J’ai cru, que ma compagne avait renoncé à me donner la fessée déculottée quand nous étions en extérieur. J’avais tort. Ce qui s’est passé hier me l’a montré. Heureusement, elle n’en est pas encore à me baisser la culotte, qu’il y ait des témoins ou pas.
Pour tout vous dire, quand elle m’a annoncé que j’allais prendre une fessée, j’ai trouvé le motif futile. J’ai bien essayé de négocier, arguant du caractère anodin de ce que je venais de faire, mais vous savez comment ça se passe. Quand elle a décidé de me donner une fessée, il est très difficile, pour ne pas dire impossible, de la faire changer de projet. La fessée a donc été jusqu’au bout.
Par la suite, je me suis dit que si le motif qui a déclenché la punition était effectivement superficiel, la punition que j’avais reçue l’était beaucoup plus probablement « pour l’ensemble de mon œuvre ». En effet, depuis le début de cette ballade, mon comportement était loin d’être irréprochable.
Comme il y avait un brin de soleil, nous avions décidé d’aller marcher un peu. Il y avait, à proximité de l’endroit où nous nous trouvions, un étang que nous ne connaissions pas encore. Ce que nous avions pu glaner à son sujet et l’examen des cartes était alléchant. Nous ne nous sommes pas trompés.
Hier après-midi, nous sommes donc partis pour cette promenade. Un peu de marche à pied, cela ne peut pas faire de mal. Dans le parking où nous avons laissé la voiture, nous avons mis nos chaussures de marche. Il était question d’un parcours humide et même s’il n’avait pas plus depuis deux jours, il était probable, au bord d’un étang en cette fin du mois d’octobre, que nous ayons à franchir quelques endroits détrempés.
« Tu vas avoir une fessée ! »
J’ai protesté.
« Pourquoi ? Je n’ai rien fait !
– Tu as laissé traîner ma veste dans la boue !
– Et je vais avoir une fessée pour ça ?
– Exactement ! Viens ici ! »
Ici, c’était un peu à l’écart du chemin sur lequel nous nous trouvions. Une petite dizaine de mètres, mais pas suffisamment, si une autre personne arrivait, pour nous dissimuler à son regard. J’eus le bref espoir que ma compagne n’envisageait pas de me baisser la culotte en un lieu où le passage d’autres promeneurs était possible. Je fus bien vite convaincu du contraire.
Ma compagne m’enleva ma veste et elle la posa sur un tronc d’arbre à proximité. Puis, elle me fit faire les quelques pas pour me placer au centre d’un endroit dégagé. Alors, elle me courba sous son bras. Si d’autres personnes déambulaient sur le chemin, la position qu’elle m’avait fait prendre ne leur laisserait aucun doute. C’était d’une fessée qu’il s’agissait.
Mais elle ne comptait pas s’en tenir là. Elle saisit la taille du pantalon de mon survêtement et elle le baissa sans plus de cérémonie. Mes supplications furent bien inutiles. Elle passa son doigt sous l’élastique de la culotte et elle la baissa, comme elle l’avait fait pour le pantalon. Elle ne s’était pas contentée de les faire descendre sur le haut de mes cuisses, comme elle le faisait parfois quand elle craignait la survenue d’autres personnes. Non, là, ils étaient tous les deux en dessous de mes genoux. Il n’y avait pas à s’y tromper. Une fessée déculottée était en préparation.
Sa main claqua sur mes fesses une bonne vingtaine de fois. Elle alternait un côté, puis l’autre et enfin, comme elle le faisait souvent, elle ponctua la fessée en s’appesantissant plusieurs fois au même endroit. Je poussais alors quelques cris. Sa main avait un peu chauffé mes fesses et je me préparais à une suite plus difficile à supporter.
Mais ma compagne me relâcha. Elle prit quelques secondes pour me gronder, puis elle me reculotta. J’étais stupéfait. Non seulement, cette fessée avait été bien légère, mais en plus, elle ne m’annonçait pas une suite plus consistante dans un futur proche. Je me suis bien demandé ce qui lui arrivait. Cela ne lui ressemblait pas de m’administrer une aussi petite correction. Il n’avait pas même été question d’une fessée d’avertissement, ce qui aurait pu expliquer sa clémence.
Je n’allais tout de même pas m’en plaindre. Pourtant, en y réfléchissant bien, ce que je fis dans les minutes qui ont suivi cette petite fessée, elle aurait eu toutes les raisons de me faire regretter mon comportement.
En venant jusqu’à l’étang, dans la voiture, ma compagne m’avait fait quelques remarques que je n’avais pas appréciées. Je ne pouvais pas montrer ouvertement ma mauvaise humeur. Je croyais ma compagne capable d’arrêter la voiture, de m’en sortir et de me donner une mémorable fessée déculottée sur le bord de la route où il ne passait pas grand monde. Je n’étais pas certain de sa réaction puisqu’elle ne m’avait pas donné de fessée en extérieur depuis bien longtemps. Mais il était préférable d’être prudent.
Mon aigreur ne s’était pas dissipée quand nous avons commencé notre balade. Il ne fallait pas que ce soit une bouderie évidente, ma compagne saurait comment s’y prendre pour la faire passer. Non, il fallait quelque chose de plus subtile. Je mis donc de la mauvaise volonté à obéir à ses consignes. Une mauvaise volonté discrète, mais une mauvaise volonté tout de même.
Je marchais là où s’était encore humide alors qu’elle m’avait interdit de passer là où il y avait de l’eau ; je passais de l’autre côté des mares alors que c’était, visiblement, le côté le moins évident ; je prenais quelques pas d’avance, mais je m’arrêtais dès qu’elle m’en intimait l’ordre ; j’ironisais sur les choix de chemin qu’elle faisait pour éviter les flaques… bref, je me montrais discrètement désagréable, mais sans lui donner un motif suffisant pour me punir.
Il y eut bien quelques moments où je passais tout près d’une correction, mais l’arrivée opportune d’autres marcheurs la détourna de son projet et je me fis aussi sage que possible pour que, quand cela serait devenu faisable, elle renonce à l’intention que je lui supposais.
Mais je l’avais suffisamment agacée pour qu’elle saisisse le plus petit motif pour me donner une fessée.
Il y eut bien deux autres moments délicats au cours de la fin de notre marche.
Le premier, c’est quand elle me baissa la culotte au ras des fesses pour me donner une rapide fessée, las où d’autres personnes pouvaient survenir à tout moment. Nous étions dans un endroit bien plus passant que pour la première correction. Ce ne fut qu’une petite fessée qui ne fut embarrassante pour moi qu’à cause du lieu dans lequel elle se déroulait.
La deuxième fois, ce fut quand ma compagne me demanda :
« Tu veux une fessée ? »
Ce ne fut pas tant la phrase qui fait partie des menaces qu’elle profère souvent, mais la présence, à moins de deux mètres d’une dame qui n’avait pu faire autrement que d’entendre l’admonestation de ma compagne. Je ne répondis rien, de peur qu’elle mette sa menace à exécution, et la dame n’eut aucune réaction. Elle avait pourtant très certainement entendu ce que ma compagne avait dit.
Voilà comment, en extérieur, j’ai reçu une petite fessée, tout de même déculottée. J’ai bien peur qu’une prochaine fois, ma compagne soit bien plus sévère.
D'autres articles qui permettent de comprendre la situation décrite ci-dessus
La première fessée du journal racontée ici
Des témoignages ?
Il s'agit, ici grâce à mes témoignages, de constituer un journal d'un adulte soumis à la discipline dans la vie réelle et pour des motifs réels. Cela pourrait intéresser des alter ego qui sont invités à témoigner à leur tour, ainsi que ceux qui administrent la fessée à un autre adulte et même les personnes qui se posent la question de recourir à de telles méthodes avec un adulte de leur entourage.
Insistons sur le caractère réel du témoignage et de ceux qui sont attendus. Je reçois, en effet, régulièrement la fessée quand je l'ai méritée, comme je l'ai décrit dans l'article mentionné ci-dessus. Ma compagne a décidé, en punition de mes comportements immatures, que je dois publier le récit circonstancié et détaillé de chacune des fessées que je recevrai, quelle que soit la personne qui l'administre, comme punition complémentaire et pour me faire assumer jusqu'au bout mes moments d'immaturité.
Suis-je le seul à être puni de cette façon ? D'autres personnes ont-elles décidé de soumettre un autre adulte au même type de punition ? L'avez-vous simplement envisagé sans oser passer à l'acte ? Tous les commentaires allant dans ce sens seront publié... si vous nous en donnez l'autorisation.
En réaction à ce premier article, et il y en aura certainement d'autres quand je recevrai d'autres fessées, je m'engage aussi à répondre à toutes les interpellations et tous les témoignages. Si vous n'êtes pas satisfaits de mes réponses, faites-le savoir, cela me vaudra, sans aucun doute, une nouvelle correction.
Bonjour Madame Huguette
RépondreSupprimerJe suis content que vous publié à nouveaux les fessees de JLG
Surtout que j ai exactement la même idée de la fessée diciplinaire .
J'ai eu il y a 4ans un suivi par une dame chez qui j'allais pour me faire un recadrage sur mes tres large lacune en orthographe, conjougaison et d'autres. Bien sur j allais chez elle la peur au ventre car je savais que la fessée n 'étais jamais loin, surtout apres la dictée, leçon de gramaire. être grondé, mise au coin toujour la culotte baissé, et bien sur la fessée . Hélas le suivi c'est arrêté car elle est malade. Depuis je recherche un dame pour reprendre mon niveau d'ortographe et gramaire .
Bonjour commentateur anonyme,
RépondreSupprimerEt si vous commenciez par vous présenter un peu plus ?
J'attends votre réponse,
Huguette
Je me prénome marc, j ai 62ans, celibataire , retraité, habite Toulon
RépondreSupprimerAh oui. Il me semble que nous avons déjà échangé des messages et que ça n'avait mené nulle part.
SupprimerTant pis,
Huguette
Moi aussi je suis un adulte et je reçois la fessée déculottée, éducative et punitive. C’est ma compagne qui a pris en charge mon éducation. Ma compagne lorsqu’elle exerce sa fonction punitive je l’appelle Marraine. Depuis notre rencontre, elle s’est tout de suite aperçu que j’étais resté immature. Elle dit souvent que je suis resté un vrai gamin. Je suis sûr qu’elle a raison et c’est pour cela que j’ai accepté de lui confier mon éducation. Elle s’en acquitte d’ailleurs avec beaucoup de rigueur et de fermeté. Elle a tout de suite mis en application une discipline domestique à laquelle je dois me soumettre. Elle a pleine autorité sur moi pour me gronder et me corriger. C’est elle qui décide et je sais que je dois lui obéir sans discuter. En fait j’ai besoin de cette autorité. Toute désobéissance ou comportement qu’elle juge inapproprié est immédiatement sanctionnée. Marraine m’avertit qu’elle va me fesser lorsqu’elle considère que je dépasse les bornes. Elle n’aime pas répéter la même chose dix fois. Si je n’ai pas compris, c’est la fessée déculottée et je sais que je la mérite. Elle me ne passe rien et tout écart est puni. Bien sûr j’essaye toujours de louvoyer pour ne pas me faire prendre mais ça ne marche pas. Elle a vite fait de débusquer mes manigances et ça ne fait qu’aggraver la punition. La culotte est vite baissée et ça me fait prendre conscience de mes bêtises surtout lorsque je suis mis au coin après avoir été corrigé et expédié dans ma chambre. Les fautes les plus graves sont sanctionnées au martinet. Oui nous avons un martinet et Marraine sait le manier. Oh le martinet, il est suspendu dans la cuisine et veille sur mon comportement. Il dissuade et il punit.
RépondreSupprimerPascal
Oui ma compagne est sévère et ne me passe rien. Il lui arrive parfois de faire preuve d’un certain laxisme, surtout pendant les vacances ou lorsque nous sommes invités à passer quelques jours dans la famille ou chez des amis. Mais très vite elle se reprend et surveille de très prêt mon comportements qui souvent révèlent mon immaturité. Elle le dit d’ailleurs souvent, même en présence d’autres personnes. Surtout elle ne tolère aucune désobéissance. Et moi parfois je n’en fais qu’à ma tête, même si j’en connais les conséquences. Ma compagne sait très bien que si elle manque de vigilance, je vais déraper et reprendre très vite mes mauvaises habitudes. Mon naturel de sale gosse reprend le dessus. Et qui dit mauvaises habitudes dit aussi une bonne reprise en main. Alors les corrections s’imposent pour me faire filer droit. La culotte est souvent baissée et la fessée est immédiate. Après une période de laxisme, assez rare quand même, les fessées se font très fréquentes. Ma compagne veille au respect strict de la discipline domestique. Au moindre écart, elle me gronde sévèrement, me déculotte et me fesse en travers de ses genoux. Elle ne tient compte d’aucune de mes jérémiades qui au contraire ne font qu’aggraver la punition. Et lorsque je vais au coin c’est toujours déculotté avec les fesses bien rouges. Quant au martinet, Marraine en fait usage de plus en plus souvent et il est vite décroché. Elle dit que le martinet est la meilleure façon de ma faire obéir et qu’on s’en souvient et c’est vrai… Ça cingle bien les fesses et les cuisses et ça laisse des traces. Le martinet je le recevais déjà lorsque j’étais ado. En tout cas lorsqu’on me baisse la culotte je sais que j’ai dépassé les limites, que je me suis comporté comme un gamin. Et c’est comme un gamin que je dois être puni, la fessée déculottée s’impose. La fessée il m’arrive aussi de la recevoir en extérieur. Marraine me promet souvent de me déculotter et de me fesser devant tout le monde. Elle ne l’a pas encore fait, mais je redoute qu’elle ne mette sa menace à exécution. En tout cas lorsque nous partons en balade à la campagne ou en rando il m’est arrivé de me faire déculotter et corriger sur les fesses. Je crois que jamais alors personne n’a assisté à ma fessée. Enfin je n’en suis pas tout à fait sûr. Peut-être des cyclistes qui passaient à distance ont-ils pu apercevoir quelque chose de loin. Ont-ils vu que c’était une fessée. Je ne sais pas. En tout cas, lorsque nous allons faire les courses je n’ai pour l’instant jamais été corrigé. Cependant il arrive à Marraine de me regarder et de gronder devant tout le monde et de me promettre la fessée. «Si tu continues, je te préviens je te colle une bonne fessée devant tout le monde… » ou « Dernier avertissement, si tu continues, je t’assure, tu vas voir tes fesses… » Il arrive que des personnes présentes entendent. Je deviens tout rouge, je ne dis plus rien et il me tarde de sortir du magasin. Arrivé à la maison, je sais ce qui m’attend.
RépondreSupprimerPascal
Ma compagne me punit de plus en plus souvent parce qu’elle trouve que je suis devenu un gamin désobéissant et insupportable. Hier Marraine était partie le matin chez une copine. Avant de partir vers sept heures elle avait établi une liste des tâches que je devais accomplir dans la journée en son absence. Remiser le salon de jardin au garage, faire du rangement dans la cuisine et dans la chambre. Elle m’avait déjà grondé plusieurs fois à ce sujet Bien entendu j’avais laissé traîner et n’avais pas tenu compte de ses mise en garde. Elle devait rentrer le soir vers dix-huit heures. J’avais donc toute la journée devant moi pour accomplir ces tâches et j’avais donc du temps pour flemmarder. Il faisait très beau vers neuf heures j’ai décidé d’aller faire un jogging, comme j’aime souvent à le faire. Mon petit-déjeuner avalé j’enfile un teeshirt et un petit short en nylon. Baskets au pied avec mon petit sac à dos me voilà parti. Inutile de dire que la matinée a été vite passée. Le repas de midi a été vite expédié et j’ai tout laissé, assiettes et couverts dans l’évier. Il fallait se dépêcher de ranger le salon de jardin, c’est par cette tâche que j’avais décidé de commencer. Ça m’a pris pas mal de temps. Et lorsque j’ai eu fini je me suis aperçu qu’il était plus de dix-sept heures. Je commençais à stresser espérant que Marraine serait en retard. Je me suis précipité dans la chambre et j’ai commencé à ranger. Il y avait du travail. Beaucoup de vêtements et de sous-vêtements avaient été laissés pêle-mêle sur le lit ou à même le sol. Je n’ai pas perdu de temps car l’heure tournait. Plier certains vêtements, mettre les sous-vêtements au linge sale. Je me suis activé. Alors que j’arrivais au bout de mes peines, dans un geste malencontreux j’ai bousculé un vase qui s’est retrouvé au sol en mille morceaux… Catastrophe. Je décidais de ramasser les morceaux et de les porter à la poubelle au sous-sol. Avec un peu chance Marraine ne s’apercevrait de rien. J’avais à peine fini que la porte d’entrée s’est ouverte. C’était Marraine qui revenait, il était d’ailleurs presque six heures. Je lui ai demandé des nouvelles de sa copine et si tout s’était bien passé. Oui tout s’était bien passé.
RépondreSupprimerComme je m’en doutais elle a aussitôt entrepris sa tournée d’inspection. Elle s’est rendue à la cuisine et a tout de suite remarqué les couverts dans l’évier. Elle m’en a fait l’observation sur un ton sévère. C’était maintenant au tour de la chambre. J’étais devenu tout rouge. Tout était rangé et semblait parfait. En fait beaucoup de vêtements étaient rangés dans le placard et roulés en boule au lieu d’être pliés… et puis est arrivé la question que j’attendais avec angoisse sur le vase. J’ai dû avouer que les débris étaient à la poubelle au sous-sol. Elle a voulu que je les lui montre. Elle m’a attrapé par une oreille pour m’accompagner au sous-sol. Nous sommes donc descendus. Elle me tirait les oreilles d’une main et de l’autre main libre pour me faire avancer plus vite elle me fessait. Arrivés à la poubelle c’est moi qui ai ouvert le couvercle. A la vue des débris, Marraine m’a grondé très sévèrement et a poursuivi la fessée encore plus vigoureusement. Les aller-retour de sa main s’accéléraient. Nous sommes remontés au salon. Et Marraine m’a dit que je n’allais pas m’en tirer comme ça. Elle a tiré une chaise au milieu du salon et mon petit short et mon slip se sont retrouvés au sol et moi en travers des genoux de Marraine. « Non Marraine, non pardon, pas la fessée, pas la fessée… » Mais Marraine ne tient pas compte de ces jérémiades. Et clac clac clac clac… Mes fesses et mes cuisses sont en feu. La correction dure au moins cinq bonnes minutes. Lorsque je me relève en pleurs inutile de dire que je suis envoyé au coin, nez contre le mur. Au bout d’un bon quart d’heure, Marraine est revenue avec le martinet en main. Elle me prend par le bras et m’accompagne dans la chambre en me donnant le martinet sur mes fesses et mes cuisses déjà bien rouges, Aille aille ouille ouille. « Ça t’apprendra à désobéir, au lit sans manger ».