samedi 9 novembre 2024

Le récit de Pierre - 2ème épisode

Et voici la suite du précédent épisode. Pierre séjourne de nouveau chez son Grand-père, puisque l'échange se poursuit. Il a maintenant 14 ans et ... mais vous lirez la suite.


De : hugette*****@laposte.net <hugette*****@laposte.net>

Envoyé : mardi 22 octobre 2024 08:16

À : Pierre L******** <Pierre*****@hotmail.com>

Objet : Re: En effet, je me dois d'être plus précis…



P‌ierre,

Quand, dans votre deuxième courriel, j'ai vu que vous faisiez 1,80 m et que vous évoquiez un embonpoint, je me suis douté qu'il y avait derrière une question de poids.

Pour vous parler franchement, avant d'aller plus loin, je ne me vois pas coucher en travers de mes genoux une personne qui fait 20 cm de plus que moi et une fois et demi mon poids. Je ne pourrai donc pas vous accueillir ici et c'est bien dommage. Les premiers récits que vous m'avez livrés laissent à penser que vous auriez grandement profité des fessées déculottées que j'aurai inévitablement été amenée à vous donner.

Cela dit, ça ne signifie pas l'arrêt de notre correspondance. Si vous le souhaitez, nous pourrions continuer au moins quelque temps. Il y a dans votre parcours des points que je voudrais bien éclaircir. Mais je comprendrai aussi que vous souhaitiez mettre un terme à nos échanges.

J'attends votre décision avant de vous demander des précisions.

Désolée,

Huguette.





De : hugette*****@laposte.net <hugette*****@laposte.net>

Envoyé : mardi 22 octobre 2024 18:13

À : Pierre L******** <Pierre*****@hotmail.com>

Objet : RE: En effet, je me dois d'être plus précis…

 

Pierre,

Je suis contente de votre décision, malgré la déception que je vous ai provoquée. Nous allons donc continuer à converser, puisque vous le souhaitez.

En ce qui concerne un homme qui partage mes convictions, il y a bien sûr Josip, mon compagnon à qui je donne la fessée quand il la mérite, mais qui sait aussi donner la fessée. Malheureusement, il ne se voit pas, lui non plus, avec une personne de plus de 9 kg sur ses genoux. Peut-être devriez-vous envisager sérieusement de perdre du poids ? Cela règlerait bien des questions. Je regarde dans les personnes qui m'ont contactée s'il y en a qui correspondent au profil. Mais ne vous faites pas trop d'illusion. En général, ce sont des personnes qui ont besoin de recevoir la fessée qui prennent contact avec moi.

Revenons aux fessées que vous a données votre grand-père. Vous avez raconté en détail celles que vous avez reçues à 13 ans. Ne pourriez-vous pas décrire ce qui s'est passé dans les séjours qui ont suivi, en insistant, bien entendu, sur les fessées que cet homme strict, mais juste si j'ai bien compris, vous a données, qu'elles aient été déculottées ou pas.
Vous pourriez prévoir un courriel par séjour afin de bien rentrer dans les détails.

J'attends votre réponse.

Huguette.





De : "Pierre L********" <Pierre*****@hotmail.com>

A : "hugette*****@laposte.net" <hugette*****@laposte.net>

Envoyé: mercredi 23 octobre 2024 13:30

Objet : RE: RE: En effet, je me dois d'être plus précis…



Merci Madame Huguette pour cette réponse si rapide (et pardon de n'avoir pas pu vous écrire hier).

L'intérêt que vous portez à mes mésaventures d'adolescent me touche. J'avoue que je n'ai jamais trop eu l'occasion de parler de tout ça jusqu'à présent. Ce n'est pas un sujet qu'on aborde avec n'importe qui.

Perdre du poids : oui, vous avez raison, il le faudrait sans aucun doute. Je m'y emploie à la salle de sports le plus souvent possible ; mais force est de constater que les résultats ne sont pas satisfaisants. J'ai fini par accepter que - sur bien des points (et ma physionomie en est un) que je ne suis plus l'adolescent ou le jeune homme que mon grand-père couchait sur ses genoux... même s'il m'arrive encore de mériter "une bonne fessée", je l'avoue humblement.  C'est la raison pour laquelle je suis toujours à la recherche de "la bonne personne" pour me l'administrer. Les critères de choix sont malheureusement assez restrictifs : il faut qu'i partage notre point de vue concernant les bienfaits de la fessée éducative, qu'il soit prêt à me la donner si nécessaire, qu'il ait une carrure et une forme suffisante pour me coucher sur ses genoux et m'administrer une bonne correction et, si possible, qu'il ne soit pas trop loin de chez moi. Oui, je sais, ça fait beaucoup de contraintes et ça restreint grandement le nombre de candidats. Aussi, si vous avez cette "bonne personne" dans votre entourage, n'hésitez pas à lui donner mes coordonnées (même si elle ne coche pas toutes les cases).

Mais revenons à mon grand-père…

Pour commencer, je vous demande pardon pour mon dernier courriel qui était bien trop long ; je m'en suis aperçu au moment de le relire (à propos, j'espère ne pas avoir laissé trop de fautes). Vous avez raison, nous nous contenterons d'un courriel par séjour. Ça laissera plus de place pour les questions, si vous en avez.

Pour mon second séjour en Bretagne, j'avais 14 ans. Je venais de terminer mon année de 4ᵉ au collège. Une année difficile où j'avais bien du mal à me concentrer sur mes études, trop accaparé par les copains et une envie soudaine d'autonomie (dont j'avais du mal à mesurer toutes les conséquences). Comme beaucoup d'adolescents, j'étais en rébellion contre tout ce que les adultes représentaient :  les règles, l'ordre, la réussite scolaire, le travail, l'obéissance, le respect… et en plus, j'avais pleinement conscience que j'avais besoin d'être sanctionné pour ce genre d'attitudes.

Et pourtant, l'année avait plutôt bien commencé (peut-être était-ce un effet bénéfique de ce qui s'était passé durant l'été). En tout cas, mon grand-père ne tarissait pas d'éloge sur ce petit-fils qu'il semblait avoir découvert depuis peu. Il faut préciser, à sa décharge, que nous habitions en banlieue parisienne et que nous n'allions que très rarement chez mes grands-parents du côté paternel. Ils habitaient une maison trop petite pour nous accueillir tous et ne voyageaient pas souvent. Mon père allait les voir 2 à 3 fois par an et nous échangions des lettres le reste du temps. Même le téléphone n'était pas dans leurs habitudes. Au décès de ma Mamie, mon père décida qu'il nous faudrait lui rendre visite plus souvent. Cependant, pour ne pas le fatiguer et vu la taille de sa maison, nous irions à tour de rôle et (comme vous le savez) j'avais fait ma B.A. l'été passé - au détriment de mes fesses et de ma fierté d'adolescent.

À la Noël, mes parents ont proposé que j'y retourne l'été suivant. Je n'étais pas très chaud à cette idée - sans pouvoir leur expliquer pourquoi, bien évidemment (j'avais trop honte d'évoquer les fessées que j'avais reçues). J'ai donc fini par accepter pour ne pas passer pour un fils ingrat.

Dès le début du second trimestre de cette année-là, mes résultats scolaires se sont dégradés. Je n'en étais pas très fier et, bien sûr, je me suis bien gardé d'en parler à mon grand-père dans les courriers que je devais rédiger à son attention (en fait, je m'étais auto-persuadé que c'était pour ne pas le décevoir).

Ce que je n'avais pas anticipé, c'est que mon père irait lui rendre visite au printemps. Fort heureusement, il semble bien que Grand-père ait passé sous silence les punitions dont j'avais bénéficié. Par contre, j'ai compris bien plus tard que mon père avait partagé ses inquiétudes (légitimes) sur le déroulement de ma scolarité..

La fin de l'année est arrivée et je suis passé comme par miracle dans la classe supérieure (mais de justesse). J'avais dû promettre de travailler sérieusement pendant l'été pour me remettre à niveau avant la rentrée. Mon second séjour en Bretagne approchait rapidement et j'avais comme une boule à l'estomac. Bizarrement, depuis plusieurs mois, mon grand-père ne m'interrogeait plus sur mes notes dans ses lettres, en me félicitant à peine pour mon passage en 3ᵉ. J'avais un mauvais pressentiment, à tel point que j'ai même envisagé de simuler d'être malade afin d'annuler mon voyage. J'y ai finalement renoncé. J'ai bouclé ma valise et j'ai pris le train vers Quimper, prêt à assumer les conséquences de mes actes.

Mon grand-père m'attendait sur le quai de la gare, visiblement contrarié d'avoir dû annuler une partie de pêche pour venir me chercher.

Nous sommes rentrés directement à la maison et j'ai juste eu le temps d'enfiler ma tenue de vacancier (mon bermuda habituel et un pull plus léger par-dessus mes sous-vêtements) avant de passer à table. L'ambiance était un peu lourde, mais Grand-père a attendu le dessert pour évoquer mes résultats scolaires. Il me reprochait surtout de ne pas l'avoir tenu au courant de mes difficultés et de la dégradation de mes résultats. J'ai cru bon d'essayer de défendre mon bilan en accusant certains professeurs de parti pris et d'idées préconçues à mon égard ; mais c'était manifestement une erreur de stratégie. Mon grand-père m'a expliqué calmement qu'il avait été à deux doigts de conseiller à mon père de me fesser, mais qu'il avait finalement décidé de s'en charger lui-même... et c'était ce qui allait arriver dès maintenant. Et il m'a demandé d'aller l'attendre dans le bureau ("dans la position habituelle" ... a-t-il précisé).

J'étais tétanisé. J'ai fini par me lever en silence, dans un état second, complètement sonné face à la perspective de ce que j'allais devoir subir une nouvelle fois.

Sitôt dans le bureau, je suis allé fermer les rideaux (la fenêtre donnant sur la rue) et je me suis placé debout face au mur avec les mains sur la tête comme je l'avais fait l'année passée. Je me suis demandé s'il n'aurait pas été opportun de baisser moi-même mon bermuda pour tenter d'alléger la sévérité de la correction que j'allais recevoir (et pour signifier que j'acceptais ma punition). J'ai longtemps hésité, submergé par une cascade d'émotions, entre honte et excitation. J'étais sur le point de me décider à le faire lorsque mon grand-père est entré.

Selon le protocole désormais habituel, il a placé la chaise, s'est assis et m'a ordonné de venir face à lui. Puis tout s'est enchainé de façon presque mécanique : le bouton de la culotte, la braguette, les pinces de mes bretelles, devant, derrière, la culotte qui descend, le pull retroussé, le maillot de corps sorti du slip et remonté également, l'air frais qui caresse mon ventre et le bas de mon dos, les doigts glissés dans la ceinture du slip, le slip qui descend à son tour, mon sexe exposé au regard de celui qui va me corriger… Je suis à moitié nu, slip et bermuda sur les chevilles, j'ai honte… Je m'allonge sur ses genoux, les mains au sol (je me permets de saisir sa cheville, il me laisse faire), les jambes tendues, le bout de mes baskets touchant le sol… j'attends le début de ma punition, résigné.

Les premières claques tardent à venir. Grand-père parle presque à voix basse pour m'expliquer pourquoi il doit me corriger, en caressant doucement mes fesses. Je me détends, je regrette mon comportement, je commence déjà à demander pardon et à reconnaître mériter "une bonne fessée". Puis ma correction commence, doucement au début, une fesse, puis l'autre. Je ressens une douleur persistante à chaque impact. J'avais beau m'y attendre, mais l'accumulation de claques au même endroit devient vite insupportable. Je sers les dents, bien décidé à retenir mes larmes le plus longtemps possible. Je me réfugie dans l'idée que je dois être corrigé et que j'ai trop longtemps attendu. Je cambre même le bas du dos pour offrir mes fesses à la correction. La honte et la douleur me submergent, je perds le contrôle de mes émotions, je laisse exploser un premier gémissement qui se transforme en sanglots et en pleurs… la fessée a bel et bien commencé.

Cette seconde "véritable correction" a tenu ses promesses. J'ai retrouvé mes esprits lorsque j'étais exposé "au piquet", face au mur, mains sur la tête et "les fesses à l'air". Grand-père était assis à son bureau, il lisait tranquillement. Je me sentais apaisé, quoiqu'un peu ridicule dans cette position. Je sentais que mon sexe se redressait peu à peu, il était presque déjà à l'horizontale, mais j'avais fini par accepter cette petite humiliation supplémentaire. Ce qui concentrait toute mon attention, c'était que j'avais perdu toute sensibilité entre le bas de mon dos et le haut des cuisses - une sensation bizarre. Je n'avais qu'une envie : frotter mes fesses vigoureusement, en piétinant sur place pour leur redonner vie, comme je l'avais fait l'an passé.

C'est d'ailleurs ce qui s'est passé peu de temps après. Une fois reculotté, Grand-père m'a assis sur ses genoux et m'a pris dans ses bras affectueusement en murmurant que "j'avais été puni et que c'était fini". C'était la première fois qu'il se laissait aller à de tels épanchements de sentiments avec moi. J'étais bien et j'avais presque envie de me remettre à pleurer. Je l'aimais bien, mon Papy, malgré tout.

La suite du séjour s'est déroulée de façon agréable comme de vraies vacances, mis à part quelques allusions gênantes à ce qui s'était passé le premier jour - y compris en présence de ses amis lors de nos promenades quotidiennes au parc. Moi, je rougissais en silence, en ressentant parfois quelques picotements à l'arrière de ma culotte. 

C'est d'ailleurs dans ce parc que j'ai eu mes dernières émotions de ce séjour, presque à la veille de mon départ. Nous approchions du fameux bosquet à l'abri duquel Grand-père m'avait déjà fessé. Ce jour-là, j'avais mis ma tenue de foot dans l'espoir de rejoindre les jeunes du village au stade, après notre promenade. Tout à coup, mon grand-père me dit d'un ton plus sévère que j'avais encore oublié de débarrasser mon bol ce matin. J'ai réalisé que c'était surement vrai et je lui ai demandé pardon immédiatement. Sans trop écouter, il enchaina immédiatement sur le fait que j'avais sans doute besoin d'une nouvelle fessée avant de rentrer chez moi. Il m'a attrapé par le bras et nous avons hâté le pas en direction desdits bosquets.

Les choses sont allées très vite, il m'a agrippé fermement sous son bras gauche et a commencé à appliquer les claques vigoureuses dont je commençais à avoir l'habitude. Je n'avais qu'une crainte : c'était qu'un promeneur attiré par le bruit ne vienne voir ce qui se passait. J'essayais donc de retenir mes gémissements, bien que ça commençait à chauffer sérieusement. Soudain, j'ai senti des doigts s'immiscer dans la ceinture de mon short et avant que j'aie pu réagir, il était déjà rendu à mi-cuisse. La panique a atteint son paroxysme lorsque mon slip a suivi le même chemin que ma culotte. J'étais persuadé que le bruit des claques ne laisserait plus aucun doute aux curieux éventuels sur le fait qu'il s'agissait bien d'une "fessée déculottée" ... Fort heureusement, mon grand-père a eu la gentillesse d'abréger la séance, en prenant soin de me reculotter lui-même (une petite vexation supplémentaire dont il avait le secret). Sur le chemin du retour, je fulminais intérieurement. J'étais rouge de honte et de colère : une "fessée déculottée" en public, l'humiliation ultime (même si, fort heureusement, personne ne m'avait vu… enfin, je l'espérais). J'ai réalisé ensuite que mon short (que l'on portait très court à cette époque) laissait probablement apparaitre des traces rouges sur le haut de mes cuisses. Je n'osais pas regarder, mais j'en étais persuadé. Et comble d'infortune, nous avons croisé l'un des deux hommes qui m'avait vu la recevoir la première fois. En voyant ma mine dépitée, il a tout de suite compris et a cru bon d'ajouter : "une bonne fessée, ça fait circuler le sang ; on n'en meurt pas. »

Paradoxalement, cette fessée-là m'a vexé davantage que la correction magistrale reçue en début de séjour. Certes, je ne remettais pas en cause son bien-fondé et le fait qu'elle soit méritée (une fois encore), mais j'avais le sentiment qu'une nouvelle limite avait été franchie : celle d'être "déculotté en public" - même si ce n'était pas franchement "devant tout le monde", pour reprendre le vocable qui était utilisé pour menacer les plus jeunes à cette époque. On ne m'avait pas vu, mais très certainement entendu recevoir la fessée, moi - un adolescent de 14 ans.

Mon séjour s'est terminé sur cette note de rébellion et je suis retourné chez moi - dans cet autre monde où personne ne savait. Les jours et les semaines passant, j'ai fini par reconnaitre que tout ce qui s'était passé était bien mérité et que je n'avais qu'à m'en prendre à moi-même de n'avoir pas fait ce qu'il fallait pour l'éviter. Dopé par ces émotions, je me suis attelé à mes révisions et j'étais fin prêt pour attaquer ma dernière année de collège, qui fut probablement la meilleure de toute ma scolarité.

Voilà toute l'histoire ; pardon d'avoir été si long, une fois de plus.

N'hésitez pas à me poser toutes les questions qui vous viennent (même les plus intimes ou dérangeantes… je me sens en confiance avec vous).

À vous lire

Respectueusement.

Pierre



A suivre...

Pierre n'est pas le seul à avoir reçu une bonne fessée déculottée

Là, c'est Lucas



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L'expérience de Lucas, de Juliette de Josip avec Huguette ou de Marc avec sa femme ou encore de Pierre avec son grand-père vous inspire ? Vous inquiète ? Vous interroge ?

Vous avez vécu des situations analogues, soit en recevant ou en donnant la fessée à un autre adulte ? 

N'hésitez pas, les commentaires c'est fait pour ça ! 

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