'il serait pertinent d'en garder la forme (échange de courriel). Il faut donc que vous me disiez si votre adresse courriel est publiable en l'état ou s'il faut la rendre illisible, ce qui peut se faire facilement. De même avec votre prénom.

Pour revenir à votre récit, il est, en effet délicat, de déculotter un adolescent de 16 ans et encore plus quand il a 17 ans, ce qui, je le suppose, vous est arrivé lors de votre dernier séjour en Bretagne. Mais je vais en attendre le récit pour en connaître le contexte. Vous savez sans doute que je pense que la fessée déculottée est une correction adaptée à tous les âges et aux deux sexes. C'est donc, de mon point de vue, tout à fait adapté pour un gamin ou une gamine de 16 ans. Toutefois, il faut être attentif à bien rester dans le champ de la punition. Il ne faudrait pas y donner un caractère sexuel, ce qui mènerait du côté de l'inceste. J'ai l'impression que ce n'était pas dans les pratiques de votre grand-père. Il pensait que vous aviez besoin d'une sérieuse punition et la fessée déculottée s'imposait.

Pour un adolescent comme vous, à 16 ans, être déculotté et fessé devait vous procurer des sentiments ambivalents que vous décrivez bien. Vous oscillez entre la honte de cette punition infantilisante et la reconnaissance de sa pertinence, malgré votre âge. Je note que vous n'évoquez presque jamais en avoir ressenti un plaisir sexuel. Était-ce le cas ?

Je note également les interrogations de votre grand-père sur le bien-fondé de la fessée déculottée en public. Il va de soi qu'elle ne saurait être provoquée par la personne qui donne la fessée. Ce serait de la manipulation (différer l'administration de la fessée jusqu'à ce qu'une tierce personne soit présente ; inventer un faux prétexte pour baisser la culotte en présence d'une autre personne...), mais une bonne correction, culotte baissée, en présence d'autres personnes peut être salutaire pour apprendre efficacement une leçon quand elle est donnée au moment où elle est méritée. Je pense que la question de l'âge n'entre pas en ligne de compte, mais seulement les limites que le fesseur ou la fesseuse s'impose en exposant la nudité des fesses du puni en public. Dois-je comprendre de vos écrits, que votre grand-père n'a plus jamais sévi à votre encontre de cette façon ?

Savez-vous également si cette pratique faisait partie de ses méthodes éducatives avec ses propres enfants ?

Je comprends votre désarroi quand vous avez passé un court séjour chez votre grand-père sans recevoir de fessée, tout en sachant que vous en auriez mérité une. Quand une personne prend la responsabilité de l'éducation d'une autre, il est normal que cette personne sévisse quand il y en a besoin. Je comprends, tout en le redoutant, que vous saviez qu'une bonne fessée était nécessaire et qu'il revenait à votre grand-père de vous l'administrer. Une bonne correction, la culotte baissée, aurait clarifié la situation. Sans doute votre grand-père s'est-il posé trop de questions à ce moment-là, ce qui l'a empêché de vous déculotter et de vous punir.

Mais, comme vous le dites, on ne le saura jamais.

J'attends votre réponse et la suite de votre récit.

Huguette.



De : "Pierre L********" <Pierre*****@hotmail.com>

A : "hugette*****@laposte.net" <hugette*****@laposte.net>

Envoyé: samedi 2 novembre 2024 10:52

Objet : Re: L'acceptation sincère vient aussi avec la maturité…

Bonsoir (et bonjour) Madame Huguette,

Tout d'abord, merci pour la publication de mes récits. Ne croyez pas que je sois fier de ces mésaventures, mais ce partage est aussi une façon de rendre hommage à mon grand-père. Josip peut conserver mon prénom, mais je pense qu'il vaut mieux qu'il cache mon adresse mail. Merci de le remercier de ma part pour une relecture probablement fort utile pour corriger mes fautes (que je découvre souvent trop tard, après avoir cliqué sur "envoyer").
Comme vous le soulignez fort justement, j'ai effectivement été déculotté pour être fessé à chaque séjour par mon grand-père (y compris lors du dernier, lorsque j'avais 17 ans… j'y reviendrai dans ce courriel). Cependant, je n'y ai jamais vu aucune intention incestueuse de sa part. Il baissait la culotte (et le slip) dans le seul but de rendre la fessée plus efficace - et peut-être plus humiliante également, j'en conviens. Ça a d'ailleurs très bien fonctionné - au moins pour les premières années : j'étais mort de honte de devoir subir cette "double peine". Avec le temps, je m'y suis habitué et j'acceptais plus facilement de me retrouver à moitié nu face à lui dans ces circonstances.

Sur le moment, je ne ressentais aucun plaisir sexuel, ni avant ni pendant la fessée. Par contre, j'avoue que la sensation d'apaisement que je ressentais après l'avoir reçue a parfois déclenché une érection (qui ne faisait que renforcer mon humiliation, lorsque j'étais au piquet ou sur ses genoux pour le câlin de consolation, par exemple). Entre nous, je reconnais tout de même que je me suis souvent masturbé en pensant aux fessées que j'avais reçues… ou à celles que j'aurais méritées en cours d'année. Cette ambivalence des sentiments (entre honte et acceptation de la punition) qui m'a accompagnée toutes ces années, n'empêchait pas "une certaine excitation" ; et j'admets volontiers qu'elle avait un fondement sexuel. Cette excitation était parfois présente avant, souvent après, mais jamais pendant la correction.

Concernant "la déculottée" dans un lieu public ou devant témoin, j'avoue que je suis plus dubitatif sur les intentions de mon grand-père. Lors de mon premier séjour, je pense qu'il était bien parti pour me mettre "les fesses à l'air" devant ses amis si je ne m'étais pas débattu (et un peu aussi grâce à mes bretelles). C'est d'ailleurs ce qui m'a valu ma première "fessée déculottée", dans l'intimité du bureau un peu plus tard. Il m'avait prévenu le matin même qu'il finirait par me la donner, mais je ne pense pas qu'il avait prémédité de le faire devant témoin. Je pense qu'il n'avait pas plus anticipé de baisser mon short (et mon slip) dans ce même parc l'année suivante. En définitive, je ne crois pas qu'il l'aurait fait si nous n'avions pas été à l'abri des regards, derrière ce bosquet. Comme je l'ai déjà dit, je pense qu'il était sincèrement convaincu de la nécessité de me déculotter pour me fesser, mais pas n'importe comment ni n'importe où.

Je n'ai jamais su si mon père avait reçu des fessées de sa part. Pour être franc, sur le moment, j'avais du mal à croire que ça ait pu arriver, car mon père ne m'en a jamais donné, ni même menacé de le faire. Avec le recul, je sais que ça ne prouve rien, car je n'en ai pas donné non plus à mes enfants. La question que je me suis toujours posée est la suivante : est-ce qu'une personne qui a reçu des fessées en punition, en reconnaissant les avoir méritées, est plus encline à utiliser ce mode d'éducation avec ses propres enfants ? J'avoue que je n'en suis pas si sûr. Par contre, j'ai l'intime conviction aujourd'hui que cette personne regrettera éternellement de ne plus en recevoir le jour où ça s'arrêtera.

D'ailleurs, ça fait écho à la frustration que vous évoquez et que j'ai ressentie lorsque je pensais sincèrement mériter une bonne fessée et que je ne l'ai finalement pas reçue. Ce qui est étrange, c'est l'évolution de mon attitude face à la perspective d'une telle punition. Dans l'année qui a suivi mon premier séjour, j'étais vexé de ce qui s'était passé pendant l'été et j'étais paniqué à l'idée que ça puisse m'arriver à nouveau. L'année suivante, j'ai pris conscience de l'effet bénéfique de ces punitions en reconnaissant les avoir finalement bien méritées. Et enfin, elles me sont devenues nécessaires et leur absence finissait par créer une espèce de manque - une sensation renforcée par le fait que j'ai découvert que je n'étais pas seul à y avoir droit à mon âge.

Comme vous le dites si justement "une bonne correction, culottes baissées, aurait clarifié la situation" ... revenons donc à notre récit.

Je me sentais apaisé en cette rentrée de 1977. Malgré mes 16 ans, j'avais été déculotté et fessé par mon grand-père comme l'aurait été un gamin désobéissant ; et, pourtant, aussi étrange que ça puisse paraître, je ressentais beaucoup moins de honte que les années précédentes. J'acceptais volontiers l'idée d'avoir été corrigé (et même plutôt sévèrement). En définitive, je l'avais mérité, j'avais été puni, point final.

Je n'avais même ressenti aucune gêne à en parler ouvertement à mon camarade sur le chemin de la maison. Pascal n'était pas dans ma classe cette année (il avait choisi une autre orientation) mais nous avons continué à nous retrouver soir et matin pour faire la route ensemble vers le lycée. Pour être honnête, les lycéens qui avouaient recevoir encore la Fessée devenait de plus en plus rare. Ce détail (à la fois intime et un peu humiliant) nous rapprochait ; cette connivence a atteint son paroxysme un soir où je l'ai accompagné jusque chez lui (j'avais besoin d'un livre qu'il se proposait de me prêter). Ses parents n'étaient pas encore rentrés et comme il était fils unique (comme moi), nous étions seuls.

Il m'a proposé un verre d'eau et je l'ai suivi dans la cuisine. Il ne m'a pas fallu bien longtemps pour apercevoir le martinet qui était accroché au mur. Cet instrument me fascinait. Je n'ai pas hésité à lui demander s'il servait encore (... en rougissant tout de même un peu d'avoir osé cette question). Alors qu'il me répondait "oui, parfois" en détournant la tête comme pour éviter de croiser mon regard, je me suis saisi de l'instrument pour en apprécier les caractéristiques. J'ai commencé par l'agiter en l'air pour tenter d'entendre le sifflement sur lequel je fantasmais un peu. Presque machinalement et sans le vouloir vraiment, j'ai lui donné un coup sur les fesses. Bizarrement, il n'a pas protesté et sa réaction, qui ressemblait à une sorte d'accord tacite, m'a encore plus excité et je lui en ai mis un second. Il a lâché un petit gémissement et, à ma grande surprise, il a posé ses mains sur la table en se penchant légèrement en avant. Je me sentais rougir et je commençais à ressentir les effets de l'excitation dans mon bas-ventre. Pris par le jeu, je lui ai asséné un coup un peu plus fort - même gémissement et il a conservé la même position. J'étais au comble de l'excitation ; j'avais envie de lui demander de baisser ses jeans (que l'on portait bien ajustés et qui laissaient voir distinctement les rondeurs de ses fesses). Pris de panique, je ne l'ai pas fait et je me suis contenté de raccrocher l'instrument là où je n'aurais jamais dû le prendre.

Cet épisode a jeté un froid entre nous. Nous n'en avons jamais reparlé, mais je soupçonne qu'il a contribué à nous éloigner l'un de l'autre, peu à peu. Je me suis souvent demandé si j'aurais dû continuer à le fesser ou même lui suggérer de se déculotter complètement. L'aurait-il fait ? Avait-il envie que je continue ? En avais-je envie, moi aussi ? ... Toutes ces questions ont hanté mes nuits bien longtemps.

En y repensant, j'ai fini par me dire que je n'avais pas continué cette "fessée", car je n'avais aucune raison de la lui donner. En clair, elle n'était pas vraiment méritée (même si j'avais l'impression qu'il l'acceptait implicitement). Dans les mois qui ont suivi, je me suis efforcé de ne plus y penser. J'ai eu un vélo pour Noël et comme je l'utilisais pour aller au lycée, nous nous sommes perdus de vue, Pascal et moi. J'ai trouvé ma place au sein d'autres cercles d'amis. Je sortais avec eux de temps en temps le jeudi soir, sans que ça nuise à mes études. Mes parents commençaient à me laisser plus de liberté ; je me sentais déjà presque "adulte".

L'année est passée à toute vitesse et le "bac français" m'a semblé presque une formalité dont je me suis acquitté plutôt brillamment. Si bien que j'envisageais sans grande inquiétude mon nouveau séjour en Bretagne. J'y suis allé le cœur léger et les premiers jours passés avec mon grand-père ne m'ont pas démenti. J'étais convaincu que les punitions reçues lors des étés précédents n'étaient plus d'actualité. J'étais presque adulte et les adultes ne reçoivent pas de fessée (du moins, je le pensais sincèrement).

J'ai retrouvé les jeunes du village, qui avaient bien grandi eux aussi. Nous avons vite profité du prétexte des vacances et de nos retrouvailles pour parcourir les bars et boites de nuit de la région (l'un d'entre eux avait une voiture). Grand-père ne voyait pas du tout cela d'un très bon œil - et il ne se privait pas de me le dire. Il m'a dû me rappeler à l'ordre plusieurs fois sur les horaires des repas, le rangement de ma chambre ou l'heure à laquelle je devais être rentré chaque soir.

La loi de Murphy s'est encore révélée exacte. Un soir où nous fêtions l'anniversaire d'un des garçons de la bande, j'avais bien profité de la fête et un peu abusé des boissons alcoolisées. Pour comble d'infortune, ma montre (toujours la même) est tombée en panne et je suis rentré bien plus tard que prévu. Grand-père n'était pas couché, malgré l'heure tardive ; j'ai tout de suite senti qu'il était très en colère. Il m'a ordonné d'aller me coucher et m'a promis qu'on en reparlerait le lendemain.

Lorsque je me suis réveillé, il était parti pêcher sur le bateau de son ami. Je me suis souvenu que nous devions y aller ensemble. Conscient de la peine que je lui causais, j'ai essayé de me faire pardonner en m'attelant aux tâches ménagères. J'ai tout nettoyé dans la maison et j'ai préparé le déjeuner pour l'heure indiquée sur le petit mot qu'il m'avait laissé. A l'heure dite, il est arrivé et nous nous sommes mis à table. Je m'attendais à ce qu'il évoque les évènements de la veille, comme il avait l'habitude de le faire, mais rien ne s'est passé. Il s'est contenté de dire que j'avais raté une belle partie de pêche. La journée s'est poursuivie sans aucune allusion à mes bêtises. Je commençais vraiment à croire que l'âge des fessées était bel et bien révolu.

On ne s'est pas trop parlé ce jour-là. L'atmosphère était pesante et je me sentais coupable. Vers 17h, Grand-père lisait son journal dans le salon lorsque je suis venu le voir. Je me suis assis en face de lui et j'ai commencé par dire que j'étais désolé pour mon comportement de la veille. Comme il ne répondait pas, j'ai tenté de me justifier maladroitement et je lui ai demandé de me pardonner (en promettant de ne plus recommencer). Après un long silence, il a plié son journal et m'a demandé si je croyais à ce que je venais de dire, si je pensais pouvoir tenir ce genre de promesse sans être puni, si je méritais d'être pardonné sans avoir été corrigé... je savais qu'il avait raison, je me suis tu. Il m'a interrogé ensuite sur le fait qu'un garçon de 17 ans puisse recevoir la fessée ou bien qu'il soit trop grand pour ça. Il m'a demandé si je pensais être "presque un adulte" et si, à mon avis, un "jeune adulte" doit continuer à recevoir des fessées… j'ai fini par répondre simplement : "pardon Papy, je suis d'accord pour la fessée". Nous nous sommes levés tous les deux sans avoir besoin d'échanger aucune parole et nous sommes allés dans le bureau,

Les rideaux étaient déjà tirés (comme si ce qui allait se passer était déjà prévu). Contrairement au protocole habituel, il s'est assis sur le bureau et m'a obligé à me pencher légèrement sur sa cuisse gauche, tout en restant debout. Il a dit : "ça fait un moment que tu mérites cette fessée, n'est-ce pas ?" et, sans attendre de réponse, il a commencé à appliquer des claques fermes et vigoureuses sur mes jeans. Ce que je croyais être "ma punition" a duré juste assez longtemps pour diffuser une douce chaleur dans mes culottes, de façon assez uniforme du bas du dos jusqu'en haut des cuisses. Il m'a fait me relever et il s'est emparé de la chaise pour la placer à l'emplacement habituel.

J'ai compris que la correction ne faisait que commencer. Il s'est assis et je suis venu me placer devant lui docilement. Comme je m'y attendais, il a déboutonné mes jeans et les a fait descendre jusqu'en bas des cuisses. Je me suis rendu compte que c'était bien plus humiliant de se faire déculotter lorsqu'on porte des jeans bien ajustés ; j'ai dû retenir mon boxer pour éviter qu'il ne soit entrainé avec le pantalon. D'ailleurs, j'ai été soulagé de pouvoir me mettre en position sur ses genoux en gardant mon sous-vêtement - un privilège de l'âge peut-être. À la différence des fois précédentes, il m'a placé sur sa cuisse gauche et a utilisé sa jambe droite pour bloquer les miennes. La fessée a repris de plus bel et j'ai serré les dents pour encaisser les premières claques sans trop réagir. Soudain, il m'a ceinturé fermement avec son bras gauche, me soulevant légèrement et a dit "je vais te montrer qu'un garçon de 17 ans peut encore recevoir la fessée déculottée" et il a saisi la ceinture de mon boxer pour l'abaisser d'un coup sec au bas des cuisses.

Je me suis senti soudain totalement emprisonné et maintenu à sa merci comme je ne l'avais jamais été, incapable de me rebeller (si j'en avais eu l'intention). Je commençais à comprendre ce que seraient mes fessées de "jeune adulte". Les claques ont commencé à pleuvoir sur mes pauvres fesses. J'étais dans l'impossibilité de bouger, obligé de subir le feu de la correction. Je me répétais en boucle que je l'avais méritée et qu'il faut bien y passer. Mais j'ai tout de même fini par craquer et j'ai lâché un premier râle qui s'est transformé en sanglot ; la fessée commençait enfin pour de bon… Un garçon de 17 ans a bien le droit de pleurer en recevant une bonne fessée.


Je ne le savais pas encore, mais cette correction mémorable fut aussi la dernière (avant très longtemps).

J'avais pourtant admis l'idée qu'un "jeune adulte" pouvait encore la recevoir lorsqu'elle s'avérait nécessaire et je me sentais prêt à en assumer toutes les conséquences lors de mes prochains séjours en Bretagne. Cette éventualité m'a accompagné tout au long de cette dernière année de lycée. Malheureusement, Papy nous a quittés avant le prochain été ... et, surtout, avant que j'atteigne l'âge de cette fameuse "majorité" qui a marqué mon entrée officielle dans "ma vie d'adulte". Je me suis souvent demandé combien de temps il aurait continué à me donner "la fessée" (à chaque fois que je l'aurais méritée). Je ne le saurai jamais, mais ce besoin d'être puni de cette manière ne m'a plus quitté depuis… et je le ressens encore aujourd'hui.

Voilà, vous savez tout. Ça a été un peu long, mais je crois avoir tout dit à propos de cette période qui fut si forte en émotion pour moi.

Bien sûr, nous pouvons continuer à en parler ; n'hésitez pas à revenir vers moi si vous avez des questions, j'y répondrai en toute transparence et avec la plus grande sincérité.

Respectueusement.

Pierre



A suivre...

Pierre n'est pas le seul à avoir reçu une bonne fessée déculottée

Là, c'est Lucas


Des commentaires ?

L'expérience de Lucas, de Juliette de Josip avec Huguette ou de Marc avec sa femme ou encore de Pierre avec son grand-père vous inspire ? Vous inquiète ? Vous interroge ?

Vous avez vécu des situations analogues, soit en recevant ou en donnant la fessée à un autre adulte ? 

N'hésitez pas, les commentaires c'est fait pour ça !  

1 commentaire:

  1. Pierre était attiré par le martinet que son ami Pascal recevait parfois et il lui en a donné trois coups sur les fesses par-dessus son jean. Cependant il est étonnant que Pierre n'ait pas demandé à Pascal de lui donner quelques coups de martinet pour sentir ce que ça faisait.

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