lundi 4 novembre 2024

Journal d’un grand garçon fessé – lundi 4 novembre 2024 – 11 h 05

Il fallait bien que je m’y attende. Quand ma compagne me promet une fessée, elle va jusqu’au bout de sa promesse.

« Tu vas avoir une grosse fessée, m’avait-elle dit ! »

Elle a tenu son engagement. Bien qu’elle ait dû différer l’administration de la correction, je n’ai rien perdu pour attendre, comme elle me l’avait dit. Il lui était, en effet, difficile de me déculotter et de me punir correctement la semaine dernière. Il y avait bien trop de monde autour de nous.

« Je vais attendre que nous soyons seuls, avait-elle promis ! »

Ce matin, nous étions seuls. Je savais ce qui m’attendait, d’autant plus qu’hier soir, elle m’avait rappelé que je devais recevoir une fessée. Elle n’avait pas oublié. De toute façon, elle n’oublie jamais ce genre de chose, surtout quand elle a jugé que j’avais mérité une punition.

Tout avait commencé par un échange de SMS. Je n’étais pas à côté d’elle et je lui ai envoyé un bisou, comme elle et moi le faisons couramment. En retour, j'ai reçu un message qui était loin de me réjouir.

« Bien, mais je ne suis pas contente. Je découvre que tu joues à des jeux d’argent. Tu mérites une punition ! Maman. »

Je me suis bien gardé de répondre. Effectivement, il m’arrivait de jouer pour espérer (avec peu d’espoir !) gagner assez d’argent pour réaliser tous nos projets, les siens comme les miens. Mais je ne voyais pas comment elle avait pu le savoir. Je ne lui l’avais pas dit, bien entendu. J’attendais d’avoir gagné, tout en sachant que c’était très improbable. Comment avait-elle su ?

Dès mon retour, alors que nous avions un peu d’intimité, elle est revenue sur le sujet.

« Je ne sais pas de quoi tu parles, ai-je prétendu.

– Ah, tu ne sais pas ? Eh bien, regarde ! »

Elle a affiché l’historique de l’ordinateur où toutes les connexions sur le site en question apparaissaient distinctement. Il ne me restait plus qu’à lui mentir.

« Mais ce n’est pas moi ! »

Avec ma compagne, quand je lui mens, j’arrive à faire passer les choses les plus improbables. En général, elle ne vérifie pas et quand je me fais prendre, certes, je reçois une fessée pour ce que j’ai fait et que j’ai essayé de couvrir par un mensonge, ce qui est bien normal, mais je n’ai jamais été fessé pour le mensonge lui-même. Sans doute ma compagne n’accorde-t-elle pas d’importance à ce que je lui mente ? Ou bien elle ne se rend pas compte que je lui raconte une fiction ? Donc, je continue, ce qui m’évite plein de punitions.

Cette fois-ci, ça n’a pas marché. Elle n’a pas cru le mensonge. C’est vrai qu’il était un peu gros, mais, dans l’urgence, je n’avais rien trouvé de mieux.


Ce matin, dès mon retour, elle s’est mis en mode « Maman qui va punir son garçon ». Je m’y attendais, mais c’est toujours aussi désagréable. Elle a de nouveau affiché l’historique de navigation et m’a questionné sur mes ce que je voulais faire en me connectant sur ce site et sur mes intentions de recommencer. Bien sûr, je lui ai promis tout ce qu’elle voulait. Il n’était pas question d’aggraver mon cas.

« Je pense que ça mérite une bonne fessée, non ? »

Je n’ai rien répondu. Je ne pouvais plus grand-chose pour atténuer la fessée qui s’annonçait, par contre, une réponse malheureuse pouvait l’amener à aggraver la punition. Il était donc préférable de me taire. C’est ce que j’ai fait.

« Bon, a conclu ma compagne, va chercher la brosse ! »

Je savais ce dont elle parlait. C’était la brosse dont elle se servait pour se peigner. Elle avait un dos en bois large. Une fessée avec la brosse, j’en avais déjà reçu plusieurs, cela n’indiquait pas une partie de plaisir. Quand je revins et que je la lui tendis, elle rajouta :

« La ceinture, maintenant, apporte-moi-la ! »

La brosse puis la ceinture ? Elle avait vraiment l’intention de me faire regretter mes connexions sur le site de jeu. Cela n’augurait rien de bon pour mes fesses. Mais il fallait faire profil bas et supporter courageusement la punition. Tout acte de contestation se traduirait immanquablement par une fessée encore plus sévère. Visiblement, elle n’avait pas l’intention d’utiliser les orties. Il ne fallait pas lui en donner le prétexte. Dès que je lui ai tendu ce deuxième instrument, elle me prit par la main et elle m’entraîna là où il y avait un peu plus de place. D’abord, elle positionna une chaise. Je crus que ce serait là le lieu de la fessée qui m’attendait. Il n’en fut rien, ou plus exactement pas tout de suite.

Ma compagne baissa mon pantalon, puis ma culotte. Je ne m’attendais à rien d’autre. Je savais que la fessée que j’allais prendre serait déculottée. Il ne pouvait en être autrement. Non seulement une fessée donnée directement sur la peau des fesses nues est bien plus douloureuse que quand elle est protégée, ne serait-ce que par le fin tissu d’une culotte ; mais en plus, ma compagne me signifiait ainsi qu’elle ne me considérait plus comme un adulte bénéficiant de privilèges liés à son âge. Elle pouvait donc me baisser la culotte pour me punir, quelles que soient les personnes présentes. Exposer mes fesses nues ne saurait alors être un obstacle à l’administration d’une fessée utile pour mon éducation. Heureusement, elle était seule dans la maison. C’est déjà assez difficile de se faire déculotter quand on est un adulte et qu’il y en a une autre qui décide pour vous que baisser la culotte est un mal nécessaire.


Alors, elle me courba sous son bras. Elle avait alors mes fesses à disposition de sa main. Elle ne s’en priva pas. Très vite, je criais de douleur. Mes fesses étaient en feu, mais il n’était pas question de quitter la position dans laquelle elle m’avait mis. Je passais mon bras autour de son bassin et j’accrochais son genou de l’autre main. Je me cramponnais, bien décidé, coûte que coûte, à supporter la correction jusqu’à son terme.

La fessée à la main cessa, mais ce ne fut que parce qu’elle s’emparait de la ceinture et, après l’avoir enroulée autour de son poignet, elle en usa largement sur mon postérieur. Je hurlais à chaque fois qu’elle l’y appliquait.

Avant, ma compagne doublait la ceinture quand elle me donnait une fessée avec elle. Cela ne faisait pas grand mal. Bien sûr, tu la sens quand elle tombe sur tes fesses, mais c’est très supportable. Maintenant qu’elle en faisait atterrir uniquement l’extrémité sur mes fesses, je sentais la différence. De plus, en me tenant courbé sous son bras, il n’y avait pas d’obstacle à l’élan qu’elle prenait. La ceinture arrivait sur mes fesses à pleine vitesse. Le claquement en était très douloureux, mais c’était bien ce qu’elle cherchait. Je serrais les dents autant que je le pouvais, ce qui ne m’empêchait pas de crier de douleur, luttant pour ne pas me relever. Je savais que ma compagne ne l’accepterait pas.


Quand elle cessa, je savais que la punition n’était pas encore arrivée à son terme. La brosse n’avait toujours pas été utilisée. Elle s’assit sur la chaise et elle me prit par le haut du bras. Elle m’obligea alors à m’allonger à plat ventre en travers de ses genoux. Dans cette position, j’avais plus de mal à me relever de mon propre chef. Ma compagne me maîtrisait bien mieux. Mes pieds ne touchaient plus le sol. D’une main, j'attrapais le pied d’une chaise et de l’autre, j'agrippais sa cheville. Elle posa son coude dans mon dos et plaça sa main gauche sur mon flanc droit, m’indiquant, par ce geste, la limite qu’elle me donnait.

La fessée commença alors. Bien vite, la cuisson, se rajoutant à celle provoquée par les fessées précédentes, devint insupportable. Je gigotais des pieds, mais cela n’empêchait en rien le déroulement de la correction. Je ne sais combien de fois elle la fit tomber sur mes fesses. Je n’étais plus en état de compter. Je crois qu’elle en couvrit toute la surface qui devait être toute rouge.

Quand elle cessa, ce ne fut que pour annoncer la prochaine fessée.

« Va chercher la brosse ! »

L’instrument était resté sur la table basse. Les chevilles toujours entravées par mon pantalon, je saisis la brosse et je la lui ramenais.

« Maman !

– Quoi, répondit-elle vivement ! Tu crois que tu ne l’as pas méritée ? »

Bien évidemment, je ne répondis pas, mais il fallait que je lui montre que j’acceptais cette fessée comme une punition méritée. Je lui tendis la brosse et avec son aide, je repris place à plat ventre en travers de ses genoux. La brosse entra en action aussitôt.

Bien sûr, je sentis tout de suite la différence. Là où la brosse tombait, elle laissait une brûlure plus intense que ce que la main avait fait. Mais j’eus l’impression que ma compagne ne donnait pas toute sa mesure avec cet instrument. Elle m’en avait déjà donné des fessées bien plus cuisantes. D’ailleurs, elle ne dura pas, comme si elle avait peur de me donner une trop grosse correction.

La main de ma compagne prit le relais. Ce fut, sans doute, le pire. Après toutes les fessées que j’avais déjà reçues, sa main parachevait le travail. Je hurlais de douleur, tout en prenant garde à rester dans cette position, bien commode pour m’administrer la punition qu’elle avait souhaitée.


Remis sur mes pieds, je lui fis la promesse de ne pas recommencer, puis, elle m’envoya au coin. Évidemment, il n’était pas question de remonter ma culotte. Mes fesses nues, sans doute écarlates après les fessées qu’elle m’avait données, devaient être à la vue de toute personne qui entrerait dans la pièce. Je n’avais pas encore recouvré mon statut d’adulte et ma culotte, baissée à hauteur de mes genoux, en attestait.

Je mis mon nez dans l’angle de la pièce, je croisais mes bras dans mon dos, remontant ainsi le tee-shirt sur mes reins et j’attendis. Il n’y eut qu’un court moment où je pus consulter ma montre, ce qui était, bien sûr, formellement interdit, mais les bruits d’une porte éloignée du coin m’en laissèrent le loisir. Je repris très vite la position. Il n’était pas question que ma compagne me prenne en pleine désobéissance, je n’étais pas certain de pouvoir supporter la fessée qui en résulterait. Mes fesses me cuisirent encore de longues minutes, puis, graduellement, la douleur s’estompa.

Je dus, cependant, rester dans cette position encore un bon bout de temps avant que ma compagne me libérât. Ce ne fut qu’après lui avoir demandé pardon qu’elle m’envoya dans la chambre rédiger le texte que vous lisez en ce moment.


D'autres articles qui permettent de comprendre la situation décrite ci-dessus


La première fessée du journal racontée ici

 

Des témoignages ?

Il s'agit, ici grâce à mes témoignages, de constituer un journal d'un adulte soumis à la discipline dans la vie réelle et pour des motifs réels. Cela pourrait intéresser des alter ego qui sont invités à témoigner à leur tour, ainsi que ceux qui administrent la fessée à un autre adulte et même les personnes qui se posent la question de recourir à de telles méthodes avec un adulte de leur entourage.
Insistons sur le caractère réel du témoignage et de ceux qui sont attendus. Je reçois, en effet, régulièrement la fessée quand je l'ai méritée, comme je l'ai décrit dans l'article mentionné ci-dessus. Ma compagne a décidé, en punition de mes comportements immatures, que je dois publier le récit circonstancié et détaillé de chacune des fessées que je recevrai, quelle que soit la personne qui l'administre, comme punition complémentaire et pour me faire assumer jusqu'au bout mes moments d'immaturité.
Suis-je le seul à être puni de cette façon ? D'autres personnes ont-elles décidé de soumettre un autre adulte au même type de punition ? L'avez-vous simplement envisagé sans oser passer à l'acte ? Tous les commentaires allant dans ce sens seront publié... si vous nous en donnez l'autorisation.

En réaction à ce premier article, et il y en aura certainement d'autres quand je recevrai d'autres fessées, je m'engage aussi à répondre à toutes les interpellations et tous les témoignages. Si vous n'êtes pas satisfaits de mes réponses, faites-le savoir, cela me vaudra, sans aucun doute, une nouvelle correction.

2 commentaires:

  1. Bonjour Josip. Je vois que maman Huguette est toujours aussi vigilante et sévère et qu’elle veille à ton bon comportement avec la plus stricte attention. En outre elle t’impose de relater en détail toutes les punitions et fessées que tu reçois, quelle que soit la personne qui te l’administre. Faut-il comprendre qu’en dehors de maman Huguette d’autres personnes t’administrent la fessée pour ton attitude de garçon immature… ? Ça c’est une très bonne idée et une punition supplémentaire très efficace.
    De mon côté Marraine qui s’occupe de mon éducation ne me laisse rien passer elle est de plus en plus attentive à mon éducation et je sais qu’elle a raison. Tu vois, moi aussi j’aime j’ai vraiment besoin d’autorité. Je suis content de voir que je ne suis pas le seul à être soumis à une discipline domestique rigoureuse. Les fessées que je reçois je sais que je les mérite. Chez nous la fessée est toujours administrée culotte baissée à la main ou au martinet, plus rarement, les orties. Je sais que je dois obéir à Marraine. Tu sais elle entend être obéie sans avoir à répéter les choses plusieurs fois. Si je n’obéis pas je sais ce que je risque. Je t’ai relaté en détail récemment comment mercredi dernier j’ai été corrigé par Marraine pour lui avoir désobéi et en en plus pour avoir menti après avoir cassé un vase. Ce matin aussi j’ai fait une bêtise mais
    Marraine ne s’en est pas aperçu. Ça arrive parfois. J’espère pouvoir échapper à la sanction… sinon c’est mes fesses qui vont prendre. Oui cul nu et en travers des genoux la fessée, c’est toujours ainsi. Je n’ai jamais encore eu droit au centurion ni aux verges. Quelques fois quand même la règle plate ou la brosse. Rarement.
    Bien à toi
    Pascal

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  2. Je ne sais pas si Marraine prend exemple sur maman Huguette, je ne le crois pas, mais c’est vrai que leurs méthodes éducatives sont très proches. Pour l’instant, contrairement à toi, je suis libre de ne pas faire état des fessées que je reçois. Oufff. Il m’arrive d’en parler parfois librement sur ce site. Je reconnais que c’est parfois difficile surtout les premières fois. Il est difficile de reconnaître qu’étant adulte on a besoin d’être éduqué comme un gamin immature et qu’on reçoit la fessée déculottée. Seules certaines personnes pratiquant la même discipline peuvent comprendre. Et bien peu de ceux qui reçoivent la fessée éducative osent en parler. C’est ce que je crois.

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